mercredi 27 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je crois être trop ambitieux mais je vais quand même essayer de vous écrire quelque chose toujours à partir de mon senti. Je crois qu’il y en a quelques un que vous avez pas aimé mais c’était l’inspiration du moment. Les souvenirs de voyage disparaissent lentement, dans l’avion j’étais toujours assis côté allée. Je pense à mon ami menuisier ébéniste comment il aurait apprécié les meubles art nouveau catalan, ils sont magnifiques sablé et vernis avec une grande finesse. Tout en courbe voluptueuse… On appelle ça de l’art ici parfois les meubles sont industriel au mieux on peut dire que c’est de l’artisanat. Je crois que je vous ai déjà parlé de l’époque où le copain avait son atelier, on y travaillait le week-end mais parfois on avait de longues discussions en chauffant le poêle avec le propriétaire. On discutait politique si je me souviens bien… Plus tard je téléphonais parfois à l’ami qui faisait faire des bla bla bla à ses enfants plutôt que de me parler, à cette époque il aimais pas discuter. J’aurais aimé parler je me sentais tellement seul… C’étais y’a longtemps j’étais jeune et malade je consultais un psychiatre, la psychose et cette saloperie de schizophrénie. Quand aux femmes je m’amourachais de femmes aux femmes je sais pas pourquoi elles m’ont suivi longtemps dans ma vie, rien pour remonter ma virilité. Je suis dans le senti confidentiel cet après-midi… De toute façon les trois-quarts du temps j’étais saoul ça fait un vécu pesant… Je discutais chez un copain qui est devenu mon patron, je lui parlais des voyages que je voulais faire, là aussi j’y arrivais pas je consommais trop, je payais même pas le loyer. Je devenais là aussi psychotique, j’étais hospitalisé une où deux semaine c’était ça aussi y’a longtemps, je me rétablis lentement. Ce soir je mange du Irish Stew… Cet après-midi j’ai croisé une jeune fille on s’est regardé longtemps, je me souvenais pas d’elle j’ai pas été assez vite pour lui demander si on se connaissait… Dans ma vie y’a bien des gens qui sont disparus et c’est pour le mieux, je sais pas ce qu’ils font mais moi je le répète j’ai pris le chemin du rétablissement… Ai ouvert la boîte de conserve, fait chauffé le stew et tout à coup je suis triste… Je pense à cet autre ami malade, une vrai maladie que je vous nommerai pas mais c’est dégénératif, faut pas que je me plaigne si je me compare… Lentement le ciel se couvre, ils annoncent plus frais pour demain, des orages aussi… Je sais plus quoi vous raconter mon senti est vide, vers où dois-je aller? Je repartirais bien en voyage assez longtemps encore pour m’inspirer. Vous me lisez, vous me lisez je ne cesse de radoter. Voilà mes propos, je hurle à la lune désespéré. J’espère que vous m’avez lu et que ça vous a plu. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Je continue à écrire malgré tout, parfois je pleure à l’écoute d’une chanson, les mots sont un peu comme ma prison. Je sais ça tourne pas rond, pour une fois je voudrais en écrire un bon de ceux qui ne tourne pas rond. Non! Non! Non! Il seras long, j’essais de lui trouver un ton pour qu’a sa lecture vous faisiez un bond. J’aimerais me faire un nom me diriger avec mes ailerons, c’est pas fort j’écris au son c’est quand même lourd comme du plomb, voyons! Voyons! Voyons! Je suis sur les talons de l’étalon surréaliste de bon ton je cherche le fond vous demande la compréhension de mes araignées dans le plafond. J’ai pas d’ultimatum pas de vision, juste une leçon une pamoison pas de sinon, un texte comme la vermine dans le tronc au bas de l’arbre les étrons. Je suis prompt! Je suis prompt! Je suis prompt! Je traverserai pas le pont! Je rêve plus de voitures mais d’avions je sortirai pas de mes gonds c’est juste des maillons rien qui mène pas à la prison mais peut-être au salon. Je parle pas de vallée mais de vallon là où se cache le baron, cou donc! Cou donc! Cou donc! Je suis pas une exception, de ceux qui poussent le crayon, de la « poésie » de chauffeur de camion. Ce serait mieux écris par un cochon dans un atelier de sonorisation. Voilà c’est un citron où peut être du limon. J’essais de faire illusion où  hallucination, c’est un texte de con comme si je jouais au ballon, donnons! Donnons! Donnons! On embarque pour Pluton… Vous demandez le baillon, pour vous je dois me taire sinon… Je suis pas Platon,  j’ai pas d’électron, la tentation serait d’arrêter là avant la conclusion sans détermination. C’est un texte niais comme un melon, un potiron. Je vous dis valsons, valsons avant de faire le planton. Ça fait pas mal je vous demande pardon, je me colle à vous comme un chardon comme une épave… Dans la salade le lardon après on se lave au savon et tout à coup le mot fatal union qui mérite une réunion… Mais comment, comment survivras la passion? J’espère qu’elle éloigneras la malédiction, vous allez trouver que j’ai du front… Je pourrais vous défiler des noms de rue comme Masson et De Bullion mais non! J’exploite le filon, j’y vais avec passion, disparu les charrons, les chevaux, les quarterons… Les millions, les billions c’est pas pour moi, tout ça c’est une déclinaison digne des plus mauvais chaudrons, écrivaillons. J’y vais pour la finition, la terminaison quelques noms encore et la répétition… Je vais manger des bonbons sans nommer l’épicerie de la cave au plafond. Voilà ce seras ça j’ai plus de munition, j’aurai fait des sillons en essayant de devenir un parangon, tout est affaire de détermination, je suis ici un siphon pas un tromblons. J’espère que vous ne direz pas non à cette lecture y’a pas de sommation. Merci pour l’inclusion!!! Ciao!!!
Bernard

mardi 26 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi j’ai dormis, je pense toujours au dernier voyage que j’ai fait quoi que le voyage à Trieste étais très intéressant. Le psy italien qui me dis que je vais réussir à faire fermer les hôpitaux psychiatrique, Rotelli qu’il s’appelle… J’ai un collègue qui veux aller étudier en Europe pour devenir médecin, je crois que c’est impossible, ça coûte trop cher et il est trop vieux… Pour la psychiatrie je crois qu’il y a que le nom qui change d’hôpital ça deviens centre universitaire en santé mentale. Je suis fou j’écris toujours la même chose. Je pense au budget en santé mentale un budget initial pour le plan d’action en santé mentale de soixante-dix millions en avril deux milles dix-sept on annonce l’ajout de vingt-six point cinq millions pour des services de proximités. Les patients supplémentaires pour la province seront de cinq milles cinq cent soixante et pour Montréal de huit cent quatre-vingt-douze. J’ai envie de vous parler de pleine citoyenneté de comment c’est important d’être dédommagé pour nos activités… C’est là aussi toujours la même histoire, plutôt que d’emprunter de l’argent pour le transport la bouffe et le café, qu’on nous rémunère ça valide ce qu’on fait. Je pense pas vous avoir jamais parlé de ça. L’argent c’est pas très poétique mais c’est nécessaire au rétablissement. Je pense toujours à cette jeune mère de famille à qui on avait proposé de dessiner et qui disait « Je me suis présenté là pour avoir de l’argent pour le lait du bébé et on m’a proposé de dessiner des bonhommes, c’était pas ça, c’était donc pas ça! » Moi je me rétablis à travers mes implications dans différents comités mais les gestionnaires semblent de moins en moins intéressé à ce qu’on leurs fasse part de notre expérience, de notre savoir expérientiel. C’est un peu pour ça qu’au début je vous écrivais sur le budget santé mentale, le plan d’action… Je reviens sur la pleine citoyenneté, les droits qui sont importants oui mais à mon sens ne vont pas sans les devoirs, pas de grandes choses mais juste de payer les factures du quotidien, ce qui apparait parfois difficile avec un revenu de personne assisté de là l’importance du dédommagement. Je rajoute que je suis maintenant un sénior sans formation spéciale et que je remplie mes devoirs. Je veux plus fréquenter les banques alimentaires et les restaurants populaires voilà encore ce que me permet le dédommagement. Je vais vous dire la vérité le marché du travail régulier ne m’intéresse plus, j’en aurais pour quelques années tout au plus. Le plan d’action, les services de proximité c’est peut-être ça les soupes populaires, les banques alimentaires… Voilà cet après-midi vous allez surement dire que je délirais, mais ça aussi malgré tout ça fait partie de mon senti. Ça vaut ce que ça vaut mais je suis prêt à entendre une autre façon de penser. Je vous quitte là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Canicule! Ce sont des jours comme ceux-ci où on est heureux d’avoir un climatiseur. Je sais pas trop quoi vous écrire cette nuit. J’ose pas vous entretenir de culture je sais même pas comment mettre un couvert sur une table. J’aimerais quand même que ça dure cette température mais c’est rêver en couleur. Je pense que mon lecteur de la Rolls-Royce à jamais eu du temps aussi chaud pour son anniversaire. Quand je travaillais en usine je me sentais prisonnier… Je pense à l’ami à l’entretien ménager de l’institut qui m’a avoué avoir essayé d’autre jobs mais découvert que les salaires et les conditions de travail pour la même job ailleurs étaient sensiblement les mêmes. C’est pas mal ça quand t’a pas d’instruction ce qui est mon cas. Je sais pas pourquoi je pense au monde du travail? Toute ma vie j’ai changé de jobs, arrêté un laps de temps pour recommencer mais là ça fait plus de vingt ans que je suis arrêté et je pense encore à recommencer, je suis trop vieux… Je devrais accepter mon état de pensionné et rêvé a d’autre voyages. Je détestais me lever le matin pour me rendre au boulot, ma vie a changé quand j’ai pris mes responsabilités et mis mes priorités… Oui! Oui! Mes priorités c’est de pas consommer pour le reste on s’en sacre! J’étais partit pour me tuer et je trouvais qu’il était un peu tôt pour mourir. Dans mon rétablissement j’ai rencontré des gens généreux qui ont pas demandé à être payé de retour. Des professionnels aussi que j’ai jamais revu et que je remercie. Quelques un d’entre vous peuvent pensés que je fais carrière d’assisté social, mais non je suis impliqué dans des comités de gestions où j’essais de mettre en valeur mon savoir expérientiel, y’a toujours cette fameuse pleine citoyenneté, ce combat contre la stigmatisation à différentes échelles ça remplis mes journées. J’aime aussi vous écrire comme ça la nuit et vous faire part de mon senti du moment… Je suis pas un tough, je trouvais le marché du travail difficile avec toute la compétition qu’on y retrouve, le rendement qu’on doit donner qui est parfois inacceptable. Je sais y’en a qui se font un honneur d’être travailleur, c’est bien, travailleur oui mais pas au point d’empêcher les autres de vivre, de les envoyer se faire soigner pour maladie mentale. Je sais pas si on peut appeler ça des milieux de travail pathogène… Je pense à ça et j’ai mal, c’est difficile, j’entends les collègues de l’époque m’insulter me diminuer et à travers tout ça il aurait fallu que je traine une fierté à travailler, bein voèyons! Je veux pas être victime mais y’a des choses que je trouve inacceptable… Enfin, je vais pas me démolir, je vais juste essayer d’être bien, aider peut-être un peu et ce seras pour le mieux. Voilà pour maintenant, je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour vous dire à la prochaine J’espère!!!
Bernard

lundi 25 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ouf! Avec cette chaleur je suis battu, y’a un ouvrier qui m’a traité de Nelligan, c’est souvent tous ce que ces pauvres bougres connaissent à la poésie… Et oui je le répète je suis battu, je m’en kâlisse de Nelligan… Vous préférez certainement les crèmes puffs au kâlisse, les jurons… Je devrais pas écrire cet après-midi c’est trop difficile… Je vois l’ouvrier maçon qui s’en va à la taverne en siffler quelques une, il a pas grand-chose à dire c’est seulement lundi. Y’a rien qui presse je crèverai bien assez tôt… La chaleur m’abat, le climatiseur fait quand même la job. Ai mangé une pizza très piquante, ce matin j’ai eu une réunion les choses sont stagnantes… On voit souvent le poète comme un être délicat mais oui quand je n’écrirai plus je demanderai qu’on me garde à l’asile, l’écriture, la poésie c’est pour les adolescents en mal d’émotions. Je suis un vieux bonhommes avec sa poésie derrière lui. J’aurai pas écris de grandes choses y’a rien de rock’n’roll… Le maçon sait pas qu’en écoutant la radio il encourage beaucoup de poètes… Ça m’a fait du bien de manger, je sais pas pourquoi je pense à l’homme rapaillé du grand Gaston Miron le regretté. Je vois souvent cette écriture comme définitive, on peut plus rien écrire après. Les poètes ont souvent l’art du point final. Moi je laisse la porte ouverte tout le monde peut entrer dans mes mots mes phrases si banales soient elles, c’est cette banalité qui permet l’ouverture sur l’autre. Parfois je devrais écouter plus sérieusement, reconnaitre les accents des îles, de la Gaspésie, du Saguenay, du Lac-Saint-Jean… Et laissons faire Paris on est plus à l’époque de Louis quatorze. C’est bête ce que j’écris là quoi que? L’accent du sud de la France c’est bien aussi. Voilà où j’en suis, de pauvres réflexions sur ce qu’on dis pourquoi et comment… J’arrête ça là je veux pas faire de sémantique. Poète c’est bien mais ça met pas beaucoup de beurre sur la table… La bohème un temps ça peut-être inspirant mais crever de faim c’est pas invitant. Je pense au grand poète qui couchait sur la banquette dans le bar, il refusait de servir un café même si il était fauché. J’ai dus m’en aller, avec ma bedaine et mes mauvaises rimes… J’écris, j’écris, je l’ai assez dis, on me demandait si je faisais de la poésie j’ai répondu non j’en écris. Pourtant y’a rien qui évoque le grand large, la douleur et tous ces univers que je nomme toujours avec difficulté. J’ai pas la plume de VLB et j’ai pas son magnifique Abel. Je suis pas de leur race. Mon goulag ça peux ressembler au boubla, l’exotisme à Montréal-Mort toute mes excuses monsieur Beaulieu. Je pense au ghetto ville Saint-Michel, une belle école. La ville est toujours noire. J’en ai assez dis pour ce soir. J’essaye de terminer rapidement sans bon sens. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 24 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Bientôt lundi, mes post apparaissent plus sur mon fil d’actualités. C’est plate mais je sais que vous les recevez. J’arrive pas à dormir je suis tout courbaturé… J’ai pas beaucoup de lecteurs mais je sais que c’est les bons. J’écris comme un sauté y’a pas de continuité dans mes phrases on se demande d’où ça viens tout ça… Une histoire une belle histoire je suis incapable d’en écrire c’est probablement ce damné senti qui me paralyse. J’arrive péniblement à écrire mais je suis incapable d’inventer, mon écriture c’est la réalité et je tiens à ce que ça le reste… Mais jusqu’à quel point quand je dis que je suis vide c’est réel, comment exprimer autre chose que la « douleur » ce mal intérieur… C’est ce qui fait que j’écris. Je sais on aime pas beaucoup les grands angoissés, le cinéma et la télé en font souvent de grands meurtriers pourtant je suis très pacifique… Pour plusieurs je suis de ceux qui brisent les rêves pourtant je fais très attention justement à mon senti je veux pas déranger personne et juste faire ma vie… J’ai vu plus de monde se faire tuer avec un bâton de baseball qu’avec un clavier d’ordinateur. J’ai lu un texte cette semaine sur comment c’est « malsain » de ramener tout à l’humour au Québec si t’est pas drôle t’a pas voix au chapitre, tu vie et meurt par l’humour… Y’a aussi tous ces téléromans, je comprends qu’avec toute ces écoles et ces conservatoires de théâtre faut bien leurs donner du boulot à ces comédiens. Je vais me faire haïr mais c’est donner trop de portée à mon pauvre petit blog. Je sais je suis un rabat-joie… Moi à la télé je serais juste bon à scripté l’action d’une poignée de porte. Voilà ce que ça donne quand je fais mon comique des blagues plates, je dois rester collé à mon senti à cet aspect « original » de mon écriture. En attendant l’inspiration je suce des bonbons… J’ai trouvé la photo qui va illustrer ce texte, une murale dessinée sur des portes par un inconnu à Madrid… Pour revenir au téléroman je suis pas tellement amateur, je préfère la lecture. Je vais dire comme ce comédien, ça prend du temps écouter la télévision… La télévision! Ça aussi quand t’écoute pas les shows t’est un taré, dans mon milieu les gens sont pas téléphiles, ils croient que la télé leurs parle personnellement, Big Brother quoi! Tout ça j’appelle ça mon senti, j’écoute ce que ça dis comme toujours et j’arrive à ces quelques mots. Je me dénigrerai pas ça vaux ce que ça vaux. Je vous laisse juger… Ça me prendrais un bruiteur pour que vous entendiez mon angoisse. Je pense que cette nuit j’ai fait du bon boulot, je sais pour vous c’est pas travailler, pourtant… J’essaye de terminer avec quelque chose qui a du bon sens. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore une journée magnifique, le plus difficile c’est de se rendre au cœur du texte. Il est toujours question de mon senti de ses variations. J’écrirai pas sur mes sujets de prédilections, en tout cas je vais essayer juste pour avoir un peu de nouveau. Je pense souvent au grand journaliste et chroniqueur Pierre Foglia depuis qu’il est à la retraite on en entend plus parler. J’ai pas l’intention de faire comme lui j’ai pas son talent et je fais pas de vélo. Je sais pas si mon ami praticien ressource à la retraite à déjà pédaler avec lui. Ce sont deux personnes de la même génération soit dix ans plus vieux que moi. Foglia je l’ai beaucoup lu mais un jour j’ai décroché, y’a un nom dont je me souviens plus pour sa génération voilà je l’ai des babys boomers, j’en suis pas vraiment un. Je suis un raté romantique de cette époque, ils ont tous eu et moi j’ai pas réussis à me faire une vie. Pourtant c’était possible de réussir y’a des gens de mon âge qui l’on fait. Je commence juste à voyager, à me rendre à l’étranger, j’ai moins peur, suis moins magané. Les journaux, la littérature découvrait le monde pour nous, je pense à l’émission la course autour du monde où on a vu d’excellent reportage, j’étais déjà trop vieux pour participer. Aujourd’hui je vais vous illustrer ça avec un monument sur la Plaça de Catalunya. Je les appuis les Catalans, un peuple a le droit de faire son choix … Je savais pas que politiquement ça brassait tant que ça en Espagne, je connaissais leurs désirs d’indépendance sans savoir qu’il était maintenant encore aussi vivant. Hier à Montréal y’a eu une manifestation, les politiques ont montré leurs appuie à la Catalogne. Au début de ce texte je vous ai dit que j’écrirais sur mon senti, j’ai toujours le désir de partir d’aller voir d’autre monde avant qu’il soit trop tard… Je lis maintenant assidument les chroniques de voyages dans la version électronique du journal La Presse. Je vais continuer à chercher une destination pour plus tard, Moscou? Saint-Pétersbourg? Prague les pays de l’est semblent intéressant mais je sais pas si ça coûte cher. Je peux même pas me payer une chambre à l’hôtel des cœurs brisés. J’avance lentement dans cette rédaction, je me rappelle qu’à l’école j’aimais bien rédiger des textes, c’est un peu pour ça que parfois je trouve que c’est un exercice puéril. J’aimerais montrer un peu de maturité. Les gens sérieux s’occupent à autre chose, c’est des chirurgiens, des cardiologues, des avocats, toutes choses, professions, qui changent la vie d’un homme. J’ai les oreilles comme dans l’avion quand il atterrit une question de pression, je mange des bonbons et ça passe. Ici les départs pour l’Europe c’est la nuit, je verrai pour le prochain. C’était loin d’une espèce de senti mais y’en avait quand même. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard