Bonsoir!
Bonjour! Semaine intensive mais les gens sont agréables. Aujourd’hui on parle
des stratégies contact et de la stigmatisation… Ce seras difficile d’en parler
parfois je vie ça comme des hallucinations… Je vais aussi faire le livre et
raconter un peu de mon histoire à qui m’emprunteras… Je dois être là ce matin à
dix heure, me suis préparé un café… Suis triste pour une amie qui fait des
changements dans sa vie quand c’est pas le moment je crois… Cet après-midi je
vais faire quelques courses il me reste plus grand-chose à manger… Hier j’assistais
à une conférence et j’ai remarqué l’omniprésence des téléphones intelligents
des tablettes électroniques aussi, les gens écoutent pas ils vont sur leurs tablettes.
Je sais pas pourquoi je pense au Fillmore West et au Fillmore East de douce
mémoire deux salles de spectacle mythique, là East où les Allman Brothers y
avait joué la quintessence du concert rock… Les journées annuelles de santé
mentale c’est pas nécessairement ce qu’il y a de plus rock… Je vous illustre ça
avec le nom de la rue écris dans le ciment de San Francisco. Je pense et
remercie mon lecteur assidu de Brossard, je suis heureux qu’il me lise… Hier j’ai
parlé de mon implication théâtrale avec le Théâtre du Nouveau Monde,les gens ont aimé ça… Ce matin je dis encore
quelques mots pour parler de stigmatisation, ce soir je parle de mon dernier
voyage, à la radio… Le bonhomme est occupé… Je pense au dévoilement qui va
parfois de pair avec la stigmatisation, aujourd’hui j’ai deux sujets et deux
endroits où parler pourtant je crois pas être verbomoteur… Les souvenirs sont
très présent, je sais pas comment je faisais pour vivre avant, la femme avec
qui je vivais qui me stigmatisais en me traitant de profiteur de paresseux et d’autre
choses plus vulgaires, elle se rendait pas compte que j’étais très malade. J’ai
quand même eu de la difficulté à la quitter… J’étais responsable de mon
malheur, tout ce que je voulais c’est une adresse pour recevoir le chèque. Je
me stigmatiserai pas cette nuit, ce temps-là est finis ça fait plus de trente
ans, j’ai appris la vie et la ville… De son vivant le patriarche parlais souvent
du temps où il travaillait dans le bois, c’est là qu’il avait connu la
matriarche je crois… Moi j’ai des souvenirs malheureux de banlieue… Je pense aux
gars de la gang… Mes parents avaient comme histoire l’immense territoire des
travailleurs forestiers le bois et les
premières scies mécaniques… C’était mythique pour les enfants qu’on était cet univers,
je pouvais pas bâtir aussi fort, tout ce que je voyais c’est l’univers « underground »
urbain. La ville a toujours eu ses règles, ses immigrants, ses nouveaux habitants…
J’étais pauvre je savais pas où m’installer j’étais pas de la génération qui
serait plus prospère que son père… Voilà! Je suis à la chute comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bonsoir! Bon
jour! On attendait le beau temps on est servis… Aujourd’hui, je prends pour acquis
que vous allez lire ça mardi, je parle de mon expérience théâtrale au
Théâtre du Nouveau Monde dans le cadre des journées annuelles de santé mentale…
La directrice, la très gentille médiatrice culturelle et une collègue sont
aussi dans le même panel… Hier au groupe d’entraide j’ai du intervenir pour
explique à un participant de pas y aller trop fort avec Jésus-Christ, que ça
indisposait des personnes, chacun à sa spiritualité où pas… Je vais vous
illustrer ça paradoxalement avec une jolie petite Église de San Francisco. Je
reviens à mon senti, j’ai dormis un petit peu, je suis fébrile et nerveux un
peu comme mon lecteur technicien à la Rolls-Royce quand il part pour la pêche….
Assister aux journées annuelles de santé mentale ça demande presque autant de
document que pour prendre l’avion… Je sais pas si je me rétablis parce que je
fais tout ça ou si je fais tout ça parce que je me rétablis? Ouais! Cette
semaine j’ai encore trois rencontres dans des ateliers et deux répétitions au
théâtre, assez chargé comme semaine… J’arrive pas à croire que je fais tout ça,
si vous me demandez pourquoi c’est pour combattre la stigmatisation sous toutes
ses formes. Je dois être irréprochable si je vais comme ça en avant… J’avance
lentement dans cette écriture ou il est toujours question de mon senti, parfois
devant chez moi y’a des gars qui passent en gueulant, ça me rappelle tous ces
métiers qui n’existent plus glacier, boulanger qui livrais le pain à la maison,
laitier qui laissait des pintes de lait, affuteur de couteau tout ça c’est
disparus… Souvenir de l’ami Michel qui avait commencé avec une route de journaux
pour des années plus tard terminé avec une run de pain… Cette nuit j’essais de me
rappeler San Francisco quelque voyage que l’on fasse on ne ramène toujours que
des souvenirs… Cette nuit dehors les gars dorment pas, ils vont essayer de
trouver de l’argent pour se geler avec cette température on peut rester sur un
banc de parc et c’est pas mal… Encore là-dedans! J’en sortirai jamais peut-être
parce qu’au centre-ville les itinérants sont omniprésents et que malgré tout c’était
mon monde d’avant… J’ai hâte de parler, l’ami m’a dis qu’il avait confiance que
j’allais réussir. Je pense à ce que je vais dire je vous le raconte pas ici… Je
viens de manger un Mae West c’est un des petits plaisirs de la vie… J’ai
presque terminé pour ce soir, les yeux me ferment, j’ai sommeil, je vais
arriver à la chute il est un peu tôt dans le texte pour en parler, y’a pas de
morale à cette « histoire » c’est juste un gars qui se débat avec les
mots et n’arrive pas à écrire de façon linéaire. Je cesse et comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! L’épilogue c’est à peu près ça. À la
prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! De retour d’une visite au studio de l’ami historien de l’art, c’est
toujours intéressant de l’entendre… Il fait tellement beau ça valait la
peine de sortir. L’ami m’a parlé des différentes formes d’art et d’architectures
qu’on peut voir à Rome, dix jours là-bas je verrai pas grand-chose… Je vais
penser à mon prochain départ, j’ai le temps… Le quartier est plus animé qu’il y
a vingt ans, je laisse la porte avant ouverte… J’installe pas le climatiseur
tout de suite je veux profiter de la chaleur… Y’a quand même des gens dans le
parc en face… Je sais que mon écriture est décousu mais ça semble vous plaire…
On gagne pas des prix à écrire comme ça, c’est pas assez formel on apprend pas
ça à l’école… J’avance lentement dans cette prose, ça fait longtemps qu’on l’attendait
cette journée surtout les inondés, je crois que mes lecteurs de Deux-Montagnes
s’en sont tirés. J’ai visité l’atelier d’une peintre que l’ami m’a conseillé… Je suis content d’être
sortis aujourd’hui, j’ai un peu parlé de mes lectures du moment et de mes
activités cette semaine, on a aussi parlé des limites à la souffrance, c’est
bien vrai… Présentement je lis, « Les fous crient toujours au secours »
inspiré des écrits de Jean-Charles Pagé et des années soixante. Je suis bien
cet après-midi, je sais pas si c’est ça qu’on appelle le bonheur, ça a beaucoup
à faire avec mon senti… Les voitures passent fenêtres baissées musique à
tue-tête, quand il fait beau les gens sont exubérants… C’est une journée qui va
plaire aux snowbirds de retour chez eux… Je cherche à dire sans répéter, mes
mots sont parfois usés… Je sais pas si il est trop tôt pour commencer à
jardiner, j’ai pas le pouce vert je touche une plante elle meurt ça aussi je
crois vous l’avoir déjà raconté. Je suis le bègue de la littérature ordiné…Informatisé…
Je racontais à l’ami que l’écriture m’avait sauvé la vie, c’est vrai, si j’arrête
ça qu’est-ce que je fais? Ma vie est
faite de plein de choses expressives, dehors ça fume du cannabis l’odeur puante
entre chez moi, je déteste ça… Dans mon quartier, le goulag! Y’a de jeunes
anglophones venus je ne sais d’où… J’irai pas voir à l’urgence de l’hôpital si
y’a plusieurs fumeurs de cannabispsychotiques, y’a rien d’étonnant là- dedans, me voilà encore dans ce
maudit thème… J’aurai beaucoup aimé mon
dimanche, je suis allé voir de belles œuvres et rencontrer un ami érudit…
Demain réunion du groupe d’entraide et préparation des présentations. Encore un
qui aime pas parler et fait des bla bla bla… J’ai de mauvais souvenirs de
batailles dans les bars, je ne bois plus et je me bats plus… Je suis partis de
loin pour en arriver là au présent… Je sais pas comment terminer, comment
écrire cette chute, quelques mots encore comme épilogue. Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! Découragez vous pas je termine!!! À la
prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bonjour! Bonsoir! Enfin un dimanche où il fait
chaud, je suis bien dans mon studio… J’ai dormis à peu près cinq heure. Je veux
pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué pour la job de formateur. J’attends
des nouvelles j’espère que ça va marcher on m’a téléphoné pour me dire que j’étais
accepté… J’ai ouvert la porte ce seras plus frais, la décrue est commencée, c’est
la nuit de samedi à dimanche… Un gars passe ilmarche avec une fausse assurance il a peur, le quartier l’inquiète… Y’a
une odeur de pizza… Dimanche et il fait beau il était temps… Souvenir d’avoir
été paralysé dans mon écriture par un tenancier de bistro, j’étais trop fou
pour voir que ce gars-là me voulait que du mal… Ça fait plus de trente ans tout
ça, je me la jouait « La bohème »… Je suis descendus aux enfers en
écoutant les Gipsys Kings, le week-end j’étais incapable de rester chez moi, en
fait de chez moi j’en avais pas je couchais ou je pouvais… À l’époque on
pouvait encore fumer dans les bars, j’avais pas conscience de la puanteur qui
me collait après… Étrangement j’étais fier de raconter ma descente dans les
bas-fonds de Montréal… Voilà encore un de mes thèmes de prédilection… Cette
nuit je vais illustrer ça avec une photo du quartier chinois de San Francisco.
Y’a toujours ceux qui sont allés partout avant tout le monde, on les entends
dire n’y allez pas j’y suis allé y’a rien de nouveau pour nous… C’est comme la
peinture et l’écriture te donne pas la peine ça déjà été fait, oui! Mais pas
par moi… Je suis chez moi j’entends quand même le deuxième set du band, ils
jouent du jazz, la musique est recouverte du babil de ceux qui discutent je ne
sais quoi… Cette nuit je suis tendu, je me sent tout chose, tout drôle… C’est
toujours mon thème de prédilection marié à mon senti… Viens de laver la
vaisselle, c’est dimanche encore une journée de repos avant le début de cette
semaine très occupée… J’ai commencé une lecture d’un livre d’une algérienne qui
a perdus son fils schizophrène, la maladie l’a emporté, un suicide, souvent on
peut pas tous les éviter. Ça me ramène le souvenir de ce gars qui croyait qu’il
allait vivre dans un château, lui aussi s’est enlevé la vie… Je suis négatif
cette nuit,y’a un parfum de bouffe
comme souvent. Cette semaine c’est groupe d’entraide ,préparation de
présentation sur les stratégies de contact, journées annuelles de santé
mentale, répétition théâtre deux après-midi pour terminer samedi prochain avec
une autre présentation… J’espère que tout va bien se passer. J’ai presque
terminée pour cette nuit, l’insomnie me sert beaucoup à écrire, je sais que les
plus grands écrivaient souvent la nuit, y’a eu de grandes œuvres nocturnes. C’est
la chute, je termine de la même façon que toujours. Je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! Il fait très beau, j’ai ouvert la porte je laisse entré l’air, ce
matin je suis allé marcher dans le village, les boules multicolores de Monsieur
Cormier reviennent encore cette année il devait laisser sa place à un autre
mais je crois que c’est une jolie signature sur le quartier… C’est une canopée
arc-en-ciel, j’ai remarqué qu’on a enlevé toutes les autres décorations, je
crois que ça laisse l’œuvre respirer… Aujourd’hui je vous place une photo de la
rue Sainte-Catherine tel que vue maintenant. Je pense à ces gays qui croient qu’on
fréquente le quartier pour les espionner, mais non! C’est mon quartier aussi je
sais quand même que les itinérants et leurs souffrances parfois vous dérangent
mais vous êtes accueillant… Sur un autre ton je réfléchis à tous ces jeunes
schizophrènes qui se suicident, comment les aider? Leurs dire que c’est pas mal
d’insister pour avoir de l’aide, que le rétablissement est possible. J’ai hâte
d’aller plus loin dans ce sens-là de partager mon expérience, dire au plus
jeune qu’il faut garder des belles valeurs. En même temps je veux pas être
paternaliste surtout que dans la schizophrénie la souffrance peut venir du
père, où du manque de père… C’est compliqué la maladie mentale, j’ai longtemps
voulus mourir mais maintenant je vie de belles années, je veux juste dire si ça
va mal n’hésite pas à appeler… Je vous écris et je sais que c’est pas juste une
question de se gratter le bobo… Souvenir de cette lourdeur qui se pointais à
tous les jours, cette hâte de voir la nuit arriver parce qu’à un moment il devient
trop tard pour chercher du travail se recycler… Aujourd’hui je suis mieux, je
suis bien, je suis pas guérit mais comme je le dis toujoursje me rétablis. Ça me fait un peu mal de vous
partager ça, j’ai pas eu de figure masculine à qui m’identifier c’était juste
les bums qui m’intéressait… Y’a pas longtemps on m’a dit que l’école c’étais
pas fait pour tous les gars. J’ai appris à ma façon mais j’ai appris… Je me
suis redressé malgré tout dans ce monde qui m’a… Justement ce monde qu’est-ce
qu’il m’a fait où ne m’a pas fait… Ça été long avant, j’en parle encore, que
mes valeurs soient les bonnes que j’ais un bon mode de vie… Je crois qu’au
début la maladie m’a détruit j’ai du me reconstruire, ça été difficile. Aujourd’hui
ils installent les terrasses, des endroits pour les m’a tu vu… Les patineurs à
roulette en profitent il fait beau. Je
pense à mon lecteur technicien à la Rolls-Royce, j’espère que ça va bien avec
sa douce… J’ai vu qu’il a commencé sa saison de golf… Moi comme d’habitude je
marche… Dehors y’a beaucoup de circulation automobile… J’entends les motos qui
passent. Je vous ai fait quelques confessions, j’arrive à la chute à l’épilogue,
j’espère que ça vous a plu. Je vous remercie comme toujours d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’arrive pas à dormir. Je suis nerveux, je dois me préparer pour mes allocutions
de mardi, mercredi et samedi… Tiens je vais vous faire une annonce, si tout va
bien votre humble serviteur va devenir formateur en santé mentale dans le cadre
du Recovery College, je vous en dirai plus plus tard c’est en développement. C’est
la nuit de vendredi à samedi on va avoir la section voyage dans LaPresse+
toujours intéressant… Souvenir de Union square San Francisco, centre commerçant
hôtelier et théâtral de Frisco… Il y a une statue placée au sommet d’une
colonne de type corinthien qui commémore la victoire de l’amiral Georges Dewey
dans la baie de Manille durant la guerre hispano-américaine… Je comprends un
peu mieux pourquoion voie tant de Philippin,
le wi-fi est accessible de ce parc comme
un peu partout en ville… Je réfléchis encore à mon prochain voyage, si vous
avez des suggestions n’hésitez pas, quoi qu’on dis souvent que l’aventure est
au coin de la rue. Je me souviens de la paralysie qui s’emparait de moi quand
je voyais un corbillard, la peur de la mort, l’angoisse extrême… Si il fait
beau ce matin je vais marcher jusqu’à la librairie et m’acheter de la lecture,
je sais pas si la très pesante angoisse transparait dans mes écrits… Souvent je
me calme à l’aéroport avant de prendre l’avion, c’est curieux je devrais devenir très angoissé
pourtant… Je crois que les aérogares sont dessinées pour calmer les gens, les
apaisés. Je sais pas si on va voir les amis de l’Outaouais bientôt, on se parle
par ordinateur mais y’a rien comme une vraie présence. « Killing me softly
with his song » voilà une chanson qui décris bien ce que ça fait quand une
chanson vous accroche…https://www.youtube.com/watch?v=kgl-VRdXr7INon! Ce soir je reviens pas avec mon sujet de
prédilection et avant, une mauvaise nostalgie… J’hésite à vous écrire ce qui me
passe dans la tête, ce ne sont que des choses, des mots, des phrases banales…Je
vais tenter un peu de poésie
La poésie
meurt au départ
On tente de
la ressuscité
Avec des mots
de peur
Des histoires
de pâmé
Faut assumer
Sans fourré
En espérant
l’aide
D’un dieu
grec
Voilà! C’est un court poème, rien qu’une digression,
rien que de très banal vers… J’aime les mots, mais je crois qu’eux ne m’ont
jamais aimé… J’ai essayé de les allumer mais ça a pas sauté, je vous l’ai déjà
écrit… Le voisin carbure aux amphétamines au début du mois, ensuite je sais pas je vous
avait dit que j’écrirais pas là-dessus, c’est calme laissonslà le malheur… Je vous aurai encore écris du
centre de la nuit, j’arrive à la fin quelques mots encore en essayant de finir,
y’a que les médecins qui écrivent la nuit, les psychiatres surtout qui ont un
beau point de vue sur la misère, on y est presque. Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! J’ai visionné la nouvelle émission de Des Racines et des Ailes sur le
Louvres c’était très intéressant. Le Louvres est impressionnant autant par les œuvres
qu’il contiens que par ses dimensions. J’y suis allé une fois m’y suis perdus…
Je vous illustre ça avec ce qui fut la controversé pyramide mais qui aujourd’hui
est parfaitement intégré… Elle est au milieu de la cour Napoléon du Musée,
commandée par François Mitterand et conçu par l’architecte sino-américain leoh
Ming Pei, une structure métallique d’acier et d’aluminium de deux cents tonnes
elle s’élève à vingt et un point soixante-quatre mètres sur une base carrée de trente-cinq
point quarante-deux mètres, recouverte de six cent trois losanges et de
soixante-dix triangles en verre et est la première grande construction à
utiliser le verre feuilleté, elle a susciter une grande controverse lors de la
présentation de son projet en mille neuf cent quatre-vingt-quatre. Elle fut
inaugurée deux foisle quatre marsmille neuf cent quatre-vingt-huit et le vingt-neuf
mars mille neuf cent quatre-vingt-neuf. Voilà pour les esthètes cet après-midi,
je vais y aller encore une fois avec mon senti… C’est le week-end qui arrive je
vais devoir me préparer pour des présentations que je fais dans le cadre des
journées annuelles de santé mentale, y’a aussi les répétitions pour le théâtre…
La pluie semble avoir cessé, la décrue est annoncée, ça va enlever beaucoup de
poids sur les épaules des riverains… Je pense à mes lecteurs de Deux-Montagnes
qui doivent souffler un peu. Je pense à mon rétablissement à comment je dois
lire de la littérature à ce propos, me faire une tête… Mon blog quand j’écris
sur la santé mentale, tout ce qu’on trouve à dire c’est que c’est rafraichissant,
un langage de fonctionnaire pour s’en tirer sans trop de mal. Ce que je trouve
fascinant ce sont ces gens qui ont avoué avoir des problèmes avec l’alcool et
qui ont arrêté mais après un certain temps y sont retournés, pour moi ce ne
sont pas des exemples, je préfère toujours la sobriété… Vendredi soir, j’ai
quand même souvenir qu’après le boulot j’attendais les copains à la brasserie,
on discutais… Je me suis aussi perdus là-dedans, ça fait longtemps plus de
quarante ans, Montréal continue de vivre le soir au rythme de ses bars, j’ai
longtemps cherché et déprimé, sans fiancée… Je sais vraiment pas pourquoi j’ai
été si longtemps dans l’ivresse… La solitude me frappait me cognait… Un jour à
la fois je ne bois plus, je vous remercie tous de me supporter. La photo ce
soir viens d’un séjour parisien que m’a permis l’abstinence… Je peux pas prédire
l’avenir mais aujourd’hui je ne bois pas, c’est bien pour moi… C’est encore ma
thématique chérie, veuillez me pardonner ça avait pris tellement de place dans
ma vie. J’ai presque terminé, en suis presque à la chute et sa difficulté. Quelques
mots encore. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!C’est l’épilogue j’ai terminé. À la prochaine
je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!! Bye!!!