mardi 23 avril 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai un peu dormis, je suis somnambule je rêve éveillé… Mauvais signe pour les riverains la pluie a recommencé, on parle de changement climatique d’inondation qui vont revenir à tous les ans . Aujourd’hui ce sont les répétitions au Théâtre du Nouveau Monde qui reprennent ce seras pas facile de rattraper le retard. J’ai toute sorte de mélodie qui me passent dans la tête, parfois mes souvenirs sont comme des rêves déjà vécu… Je remercie les lecteurs qui ont commenté le dernier texte, c’est pas encore la nuit plutôt la soirée, Ce soir je vous illustre ça avec la photo d’une œuvre de Dan Flavin 1933-1996 tiré de sept cent œuvres avec des fixtures et des ampoules fluorescentes, son utilisation de la quincaillerie ordinaire le place au côté des Donals Jodd et Carl Andre qui sont parmis les premiers à être associé au minimaliste. Flavin aimait pas beaucoup cette qualification, il faut bien regarder son utilisation des couleurs et de la lumière avec du matériel de tous les jours et le résultat une solide œuvre artistique qui appartiens a une série de cinquante sculptures dédié au constructiviste russe Vladimir Tatin, c’est Untitle « in honor of Leo at the 30th anniversary of his gallery » c’est aussi un hommage a l’inimitable Leo Castelli le marchand d’art qui a mis de l’avant l’œuvre de Flavin pour au-delà de trente ans. Quand j’écris des choses pareilles « de mauvaise traduction »  Ça me tiens éloigné de mon senti, le néon ça me fait beaucoup pensés à l’éclairage des centre-ville populaire dans les années cinquante, pour le jeune homme que j’étais y’avait quelques choses de fascinant dans ces nuits multicolores, ces enseignes au message criant, fallait entré dans ces cabarets aux noms parfois exotique, ces enseignes-là ont tendance à disparaitre, la dernière en date le magasin de musique Archambault, maintenant ont à affaire à des éclairages plus sobre moins criard. Je savais pas que j’irais vers ça cette nuit, la lumière la nuit c’est comme une promesse qu’on va rester vivant malgré la noirceur, un éclairage où les choses et les gens se métamorphosent, tiens celui-là c’est un homme? Où une femme? C’est étrange je pense au Midnight Cowboy… J’ai longtemps vécu dans ces lieux nocturnes… Quand on est privé de lumière on déprime et souvent on se soigne avec de l’alcool, pour un moment ça nous donne un peu de pep mais bien vite on en arrive aux nuits tristes et cyniques. Je sais pas ce que disait les gens en haut de l’affiche comme le chantait  le regretté Aznavour… Malgré tout faut se calmer et toujours se rappeler qu’il y a beaucoup d’appelé mais peu d’élu. Les amis idolâtrait souvent les artistes mort d’overdose, d’excès de toute sorte… Une fois que t’a vue les néons t’a tout vu tu passe au laser… À l’éclairage mural… Voilà c’est la chute c’est terminé comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je croyais avoir une réunion du conseil d’administration du comité des usagers mais c’est le vingt-trois Mai pas Avril, j’ai rencontré un jeune homme qui se demandait comment j’avais fait pour voyager et être présent dans les médias. J’ai pas pu faire autrement que lui dire que les communications de l’institut m’aidait et que je m’impliquais dans le groupe Reprendre Pouvoir. Cet après-midi j’ai peur ça sent les rodeurs… C’était pas facile de raconter au jeune homme ce que je faisais… Parfois je suis tout près de la psychose, je crois qu’on me harcèle pour que j’en fasse une religieuse, Dieu et le psychotique un mélange explosif… J’ai discuté un peu avec l’adjointe à la direction santé mentale et dépendance dans sa présentation elle a mentionné deux fois mon prénom à propos des bibliothèques vivantes… Je croyais avoir perdus tous les écrits qui précèdent, j’ai donné un nom au fichier… Je suis fatigué, ça va péter, ça va exploser cette écriture, toute ma difficulté à être dehors, je voudrais pas être en prison, j’illustre ça avec une cellule d’Alcatraz autant mourir que finir là… Pourquoi chu t’icitte… Je me suis toujours dis que rendre la société responsable de ce qu’on est c’est pas bon, pourtant le mépris, le dénigrement c’est l’autre qui le fait, faut passer là-dedans la tête haute en écoutant pas, n’empêche c’est difficile j’ai pas envie de me ramasser dans une maison de correction… Demain c’est la répétition de la pièce d’après les textes de Clémence Desrochers… C’était bien ce midi de se faire lire une partie de l’œuvre de chaque écrivain, quatre, qui étais là certain m’ont vraiment étonné par leurs justesse, j’y arrive pas à ça, je reste toujours pris avec mon senti… Enfin chose plus importante qu’il n’y parait je serai sortis de chez moi… Je suis quand même à boutte mais à boutte, je vous écris avec cette douleur nerveuse comme un sursaut de schizophrénie… Je vous donne tout ce que j’ai de mon senti, malheureusement c’est pas de la poésie j’en suis incapable… Je vous écris et j’aurai tout raté j’en serai jamais arrivé à l’apogée hypocrite apocryphe, pourtant c’est moi qui compose qui écris en essayant de ne pas vous mentir… Ma rencontre avec ce jeune étranger cet après-midi m’a ramené soixante ans en arrière, l’étranger m’avait fait fumer du hash et ensuite la direction du collège m’avait mis à la porte, tout ça pour vous dire que je le trust pas le gars… Je suis presque rendu à la chute, je sens une menace, on m’en veux j’ai pas suivis le parcours des pairs-aidants moi je suis une personne en rétablissement. J’attends quand même des nouvelles du Recovery College…  Quelques mots encore avant de cesser de vous dire ma fatigue. Je suis brûlé, veuillez m’excuser les artistes ce sont tous les autres mais pas moi. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! C’est pas terminé les mots sont comptés. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 22 avril 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je recommence j’ai perdus le document. C’est la nuit de lundi à mardi mais ça ressemble à celle du dimanche à lundi. J’arrivais pas à dormir, j’avais que le tournis et malgré tout je me suis préparé un café. Si j’ai bien compris les snowbirds sont sur le chemin du retour… Je pense que je vais vous illustrer ça avec l’emblématique Castro de San Francisco juste pour montrer aux sceptiques que j’y suis bien allé. Le Capitaine Bonhomme disait « les sceptiques seront confondus », je sais vous vous le diriez pas que vous êtes allé dans le quartier gay, mais étant gay friendly j’ose souligner ma visite. Dans le journal hier un gars écrivait que les gays c’était son peuple, je sais pas, je crois que les gays doivent s’inscrire comme citoyen de la grande communauté humaine… Je sais pas pourquoi je pense encore à ceux qui couchent dehors à Frisco, pour en être rendu là on a dù les malmener avec des mots très blessant, quand on choisis l’itinérance et le retrait de la société c’est pas parce que les gens ont été bienveillant, la blessure est profonde et on est dans la folie du mode survie. Aujourd’hui c’était une bonne journée pour moi, j’ai pris une belle grande marche jusque chez un ami. Je sens que ça reviens la marche avec un nouveau rythme mais ça reviens… Encore une semaine et on sera au mois de mai avec l’espoir que la cru des eaux seras terminée. C’est terrible de vivre comme ça aux mois, c’est de la vrai folie pourtant mes comptes sont tous payé reste que le loyer le premier… Je me souviens plus qui disait « l’aventure elle est dehors quand tu ouvres la porte et y met un pied » c’était surement mieux dis que ça mais l’idée est là… La série d’émission Des Racines et Des Ailes reviens en onde au mois de Mai avec de nouvelles émissions, j’adore ça je vais me régaler, c’est toujours l’idée du départ en voyage qui reviens… Je pense au jeune commis du magasin La Source qui m’a traitée de bôf c’est pas désagréable, ça pourrait être pire… Mais non! Quand je suis dans le vide comme ça je pense à m’auto-dénigrer  mais je le ferai pas je vaux autant que n’importe qui. J’essais de me calmer de réfléchir et de vous dire mon senti ici… Voilà que le sommeil revient, je rédige ça et je retourne me coucher. Je mange des biscuits soda c’est comme ça qu’on appelait les biscuits salés dans mon enfance, si j’y pense je vais m’acheter des langues dans le vinaigre… Et lentement je vais arriver à terminer ça. Quelques mots encore comme toujours pour la chute… Les langues c’est pas une très bonne idée ça pourrais me mener à la rechute, chute et rechute on en finis plus de tomber. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis désemparé, je viens d’écouter une émission sur l’anxiété, la façon de combattre les troubles anxieux… Ça questionne ce dont je souffre, la schizophrénie, je suis en rétablissement pourtant parfois je doute de cette maladie mais il semble que c’est un symptôme, je dois accepter le traitement… Ce matin j’ai pris une longue marche me suis rendus chez un copain, ça m’a fait du bien… Je lui ai parlé de mon voyage et montré une photo. L’avion me rend pas anxieux, je suis confortable… Ils sont de retour avec ce qu’ils appellent la douance, une façon de vivre mon senti… Ai préparé un café, j’ai sommeil j’espère me tenir éveillé… Dehors il fait un temps superbe, semble que dans certaine région c’est pas bon la neige fond trop vite… Les vélos, les motos, les scooters sont tous dehors, ça roule!!!  Ces jours ci mon senti tourne autour du sommeil… Pour ce qui est d’être un artiste, comme on dis « nul n’est prophète en son pays ». Je regrette de pas avoir acheté le livre de Bukowsky illustré par Robert Crumb, c’était à la librairie City Lights de Ferlinghetti … Le café me réveille, je suis content d’être sortis ce matin, avant d’écrire j’aurais peut-être dù travailler dans une librairie mais je sais pas si je connais assez la littérature… Ce que je vois, ce que j’entends partout c’est la controverse et ça me fatigue… On crie à la fin du monde pendant que malheureusement les policiers français se suicident… Je sais pas quoi faire ni ce que je fais là-dedans… C’est loin de mon senti tout ça c’est la télévision, parfois j’ai envie de m’auto-flageller… O.K. d’abord! C’est-ce que la matriarche dit quand elle veut terminer une conversation, je perçois ça comme très maritime une façon d’aborder son bateau. Dabord ça peut aussi être une façon de commencer, comme on dit en anglais first thing first…  Tout est clair dehors, j’espère toujours pour mes lecteurs de Deux-Montagnes… Souvenir encore de ces journées passées à la brasserie, toutes ces heures auraient été impossible sans boire… Je vois ces gars abandonné par leurs femmes et qui tournent en rond dans leurs voitures ne sachant que faire de leur désespoir. Si j’ai bien compris elle a dit être en compagnonnage, je sais pas ce que ça veut dire pour une personne qui souffre d’une maladie mentale, tout à coup ça sent le parfum d’eau de toilette masculine… Voilà la journée qui passe, je prends du vieux, je vais peut-être me rendre à la librairie anglophone du centre-ville pour voir si ils ont le Bukowsky illustré Crumb… Demain tout ça, à cette heure-ci le métro commence à être bondé mais j’ai oublié que lundi de Pâques c’est congé… J’aurais aimé vous écrire quelque chose de solide mais tout est chambranlant… Je crois que les installateurs de portes et fenêtres vont se remettre au travail avec le beau temps. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

dimanche 21 avril 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Viens de dormir une couple d’heure et là je vous rédige quelque chose, ce soir y’a quelqu’un qui cuisine y’a un parfum de bouffe. J’avais des démangeaisons aux mains je me suis mis une petite crème cortisone… Ce soir la vie va être moins difficile pour les sans-logis qui demandent pas d’aide, le temps est doux. Je vais me préparer un café… Je pense à ces difficiles moments où je croyais être victime d’un complot je sais pas si c’est parce que j’avais de mauvaises habitudes sexuelles de ça aussi je me rétablis… Je cherchais dans mon enquête qui avait mis le feu à l’hôtel, c’était un accident… Tout ça se sont de vieux souvenirs alcoolique, de vieilles obsessions maladive c’ était y’a trente-cinq ans ma schizophrénie commençait là… Je crois qu’on aurais bien aimé que je mette fin à mes jours… C’était Pâques, la matriarche m’a téléphoné elle est revenues chez elle, moi un monsieur dans la salle de lavage m’a demandé ça faisait combien de temps que j’habitais là, il a eu l’air impressionné quand je lui ai répondu plus de vingt ans. Je croyais avoir perdu mon document, mais non! Je crois que c’est parce que j’aborde un sujet sensible… Soixante-deux ans! Les années passent faut pas que je manque un voyage, je pensais à Saint-Jacques-de-Compostelle, le pélérinage… Je crois qu’il y a des groupes organisés mais moi j’aimerais le faire au complet, je sais pas si mon lecteur de Deux-Montagnes avec sa douce m’accompagnerais, une idée comme ça? Le seul désagrément que je peux avoir pour Compostelle c’est que ce sont des pays de vin… Je vais vous illustrer ça avec une maison en rénovation que j’ai trouvé pas pire, mon lecteur de Brossard pourrait peut-être me dire si il s’agit d’une victorienne? La Bretagne m’intéressais aussi et la Normandie… La mer j’ai passé plusieurs années de ma vie sans la voir et maintenant j’ai vu l’Atlantique, le Pacifique et l’Adriatique… Les Caraïbes aussi… Ce soir tout le monde dors même si demain pour plusieurs c’est congé. Parfois j’ai le souvenir de l’époque où je bossais en atelier, comme l’écrirais le psy un euphémisme pour parler d’une shop… Enfin j’en suis sortis, je suis presque vieux, on a vu que la secrétaire à la retraite du collège  d’enseignement général et professionnel de l’Outaouais, s’adonne à la peinture ça lui réussis j’ai jamais vu quelqu’un avec autant de talents. Je suis presque rendus à la chute y’a longtemps déjà la maladie me déprimais dans les jours pascals… Dehors on entends une moto… Au bout des mots c’est pas comme au bout du quai on risque pas de se noyer… On va laisser passer la glace pour l’ouverture de la pêche, j’en connais qui sont impatient… Je souhaite que ça s’arrête là cette crue des eaux, mais mes souhaits ça vaux ce que ça vaux. Voilà c’est terminé comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Le beau temps reviens, je crois que mes lecteurs de Deux-Montagnes vont s’en tirer… Dimanche de Pâques, c’est tranquille bientôt on aura des tulipes… Je fais de la lessive, ce matin je pleurais un peu j’avais ces souvenirs de voyage qui remontais, c’est peu vous dire que j’aime partir, hier soir aux actualités de TV5 y’avait un excellent reportage sur l’entretien mécanique des avions. Je vais me calmer un peu et pensés au prochain départ en avion quelle destination? Je regarde le ciel je vois pas ni n’entends d’appareils… J’ai plié et rangé les vêtements, je suis encore dans la chronique ménagère… On s’y attendait pas mais le ciel est superbe… Je pense encore un peu à San Francisco c’est moins intense mais c’était beau… J’aime beaucoup les photos des enfants de mes nièces qui cherchent des cocos de Pâques…  On parle déjà de climatiseur, je vais attendre un peu pour l’installer, c’est que la fin avril. Je pense aux concours littéraire, mon écriture est trop enfantine pour y participer, enfantine dans la forme pas dans le fond du moins je crois. C’est pas évident de mettre des mots sur mon senti. J’ai un répit le dimanche de Pâques… Mes snowbirds sont à Nashville si y’a une ville où je croyais me rendre avant eux c’est bien celle-là… C’est impressionnant le long bar et les quelques clients, je vais dire comme mon lecteur ils sont de bonne heure sur la booze… Je croyais voir un avion c’était une mouette… Faut pas que j’oublie que je suis libre je suis pas sous mandat du gouverneur, je peux me rendre où je veux… Tout à coup je suis encore triste… Vous allez surement me dire c’est de l’apitoiement, mais j’ai le droit de vivre toute la palette des émotions de mon senti… Semble qu’il faut toujours être reconnaissant, c’est vrai je suis content d’être sobre, je le dis comme ça même si vous aimez pas ça. Ouais! C’est un beau dimanche de Pâques, ici du moins, j’ai pas envie de parler des horreurs… Je sais pas pourquoi je pense au groupe de rock Canadien les Guess Who et leurs hit American Woman… Dire c’est difficile, on y arrive jamais tout à fait… C’est congé demain aussi, quand j’ai plus rien je veux juste me dénigrer pourtant ça me rappelle de faire de mon mieux, les adultes pensent à ça? Je suis heureux pour mon lecteur de Deux-Montagnes qu’il s’en soit tiré sans trop de misère… Ici on vois déjà des gens en T-Shirt qui passent sur la rue, je crois que les terrasses attendent les clients j’aime plus beaucoup  ça pour moi c’est synonymes de consommation… Cette semaine je reprends les répétitions au théâtre, j’ai hâte… C’est une semaine occupé avec mardi les libraires à domicile, un C.A. du comité des usagers, mercredi la répétition et jeudi le salon des ressources en santé mentale… Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


samedi 20 avril 2019

Au présent


Bonsoir Bonjour! J’étais au lit, me suis réveillé en plein cauchemar dont je me souviens plus… Mon écriture est surement pourrie y’a pas un  salaud d’éditeur qui me contacte. Je sais c’est pas comme ça que ça marche mais souvent les éditeurs s’annoncent comme des espaces de liberté, pourtant ils restent engoncé dans leurs éternelles et traditionnelles façon de faire… J’ai pris une douche et me suis parfumé… Je vais vous illustrer ça avec le multicolore espace piéton du quartier gay à San Francisco, vos jokes plates garder les pour vous autre, moi les gay me disent que je le suis pas et les hétéros disent le contraire, je suis ce qu’ils appellent gay friendly… J’en ai déjà trop écris, je reviens à mon senti à mon hypersensibilité, ça sent le burger ce soir… Votre humble serviteur est très très fatigué, j’entends les avions qui rentrent à Montréal. Les vacances sont pris pour cette année, les prochaines semaines s’annoncent occupées. Non! Je cèderai pas à l’envie de me dénigrer. J’ai lavé la vaisselle dans de l’eau trop chaude j’ai les mains sèches et irritées… Prière pour les lecteurs de Deux-Montagnes avec l’espoir qu’ils soient pas inondés… Dans un peu plus d’une heure ce seras Pâques, la chasse au lapin de Pâques et la traditionnelle eau de Pâques qui guéris tout… Dans mon enfance et celle de mes frères et sœurs on avait cette chance-là d’avoir du chocolat, on avait même de vrai poussins et de vrai lapins qu’on gardait dans un petit poulailler dans la cour et dans un clapier pour les lapins parfois aussi on avait un petit chat pour les chiens Micky le chien qui marchais sur trois pattes est resté là longtemps parfois il partait se promener seul mais il revenait toujours. J’ai toujours cru que c’était un chien très intelligent… C’était l’orgie de chocolat et à moins que je me trompe on avait aussi des magazines pour les jeunes, quand je vous dis qu’on était privilégié c’est pas rien… Dans ces temps d’ inondation c’est un peu ironique de parler d’eau de Pâques, à l’arrière de chez le patriarche sur les flancs du côteau y’avait une source parfois on allait y chercher de l’eau… Oui! Oui! On avait des livres, des bandes dessinées en cadeau y’en avait jamais trop c’était la matriarche qui faisait la fée de Pâques, on avait tout ça en revenant de la messe, y’étais pas question qu’on se bourre dans le chocolat avant le diner. Parfois Pâques était chaud et assez tard pour qu’on tonde le gazon, les inondations c’est pas nouveau le vieux Terrebonne était souvent inondés, je pense que le problème s’est régler quand ils ont refait la digue de l’île Saint-Jean… Dimanche de Pâques une petite prière pour qu’il y ait pas trop de sinistré. Autant le dire tout de suite j’en suis à la chute pas à la résurrection Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!! Arrivederci!!!

Bernard