vendredi 24 février 2017

Au présent

 Bonjour! Bonsoir! Il pleut, aujourd’hui je me suis reposé, suis allé au supermarché. J’ai quelques lecteurs fidèles et les autres je sais pas ce qu’ils deviennent. Ce matin j’ai discuté au téléphone avec mon lecteur de Mascouche, chauffeur d’autobus. Il est de retour il commençais à s’ennuyer voyager seul c’est pas évident. Je lui ai proposé pour son prochain voyage de partir avec lui. Je crois qu’on aurais du plaisir… Dehors c’est presque une température d’été. Lentement la neige fond mais demain ça devrais geler, quoi écrire? Pour le moment je m’en tape la jarnigoine. Vendredi, avez-vous déjà remarqué comment les belles personnes avaient de bons emplois. J’ai pelé des carottes et des pommes de terre, je fais vendredi maigre je mange du poisson. J’entends passés un avion dans le ciel, le plafond est surement bas… Les gens quand ils quittent le travail passent souvent dans le goulag occidental. Ils passent trop vite pour voir les bateaux le long du fleuve. Ai sortis le poisson du frigo c’est presque un fish&chips. Vendredi, j’essaye de voir où j’en suis dans ma routine, c’est pas mal le blog mon activités principales. L’écriture aussi, je suis toujours à l’affût de quelques choses de neuf. J’ai remarqué qu’il y en a plusieurs qui ne lisent que mon blog. Je vais essayer d’être à la hauteur mais boudez pas votre plaisir c’est toujours agréable d’avoir un livre dans les mains.  Ça sent bon le poisson à l’ail. J’ai souper mais j’avais pas faim, ai ouvert la télé… Je regarde l’écran d’ordi je vois des points jaunes. La pluie va faire fondre la neige mais ça seras pas beau quand ça va geler. Tout à coups j’ai en tête l’odeur d’œufs pourris de la taverne, une femme avait pas aimé que je lui tape une fesse, elle m’a fait un long discours ça fait plus de trente ans de ça… Je sais pas ce qu’elle fait notre belle jeunesse le vendredi soir, surtout à Montréal où les célibataires pullulent. C’est pas un très beau mot, je crois que beaucoup travaillent dans les hôpitaux et tous les établissements de santé. Une ville ça vibre au son de sa population… Vous devez surement vous demandez où je veux en venir? Je le sais pas c’est des réflexions que je vous garroche pour meubler le temps. N’empêche  Je pense toujours au voyage, j’aimerais bien aller en Chine le pays du cerf-volant du bout du monde. J’essaye de pas répéter, y’a cette amie qui est allée au Japon semble que c’est très beau… On essaye toujours de sortir de l’ordinaire en vieillissant. Tout à coup j’ai sommeil, aujourd’hui je suis pas dans la foule qui rentre à la maison. Seize heure trente il fait encore clair, à trop regarder l’horloge le temps, étrangement, passe vite. Cette semaine c’était relâche pour les enfants plusieurs se sont retrouvé au boulot de leurs parents. Je vous laisse, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Bye!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 23 février 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je crois qu’il fait encore doux cette nuit. Toute mes excuses à ma lectrice de Deux-Montagnes d’avoir douté. Cette nuit je travaille sur deux plans c’est pas simple mais c’est stimulant. J’ai le senti à plat, je pense aux amis. J’y vais advienne que pourras. Je me sent tout drôle, tout chose… J’ai appris hier que notre voyageur était revenue de Thaïlande, il a aimé ça mais voyager seul ça peut parfois être plate… Quand-même je prendrais bien l’avion je ne sais pour quel départ. J’ai la tête doublement vide, deux textes à la fois. Je prends mon temps, j’aimerais ça qu’on dise que je suis extraordinaire mais c’est juste de l’orgueil. Je pense à mon lecteur chauffeur d’autobus et à la chanson de Beau Dommage « Tous les palmiers, tous les cocotiers ». Je suis encore debout en pleine nuit, j’écris je crois que ça y est une forme de folie a pris le dessus. J’arrête pas d’écrire, ailleurs j’avais appelé ça là graphomanie. Je sais qu’il y a des écrivains qui sont rares qui n’en font pas une obsession ils prennent le temps de vivre… C’est plus fort que moi, la nuit je mens, je la vole au très regretté Alain Bashung https://www.youtube.com/watch?v=R76URfXE_ck  Je cherche quoi vous raconter comment j’aimerais retourner en France, en Bretagne où en Normandie et encore en Provence. Je me souviens d’un passage à Lille chef lieu du Hauts-de-France. J’y avais pris le métro la nuit pour me rendre dans une réunion autrement je suis pas sortis de l’hôtel. J’ai visité la clinique d’un grand psychiatre tenant la psychiatrie citoyenne. Je me souviens avoir été obligé de sortir parce que je comprenais rien et je pleurais. Pourquoi tant aimé la France quand on vie et habite en Amérique du nord. Je crois que c’est nos racines. Dehors j’entends une sirène je sais pas d’où ça vient et ça m’angoisse, non la sirène viens d’arrêter c’était celle du sous-sol. J’écoute ce que ça me dis qu’il y a une vie la nuit étrangement ça fait une couple de jours que je me sens en voyage, un senti, un sentiment d’être ailleurs et d’avoir un peu peur. Hier au téléphone avec la matriarche on parlait d’avion, je sais parfois c’est long mais j’aime ça… Je crois que notre chauffeur d’autobus à un peu peur en avion. Bon  deux fois le même mot, peur, comme paranoiaque… Je pense à un confrère de l’école secondaire qui avait essayé d’être dramaturge à la Saint-Jean-Baptiste j’ai vu ça une fois ma sœur y jouais, et j’en ai plus jamais entendu parler. Je vais rester honnête c’est comme ça que je vais être satisfait. Lentement ce post tire sur la fin. Je vais finir avant que les bars soient fermés peu importe j’y allais pas… Dehors c’est très calme, je suis très heureux que mon anxiété ais diminué. Voilà pour cette nuit. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Arrivederci!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens d’arriver de mon atelier d’exploration et d’écriture, c’est difficile, je croyais avoir perdu mon stylo, je l’ai retrouvé quant à la plume au sens figuré, je l’ai bel et bien perdus. J’essaye encore ce soir en sachant très bien que le blog c’est pas une belle pratique. Y’a déjà longtemps que j’ai « travaillé » en groupe ça me fait voir un peu le travail que les artistes professionnels mettent dans une production, ça me rappelle aussi y’a longtemps mes rencontres avec les étudiants de l’option théâtre à Sainte-Thérèse… On dirais que j’ai pas appris le monde artistique c’est pas pour moi, je sais pas pourquoi je répète ces expériences là. Malgré tout je suis rentré chez moi sans faire de détour, me suis préparé un café et à souper… Ce soir j’écris pour rien, c’était une journée douce de février, la semaine prochaine j’ai une réunion du groupe d’entraide et un conseil d’administration pour Antenne communication quand je suis fatigué j’ai un déjà vu. Je veux pas trop développer ici, la mémoire c’est la thématique du show. Quand je suis fatigué je veux démissionner  mais on a un break de trois semaines, j’ai le temps de voir venir. Je crois qu’encore ce soir je vais réussir à vous écrire. Je me demandais si le margarita de ma lectrice de Deux-Montagnes présentement en Floride est un drink alcoolisé? C’est pas grave ça me regarde pas… Y’en a surement de vous qui ont remarqué que la mise en page du blog précédent étais différente c’est parce-que je l’ai fait à partir de ma tablette électronique ça a bien fonctionné mais c’est très demandant d’écrire correctement sur une mini tablette électronique. Le souper est près, je vous écris en mangeant, c’est loin de mon senti encore ce soir. Je crois que j’arrive trop tôt aux ateliers, je sais pas pourquoi je suis toujours en avance à mes rendez-vous. Dans mon cas c’est premier arrivé premier partis. Je vous aurai écris tout ça et j’aurai rien dis Mais au moins je suis pas tombé dans mon thème de prédilection. J’essaye que ça sois pas trop long à lire, ce matin j’ai marché sur la Catherine y’a longtemps que j’ai fait ça. Dans la vitrine de la librairie y’avait plein de livres sur Saint-François-d-Assise et sur le Moyen âge c’était intéressant ça me donne l’envie d’y retourner. C’est lecture ça m’aiderais peut-être à situer Bernard de Claivaux dans le temps, François d’Assise c’est cent ans après, j’aimerais quand même que ces deux Saints m’aident dans ce que j’entreprends. Vous allez me trouver rigolo mais y’a des moments où il ne me reste que la prière et ça marche. Je sais je suis un pauvre fou qui n’a que la parade de lettré, l’apparence d’un homme de lettre mais pas d’étude et un peu d’érudition. C’est une drôle de finale ce soir, la fin d’un pauvre cave. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vais essayer de vous écrire un texte plus consistant. Je viens de passer près de la main. Il en reste plus rien côté ouest, y’a que l’enseigne du Cléopatre qui est encore là. L’histoire est finie pour ce coin de la vile. Là je suis vraiment assis au TNM près de la salle de répétition. Je suis anxieux, l’animatrice de l’atelier devrais lire un extrait de ce que j’ai écris. J’ai enlevé mes bottes, Ville-Marie est en construction. Je crois que je vous en ai assez écris pour aujourd’hui. Merci d’avoir lu!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris du A&W dans le quartier gay. Ce matin c’est doux.

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Suis dans la nuit, essaye d’écrire pour le cabaret poétique. Je pense au musée Courtauld à Londres, aux impressionnistes. J’avais l’habitude de dire j’ai l’impression, j’ai cessé, ce ne sont pas des impressions que j’ai mais bel et bien des hallucinations quoi que ça fait longtemps que j’en ai pas eu… Hier aux nouvelles télévisées ont montrais le quartier de la dope qui est pas très loin de chez moi, bon j’arrête là, on connait tous ces histoires sordides. Je pense au rétablissement, aux implications citoyennes, à ce que ça coûte versus une hospitalisation, aux supports de ses pairs. Le système veut absolument qu’on devienne rentable mais si par contre on coutais moins cher, faut pas oublier qu’il y a des jobs et des milieux pathogènes, c’est pas beau, c’est pas bon. Je pense aux détenus qu’on libère après une lourde  peine à toute cette réhabilitation qu’il a à faire… J’arrête ça là c’est un monde que je connais pas… Pas plus que le monde des étudiants en chimie en physique, les hommes entre autre qui vont devenir médecin et même psychiatre. J’aimerais bien connaitre leurs parcours. On sait que nos ministres et notre premier ministre sont des médecins, je crois qu’il y a des députés qui le sont aussi… Je sais pas trop ce que je veux vous dire avec ça. Je comprends que ça tourne autour des soignées, comment les femmes sont soignées, à les entendre, avec délicatesse et les homme d’une façon plus rustre comme si on avait pas le droit d’être malade. J’arrive jamais à écrire un texte cohérent, c’est toujours fantaisiste mais l’excuse c’est que ça tourne autour de mon sentis. J’ai pris une douche me suis parfumé, hier dans la journée j’ai beaucoup dormis cette nuit je suis bien réveillé… Je sais pas si c’est parce que je me rétablis mais y’a beaucoup plus de choses qui m’intéressent, mes journées et mon chez moi tournent plus autour de la pornographie. Je crois que ma dernière humeur culturelle est au mois de mars, j’aurais bien aimé continuer mais semble que les budgets le permettent pas. Voilà Johnny et son Hôtel des cœurs brisés, https://www.youtube.com/watch?v=S5dfBTj1RhU  version française mais pas piqué des vers de Heartbreak hôtel. Johnny il se démode pas on peut même dire qu’il a rattrapé la mode. J’aimerais beaucoup être capable d’écrire quelque chose de construit mais j’oublie souvent qu’il s’agit de mon sentis qui est souvent inégal, qui se promène à gauche à droite en haut en bas… Je sais vous allez me dire que je sais pas écrire mais je fais ce que je peux avec ce que j’ai. J’entends le voisin qui ronfle, y’en a qui dorment dur, moi je suis très réveillé même si c’est le milieu de la nuit. Je vais essayer de vous terminer ça en beauté, pensez que je me suis parfumé que l’odeur de cigarette ça n’existe plus. Je termine donc comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 22 février 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me revoici, je suis un peu plus dans mon horaire d’écriture habituelle… Semble qu’en Floride il pleuvait aujourd’hui, ici c’était doux… J’ai dormis un peu allongé sur le sofa, je veux pas écrire n’importe quoi surtout pas la chanson du regretté Roger Tabra. Aujourd’hui dans le courrier une lettre du propriétaire pour nous aviser de faire le ménage avant une inspection, ça m’énerve, chez moi y’a pas de vermine je pense que c’est O.K. Je vais essayer d’en faire un peu, c’est pas facile pour moi. Ai ouvert la porte, fait bouillir de l’eau pour me préparer un café, milieu de semaine comme je l’écris souvent quelques un reçoivent leurs paye aujourd’hui. Je crois que par ce doux temps quelques bars vont ouvrir la terrasse… Quelques tables des chaises et on va discuter devant une bière. Mars bientôt, je pense à quand je faisais la tournée du papier recyclable à travers Montréal, à l’époque c’était très artisanal on ramassait dans des sacs de jute, le papier informatique, à l’époque c’était de grosses rames attachées, à part de l’autre papier, on faisait le tour de la ville, de différents bureaux gouvernementaux. Semble qu’il y a une alerte à la qualité de l’air aujourd’hui on voie pas vraiment le nuage. Faut dire que dans le goulag occidental entre les rues Notre-Dame et Sainte-Catherine c’est souvent comme ça y’a tellement de circulation. C’est du smog qu’ils appellent ça je crois, ça va me faire de beau poumons heureusement que je ne fume plus. Le bonhomme regardait la circulation et demandait « qu’est-ce qu’ils font ces gens là? Ils travaillent pas? » Ce soir je mange des saucisses en croute, j’ai ouvert le four. J’ai un peu mal à la tête. Aujourd’hui j’ai pas parlé beaucoup, c’était silencieux, j’écoute plus de musique. Je sors plus beaucoup, fréquente plus les cafés, la dernière fois j’ai mangé un burger une frite et une rootbeer pour la suite j’ai oublié ce que je voulait vous écrire. Ai mis les saucisses au four… Le soleil perce un peu, faut pas partir en peur l’hiver est pas finis c’est qu’un redoux, je sais pas si les érables ont coulés. J’ai quand même hâte que ce soit vert, les snowbirds en Floride en profitent, je sais qu’aujourd’hui il pleuvait, je sais pas si ils sont sortis quand même. Moi je crois que je vais aller voir l’exposition Chagall au musée des Beaux-Arts de Montréal. Je songe à la Provence je crois que Chagall y a peint, je veux aller me gaver de couleurs. Demain j’ai une exploration et de l’écriture je vais chercher à m’inspirer. Ce soir j’y arrive dans les temps, j’ai un peu peur de me faire juger pour ce que j’ai écrit pour le cabaret poétique enfin advienne que pourras. C’est très différent de ce que vous lisez ici. Je pense aux accords du participe passé. À la difficulté. Je vous laisse donc en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard