mardi 17 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai de la difficulté à dormir, tant qu’à veillée autant prendre un café. Ai démarré le climatiseur, hier j’ai ni regardé les actualités d’ici ni les françaises en fait c’était pas de télé. Je souhaite la bienvenue à un vieil ami ingénieur qui est maintenant sur Facebook. Nuit de mardi à mercredi, j’attends toujours du courrier. Je verrai demain matin. J’ai hâte d’avoir des nouvelles de l’ami agent de planification, les gens de l’association des libraires du Québec semblent pas pressé de régler leurs comptes. Quand je suis insomniaque ça me rappelle ces nuits où je faisais n’importe quoi pour m’endormir, j’y arrivais jamais… La secrétaire retraitée du CÉGEP de l’Outaouais a eu une bonne idée d’utiliser la partie commentaire du blog, j’espère que ça va s’arranger pour son Facebook… Mercredi, j’aimerais recevoir le recueil de bandes dessinées Spirou. Les choses sont faites pour la subvention de mon logement, je sais ça va faire des jaloux tant pis, c’était ça la bonne nouvelle dont je vous parlais y’a quelques temps. Déjà le dix-huit juillet, je vais retourner marcher aujourd’hui, nos lecteurs de Deux-Montagnes partent pour  l’Espagne vendredi je crois. Cette nuit je suis pas tellement inspirée, je pense à ces anciens junkies reviré végan, ça vaut rien… Remarquer que manger du cochon d’inde en Asie ça me dis pas tellement mais c’est plus de les voir se faire dépecer qui me dégoutte, parais qu’ils mangent du chien aussi… L’être humain est omnivores, les sandwichs au tofu je trouve pas ça bein bein bon! J’irai pas travailler à l’abattoir, assommer un bœuf, saigné un cochon, pourtant je mange de la viande et ça coûte cher… Cette semaine j’ai entendu dire que les plantes parlaient on s’en sort pas faudras mourir affamé en discutant avec nos plantes en pot. Considérez comme ça c’est l’être humain qui est le plus nocif pour la planète, je vais continuer à recycler même si mes efforts sont bien futiles. Je pense qu’il y en a qui se suicide pour enlever un poids à la planète, c’est des bêtises tout ça j’ai le droit de vivre, on a jamais vécu dans un temps aussi abondant mais je félicite mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord qui a opté pour une voiture toute électrique, j’ai hâte de voir ça. J’ai remarqué que ce sont surtout ces dames qui sont végan, les mêmes qui voudraient soigner un cancer avec des herbes! Y’a un homme sur deux qui va avoir un cancer j’espère que je serai pas celui-là. N’empêche je sais que dans mon quartier les hommes meurent plus jeune, on respire la poussière et les gaz d’échappements des camions et des voitures. Je vais vous illustrer ça avec une photo du même quartier, c’est pas si mal avec le temps ça a verdis… Souvenir d’avoir travaillé avec de l’amiante sur de petit poêle à bois. Voilà, je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai traversé le village aller-retour, il fait chaud c’est difficile de marcher sur le bitume, y’a pas d’ombre, j’aurai fait un peu d’exercice, pour un mardi après-midi y’a beaucoup de monde dehors, ça sent les vacances. Semble que c’est la dernière année pour le boulier colorée de monsieur Claude Cormier designer il veut laisser sa place à d’autre, c’est malheureux je l’aime bien cette œuvre-là elle est unique à Montréal. Lentement je me rafraichis, le climatiseur est utile… Je suis allé manger un burger et une poutine dans un fast-food y’a longtemps que j’ai fait ça. Je suis content d’être sortis je me sentais en voyage. Je sais pas si ma lectrice de Gatineau à réussis à brancher son cell sur mon blog. Elle peut me lire sur son ordi. Aujourd’hui je trouve les gens gentils, c’est bien, y’a juste ce gars prêt d’un téléphone public qui gueule parce qu’il couche dehors, je sais pas qui l’a mis à la porte mais c’est dur ce qu’il raconte. Finalement je suis ignorant, y’a pas de pluie il fait grand soleil. Quand le soleil me tape sur le coco je deviens faible et fou, je suis plus tellement habitué à faire de longues marches, j’ai les jambes molles… Quand-même je suis heureux, j’ai plus besoin de me cacher je suis à la retraite étrangement j’ai jamais autant travaillé mais j’ai de la difficulté à me faire dédommager. Encore ce senti comme en voyage, une belle émotion. La ville bourdonne, aujourd’hui j’ai pas croisé de policiers je suis moins paranoïaque. Lentement je me rétablis, la marche m’aide. Hier j’ai regardé une émission sur le pays Basque c’est magnifique là aussi, j’aimerais y aller et aussi en Provence, l’an prochain peut-être, le neveu charcutier aimerais peut-être apprendre comment ils font les jambons chez les Basques. Je pourrai dire que j’ai joué dehors. Quand j’étais tout jeune des temps comme celui-là on se cherchait un endroit frais, il est jamais rien arrivé de mal parfois on jouait dans la cour du voisin à l’ombre des pommiers. Les pommes étaient piqué, on nous disait souvent que le voisin allait nous engueuler, je l’ai jamais entendu et vu. Hier pendant l’émission on voyait le charcutier choisir son cochon debout, il disait que pour faire de la bonne viande ça lui prenais un cochon heureux. Un cochon qui dors dans la boue avec le sourire. Bien gras le cochon bien gras, on veut pas de la charcuterie maigre. Je crois que même avec ce régime les Basques et les Provençaux vivent vieux… Je parle pas du vin parce que j’en bois plus, j’en ai trop abusé. Souvenir de la regretté sommelière, elle serait heureuse de donner des conseils pour un bon vin qui se marie bien avec la charcuterie. Voilà! J’ai presque terminé, étrangement j’ai le senti de quelqu’un qu’on laisse en paix. La sueur à séché. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

lundi 16 juillet 2018

Au présent



Bonsoir! Bonjour! Il va y avoir de la vie dans le quartier, les énormes chapiteaux de Cavalia s’installent près de chez nous sur le terrain vacant coin Sainte-Catherine et De Lorimier j’ai même entendu leurs publicités à la radio. Quand-même je peux pas tellement vous en parler je connais pas les sports équestres, les chevaux c’est des braves bêtes. Parlons-en du quartier avant il était remplis de restaurant abordable mais depuis qu’il y a quelques années les activités de Radio-Québec ont cessé, les restaurants ont tous fermés. On avait même une succursale de la caisse populaire ça aussi c’est fermé. Parfois j’entends, « vous n’êtes que des pauvres on a pas besoin de votre clientèle ». La caisse populaire voilà une institution qui se rappelle pas ses modestes débuts dans les sous-sol d’église, les gens déposaient leurs économies, faut dire qu’avec les maigres chèques d’aide sociale c’est difficile de faire des économies… Cette semaine on a reçu une enveloppe pour payer la dime, je fréquente plus tellement l’église mais j’ai peur que si je la paye pas ont voudras pas me faire un service funéraire décent… Hier en parlant avec la matriarche j’ai compris où en était rendus les amis de Gatineau, ils vident leurs maisons c’est vraiment l’étape finale de leurs retraite, c’est touchant on s’est pas vu vieillir. Moi en vieillissant mon côté financier s’est amélioré, on me donne plus d’aide… J’aimerais bien recevoir un appel téléphonique pour une indemnisation que j’ai pas encore eu, je dois vous dire les amis de Gatineau ne partent pas pour la France cet automne, ils s’installent dans leurs nouvelle maison. Je sais que c’est pas facile et ils doivent vivre pleins d’émotions en se débarrassant de plusieurs choses. Je pense que la Provence ce serait une belle destination pour moi le printemps prochain… Je sais pas pourquoi je suis toujours en mode attente, dehors il a plu, c’est bon pour les récoltes, j’allais écrire c’est bon pour les écoles. J’arrive quand même à vous écrire quelque chose d’original, c’est toujours mon senti mais y’a quelques nuances… Tout à coup j’ai un blanc, ça allais bien jusqu’ici, j’ai hâte de manger la truite de mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord. C’est toujours la nuit, j’ai dormis un peu, je crois que ma lectrice secrétaire à la retraite du Cégep de l’Outaouais à de la difficulté avec son téléphone qui est presque aussi grand qu’une tablette électronique. J’ai mangé un peu, ça fait du bien, je termine ceci et je vais me recoucher… Je suis plus timide dans ce que j’écris, j’ai peur qu’on vienne me bousculer dans mon petit confort. Quelques mots encore pour vous amener vers la fin de ce blog… C’est toujours la nuit j’espère qu’en me recouchant je vais rêver de Provence. Vous voyez tout est fait d’espoir. Ce qui est étrange c’est que parfois il n’apparait qu’à la fin. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!


Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’arrive de chez l’ami sclérosé, on a discuté un peu, parler de Provence et de senti, de mes écrits hétéroclites. Le climatiseur fonctionne à plein, c’est pas une belle façon d’écrire ça, je manque de style… Mon senti? Comment écrire dans cette canicule, j’ai regardé un court post sur la Mustang Shelby, qu’ils vont remettre en marché sur commande, un peu plus de deux cent cinquante mille dollars, une magnifique machine. J’espère que mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur de voitures a vu ça, elle est superbe https://www.facebook.com/Autoblog/videos/10156386369836760/UzpfSTY3MzQ4NTg4ODoxMDE1NTg2Nzc0NjE5NTg4OQ/  J’essais de me trouver une thématique, pendant que les pompiers passent. L’ami avait pas l’air de me croire quand je lui disait qu’en France les voitures pour tous étaient arrivé plus tard qu’en Amérique, le pétrole leurs a couté longtemps plus cher. Le bungalow, la voiture, la famille ça a longtemps été très américain. Je pense que ça s’est développé après la seconde guerre avec le Plan Marshall en Europe. Lentement chez moi ça se rafraichit, je me rappelle à une époque je lisais le magazine de droite l’Express j’y comprenais rien j’ai finis par me tourner vers le Nouvel Observateur je sais pas pourquoi d’ailleurs un prolétaire comme moi avait pas besoin de lire ça je sortais pas des grandes écoles. Je me souviens plus quand j’ai cessé de lire toute ces revues, françaises où québécoises, ça fait longtemps je suis devenu inculte, je regarde les actualités à la télé, TV5, France24,RDI,  et quelques jeux, émissions voyages beaucoup aimé l’émission sur la Provence j’irais bien mais j’ai pas de permis de conduire… Je pense à Pagnol, à Manon des sources et toutes les autres extraordinaires histoires, Jean de Florette, je vous écris ça de mémoire j’ai adoré et j’adore encore  ces films. Je crois que les amis de Gatineau y vont à l’automne. Je sais la vie c’est pas du cinéma mais quand même un beau pays ça reste un beau pays… Y’a des gens qui ont repris un village abandonné et l’ont carrément ressuscité… J’irais bien en voyage dans ce village… Aujourd’hui je vais vous illustrer ça au plus simple avec des avions, vous le savez j’adore partir prendre l’avion. J’aimerais bien aussi marcher sur les sentiers de Provence… Je pense que grimper au sommet du mont Ventoux serait quelque chose à faire. C’est comme si je vous racontais l’émission télé. J’aimerais bien le faire pour vrai. Je crois qu’aujourd’hui la France a fêté son beau championnat de coupe du monde. Francophile, je suis francophile je vous l’ai déjà écrit… Je sais pas où en sont les grèves de la Société Nationale de Chemin de Fer et d’Air France, on en parle pas beaucoup aux actualités. C’est les vacances là-bas aussi… Ici je sais pas si ils vont arrêter les chantiers urbains, les gens ont hâte que ce soit terminé. Les vacances c’est sortir de la routine des bouchons de circulation. Voilà je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère !!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

 Bonjour! Bonsoir! Je croyais pas qu’il était si tôt dans la nuit. C’est la nuit de dimanche à lundi. La France est en effervescence après sa victoire au mondial. Y’a quelques émeutiers qui ont profité des célébrations pour casser des vitrines. Je vais y aller avec mon senti souvent j’en dis plus comme ça. Je suis à un moment difficile je me demande si je devrais cesser parce que je suis incapable de me renouveler. Je pense toujours à un voyage en Asie au printemps prochain à moins qu’il y ait un autre colloque international où je pourrais aller parler de la place du patient partenaire au Québec. J’ai hâte de voir l’entrevue vidéo qu’on a tournée à la journée retour sur la pièce je veux de l’amour. Tu me parle pas, tu lis ce que j’écris et tu tourne ça au ridicule, c’est le risque que je prends quand j’écris ici… Tu dis c’est facile je pourrais faire pareil mais tu ne le fait pas. Tu vois c’est mon dilemme écrire quelque chose de nouveau… Le climatiseur s’est arrêté, je trouve pas les références aux statues de bronze sur le port de Trieste, tout ce que je trouve c’est que ça s’appelle Le Ragazze di Trieste et parfois ça réfère à une chanson, c’est une statue sur le quai du port. Je crois que c’est parce que c’est Italien, j’arrive pas à me faire mieux référer. Le climatiseur s’est arrêté. Je crois que le sculpteur c’est Le Sartine, des statues à Trieste, sculpture de bronze l’un des symboles de la ville représentant deux jeunes filles qui tricotent sur le front de mer. C’est très beau… Cette nuit je suis bien réveillé, le climatiseur a redémarré. J’ai lu que Trieste à un passé pas très glorieux, c’est la seule ville Italienne à avoir eu un camp de concentration nazi, on comprend un peu pourquoi après la guerre on n’a pas voulu d’autre lieu de renfermement surtout pour les malades mental c’est de la que pars le mouvement de désinstituniolisation en santé mentale, un affreux mot. Je reviens avec mon senti on est maintenant lundi, il devrais faire chaud aujourd’hui… Mais oui! Tout est une question de foi en ce que je fais, j’arrive plus à écrire de cette façon déjantée, brute, crû. C’est toujours un petit peu trop « raffiné » je me laisse pas aller. Mais vous, vous la lisez peut-être entre les lignes ma folie d’écriture.  J’aimerais bien recevoir mon recueil Spirou aujourd’hui tout à coup j’ai le sentiment du souvenir de ces vieux magazines reliés qui me faisaient tant plaisir. Voilà! J’approche de la fin pour cette nuit, je fais des bonjours à tous les amis c’est toujours difficile de terminer avec quelque chose qui a du « sens ». Mais non je suis pas Pierre Foglia, j’ai cessé de lire longtemps avant qu’il prenne sa retraite. Voilà je termine avec ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

dimanche 15 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Les français ont gagné le mondial. J’ai regardé le match à la télé… Pas grand-chose à dire, c’est l’été qui se poursuit, j’espère que demain il y aura quelque chose dans le courrier où qu’on va me téléphoner pour me dire que l’indemnisation est prête. Vous voyez je délire toujours la même chose. J’écris trop souvent c’est pas utile… Les piscines municipales sont surement bondées de monde.  Je vais probablement décaler mes écritures, j’aimerais bien être à Paris sur une terrasse à prendre un café et à regarder les gens vivres. Je crois qu’aujourd’hui ce serait pas la bonne journée, trop agitée. Y’a eu un moment où la chaleur me rendait psychotique, je téléphonais au neuf un un, ils envoyaient une ambulance et des policiers, j’allais attendre une consultation dans la chaleur torride de l’hôpital. Heureusement j’en ai finis de ça… Le propriétaire de la librairie le chercheur de trésors est décédé y’a un moment, il aura raté la légalisation du cannabis. Ça aussi le cannabis ça va faire une belle bande de psychotiques, une moto passe en trombe devant chez moi. Le climatiseur indique vingt degrés celcius y’a des journées comme ça où je m’entête à vous écrire même si j’ai rien à dire. Souvent on dit des choses que dans les éphémérides, la mort nous fait parler. Souvenir de la Puerta de Toledo une ancienne porte qui donnait accès à la ville de Madrid, un arc-de-triomphe en honneur de l’indépendance espagnole vis-à-vis de l’occupation française l’architecte en est Antonio Aguado sa construction s’est fait  entre dix-huit cent treize et dix-huit cent vingt-sept  elle est de style néo-classique sa structure est de granite et les éléments déco sont de calcaire, couronne de sculptures dessinées par José Ginès et réalisé par Ramon Barba et Valeria Salvaterri. J’étais là l’an passé à Madrid, une très belle ville, c’était très agréable de m’y promener… Je sais que notre lecteur historien de l’art aime bien ces détails mais il est tellement cultivé c’est souvent difficile de l’étonner. Et oui ça va bientôt faire un an que je suis allé en Espagne et aussi vingt-cinq ans sans drogue  et sans alcool, je me cherche une autre destination un endroit où les touristes sont bien accueillis. J’espère que je blesse personne avec mes « écritures » parfois je me laisse aller et je répète sans beaucoup d’originalité.  Je pense au très chaleureux et sympathique chauffeur de Madrid… Je crois que mon heureux couple de Deux-Montagnes s’en va bientôt dans le sud de l’Espagne on leurs souhaite un beau et bon voyage. C’est comme je vous dis je crois que je vais arrêter d’écrire pour un moment je me répète trop souvent. Voilà! Ça y est presque pour aujourd’hui y’a longtemps que je vous l’ai pas demandé mais soyez indulgent… Le temps passe si vite, pardonnez mon délire scripté. Quelques mots encore, je m’y suis pris tard pour écrire, je suis plus tout jeune. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le climatiseur arrête pas c’est surement très chaud dehors. Je suis encore tout endormis, la nuit passe et je suis pas au lit., c’est dimanche et j’en bave. Je me suis recouché et j’ai dormis il est presque cinq heure du matin je me prépare un café. L’eau bouille, mon café est prêt, hier j’ai rédigé le compte rendu de la dernière réunion de mon groupe d’entraide… Le matin comme ça pas tout à fait réveiller j’ai de la difficulté à y aller avec mon senti, lentement le jour se lève c’est toujours le week-end. J’ai une odeur de parfum. Je sais pas pourquoi je pense à Moïse le gourou fou… Une dérive du retour à la terre, hier j’ai regardé pour la deuxième fois une émission Des Racines et des Ailes sur la Provence c’est magnifique. Aujourd’hui c’est le match de finale de la coupe du monde j’espère que les français vont gagner, ce seras une journée très humide et très chaude. Hier je racontais comment j’étais quand je terminais mes soirées, j’arrivais à me « soigner » qu’en buvant encore plus d’alcool, y’a longtemps tout ça mais je le garde en mémoire. À onze heure à la télé y’a la coupe du monde je vais regarder. Lentement juillet passe les vacances approchent, y’en a qui vont retourner voir leurs famille en région… Je vous ai tout raconté de mes souvenirs d’enfance, de ma confirmation et des vacances… J’espère que le journaliste va me téléphoner et que ce seras positif… Souvent le week-end je tondais le gazon et je lavait la bagnole du patriarche, il me donnait de l’argent de poche… Souvenir qu’avec le beauf on avait installé des panneaux de préfinis dans le sous-sol des tuiles au plafond aussi. Un samedi soir le patriarche étais venu me reconduire en voiture à la brasserie et m’avait donné vingt dollars, une fortune à l’époque. Le patriarche il ouvrait des business, garage, Amway, magazin de meubles mais ça marchait jamais. J’ai pas plus de talent que lui pour ça. Souvenir encore de la frauduleuse et pyramidale Holliday Magic… Cette semaine j’ai découvert que moi qui disait pas vouloir faire comme le patriarche j’avais qu’un désir c’était de travailler dans un bureau comme lui, j’ai pas réussis. J’ai pas fait comme lui par défaut, je croyais toujours qu’on devinerais mes pensées et qu’elles allaient se réaliser, méchant malade! Le jour s’est levé, c’est nuageux, la rue est tranquille. Je vais arriver à terminer ça, une finale qui seras pas une apocalypse plus qu’une apothéose. La vérité c’est que j’ai pas finis je vais vous revenir avec un autre texte sur mon senti. J’ai découvert très tard que dans mon adolescence j’étais dépressif, j’ai donc jamais pu me raccrocher à l’école, ça a fait son chemin jusqu’à ma schizophrénie de jeune adulte et là tout s’est défait. Bon! Je termine là-dessus, je vous en ai assez écris, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard