dimanche 4 novembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis et je me suis réveillé pour écouter la chanson d’alcoolique « Tennessee Whiskey », très bonne par ailleurs, et regarder si on avait déposé un montant dans mon compte. Je puait j’ai donc pris une douche et me suis parfumé avec une eau de toilette au parfum d’orange sucrée. C’est la nuit de dimanche à lundi. Le dépôt du crédit d’impôt pour solidarité a été fait. Aujourd’hui j’ai une réunion plénière de mon groupe, je sais à cette heure-ci vous dormez tous et toutes. Je sais que je fais peur à quelques un avec ma façon d’écrire si fréquente. Je rêve toujours de San Francisco, un jour à la fois le départ vas arriver, mon malaise au dos est disparus, je vous l’ai déjà dit… Hier j’ai regardé une émission sur le Concorde ça fait pas tellement longtemps qu’il est plus en service, un très bel avion mais qui coutais trop cher à opérer… C’était vraiment le jet set qui volais là-dessus, ils ont préféré les vols nolisés versus la vitesse du supersonique. Aujourd’hui quand t’est vraiment riche tu peux louer un avion intercontinental, moi je suis du peuple de la plèbe je vole avec mes semblables, bientôt je vais réserver ma place un peu plus spacieuse… J’arrive pas à trouver ce que je voulais vous raconter à ce propos. Je vais y aller, comme toujours dans ces cas-là, avec mon senti. Tous ce temps encore à attendre, je vais pouvoir me préparer, j’étudie le guide et la carte de San Francisco, j’ai hâte de manger le chowder dans un bol de pain, c’est très américain… J’écoute et je lis plein de choses ont dit que c’est une ville pour marcher ça fait mon affaire mais avant tous je vais faire une visite guidée en autobus. Hier à radio-canada y’avait une émission de Stéphane Bureau https://www.icimusique.ca/emissions/notesdevoyage/419476 sur San Francisco, je vais réserver mon billet pour visiter Alcatraz. Je pense à cet itinérant maintenant décédé qui avait ce surnom Alcatraz… Je vous parlais de mon senti, parfois je sais pas pourquoi je suis ému, peut-être de savoir que je me rétablis… Je pense à la femme de chambre de l’hôtel à Washington elle était très sympathique, une latino et Trump veux pas les accueillir pourtant son économie vas au mieux. Le pays est prospère je peux pas croire qu’ils veulent pas partager. Ici aussi on pourrait accueillir des migrants, le pays manque de main d’œuvre. J’ai un déjà-vu une émotion comme si tout ça était déjà arrivé… Je m’arrête et j’écoute ce que dis mon sentis, je commence à réaliser que je suis plus tout jeune ce que vous lisez c’est mon journal, mon écriture quotidienne qui m’aide à me rétablir. J’arrive au moment difficile où il faut terminer, la chute, j’ai encore pas mal de mots à vous écrire mais je dois m’en garder pour une prochaine fois tout ça pour terminer comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce midi j’ai mangé de la pizza vous allez me dire faut pas avoir grand-chose à dire, de toute façon mon nom c’est pas Hubert Aquin et j’écrirai pas un autre Antiphonaire. C’est un très beau dimanche d’automne, ensoleillé… Semble que la route quarante pour se rendre à l’aéroport est fermé, je sais pas trop comment les gens vont faire, c’est pas trop compliqué ils n’ont qu’a passé par la vingt, c’est pourris ce que je vous écris là… Heureusement ils font les travaux bien avant mon départ… Cinq mois encore, j’étudie la carte de San Francisco et j’écoute des émissions de radio dont c’est le thème… J’étais partis pour vous parler du foulard que les islamistes portent mais c’est trop controversé, je préfère m’abstenir… Y’a plein de mouvance de migrants même en Amérique du Sud, les gens veulent se rendre à la frontière Mexique USA, ils sont des milliers de toute façon c’est pas moi qui va régler ça… Ils arrivent pas à vivre chez eux ils croient qu’ailleurs ce seras mieux je crois pas ils sont trop nombreux. Le président va leurs construire ce qu’il faut bien appeler par son nom, des camps comme pendant la seconde guerre mondiale, ils vont vivre là en attendant mais en attendant quoi?  Je pense aussi aux migrants Syriens en Europe, ça fait beaucoup de monde en mouvement sur la planète, je veux pas écrire de bêtises mais je crois qu’on pourrais en accueillir quelques un… J’ai ouvert la porte j’aère la pièce, la politique internationale c’est pas ma tasse de thé… Je pense à un extrait de film où la femme se plaint de pas voir beaucoup de monde et à qui son mari répond qu’une bonne femme ça reste à la maison. Je crois que c’était l’époque de la matriarche. Souvenir de mon grand cri d’effroi quand j’ai dû quitter la maison j’étais défait. C’était partis pour les nuits au motel. C’est finis tout ça, ça fait très longtemps, je vous raconte ça comme le patriarche racontais ses histoires de bois, de camp de bûcherons. Je suis finalement arrivé en ville dans le goulag occidental. Tranquillement je vie mon célibat… J’ai eu trop peur pour partir j’étais dans la paranoïa, je crois qu’en province les jeunes qui souffrent se suicident, y’a tout à coup un parfum de cannabis. C’était ce monde-là que je fréquentais heureusement j’ai pas finis en prison… Je pense à ce gars qui voulait se bâtir une maison dans le bout de Victoriaville, il habitait seulement le solage en ciment, je sais pas ce qu’il est devenus ça aussi ça fait longtemps. Y’a rien de linéaire dans ce que j’écris, j’essais juste de décrire ce qui se passe dans ma matière grise. Ce soir il va faire noir tôt, la lumière est quand même belle à cette heure. J’ai pris une photo pour essayer de vous la montrer. Je termine là-dessus comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

samedi 3 novembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Mon malaise est partie, comme toujours j’avais mis ça au pire. Cette nuit on reviens à l’heure normale, ça y est c’est partis pour l’automne! Dimanche, le septième jour… J’écoute des émissions radio sur San Francisco, demain ceux qui ont tout dépensé vont avoir droit à un crédit d’impôt pour solidarité, c’est pas grand-chose mais c’est mieux qu’une claque sur la gueule… Je sais pas si à l’heure de fermeture des bars les gens vont pouvoir y rester une heure de plus, encore rendu dans des propos d’alcoolique… L’équipe de hockey locale a perdue tandis qu’au football ils ont gagné… Si y’a un endroit où on s’occupe pas de votre sensibilité c’est bien dans le sport professionnel  ils y sont tous pour la testostérone et la virilité… J’ai souvenir du temps où je « jouais » au baseball, je jouais sur le banc j’encourageais mes coéquipiers incapable d’attraper une balle chandelle, ce qui me fait rire aujourd’hui c’est quand le patriarche trésorier de la ligue arrivais le coach s’empressais de m’envoyer au champ gauche où je laissais échapper toute les balles… Je me souviens aussi que j’avais un tout petit gant, mes coéquipiers en avaient de beaucoup plus grands, j’ai réalisé beaucoup plus tard que c’était celui de leurs frères où de leurs pères. Dès le départ le patriarche avait dû désamorcer une crise, ça me fait encore mal aujourd’hui, il avait acheté un très mauvais gant de plastique c’était une honte j’avais refusé de me rendre sur le terrain avec ça. Aujourd’hui je comprends qu’à ma façon de jouer le gant était pas si important j’étais pas très habile pourtant je m’entrainais… Ouais! Le sport m’intéressais pas beaucoup quand il était trop organisé je préférais de beaucoup la lecture et le le dessin, les jeux dans le bois avec les copains encore ce soir je me rappelle et j’ai toute sortes d’émotions.  Des souvenirs qui ne servent plus à rien, je sais pas pourquoi je pense à un neveu qui a déjà quarante ans… Plus tard de mon « bureau » à la brasserie on allait avec les gars jouer aux hockey juste avec des patins et un bâton, je me rappelle du grand Garry qui me disait de passer le puck, là aussi j’étais pas à mon meilleur, je préférais de beaucoup mon vélo. Cette nuit je pense aux forty-niners de San Francisco, le football un sport que j’ai joué quelques fois, à l’époque y’avait toujours le dimanche après-midi à la télévision un match de la ligue nationale de football… Je vais essayer de terminer avec ce senti qui me dis que je répète toujours la même histoire, c’est possible mais elle est pas dans le même ordre. Voilà! Je suis rendus à la chute j’espère que ça vous a plu, je cherche à vous transposer mon senti pour cette nuit… Mais non je suis pas guéri. Je termine de la même façon que toujours, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

vendredi 2 novembre 2018

Au présent



Bonsoir! Bonjour! J’ai ouvert le sac de chips en ai mangé une moitié, avant j’ai essayé de dormir mais n’y suis pas arrivé. Me semble que j’ai lu quelqu’un qui disait que ça pouvait être utile mon blog, je l’espère! Le show aux Foufounes électriques viens de finir à moins qu’ils soient en rappel, quoi dire de Francoeur et des poètes? J’y suis pas allé ce sont de grands poètes qui étaient là mais j’ai de la difficulté avec les milieux qui carburent à la bière avec la poésie alcoolisée… Souvent ils utilisent les mots « choquants » le vocabulaire dénigrants… Je me souviens encore du show d’Autchose et de monsieur Francoeur à la Cité des Étoiles à la Ronde à Montréal, c’était extraordinaire… Cette nuit j’étais trop fragile pour entendre de la poésie déstabilisante qui m’enverrait dans le bas-fond parce que je suis trop sensible… Cette nuit je rêve pas, je pense à Nancy Beaudoin la vrai, la très jolie… Y’a des poètes qui ont le don de nous faire sentir moins que rien… Je crois que monsieur Francoeur dans sa jeunesse a fait un séjour à San Francisco en Californie il s’est inspiré des poètes beat et de la musique rock américaine. Les récitals de poésie j'y suis plus tellement à ma place, les poèmes noirs d’auteurs désinhibés me font plus tellement tripper ma recherche maintenant je la fait dans la spiritualité, j’avoue qu’on peut en trouver dans un bon poème. La poésie ça peut être un moyen d’arriver à la sobriété, je sais quand même que souvent les poètes préfèrent l’ivresse et la solitude pour travailler. Je me triture l’intérieur, mon senti pour essayer de vous dire ma poésie souvent les poèmes sont laconiques, les miens sont presque épiques. J’aimerais pas avoir les résultats d’écriture d’ un buveur de mauvais vin. Je cherche l’image du poète dans une vieille chambre du quartier latin, il se berce insatisfait en lisant ses derniers vers qu’il trouve mauvais, il va se mettre à la prose on y trouve moins de silence… Encore ce soir j’aurai raté mon tour pour la poésie, ce seras prosaïque et c’est tout. J’écris pas la fin du monde avec une prose que je voudrais progressiste et engagée. Souvent c’est la rage et le désespoir plus aucun désir de se chercher une tribune pour réciter pendant l’agonie. Je pense à ce petit cousin dont j’ai plus de nouvelles j’espère qu’il est pas retourné dans le monde des spiritueux, de l’alcoolisme actif. Quand même comme auteur on m’aura vite oublié, j’écris rien d’exceptionnel et je suis trop auto critique…


Nancy Beaudoin


Nancy Nancy Beaudoin


Chérie veux-tu être ma


Barbie en vie veux-tu être ma


Ruby Tuesday  ma blonde steadé


Ce sont les premiers vers d’un poème de Lucien Francoeur.


Bon! Quelques mots seulement pour terminer pour la chute. Ce seras ça, peut-être un peu sacrilège pour les commandements de la littérature. Je termine comme toujours de la même maudite façon. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!


Bernard
                                                                                                                                                                        

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris mais y’a rien de nouveau, mon mal de dos semble s’apaiser. Il fait un temps triste d’automne, y’a plein de feuilles mortes dans le parc en face…Déjà novembre, ce week-end on change l’heure, il va faire noir plus tôt et les journées vont raccourcir jusqu’en décembre… J’ai commandé un autre recueil Spirou, j’ai regardé les actualités pour savoir si la poste est toujours en grève. L’ami sclérosé m’a téléphoné on avait pas grand-chose à se raconter, j’aime pas beaucoup le qualifier avec sa maladie mais je crois que c’est ce qui le définis le mieux. Je sais c’est pas un sclérosé, il a la sclérose en plaque et c’est quelqu’un de très humain… Je vous raconte ça parce que j’aimerais pas qu’on m’appelle le schizophrène, je souffre de cette maladie mais je suis bien autre chose. Je me rétablis heureusement, mais l’ami à des poussées qui le diminuent, le handicapent un peu plus chaque fois, c’est triste… Les médias commencent déjà à parler de Noël, moi je pense à mon voyage au printemps, j’ai hâte de traverser le Golden Gates… Vous savez comment j’aime me retrouver à l’aéroport, flâner en attendant mon vol… je crois qu’un départ pour l’ouest ça se fait le matin, mon vol est à sept heure du matin… D’habitude il faut être là trois heure avant le départ pour être certain je devrais être là à trois heure du matin. Je pense que l’ami col bleu à la retraite va pouvoir m’accompagner avec sa voiture jusqu’à l’aéroport. Je vais essayer de pas trop m’en faire j’ai encore du temps pour me préparer, j’aimerais pas rater mon vol… Je crois que c’est mieux d’être à l’avance. C’est mon senti pour ce vendredi… Aujourd’hui j’ai fait un peu de ménage, ça fait du bien… Je crois que la dernière fois que je suis allé aux États-Unis d’Amérique je suis allé à Washington c’étais bien… Le Smithsonian institution c’est extraordinaire. Je crois que San Francisco ça va être une affaire de vrai monde, de rues, de collines et de marche, mon hôtel est au centre-ville. Cet après-midi j’ai pas le senti trop angoissé, c’est que le début d’automne… J’arrive à être tranquille… J’irai pas à la taverne même à San Francisco je vais éviter les bistros et les pubs sauf peut-être pour aller manger. Je m’inquiète un peu pour mon anglais, je parle un peu mais si on veux me faire marcher c’est facile… Y’a des expressions que je connais pas. Je pense aux snowbirds qui s’en vont aux États en janvier je crois, ils seront là avant moi. Aujourd’hui c’est pas un très grand texte, encore quelques mots… Je cherche et cherche comment terminer. Je suis vraiment dépassé avec mon blog, c’est l’arrière-garde, une déjà vieille façon de faire. Techniquement j’ai mes limites, j’aimerais beaucoup arriver avec du neuf,  la machine avance et moi je reste là. Voilà, encore une fois je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 1 novembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai encore une douleur à la poitrine et au dos, ça se calme quand je bois de l’eau… Le paiement de ma carte de crédit est en attente. Je crois que ce seras fait demain. Je veux pas tomber gravement malade je veux pas rater mon voyage.  Hé oui! Déjà le deux, la douleur s’est calmée. Y’a longtemps que je joue plus au rocker avec des shots de Jack Daniel’s surtout que les publicités de ce whisky étaient dans les magazines pour hommes. Je suis calmé, je vais essayer de vous écrire mon senti, pour le moment c’est de chasser la douleur. Elle est au poumon je crois… Je pense à une prière pour que ça guérisse, nuit de jeudi à vendredi y’a beaucoup de monde qui vont dans les boîtes et en sortent pas. J’entends encore tout ce bruit, les gens commençaient à danser à dix heures pas avant…  À force de fréquenter cet endroit j’ai perdus tout le plaisir d’écouter de la musique, je me suis scrappé les oreilles. Je crois que je vais pouvoir commander un autre recueil Spirou mais la poste est en grève. Semble que le paiement est passé… Mon malaise s’est calmé. J’ai encore sommeil,. Ai rencontré des universitaires qui ont étudié la littérature, de vrais hommes de lettre. Ai dormis un peu, j’ai rêvé j’étais en compagnie d’un copain, il jouait le prélude de la première suite pour violoncelle solo de J.S. Bach, c’était très beau malheureusement l’instrument s’est désaccordé, y’avait une clé qui ne tenais plus, me suis réveillé https://www.youtube.com/watch?v=ZBDD7aLd6lc  c’est d’une beauté ce prélude… Étrangement je vous disais plus haut être incapable d’écouter de la musique ça dépend des décibels et du genre de musique, j’aime bien la classique. Je trouve pas quoi vous raconter, les oiseaux de nuit sont toujours dehors, ils veillent en attendant de faire une rencontre les plus chanceux se feront une amie de la barmaid. Dehors dans le parc y'a des ouvriers, je sais pas pourquoi je sens que l’automne est avancé. Me souviens de la danseuse Margie Gillis qui dansait sur cette suite pour violoncelle, c’était émouvant et bouleversant. Je pense à ceux qui vont me lire cette nuit victime de leurs insomnies. J’écris, je vous chante pas de berceuse, je vous vois assis au bar essayant de faire taire le brouhaha dans votre tête, ça marche mais vous savez plus ce que vous faites, souvenir d’un copain avec qui j’aimais démarrer la nuit chez lui, quand je partais il me disait toujours de faire attention maintenant je sais pourquoi… J’insultais sa fiancée il m’avait servis un verre d’urine, je buvais vraiment n’importe quoi. Voilà! J’en suis presque à la chute… Vendredi, fin de semaine qui arrive heureusement je suis pas seul je peux toujours téléphoner, mais le sentiment de solitude est moins prenant qu’à mes vingt ans… Je vous termine ça comme à l’habitude avec toujours les mêmes mots. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai parlé à personne aujourd’hui sauf ce gars qui téléphonait de je ne sais où pour me faire croire que je gagnerais deux cent dollars. Tout ce qu’il voulait ce sont mes informations bancaires, j’ai raccroché… Jeudi, je suis chez moi tranquille avec personne pour me faire suer parce que je travaille pas, c’est bon d’être retraité. Je sais pas pourquoi je pense à cette absurde émission télé pour enfants, les Bananas Splits, une vrai folie que j’aimais regarder https://www.youtube.com/watch?v=XMl6HnhFFIA  Je crois que ça venais de San Francisco… En vieillissant j’ai commencé à me faire du souci à ce que j’allais devenir et je regardais les dessins animés… Chez le patriarche on avait pas le câble dans mon adolescence je regardais The Price is Right à cinq heure, j’aimais bien les mannequins qui présentaient les prix, vous voyez comme j’étais taré… De grandes difficulté avec le marché du travail qui étais désagréable, je vais essayer de vous expliquer que dans tous les jobs que j’avais pas un ne me plaisait une vrai torture et pas moyen de m’entendre avec les autres travailleurs… Comme disait l’autre j’étais un paquet de trouble… Une amie à qui je racontais cette vie d’enfer trouvais normal que je cherchais toujours une copine à vingt trois ans… Aujourd’hui j’ai abandonné ça je reste célibataire. Je suis pas mal vieux pour jouer au Don Juan… Ce midi j’ai préparé un macaroni ça vous en dis pas beaucoup sur mon senti, je suis triste, je crois être malade même si je suis allé voir le médecin la semaine passée. C’est probablement les courbatures qui viennent avec l’âge… Aujourd’hui c’est le premier du mois, vous savez ce que ça veut dire pour beaucoup de monde, bière, restaurant, taxi pour l’après-midi on va se distraire en rêvant qu’on est riche pourtant dimanche on vas être fauché https://www.youtube.com/watch?v=XaWQg2CSFrA  voilà une toune de Steve Faulkner qui me rappelle beaucoup de choses… Je me vois niaiser à la brasserie autour de la table de pool, j’écoeurais tout le monde j’aurais pu me faire tuer. Maintenant je fais une prière, mes valeurs ont changé… Bon! J’ai cessé de rêver de voyage je les fait, me rappelle cette autre émission de télévision, la course autour du monde à Radio-Canada j’avais trop peur pour participer, maintenant ça va mieux mais je suis vieux. Il est pas très bon mon texte cet après-midi… «  Mon âme est morte où vis je où vais-je ». Je regarde dehors, les voitures et les camions passent c’est la vie du goulag occidental, à une époque je commençais mon quart de travail à seize heure… Même là j’ai été incapable d’y rester, je vous raconte pas ça parce que je veux un autre boulot, je suis bien comme je suis. J’ai pas envie d’aller discuter avec une moppe, pour ensuite causer avec une bouteille de bière, c’est finis et je le regrette pas. Voilà c’est la chute je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard