vendredi 20 juillet 2018

Au présent

 Bonsoir! Bonjour! Je me suis couché tôt et j’ai dormis quelques heures.  J’en profite pour vous écrire, le matin est encore loin. Aujourd’hui c’est samedi avec ma section préférée dans LaPresse+, la section voyage. J’attends des nouvelles de l’amie Libanaise j’espère que pour son retour tout s’est bien passée. Je croyais être plus tôt dans la nuit, première journée complète de vacances de la construction. Y’a un parfum de bouillon de poulet. Le climatiseur est toujours en marche, c’est frais chez moi. J’ai des projets de voyage, je vais essayer d’économiser encore un peu. Je me berce d’avant en arrière sur ma chaise comme le font les jeunes garçons malades. On voit ça aussi chez les juifs orthodoxes ce long balancement eux ils sont pas malades ils prient. J’aime bien la petite famille de Hull eux aussi sont en vacance dans le Maine. Je crois que la super-maman et sa cousine puéricultrice sont rentrées, elles se sont fait de joyeux moments avec les enfants. Y’a encore du bonheur en terre d’Amérique, vous gênez pas pour me lire, ça me prend beaucoup plus de temps pour vous écrire. C’est encore la soirée de vendredi, quelques minutes encore et nous seront samedi, c’est pas mal anachronique mon affaire quand vous lirez ceci je sais pas à quel moment on vas être. J’aime beaucoup la photo de mon neveu avec sa puce sur les épaules. Ça fait longtemps que j’ai passé l’été à la maison, je pense à une destination, la France s’impose encore, je vais attendre d’avoir fait encore un peu d’économie et je verrai… Je crois que pendant cette période estivale on se confond mieux avec la foule on est moins stigmatisé. Je devrai pas oublier de parler de tous mes voyages au journaliste, ça fait partie de mon rétablissement un paranoïaque ça voyage pas. Ça reste enfermé dans une petite chambre torride victime de l’angoisse. Mon rétablissement y’a que moi qui sais où j’étais rendu, tout mélangé entre l’alcoolisme la toxicomanie et la schizophrénie ces longues psychoses. Comme dis l’expression populaire, pauvre fou! C’est étrange il fait frais et je me sens coupable d’arrêter la climatisation, je dérange personne, c’est mon choix… J’aimerais bien aussi aller en forêt, marcher dans des sentiers, je me souviens des longues marche le long du fleuve à Saint-André-de-Kamouraska, le camping à la SEBKA la société d’écologie de la batture du Kamouraska, un très bel endroit pour marcher faire de la randonnée et camper. En attendant je suis chez moi, je veux pas tellement faire partie de ces bobos écolos, souvenir de la grande époque du camping à l’ère industrielle, plusieurs préféraient camper qu’avoir un chalet. La vieille école de Saint-André-de-Kamouraska ne fonctionne plus c’était un endroit sympathique pour prendre un café, on sait jamais peut-être qu’un jour on y retourneras. Quelques mots encore avant de vous abandonner, profitez bien de l’été surtout qu’il est superbe c’est le temps de jouer dehors. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il fait chaud, le soleil me tape sur le ciboulot. La matriarche et mes lecteurs de Deux-Montagnes sont partis. La matriarche est partie quelques jours au Lac-Saint-Jean et mes lecteurs de Deux-Montagnes quelques semaines en Espagne. Je me répète… Le climatiseur me garde au frais, mais oui je suis un agité du bocal mais je suis pas digne des mots de Louis Ferdinand Céline. Ce bocal quand je le protège pas surchauffe et je délire. Je sais pas pourquoi j’ai toujours la France en tête… Les vacances de la construction sont officiellement commencée, les chantiers routier restent au travail, ils peuvent pas se permettre de prendre du retard. J’arrive de chez l’ami qui souffre de la sclérose en plaque, depuis que je le connais il en a beaucoup perdus, la maladie à eux de ces poussées maintenant il ne marche plus et ne peux plus se servir de sa chaise, il est alité… C’est triste, j’aimais bien prendre un café dans le parc avec lui c’est plus possible. Avant de me plaindre je pense à lui… Peut-être que j’ai pas toute ma tête mais je peux sortir et marcher y’a longtemps que je suis plus psychotique. Aujourd’hui j’ai marché une demi-heure, j’ai croisé une jeune fille avec un jolie sourire. J’ai commencé la lecture du recueil Spirou ça me détend… Je fais pas mal toujours la même chose, semble qu’on a tous une routine… J’ai pas de grands mots, bientôt je devrai m’arrêter pour vivre des aventures et vous les raconter. Me suis ouvert une boisson pétillante à l’orange Sanpellegrino, pour moi c’est toute l’Europe dans une canette. C’est aussi un souvenir d’Italie. Parfois en voyage y’en a qui croient que je suis docteur je fais rien pour les corriger, les détromper… Je sais même pas ce que per diem veux dire. Ces temps-ci j’ai toujours une petite musique dans la tête, aujourd’hui je vous illustre ça avec l’académie nationale de musique. Opéra Garnier ou Palais Garnier dans le neuvième arrondissement de Paris sa construction a débuté en août dix-huit cent soixante et un… C’est de style Beaux-Arts, style Néo Baroque, style second Empire, l’architecte en est Charles Garnier… Voilà ce que ça donne quand je m’agite, quand je m’éloigne de mon senti, je me prends pour une encyclopédie… Heureusement y’a pas surchauffe, je suis à l’air frais… Parfois je vous écris pour que les choses m’entre bien dans la tête, je sais pas si c’est possible d’écrire pour ne rien dire, mon senti est tout d’émotion de sentiment. Tout à coup ça me fait mal d’être un fêlé du ciboulot, d’écrire comme ça à tous les jours, une autre façon de me stigmatiser de me traiter de malade. Pourtant l’expression selon moi est curative, elle soigne mais ne guéris pas. La poète disait qu’il fallait tout dire, je répète comme toujours… Il est temps que j’arrête je commence à m’en faire. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit je mange des micro-croissants. Je suis debout après avoir regardé une vertigineuse et très jolie émission des Racines et Des Ailes sur le Mont-Blanc c’est vendredi, on y auras laissé plusieurs paye dans cette maudite nuit. Je vais être pas mal occupé la semaine prochaine, je peux pas vraiment vous donner de détail, mais je participe à un groupe de recherche je crois et je donne deux entrevues. Les lecteurs de Deux-Montagnes partent aujourd’hui on leur souhaite de belles et bonnes vacances. Y’a ma lectrice aphasique qui reviens du Liban aujourd’hui j’ai hâte de la voir qu’elle me raconte même si c’est difficile. Me suis préparé un café, le climatiseur est en marche. Je pense à Basse Terre en Guadeloupe, à Pointe-à-Pitre en Martinique ces temps -ci on a un peu la température qu’ils ont l’hiver, c’est beau et chaud… Je parle souvent d’ailleurs mais ici aussi c’est un beau pays, y’a pas mieux que chez soi. Les vacances de la construction commencent ce soir ça veut dire beaucoup de monde sur la route au Québec, des gens qui vont visiter la parenté en région, par exemple la matriarche s’en va au Lac-Saint-Jean, elle va se promener comme elle dis. Je vais maintenant y aller avec mon senti, mes sentiments mes émotions d’abrutis, je devrais pas écrire ça… Je pense au jeu télévisé Question pour un champion, y’a un gars qui est à une victoire de la cagnotte, je la lui souhaite. Je sais pas si vous avez remarqué m’ai j’aime beaucoup TV5… Je regarde la France à la télévision en attendant de m’y rendre encore une fois. La prochaine fois j’aimerais y aller accompagné pour avoir quelqu’un qui partage mon émerveillement. Ça vous dis quand même pas comment je me sent, je pense déjà à l’agent de voyage mais je vais attendre plus tard cette automne pour m’organiser. Je termine mon café parfois j’ai le sentiment d’être outre-mer. Je vous le dis souvent, j’aime voyager être à l’aéroport entre deux destinations. Je devrais essayer de trouver un congrès international et aller représenter encore les patients-partenaires à l’étranger. Ce printemps à Lille on avait bien aimé mon intervention. Je suis maintenant bien réveillé… Je ressens encore ma vie d’avant, j’espère que les gens à qui j’ai fait du mal à cette époque vont me pardonner, c’est de la vieille histoire mais je dois m’en souvenir pour pas répéter les mêmes erreurs. Voilà que j’y arrive à la finale de ce « texte » entre guillemets parce-que plusieurs considèrent que ça en est pas un… J’essaye de terminer de façon différentes, je sais pas pourquoi je pense aux chevaux. C’est toujours la nuit, je vous écris toujours, j’aime bien la façon que ma lectrice de l’Outaouais à trouver pour me commenter. C’est l’aube y’a une petite lumière, je vais terminer bientôt, le soleil se lève. J’espère vous avoir fait plaisir dans vos lectures. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 19 juillet 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y’a des lectrices qui ne peuvent pas lire mon texte à partir de Facebook. Y’a un problème, je crois que c’est parce qu’elles utilisent leurs téléphones portables. Le blog avec un ordinateur on peut facilement l’atteindre. Y’a une amie qui rentre du Liban aujourd’hui, je lui souhaite un bon retour . Encore un réveil somnambule, je cherchais un six pack de cannettes de jus de tomates que je n’ai jamais eu. J’étais certain que les responsables du complot me l’avaient subtilisé. Encore de la folie. Le climatiseur s’est finalement arrêté tout seul. Pour la lecture du blog je leurs ai conseillé de passer par ma page Facebook, ça devrait le faire. J’ai démarré une publicité ça semble fonctionner. Il fait frais ce matin… J’attends plus rien dans le courrier. J’aimerais juste que l’ami agent de programmation me téléphone pour me dire qu’il a l’argent. Il est deux heure trente je suis bien réveillé. Je suis pas Verlaine, je suis pas Rimbaud juste un écrivain de taille moyenne sans trop de génie. Je nourris ce blog comme un ignorant, j’écris en pensant à la gang de ma jeunesse, ça tournais pas mal autour d’une chose la dope. Ça m’a rendue fou, je vais pas dans cette direction. Je sais maintenant que mon lecteur et ma lectrice de Deux-Montagnes partent vendredi pour le nord de l’Espagne pas loin de la France, ça me donne juste envie de partir moi aussi… Prendre l’avion!!! Avant me balader à l’aéroport Pierre-Eliot-Trudeau , j’ai jamais vu un endroit où le temps passe si vite, je préfère beaucoup ça à l’urgence de l’hôpital où y’a aussi beaucoup de monde mais pas pour les mêmes raisons, vous allez me trouver idiot de comparer ça mais le voyage c’est aussi ma santé mentale… Je pense au gentil et sympathique chauffeur de Madrid. Hier j’ai finalement compris que mes tremblements étaient pas tous du aux effets secondaire  des médicaments, c’était aussi le manque d’alcool et de drogue depuis que je ne consomme plus je ne tremble plus,  ou si peu. Je sais je reste un peu bizarre, pour moi c’est le stigmate c’est à ça que les gens reconnaissent qu’on me traite pour ma schizophrénie, heureusement ça va mieux pour les apparences je vais laisser ça a d’autre, je ne fais que me rétablir. Lentement j’ai commencé à lire le recueil Spirou c’est amusant, ça me rappelle mon jeune temps. Je vous le dis pas assez, j’aime beaucoup mes lectrices et mes lecteurs, pour moi le temps que vous prenez pour lire mon blog est important… Je pense encore à l’aéroport de Barcelone au commis au bagage qui dis merchié, c’est du vieux français, ça s’adressait pas à moi ça veut dire marquer… Lentement encore cette nuit j’y arrive, voilà un peu plus d’une heure pour rédiger ceci, ça va vous prendre quelques minutes à le lire. Je termine comme ça en rêvant d’avion et d’aéroport. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 18 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Très beau temps aujourd’hui, le climatiseur viens de démarrer… J’ai reçu mon recueil Spirou et une lettre d’une compagnie de recouvrement du Bell pour un montant de douze dollars quatre-vingt-deux, y’en a qui ont du temps à perdre. Quand j’aurai finis la lecture du Spirou je vais l’envoyer au petit gars en espérant qu’on me prenne pas pour un vieux pédéraste. Moi les enfants j’aime quand ils sont loin, le monde dans lequel je vie est trop dur pour eux. Je l’ai payé le douze dollars et quelque, viens de regarder deux documentaires intitulé Nazi Junkies où comment les allemands se droguaient à la deuxième guerre mondiale. C’est difficile de regarder ces atrocités. Pas de nouvelle du dédommagement pour le show des libraires… On serait pas payé que ça m’étonnerais pas, je suis en discussion Facebook avec  ma lectrice secrétaire exécutive à la retraite pour le syndicat des enseignants au CÉGEP de l’Outaouais. J’espère être de bon conseil. Trompez-vous pas je parle pas de paye mais de l’impossibilité de lire mon blog avec son cell. Je reviens à mon senti, c’est plus intéressant cet après-midi je fais pas la sieste, J’ai une toune de Nana Mouskouri dans la tête, Quand tu chante! J’avance lentement dans cette rédaction, aujourd’hui je suis pas sortis, la rue piétonnière du village peut se passer de moi.  Lentement le mois de juillet passe, j’aimerais bien aller passer quelques jours dans la nature mais je crois que ça seras pas possible. Je pense aux neveux et aux nièces tous en vacances avec leurs enfants. Je paye toujours mon compte de téléphone à la fin du mois c’est peut-être pour ça qu’ils m’ont envoyé ce ridicule avis de recouvrement. Je sais c’est personnel , vous, vous ne raconteriez pas ça sur les réseaux sociaux. J’aurais bien aimé me rendre à la nuit de la poésie de Saint-Venant-de-Paquette, entendre de vrais poètes, je viens de voir que c’est au mois d’août. Je vais y réfléchir. Moi et ma prose que je voudrais poétique, j’y arrive pas, je manque de mots savants pour précisément nommer mon senti… Je prends mon temps, j’aime bien être satisfait quand j’ai terminé mais plus souvent qu’autrement je doute. Je devrais prendre ma place j’y ai droit pourtant le doute est mon maître, c’est lui qui mène…Je trouve pas, j’ai un point dans le dos, la poésie c’est pas si terre à terre, le mot qui me viens c’est évanescent c’est comme ça que j’aimerais terminer avec des mots qui s’amoindrissent et disparaissent. Pourtant je donne toujours une poussée pour terminer c’est pas très beau, cochon je sais pas trop pourquoi peut-être parce ce que je me roule dans la fange informatique, les vrais poètes sont organiques… Voilà, lentement je glisse vers la fin… Quelques mots encore, en pensant aux immenses poètes qui ont laissé une marque, c’est peux dire certains ont transformés le langage… Je termine là-dessus en vous laissant réfléchir. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

mardi 17 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai de la difficulté à dormir, tant qu’à veillée autant prendre un café. Ai démarré le climatiseur, hier j’ai ni regardé les actualités d’ici ni les françaises en fait c’était pas de télé. Je souhaite la bienvenue à un vieil ami ingénieur qui est maintenant sur Facebook. Nuit de mardi à mercredi, j’attends toujours du courrier. Je verrai demain matin. J’ai hâte d’avoir des nouvelles de l’ami agent de planification, les gens de l’association des libraires du Québec semblent pas pressé de régler leurs comptes. Quand je suis insomniaque ça me rappelle ces nuits où je faisais n’importe quoi pour m’endormir, j’y arrivais jamais… La secrétaire retraitée du CÉGEP de l’Outaouais a eu une bonne idée d’utiliser la partie commentaire du blog, j’espère que ça va s’arranger pour son Facebook… Mercredi, j’aimerais recevoir le recueil de bandes dessinées Spirou. Les choses sont faites pour la subvention de mon logement, je sais ça va faire des jaloux tant pis, c’était ça la bonne nouvelle dont je vous parlais y’a quelques temps. Déjà le dix-huit juillet, je vais retourner marcher aujourd’hui, nos lecteurs de Deux-Montagnes partent pour  l’Espagne vendredi je crois. Cette nuit je suis pas tellement inspirée, je pense à ces anciens junkies reviré végan, ça vaut rien… Remarquer que manger du cochon d’inde en Asie ça me dis pas tellement mais c’est plus de les voir se faire dépecer qui me dégoutte, parais qu’ils mangent du chien aussi… L’être humain est omnivores, les sandwichs au tofu je trouve pas ça bein bein bon! J’irai pas travailler à l’abattoir, assommer un bœuf, saigné un cochon, pourtant je mange de la viande et ça coûte cher… Cette semaine j’ai entendu dire que les plantes parlaient on s’en sort pas faudras mourir affamé en discutant avec nos plantes en pot. Considérez comme ça c’est l’être humain qui est le plus nocif pour la planète, je vais continuer à recycler même si mes efforts sont bien futiles. Je pense qu’il y en a qui se suicide pour enlever un poids à la planète, c’est des bêtises tout ça j’ai le droit de vivre, on a jamais vécu dans un temps aussi abondant mais je félicite mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord qui a opté pour une voiture toute électrique, j’ai hâte de voir ça. J’ai remarqué que ce sont surtout ces dames qui sont végan, les mêmes qui voudraient soigner un cancer avec des herbes! Y’a un homme sur deux qui va avoir un cancer j’espère que je serai pas celui-là. N’empêche je sais que dans mon quartier les hommes meurent plus jeune, on respire la poussière et les gaz d’échappements des camions et des voitures. Je vais vous illustrer ça avec une photo du même quartier, c’est pas si mal avec le temps ça a verdis… Souvenir d’avoir travaillé avec de l’amiante sur de petit poêle à bois. Voilà, je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai traversé le village aller-retour, il fait chaud c’est difficile de marcher sur le bitume, y’a pas d’ombre, j’aurai fait un peu d’exercice, pour un mardi après-midi y’a beaucoup de monde dehors, ça sent les vacances. Semble que c’est la dernière année pour le boulier colorée de monsieur Claude Cormier designer il veut laisser sa place à d’autre, c’est malheureux je l’aime bien cette œuvre-là elle est unique à Montréal. Lentement je me rafraichis, le climatiseur est utile… Je suis allé manger un burger et une poutine dans un fast-food y’a longtemps que j’ai fait ça. Je suis content d’être sortis je me sentais en voyage. Je sais pas si ma lectrice de Gatineau à réussis à brancher son cell sur mon blog. Elle peut me lire sur son ordi. Aujourd’hui je trouve les gens gentils, c’est bien, y’a juste ce gars prêt d’un téléphone public qui gueule parce qu’il couche dehors, je sais pas qui l’a mis à la porte mais c’est dur ce qu’il raconte. Finalement je suis ignorant, y’a pas de pluie il fait grand soleil. Quand le soleil me tape sur le coco je deviens faible et fou, je suis plus tellement habitué à faire de longues marches, j’ai les jambes molles… Quand-même je suis heureux, j’ai plus besoin de me cacher je suis à la retraite étrangement j’ai jamais autant travaillé mais j’ai de la difficulté à me faire dédommager. Encore ce senti comme en voyage, une belle émotion. La ville bourdonne, aujourd’hui j’ai pas croisé de policiers je suis moins paranoïaque. Lentement je me rétablis, la marche m’aide. Hier j’ai regardé une émission sur le pays Basque c’est magnifique là aussi, j’aimerais y aller et aussi en Provence, l’an prochain peut-être, le neveu charcutier aimerais peut-être apprendre comment ils font les jambons chez les Basques. Je pourrai dire que j’ai joué dehors. Quand j’étais tout jeune des temps comme celui-là on se cherchait un endroit frais, il est jamais rien arrivé de mal parfois on jouait dans la cour du voisin à l’ombre des pommiers. Les pommes étaient piqué, on nous disait souvent que le voisin allait nous engueuler, je l’ai jamais entendu et vu. Hier pendant l’émission on voyait le charcutier choisir son cochon debout, il disait que pour faire de la bonne viande ça lui prenais un cochon heureux. Un cochon qui dors dans la boue avec le sourire. Bien gras le cochon bien gras, on veut pas de la charcuterie maigre. Je crois que même avec ce régime les Basques et les Provençaux vivent vieux… Je parle pas du vin parce que j’en bois plus, j’en ai trop abusé. Souvenir de la regretté sommelière, elle serait heureuse de donner des conseils pour un bon vin qui se marie bien avec la charcuterie. Voilà! J’ai presque terminé, étrangement j’ai le senti de quelqu’un qu’on laisse en paix. La sueur à séché. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard