mercredi 20 mars 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis trop occupé j’ai pas le temps de réaliser que mon départ en vacance approche… Hier c’était la visite à la cabane à sucre, j’ai mangé mon repas arrosé de sirop d’érable, aujourd’hui c’est plus tranquille j’ai juste une réunion à l’heure du souper… J’ai du boulot, un compte rendu de réunion à rédiger… Dix jours encore avant de partir… C’est comme je l’avait écrit j’ai pas vu le temps passé… Demain c’est à livre ouvert, je vais parler de mon rétablissement, hier à la cabane à sucre y’a des gens qui me regardaient d’un air méprisant peut-être que dans leurs paranoïa ils croient que je collabore avec « l’ennemi ». Je suis toujours étonné de voir en si grand nombre des gens qui sont psychiatrisés, juste pour cette visite on était plus de cent cinquante… Hier je devais revenir avec une voisine, mais au métro elle a eu envie d’aller aux toilettes qui étaient je ne sais où, je l’ai laissé là elle m’a dit qu’elle savait où elle était qu’elle reviendrait sans problèmes… Faudrait pas qu’il lui arrive quelque chose je me sentirais coupable… Y’avait encore beaucoup de neige à l’érablière… Saint-Esprit c’est aussi la capitale du poulet Flamingo… Y’a aussi les volailles d’Angèle http://www.volaillesdangele.com/ qui se spécialise dans l’élevage naturel, je vais dire comme l’ami y’a pas de poulet rose… Lanaudière me rappelle mes fréquents parcours entre l’hôpital de Saint-Jérôme et celui de Joliette deux hôpitaux qui voulaient pas me soigner… Cette nuit mon senti est calme… Comme souvent le jeudi pour plusieurs c’est jour de paye on va prendre du faux repos en buvant de la bière… Je sais pas si je vous l’ai raconté, je sors de la douche parfumé avec une bouteille de parfum de seconde qualité, une partie du vaporisateur se détache, je crois qu’on m’ a bien eu, je magasinerai mieux la prochaine fois… Ça sent meilleur, j’avais encore des relents d’odeur de la petite écurie et de ses poneys, je crois que j’ai mis les pieds dans le fumier… Quand même j’ai encore l’odeur d’érable, un doux parfum du terroir… Cette saveur sucrée est disparue cette nuit, j’ai bu beaucoup d’eau… Les érables sont entaillés avec de la tuyauterie, y’a pas eu de dégel, ça coule pas encore… Y’avait une famille avec sa bouteille de vin c’est pas très vintage, aurais fallu qu’ils boivent du Saint-Georges… On a fait une promenade dans le bois avec la charrette et le tracteur, j’avais essayé de marcher mais je me suis gelé les pieds… Je raffole quand même pas de me retrouver dans une salle pour partager des mets traditionnels, je préférerais je crois une petite cabane familiale et son côté intime… Me suis préparé un autre café, je sais pas pourquoi je pense à un ventilateur que j’ai installé, j’aurais pu m’électrocuter. Ça rien à voir avec l’érablière… Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore c’est la chute. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 19 mars 2019

Au présent


 Bonsoir! Bonjour! Demain au matin je vais à la cabane à sucre, c’est le premier jour du printemps et plus que onze jours avant mon départ… Si y’ en a d’entre vous qui veulent me rencontrer je serai de l’événement livres ouvert à l’institut au pavillon Bédard le vingt-deux  mars entre onze heure et treize heure… J’ai à écrire un texte pour la création collective de l’institut je sais pas si je vais y arriver… J’ai hâte de voir comment c’est à l’aéroport de San Francisco… L’été est pas encore là on me parle déjà de l’automne prochain, ce soir comme vous vous en doutiez c’est de mon senti qu’il s’agit… Je viens de regarder les photos du parc d’avions de mes amis snowbirds en Arizona, j’aime ça, j’aime beaucoup ça… Lentement la semaine passe on m’a dit que San Francisco est une ville accueillante mais chère, je verrai bien… En ce moment je suis encore endormis… J’ai hâte de voir si ils vont avoir le wi-fi dans l’avion je sais qu’avant le terrible accident il l’installait dans les avions de la flotte, je crois que ça été interrompu… Je suis quand même pas mal certain qu’il vas y avoir des écrans pour se distraire. La voisine tousse toute les nuits, c’est pas reposant, elle fume…  Mercredi est pas encore arrivé, j’écris des bêtises, c’est toujours mon senti que j’essais de nommer, je pense que je vais vous illustrer ça avec une photo de l’entrée du Dakota, l’immeuble où habitais John Lennon le regretté… Comme quoi la célébrité n’a pas que du bon… J’avance dans mon ouvrage… Hier à la répétition on a bien précisé qu’il fallait lire le texte comme il est écris, pas de petites touches personnelles… Je suis content et je touche du bois la machine ordinée fonctionne bien. Je rédige je ne dirige pas… Le reste de la semaine devrait être tranquille, je vais commencer mes bagages… J’ai peur de ne plus être capable d’arrêter d’écrire, d’être condamné à vous écrire ces quelques mots jusqu’à ma mort… Je pense que dans les chaumières et les ateliers d’artistes ont m’appelle le grand niaiseux mais je crois beaucoup plus que c’est de l’autodénigrement… L’estime de ma personne passe par cette écriture que je me fais un devoir de vous livrer… N’empêche je reviens à mon senti qui est celui du départ cette espèce d’urgence de partir pour quelques jours soit, mais des vacances c’est toujours bienvenue… Hier j’ai acheté le recueil du poète sa poésie c’est pas la mienne, je ne me proclame pas poète, il me manque quelque chose pour le rythme… Cette prose que je vous envoie… J’ai le après un rêve de Gabriel Fauré dans la tête https://www.youtube.com/watch?v=XTOkWD6xvTI  Je sais pas à quelle heure c’est le printemps… J’arrive à mercredi en même temps que tout le monde. Quelques mots encore, j’entends les voisins gueuler dans leur sommeil. Voilà! C’est la chute je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 18 mars 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je ne dors plus, souvenir, j’aurais aimé travailler dans un bureau j’ai jamais réussis je me contentais de mauvais petit boulot. De toute façon j’aurais pas su quoi y faire je sais pas compter… Aujourd’hui y’a une répétition au théâtre, je crois que ça commence à prendre forme… Douze jours et je pars en vacance… Je pense à la douloureuse folie qu’on retrouve au centre-ville. Je sais pas si y’a vingt-cinq ans la sécurité du revenu payait les thérapies pour alcoolique, à cette époque on m’en a jamais parlé… On faisait affaire surtout avec Dom Rémy ça coutais pas un sou… Je crois qu’aujourd’hui ça s’appelle le centre Dollar Cormier… Bientôt je vais commencer à faire mes bagages, je me vois tout nerveux à l’enregistrement et à la sécurité… La dernière fois que je suis partis je suis allé à Lille c’était bien je vais vous illustrer  ça avec son beffroi, on m’a déjà dit que ça remplaçais le clocher d’église… Je vous entretien pas de San Francisco j’attends d’y être… Je vais me remettre le nez dans le guide… Je vous remercie tous pour les bons voyages, je suis toujours très nerveux de me présenter au Théâtre du Nouveau Monde on y a vue tant de grands acteurs actrices. Je me sent comme un imposteur. Cette année la création tourne autour du monde de Clémence ça va être plus exigeant… Je pense à l’impatience de l’alcoolique qui veux tout tout de suite comme si il connaissait pas le dicton « Tout viens à point à qui sait attendre » Dehors la machinerie avec ses feux clignotant répare les nids de poule. Ça me ramène le souvenir de ces jouets à piles avec aussi des feux clignotants c’était amusant… J’espère que je vais avoir le wi-fi dans l’avion, ça m’aiderais a passé le temps… Quand même souvent y’a de bonnes distractions sur les écrans… Y’a ces publicités sur les overdoses aux opiacés à la télé, je préfère l’abstinence à la réduction des  méfaits, les toxicomanes sont souvent suicidaires… J’en ai finis avec tout ça même si ça reviens souvent dans mon discours, un gars fouille dans les bacs à recyclage et dans le bac à déchet, il cherche des contenants consignés… Tout le monde dort, y’a que moi tout à son insomnie qui est réveillé et vous écris… J’espère qu’il vas y avoir un peu de chaleur à San Francisco surement plus qu’ici… Voilà, j’en suis à la dernière partie de ce texte, la plus difficile, les snowbirds seront encore à la piscine, dehors en pleine nuit y’a des ouvriers qui travaillent des fils souterrains. Je termine ceci et je retourne au lit… Je trouve pas, je trouve plus c’est le vide sans mots. Les finales essaient souvent de me condamner au mutisme, je crois toujours en avoir assez écris parfois c’est la folie. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! J’avance encore quelques mots et vous souhaite à la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Les journées passent encore treize jours et c’est le départ… Vendredi de cette semaine je serai un livre ouvert, je raconterai ma vie à quelqu’un qui m’emprunteras comme à la bibliothèque. Aujourd’hui y’a une très belle lumière… Les snowbirds sont à la piscine en Arizona… Je commence à avoir très hâte de partir, ça devrais être un beau voyage… Ce matin j’ai vu le poète demain j’achèterai son recueil. Je vais me préparer un café… Y’a un enjeu important pour tout ce qu’on fait dans le rétablissement c’est celui du dédommagement . La dame de l’éthique au Centre-Intégré-Universitaire-de-Santé-et-de-Services-Sociaux-de-L’Est-de-l’Île-de-Montréal dis que je fais boutique de mon rétablissement, j’ai comme entendus ça…, c’est pas très poétique comme phrase, lentement la neige fond. Je vous raconte mes illusions… Pendant que les ouvriers triment moi j’écris, chacun son boulot… Je pense qu’on doit plutôt écrire la compensation, j’en ai assez raconté là-dessus j’arrête là… Je pense à la génération qui m’a précédée à ses poètes érudits, aujourd’hui on se contente de bien peu… On mélange les rimes de chansons avec ce que j’appellerai la vrai poésie savante, j’ai péché moi aussi je les ai écrit mes rimes suffisantes, mais aujourd’hui je plonge dans mon senti pour le nommer, l’écrire, et le dire. Je pense encore et toujours au travail du langage il faut malaxer la langue pour qu’elle nous transforme, pour le mieux va s’en dire… Les révolutions ont toutes été faites, on manifeste pour une survie écologique et la guerre toujours la guerre qui n’arrête pas et nous renvois des vétérans amochés avec le syndrome de stress post-traumatique… Voilà! J’ai de la peine, c’est difficile de pensés à ça… Je serai jamais allé au combat mais je respecte… Même si j’ai déjà eu affaire à un vieux vétéran alcoolique qui devenait très violent quand il avait bu, ça fait longtemps plus de vingt-cinq-ans il est surement disparus. Je change de direction, je vous ai déjà écrit là-dessus. Ce sont de mauvais souvenirs, j’aurais pu en mourir… J’ai terminé mon café, j’ai hâte d’être à San Francisco c’est bientôt… Ce matin on a eu une bonne réunion, les affaires courantes de notre groupe, on a parlé de prise de parole comment chacun devrais parler pour des enjeux qui touchent tout le groupe et que le groupe sois d’accord… Faut surtout parler de la compensation, même si je crois que les différents comités de gestion sont de plus en plus rare, les gestionnaires sont retournés à leurs business quotidienne, on a plus besoin de notre avis… Quand même je me pose comme quelqu’un en rétablissement et voudrais faire savoir à mes pairs que c’est possible. Je pense au jeu du théâtre comment ça participe à me rétablir… Y’a quand-même pas qu’une façon faut la trouver et s’y tenir. Surtout ne pas mettre la charrue devant les bœufs. Voilà pour aujourd’hui. C’est la chute, je termine quelques mots encore pour vous remercier d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

dimanche 17 mars 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je reviens avec mon bon vieux senti. J’ai dormis, je suis heureux de savoir que mes lecteurs snowbirds sont à la chaleur. J’espère qu’il va faire beau à San Francisco. Hier j’ai marché longtemps je suis content j’ai hâte de voir les rues de Frisco en ce moment c’est Montréal… Deux semaines pleines encore avant le départ. Aujourd’hui y’a une réunion du groupe d’entraide. Je me prends pour un vieil artiste qui a du succès quand c’est vraiment pas le cas… J’ai marché vers l’ouest pour ensuite monter sur le plateau… Un ex quartier populaire qui est revenus à la mode, c’est cher… J’ai une voisine qui est hospitalisée dans un centre de soin gériatrique. J’espère que c’est pas le début de la fin pour elle… En plus de la réunion du groupe ce matin, on a une répétition pour l’événement à livre ouvert/bibliothèque vivante… Y’a qu’un long silence, de ceux qu’on aimerais avoir à l’agonie… J’ai peur de la mort comme tous le monde, mon lecteur de Brossard me signale que mon art d’est de traduire mes maux en mots, c’est exactement ça… Vous emmené dans mes angoisses, mes malaises schizophrénique, la difficulté c’est surtout de traduire la psychose en expression surtout quand ça fait longtemps qu’on en vie plus maintenant c’est juste de la névrose anxieuse ordinaire… Impossible de toute la chasser elle est partie prenante de tous les êtres humains. Vous pouvez peut-être lire ceci http://editions-hache.com/saulnier/saulnier1.html  une tentative de me défaire de la névrose qui mène à la psychose… C’est du vieux stock, je rajeunis pas… Je pense à cette personne qui veux une prise de conscience de ceux qui boivent de l’alcool et prennent le volant, elle semble pas réaliser que l’alcool transforme les meilleures façons de penser, qu’il peut faire d’un saint un assassin, autant s’abstenir… Sujet délicat si il en est un, les prisons sont pleines… Dans quelques minutes on seras lundi, j’espère que tout le monde couche au chaud hier sur le trottoir y’avait une bouteille de gin vide, quelqu’un s’est fait plusieurs ponce pour soigner sa grippe… Je pense à Desjardins le poète aussi à Patrice Desbiens, de grandes plumes… Je sais c’est pas une bonne façon de le dire tout simplement la poésie en marche… Je devrais être libre en après-midi, ça y est on est lundi je me rapproche du voyage, des vacances… Je suis bien conscient que je suis pas dans la cour des grands. Je suis un être essentiellement urbain, j’ai jamais vraiment exploré mon côté rural champêtre, jamais vraiment eu de passion agricole… J’arrive à la partie la plus difficile la conclusion, j’ai développé mon côté artistique en transportant des caisses d’équipement pour des bands musicaux. Voilà je termine c’est la chute à ma façon « classique ». J’essais de trouver les bons mots pour vous laisser. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est presque finis j’ai de la difficulté à m’en tirer mais j’y arrive, j’y arrive!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’arrive de la conférence sur Marie-Antoinette que donnait l’ami historien de l’art, c’étais très intéressant il a pas trop parlé de sa décollation, ils nous a raconté un pan de l’histoire de France. Je suis mêlé dans la royauté, je peux quand même dire que d’après les peintures Marie-Antoinette était une belle femme… Y’en a certain d’entre vous qui trouvent que mes illustrations concordent pas avec les textes, c’est voulu j’ai pas souvent comme point de départ une photo comment dire? C’est une espèce de patchwork. Je pars toujours de mon senti moins fiable qu’une photo je vous l’accorde. Je vous promet rien, aujourd’hui je vous illustre ça avec une œuvre que j’aime bien, d’Entrée de Jeu de José Luis Torres né en Argentine, bac en arts visuels, maitrise en sculpture, formation en architecture qui vit et travaille au Québec depuis deux mille trois. Il cherche à stimuler le rapport qui est établi entre le lieu d’accueil l’œuvre et l’individu qui interagit. Je crois qu’ici je peux dire que j’interagis ceux qui veulent en savoir plus cliquez ici http://joseluistorres.ca/bio/index.php . Je reviens à mon senti, j’ai toujours ce sentiment d’auto-stigmatisation, je me diminue c’est une voix qui me dicte ces pensées. L’installation de Torres vous pouvez la voir à la maison de la culture Mercier… J’ai pas d’excuse je devrais perfectionner ce travail de blogue. Je sais il y en a de vous qui ont une longue pratique des arts, pourtant quand je termine un post pour le blog je suis souvent content. Je trouverais ça ennuyeux de toujours écrire un texte autour de l’œuvre d’un autre… Ce que je veux exprimer c’est le travail que fait l’écriture sur moi, une espèce de poussée vers le mieux… Cette saudite écriture qui m’a fait idéalisé beaucoup d’écrivains… Ce matin j’ai marché rue Ontario je suis passé devant la librairie le Chercheur de Trésors qui ne vie plus je crois depuis le décès du regretté libraire Gingras. Lentement je me calme, souvent mon senti c’est une réaction, rien de très grave, juste une façon de voir que j’aimerais différentes mais avec quand même de bonnes valeurs. Ouais! C’est pépère qui parle, dans le métro pour la Saint-Patrick on a eu droit à un concert algérien, j’étais tout mêlé… Je sais vraiment pas quoi pensés personne ne mérite de mourir pour sa religion où sa nationalité… J’ai hâte de partir c’est bientôt, les policiers ont arrêté une voiture devant chez moi, elle devais rouler trop vite… J’essaye de vous écrire sans m’humilier, quelques mots encore mais j’ai assez développer, ceux qui savent de quoi je parle vont me pardonner. Aujourd’hui on disait que le français c’est toujours un éternel apprentissage c’est long avant de réussir à faire un bon mot. Je sais pas comment je vais m’en tirer avec mon anglais à San Francisco. Voilà! C’est la chute, l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je termine toujours de cette façon-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je m’y reprend j’ai perdus le fichier. Cette nuit j’ai commencé par une douche et je me suis parfumé. Ce matin je vais assister à une conférence de l’ami historien de l’art c’est toujours intéressant. Je trouve pas ce que je voulais vous raconter encore quatorze jours avant le départ pour les vacances. Hier dans LaPresse+ les chroniques voyages étaient pas très fortes. Je suis fébrile quelques jours comme ça avant le départ, le siège est bien réservé j’espère que ma chambre d’hôtel le seras aussi. Je crois que je vais marcher jusqu’au conservatoire. Quand je fais face au nord l’ouest est toujours à gauche et c’est là que je m’en vais. Aujourd’hui ça s’annonce tranquille… Hier l’équipe de hockey locale à perdus. Je crois qu’ils seront pas au finale encore cette année, avril arrive… L’ami me demandait si mon voyage c’était pas un poisson d’avril… J’ai démarré le chauffage pour revenir au voyage d’habitude j’aime bien les petits déjeuners à l’hôtel. Je pense à vous tous à vos commentaires, je vous en remercie, c’est un succès d’estime c’est suffisant, la prose c’est intéressant mais pas assez pour faire vivre son homme, c’est pas grave je continue. J’avais oublié aujourd’hui  c’est la Saint-Patrick, l’Irlande nos voisins catholiques anglophones… Demain j’ai une réunion du groupe d’entraide et une préparation pour les livres ouverts des bibliothèques humaines… Souvenir d’une pharmacie à Paris où j’avais acheté un adhésif pour les prothèses, même à Montréal y’a-t-il quelques choses de moins invitant qu’une pharmacie et ses remèdes dans des boîtes multicolores… Le patriarche aimait bien parler de ces pharmacies qui voulaient vendre de tout à l’époque ça paraissait inconcevable… Mais c’est ce qui fait le succès des grandes chaînes de pharmacie d’aujourd’hui. Souvenir encore, de ce repos artificiel que procure l’alcool, la façon qu’il a d’endormir, y’a pas pire sommeil que celui de l’alcoolique. Je trouve pas rien de nouveau à vous discourir. À tous les jours je vieillis un peu plus c’est une vérité de LaPalice… Je pense toujours beaucoup aux avions au plaisir du départ… Je vais terminer d’écrire ceci et retourner au lit… Je baille c’est rare, j’entends les voisins qui toussent c’est la fumée de cigarettes on s’en rends pas compte mais cette toux brûle beaucoup d’énergie et affaiblie on deviens un terrain propice pour la maladie.  Je pense au regretté grand guitariste de blues Stevie Ray Vaughan https://www.youtube.com/watch?v=An4uDegHB8s y’avait du génie dans ce gars-là. Voilà lentement j’arrive à vous écrire ce que je vie, mon senti en tout cas cette nuit c’est ce que je peux faire de mieux parfois j’ai l’impression d’étirer la sauce avec de l’eau… Le blues ça me fait pensés à tout ce temps passés à en écouter dans des clubs. Je construisais rien, parfois dans les jams je montais sur scène dire des obscénités… Je me faisait pas aimer… Voilà j’arrive à la chute à l’épilogue encore quelques mots et je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard