mercredi 31 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Facebook boque cette nuit! Je sais pas pourquoi je me sent comme un dimanche. Je suis content que les enfants de mes neveux et nièces ais eu du succès avec leurs collectes de bonbons. Ai retrouvé le stylo que j’avais ramené de Besançon y’a quelques années, j’ai encore Crosby, Stills, Nash & Young dans la tête, les nuits passent et je m’approche lentement de mon départ. Aujourd’hui je vais rédiger le compte rendu de la dernière réunion de mon groupe d’entraide. Le remboursement de la taxe sur les produits et service c’était le mois passé le prochain c’est en janvier. Je racontais à mes collègues qu’à l’époque du patriarche on discutait pas de son revenu avec le tous venant y’a que les bénéficiaires de la sécurité du revenu dont on connait le montant de la « paye ». Y’a cette façon de nous mettre à part quand on dit vous autre comme si on formait une tribu uniforme de prestataire. Cette nuit je retrouve pas mes post les plus récents, je sais pas pourquoi… Parfois je pond un bon texte mais je suis toujours content d’en rédiger d’autre. J’y vais encore avec mon senti, je veux pas vous dévoiler des choses confidentielles comme le coût de mon loyer… Cette nuit j’étais pas très réveillé j’ai bu mon jus d’orange dans la tasse à mesurer c’était peut-être une forme de calcul inconscient, la façon somnambule  de compter la quantité pour me soigner. Heureusement j’ai une certaine forme de liberté, mon passeport me permet de sortir du pays… Je pense aux beffrois qui sont caractéristique du nord de la France et de la Belgique. Je vous illustre ça avec encore une fois celui de Lille… Tout ça pour encore vous dire que j’ai hâte de partir, dans cinq mois, hier je racontais à un voisin que le temps passait vite, il est plus jeune que moi je pourrais être son père mais lui trouvait le temps long. J’ai regardé différents documentaires sur San-Francisco, écouté en différé une émission radio de France Inter sur cette ville. Mon lecteur de Deux-Montagnes m’a dit que je vais faire un très beau voyage je le crois c’est un homme plein de bon sens. San Francisco si j’ai bien compris c’est pas tellement gros quoi que c’est la deuxième ville la plus peuplée après New-York. Je sais pas comment ils calculent la superficie. Je reviens à mon écriture de nuit que j’aime beaucoup pratiquer, mon senti est de mieux en mieux quand je vous écris à ces heure-là… Je me fait plaisir et j’espère vous faire plaisir, y’a encore tout un automne et un hiver qui vont être propice à l’écriture. Je termine ça et je vais me coucher en espérant rêver que je suis dans un avion. Mon copain s’est offert pour venir me reconduire à l’aéroport. Quelques mots encore pour terminer, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’espère que ça vous à plut, à la prochaine!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin je suis allé au supermarché, le temps est triste et gris, souvent à l’heure du souper j’ai un appel d’une firme de sondage, hier j’ai fait une exception j’ai répondu. Aujourd’hui les enfants vont s’amuser en ramassant des friandises c’est l’Halloween la fête des morts vivants, en anglais ils disent trick or treat. C’est pour ça que parfois avant de donner des bonbons on leurs demande un conte où une chanson. Je me rappelle le quartier de mon enfance, on était beaucoup à se déguiser et à cogner aux portes. Je crois que c’était plus sécuritaire qu’aujourd’hui parfois on rencontrait des camarades de classe… Les sucreries c’étais pas très très bon pour les dents mais on en raffolait parfois on avait des papillotes de tire de la Sainte-Catherine, mais oui la fête des vieilles filles célébrées le vingt-cinq novembre, dans le profond québec rural on fêtait plus ça que l’halloween et à une époque plus religieuse on célébrait la Toussaint, la fête de tous les saints, connus et inconnus qui avait lieu le premier novembre… Je pense à la démographie à tous ces nouveaux quartiers qui accueillent des enfants… L’halloween c’est quand même un rituel où chacun se déguise comme il le désire, ce matin dans l’autobus j’ai rencontré une amie, elle portait une perruque et un masque je l’aurais pas reconnue si elle m’avait pas parlé. Souvenir d’un copain costaud six pieds un ou deux qui se déguisaient et se maquillait comme une femme avec les talons hauts c’était assez réussis. Y’avait cette vieille joke, en quoi tu te déguise? « En courant d’air ». Cet après-midi j’entends les avions qui filent au-dessus de Montréal, je pense pas qu’à l’aéroport Pierre-Eliot-Trudeau on accepte les gens déguisés et masqués, je me vois mal tendant mon passeport à un douanier avec une perruque et un masque. Ouais! Dans mon enfance on se déguisait en clochard avec des guenilles sans savoir qu’un jour je serais tout près d’eux dans le centre-ville. Presque ça un itinérant… À une époque les fêtes d’Halloween on m’ y invitais mais j’y restais jamais très longtemps je devenais rapidement saoul et désagréable et j’enviais ceux qui portais de beau déguisements. Parfois y’avait des bars qui organisait pour quelques dollars des bars opens, je m’y saoulais joyeusement. La dernière fois que j’ai fêté ça c’était avec ma sœur décédé qui avait organisé quelque chose à la maison du patriarche,  j’avais vraiment eu peur… Pas beaucoup de senti aujourd’hui, tout à coup y’a un parfum d’ail je crois que c’est avec ça qu’on éloigne les vampires. Y’a personne qui va boire du sang même si on va se saigner de tout ce qu’on a gagné pour fêter… Les déguisements ça fait vivre les fantasmes on deviens un où une autre… J’en vois déjà qui vont se déguiser avec une burqa… Voilà je termine là-dessus comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour vous tenir jusqu’à la fin!!! À la prochaine!!!
Bernard

mardi 30 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C’est la fin du mois, le stigmate est tellement grand qu’on voit tous les prestataires emprunté de l’argent pour boire, on en vois d’autre se présenter à l’hôpital parce qu’ils ont pas mangé… Je vous énumère pas tous ce qui peut se dire, c’est la culture des assistés ceux que j’ai rencontré perpétuait pas ces clichés, ils y allaient à l’essentiel le loyer et la bouffe bien qu’il en restait pas beaucoup pour le lait et le pain. Mois après mois comme ça on perd courage on se demande pourquoi on est venus au monde… Moi je me suis sortis la tête de l’eau j’ai appris à nager et j’espère arriver sur la rive bientôt… Voilà j’ai payé mes comptes… J’ai sommeil, j’essais de garder la bonne direction… Je pense à m’acheter des vêtements et des bottes où des souliers, j’ai vu une boutique sur Ontario qui en avait de belles. Je vais me faire un café, je dis salut à mon lecteur de Deux-Montagnes qui lui aussi est insomniaque… Je sais pas si il connais la méthode Lean, une façon de gérer que les fonctionnaires semblent apprécier, des gestionnaires qui font de la gestion! Bein quoi! C’est pas ça qu’ils sont supposé faire?!!! Du management, semble que la ministre de la santé et des services sociaux est forte sur cette méthode. Moi j’y connais rien, je fais juste rouler ma pierre, je crois que l’équipe locale a perdu ce soir c’est pas grave elle va rebondir, je vous donne pas mes impressions, je suis pas un impressionniste, réaliste j’essais d’être un réaliste de là cette idée du senti que je voudrais pas étirer jusqu’à sentimental. Je vous en ai déjà écrit un bout… Cette nuit je vous illustre ça avec une murale qui représente des enfants je la trouve très jolie. Malheureusement je suis incapable de lire le nom de l’artiste qui l’a peint. J’ai une toune de rock progressif dans la tête, la marche des hommes par Morse Code https://www.youtube.com/watch?v=HtRXnVkXuGg  ça vieillis bien mais ça dis quand même mon âge. Tout à coup j’ai la tête vide, je peux juste vous dire que je vais aller faire des courses ce matin, c’est loin de mon senti qui réapparait à l’entrée du supermarché quand je vois le camelot du journal de la rue. Je me promène entre le vide et le trop plein cervical… Encore une centaine de mots pour terminer, s’agit pas juste d’être inspiré faut travailler, ce soir c’est l’halloween, les bonbons pour les enfants y’en a pas beaucoup dans le goulag occidental, pas beaucoup de famille dans le coin surtout des célibataires de différentes conditions. Comme souvent je vous écris de la nuit… Je crois que les bonbons au caramel me rendent malade, ça me démolis. C’est la chute qui arrive, que je suis incapable de vous rendre d’une façon différente. J’en profite donc pour vous souhaiter un bon moment de lecture et vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Je sais, vous dites il suis pas les règles, il les connait pas ça peut pas être un poète… Parfois sur Facebook je croise des noms qui me font mal, des gens que j’ai connus et que je croyais avoir oublié… Pour l’instant j’ai peur de la voisine, j’aimerais pas savoir qu’elle est armée. Je pense à commander du poulet b.b.q. pour souper. J’ai écouté une émission sur San Francisco à France-Culture c’est intéressant… Pendant qu’il neige en France, ici c’est pluvieux et nuageux, je lis et regarde les actualités avec tous ces changements dans la faune et la flore, me demande ce que je peux faire? Je suis très puéril avec mon écriture, que font les gens responsables? Voilà les idées de complot qui reviennent, ça me fatigue… C’est l’automne, mon mal de dos disparait, ce matin j’ai entendus un poème de Ginsberg, je crois que ça s’intitule Holy https://www.youtube.com/watch?v=-NN1-W7XzEE . La voisine est de retour chez elle, sans demander à me parler… Je me berce sur ma chaise devant mon écran comme un dévot devant le mur des lamentations… La poésie ça demanderais d’être organique pas informatique disent les purs et durs… Cou donc! C’est pas de l’écriture ce que vous lisez présentement, j’ai pas la calligraphie des moines et le propos est pas très saint comme celui du poète. Je pense à la coiffure crépue de certaines femmes… Je sais pas si c’est pour me dégoûter, elles sont belles quand même. Je sais pas pourquoi mon senti est douloureux, je pense au musée du génocide, de l’histoire juive. Je sais je peux pas me permettre de parler de ça je suis d’origine chrétienne et catholique pourtant j’ai quand même mal après le carnage de Pittsburgh, c’est délicat écrire là-dessus, mes prières sont avec eux… Ça rajoute à la tristesse de l’automne, bientôt il va faire beaucoup plus froid le sol va geler et la neige va tomber. J’ai un sentiment de fin du monde d’apocalypse… Parfois j’ai le senti de quelqu’un qui commence à vivre mais ce qui s’annonce pour moi c’est plutôt la fin quand même je vais essayer de vivre le plus possible. Je sais pas comment vous écrire ça, mettre de l’intensité et de la joie dans ma vie? Parfois j’y trouve de la beauté dans ce monde… Vous voyez bien c’est pas permanent plutôt épisodique. Écrire comme ça fait partie de mes défis, je pourrais appeler ça de l’écriture on-line. C’est difficile d’être joyeux dans cette époque troublée, je vais dire soyons le malgré. Ce matin j’ai pas pensé à méditer, pourtant c’est important… Ce que je vous écris c’est un peu méditatif, je suis quand même pas un grand bonze. Pendant ce temps-là les écureuils se cherchent à manger et moi j’essaye de terminer sur une bonne note pas trop sautée. Voilà ce que c’était pour aujourd’hui,  je termine avec toujours la même chute. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!


Bernard

lundi 29 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je viens de me lever, je croyais dormir pour la nuit, hier j’ai eu un comité intéressant où on parlais d’éthique de la rémunération, faut passé par des choses compliquées pour en arriver à des simples. Je pense que le Centre Intégré Universitaire de Santé et de Services Sociaux de l’est de l’île de Montréal débroussaille le chemin pour les autres CIUSSS. Je vous en raconte pas plus c’est sous le sceau de la confidence. Il est quelques minutes passées vingt-deux-heure, je veux vous écrire sur mon senti… Y’a des mots précieux que j’ai entendus je veux les garder pour moi. Hier je suis revenu du Centre local de service communautaire de Rosemont rue Rachel à pied, ça a fait une bonne marche. Vous avez surement remarqué que j’ai changé mon horaire, j’espère que ça vous dérange pas trop… J’aimerais bien retourner à ce comité d’éthique. J’essais de me brancher sur mon senti, hier au supermarché y’avait beaucoup de monde, je crois qu’il y a des prestataires qui ont reçu leurs chèques du moins les personnes âgés… Je racontais aux gens du comité comment on discutais pas de notre revenus c’est une chose qui se faisait pas. Raconté aussi une étrange conversation avec le patriarche où je lui disais que le psychiatre me donnait pas cent dollars par visite, je voulais lui illustrer mon problème avec l’argent, que j’ai toujours d’ailleurs. Hier soir j’ai trop mangé de sucré, j’ai sommeil… Mon mal de dos est disparu j’espère qu’il reviendras pas… Pour revenir à l’argent je crois que je le mérite, je veux faire un peu plus que survivre… Je trouve ça triste ces conversations sur les revenus mais quand il faut il faut. Ha oui! Hier j’ai reçu une lettre du propriétaire qui m’interdis de fumer du cannabis chez moi, si il savait comment ça m’intéresse pas de me retrouver en psychose. Comment je déteste cette odeur… Pour moi le cannabis, l’alcool et toute les autres substances ce sont des choses du passé, c’est pas tellement par vertu c’est que ça m’évite un paquet de problème. Ce soir y’a pas trop de circulation automobile, j’essais d’écouter ce que me dis ma voix intérieure, au moins elle me stigmatise pas, me fait pas mal. Je veux pas parler trop vite ça peut surgir à tout moment, une si petite voix qui fait tant de mal. Voilà, deux « voix » une bonne et une mauvaise on peut presque dire que c’est une affaire de conscience du bien et du mal… Je crois que vous écrire c’est le bien, c’est dire mes pensées sans trop m’arrêter, c’est aussi une forme d’engagement que j’ai pris avec et envers moi… Voilà pour cette nuit, j’essais de terminer et de vous laisser apprécier… J’attends un peu pour faire une chute compréhensible. Je pense à tous ces amis, à l’agent de programmation, comment il est dédié à son travail. Voilà! Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

dimanche 28 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai pas regardé l’ADISQ, j’ai cessé de m’intéresser à ça. J’ai un peu peur d’être considéré comme un taré, la seule musique que j’écoute c’est Gordon Lightfoot, le cd Gord’s Gold… J’ai de la difficulté avec mon lecteur. Ai dormis une couple d’heure, on diras ce qu’on voudras Lightfoot c’est très touchant, c’est toute la romance que je laisse aux canadiens. Ce disque-là à trente ans, c’est plus tout jeune… Je l’ai arrêté j’ai pas envie de vous faire une recension de musique… Souvenir de jeunesse, de début d’adolescence où j’aimais bien inviter les copains écouter de la musique, je me souviens que j’écoutais Johnny Winter en « jouant » de la air guitar. Bon! Je sors de la douche, me suis parfumé, ai trouvé les indications pour l’écoute et le visionnement dans l’avion un Boeing 737 Max 8 avec un système de divertissement à chaque siège… Il est vingt-trois heure quinze, je sais pas pourquoi j’hésite à vous l’écrire. Ce matin j’ai une réunion de mon groupe et cet après-midi une réunion d’Éthique… Je pourrai pas tenir ce train-là cinq mois, deux saisons à passées… Ce soir y’a l’émission ultimate airport Dubaï, je devrais pas oublier de la regarder… C’est bien loin de mon senti tout ça, hier je regardais une émission sur l’appareil Concorde qui ne vole plus. J’ai eu des souvenirs d’enfance, faut dire que mon rapport avec les avions est un peu celui- là un regard d’enfant… L’atelier où mon patriarche travaillait ça s’appelait atelier d’usinage Aéro, ils usinaient des pièces d’avions… J’y ai travaillé comme balayeur, c’est pas ce travail là qui m’a donné le désir de voyager… Comptez pas sur moi pour vous écrire de la poésie des grands espaces, l’air salin, l’air marin moi c’est tout urbain… Je crois que les pièces d’avions ça m’a fait vivre et manger ne serait-ce que dans mon enfance, le pain il venait de là les avionneries, le salaire du patriarche. Avant de voler j’étais à terre, sur le béton et l’asphalte, je préfère prendre l’avion et réserver l’hôtel que faire du stop où dormir chez la première personne qui m’offriras un lit… Le regretté patriarche parlais souvent de sa gestion, « comme un bon père de famille » il semblait pas comprendre que les ouvriers aimait pas beaucoup le paternalisme pourtant encore aujourd’hui surtout pour les soins en santé mentale c’est très présent, paternalisme où pas j’aimerais qu’on m’avertisse avant que je me pète la gueule. J’entends le voisin ronfler c’est comme si il parlait… Je pense à ce copain disparus qui disait avoir un ami imaginaire, j’ai jamais compris à moins que ce soit de l’ordre de la schizophrénie. Lentement j’approche de la fin, de la chute, je me suis calmé depuis hier, je sais pas trop comme toujours… Je termine et je vais dormir en pensant aux femmes qui disaient ce n’est que des mots. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore une fois à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

samedi 27 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! A bien des endroits ce seras la première neige d’un hiver qui s’annonce long… L’équipe de hockey locale l’a emporté par blanchissage hier à Boston… Je vais tenter de vous écrire mon senti encore cette nuit. J’ai dormis quelques heures sans vraiment rêver, je pense aux avions… J’essaye de me trouver un propos intéressant, de vous écrire du fond du cœur. Je pense à la matriarche qui trouve ça dur je crois l’automne… Encore une tuerie, une fusillade chez nos voisins américains… Ça me fait un peu peur pour mon futur voyage mais je crois être impuissant devant ça… Lentement le mois d’octobre s’en va dans quelques mois je vais prendre l’avion pour San Francisco si tout va bien, j’ai retrouvé le nom de leur équipe de football américain ce sont les Forty Niners… Je pense qu’il va être le bienvenue ce voyage après une saison qui s’annonce toujours difficile… J’ai mes réservations dans le tiroir de mon bureau… Je trouve le monde des avions fascinant. Je vous illustre ça avec des moteurs qui sont en avant de la Lockheed Martin à ville Saint-Laurent. Ça vous parle pas de mon senti, je pense à la photo d’avion dans le bureau du patriarche, la seule décoration. Pour mon voyage ce seras avec Air Canada ont peut tomber plus mal . J’aime beaucoup être dans cet esprit-là, le départ… Faut que je me calme j’en ai encore pour un long moment à passer… Cette nuit j’entends pas d’avion qui passe. Dans une lecture spirituelle on me conseille de méditer. C’est je crois ce que je fais quand je vous écris, quand je me connecte à mon senti. Je pense aux moines bouddhiste, leurs façon de méditer et ma peur d’être manipulé pourtant j’ai la foi je crois mais je me laisse pas aller à la paix intérieure, je vais toujours devoir beaucoup prier. Je pense à la route pour me rendre à l’aéroport YUL Pierre-Eliot-Trudeau j’espère qu’elle va être ouverte pour mon départ, que les transports en commun vont être disponible sinon je devrai prendre un taxi. Depuis que je ne consomme plus, je crois avoir les yeux clairs c’est une bonne chose… Je suis toujours étonné de sentir comment est disparu cette angoisse, cette anxiété, cette peur de la solitude. Le vent à fait tomber les feuilles c’est le cycle des saisons… Écrire! Mais oui écrire pourquoi pas, ça m’aide à me rétablir. Je dois pas trop pensés au voyage si je veux vivre le moment présent. J’ y arrive parfois je suis pas très très zen… Voilà! C’est ce que je vous raconte cette nuit, mon calme senti en espérant qu’il dure. Avec l’illustration on pense à notre lecteur technicien chez Rolls-Royce… Dans mon prochain vol je vais essayer de voir si j’ai un écran individuel. C’est la chute… Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour bien terminer. C’est difficile cette finale cette nuit!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard