lundi 7 novembre 2016

Au présent



Bonsoir! Bonjour! Les publicités de Noël ont débuté et moi j’ai commencé à brailler… Je vais comme toujours essayer de vous faire part de mon senti. Viens de finir la lecture d’une bande dessinée, ça m’a ramené des années en arrière à une époque où c’était encore vivable, où le plaisir étais pas coupable. J’aimerais bien que vous ayez une émotion pareille en me lisant c’est très agréable, la couleur, l’encre, la reliure, le papier c’est magnifique. On dis que ça va disparaitre, ce serait un crime se priver de cette douce émotion que donne la lecture… J’ai jamais eu de retour en arrière aussi agréable. J’aurai vécu toute ces années pour en arriver à ça une émotion enfantine, un souvenir de famille. Je suis désolé c’est vraiment de l’ordre du senti j’arrive pas à vous le décrire précisément, c’est comme du bonbon j’en veux encore. Remarquez, je me met les mains dans l’eau et le Lysol je crois pas que ça m’intoxique. Ce soir la nuit est arrivée très tôt. J’ai envie de vous parler des thermos semble que ça fait pas la job mais aujourd’hui y’a des fours à micro-ondes partout on à qu’a réchauffer. Je pense à l’obélisque de Paris et au monument à Washington toute une différence… Je suis probablement le Elvis Gratton du blog, « les amaricains ils l’ont l’affaire », on va voir ça demain… C’est silencieux, je m’entends respirer et taper sur le clavier. Je sais pas si j’avance dans les mots où les maux… Y’a pas de malaise ce soir mais demain si Trump est élu on sera pas loin de la fin du monde. En banlieue du goulag occidental on met les gens sous écoute téléphonique, on m’a déjà dit que c’est illégal au Canada même par la police, mais ils le font, va falloir surveiller nos conversations de paranoïaque dans une république de banane. Viens de manger un sac de chips, je sais c’est pas bon pour le cœur je pense à mon lecteur à l’emploi de Rolls-Royce. J’écoute rien me viens à l’esprit quand même je vous donnerais l’heure à quoi bon? Le patriarche est partis depuis un moment et je pense que dans le goulag occidental cinquante trois pour cent des gens sont célibataires, lentement on vois des BMW des Audi des Porsches stationné dans le quartier. Tiens un souvenir le boulanger, en fait il faisait pas le pain mais le livrais, qui passais à la maison. Le laitier aussi quoi qu’on buvait du lait en poudre. « Chez le dépanneur » Plume Latraverse https://www.youtube.com/watch?v=Nkl-tfiFWeE  Ça m’a rappelé ce magazine, Nous, je crois que le rédacteur en chef c’était René Homier Roy, je pense qu’il croyait qu’à six millions on faisait une grande famille. Le temps a passé en vieillissant il accélère. Je sais plus, je sais pas comment faire… Je me suis pris à y croire à cette écriture. J’arrête là en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 6 novembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis fatigué pourtant j’ai pas fait grand-chose. Je suis heureux qu’ils n’aient rien trouvé dans les courriels d’Hillary, deux jours encore et ont va savoir… Je sais pas si j’ai des lecteurs américains disons que je suis pas très très Trump. Je reviens sur mon senti, y’a de belles phrases à faire, des espoirs de mots poétiques invoqué comme une prière à ceux qui cherchent et qui vont trouver la grâce plurielle. Ça pas de sens ce que je viens d’écrire, la grâce est toujours sur tous les états donc plurielle. Je vais arrêter de faire mon smart. J’écoute ma voix intérieure, mon gut, ça dis vas y… Mais vers quoi, vers où? Je pense que j’ai un peu de sérénité c’est pourquoi j’ai l’âme en paix. Tout est tranquille je suis quand même étonné qu’on s’occupe des animaux pendant qu’on se tue en Irak et en Syrie je sais pas si ça va finir un jour ces tueries. Je pense que je verrai pas ça de mon vivant. Ma lectrice secrétaire à la retraite m’a indiqué qu’il y avait un vol Montréal-Bordeaux qui est plus prêt d’Angoulême mais y’a un transfert à Paris… Je vais voir. Je crois que c’est mieux que de prendre le train. Pépère voyage je sais pas si moi aussi j’aurai droit au titre de snowbird. Je vole comme un oiseau pour la neige c’est pas grave je veux pas aller dans les îles du sud comme tout le monde. Ce soir je suis lourd pourtant j’ai encore envie de partir. Y’a une amie qui est au Japon, je crois qu’elle fait un beau voyage. Ce qui est étonnant c’est de gober tout ce que diffuse la télé et n’avoir personne à qui en parler, je sais ce que ça fait j’ai longtemps été accroché, l’image… J’allais écrire que j’essaye de vous pondre mais je suis pas une poule. C’est la soirée de TLMP, on va voir nos vedettes qui vont brasser de la merde, c’est ça télé ça fait des espèces de monstres une fois par semaine, ils me bouleversent l’intérieur, vous allez me dire si ça te dérange tant que ça tu as qu’à la fermer la télé.  Je regarde, je regarde, je suis qu’un téléspectateur comme un autre mais parfois j’aimerais bien être de l’autre côté de la caméra, sur le plancher, sur la scène, parce que ça aussi c’est de la mise-en-scène. Je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes qui dis ne pas être impressionné par les gens qui passent à la télévision. Il a bien raison, c’est pas un show de tévé qui donne de l’autorité mais quand même j’aimerais bien essayer. Je sais je serais juste un autre freak du dimanche soir. De toute façon y’a tellement d’émissions c’est pas mes quelques grimaces qui feraient monter les côtes d’écoute. Des vieux fous on en a déjà vus. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci !!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je viens de réaliser qu’on passait à l’heure normale, j’ai donc reculé l’horloge d’une heure. Vous vous allez surement la dormir cette heure. Je suis pas certain que les bars vont rester ouvert plus longtemps, dans ma « carrière » de buveur me semble qu’il le faisait pas. J’étais souvent saoul mort on me laissait pas dormir appuyé sur le comptoir, j’avais tout bu plus d’argent pour le taxi. Je rentrais chez moi à pieds quelques kilomètres à marcher. Parfois il faisait tellement froid ça me fouettais j’étais plus éveillé. Je suis heureux d’être sortis de ce  « manège ». Ai regardé les hôtels à Angoulême, mon idée est faite j’attends les nouvelles de l’agent de voyage. J’aimerais avoir quelqu’un pour m’accompagner, ça semble impossible. Je pense à la gare, au train de Paris jusqu’à Angoulême. Me souviens de la gare de Milan c’était magnifique. Je m’égare, je m’égare, pense aux videurs dans une boîte de nuit, drôle de métier, la dernière fois que j’ai eu affaire on m’a cassé un bras. Dimanche! Une journée plate pour un alcoolique. Je me souviens y’a longtemps au bistro d’à côté y’avait un orchestre ringard… Dehors j’entends parler, j’ai souvenir de ce clavier qu’une copine avait acheté, le vendeur avait fait une démonstration magistrale, elle l’a acheté encore fallait-il savoir pianoté… Le patriarche aimait aussi s’amuser avec un clavier même si il lui manquait des doigts. Après la dégelé de vendredi, l’équipe de hockey a gagné son match de samedi. Je sèche comme le demi vieux que je suis devenue. Y’a longtemps que j’ai réalisé que l’alcool me faisait agir comme un idiot. Voilà! Encore mon thème de prédilection quoi que j’y suis entré dès le début. Y’avait cette idée de faire la file pour entrer dans cette boîte de nuit. Le gars qui nous l’avait vendue disait qu’elle était fréquentée par des étudiantes universitaires. J’en ai jamais vue une, peut-être quelques-unes mais elles étaient lesbiennes. Moi les femmes aux femmes ça toujours été mon lot je sais pas pourquoi je m’entends bien avec elles. Me souviens de ce bar rue Saint-Denis, les gouines nous laissait y prendre un verre, elles croyaient qu’on avait une réputation à défendre mais tant qu’il y avait de l’alcool ça nous laissait indifférent. Je sais pas pourquoi ça semblait impossible de boire toute la nuit au bar d’à  côté. Fallait toujours que j’aille voir ailleurs si j’y étais. Toujours dans le délire presque éthylique de quoi avoir un hang-over carabiné. C’était des nuits sans lune à hurler sa solitude douloureuse comme un appel à celle qui cherchaient de la chaleur humaine. J’étais seul je voulais de l’alcool et de la chair mais je trouvais pas. Je m’enfonçait toujours plus dans la nuit, je ne cherchais plus c’était que la dérive et le mal. Eux ça les laissait indifférent ils en avaient vue beaucoup mourir on laissait faire tant qu’il restait un dollar. J’arrête. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!! Ciao!!!

Bernard

samedi 5 novembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Pas de télé cet après-midi. Les arbres ont vraiment changé de couleur, l’équipe d’excavation de l’aqueduc Ville-Marie est dehors. Ils ont fermés un côté de la rue. Je crois qu’ils réparent une borne fontaine. Vous souvenez vous du jeu Milles Bornes c’était intéressant… Ai lu un peu de bande dessinée, ai eu une émotion du genre de ce que j’avais avant, du pur plaisir. Je sais qu’il y en a de vous qui comprendrez pas, c’est fort et agréable comme émotion un retour sur les beaux jours. Y’a même un jeune lecteur qui comme moi avait un recueil qui provenait des disciples d’Emmaüs. Mes premiers recueils venaient aussi de là, j’avais à peine neuf ans. Je vous en ai déjà parlé, c’était toujours une surprise quand mes parents revenaient avec un recueil de chez Emmaüs. Me souviens encore des heures de bonheur à la lecture. Je lis ça et je redeviens enfant. Je crois que je suis resté enfant même à soixante ans. Avant de trouver les recueils je me suis informé à la librairie et on m’a dit que ça existais plus, c’est faux on peut s’en procurer des tout neufs. Je sais que c’est une vieille façon de lire maintenant avec internet pourtant… Je vous ai un peu entretenu sur mon senti d’après-midi, je suis pas guéri mais je me rétablis vous savez. Je pense que l’écriture contribue à tout ça. Je la vole aux notables qui eux maintenant collectionnent les œuvres d’art contemporain, comme Donald W. Reynolds et la Modern Head de Roy Lichtenstein à son Center for American art and portraiture de Washington. Monsieur Reynolds était un philanthrope et homme d’affaire maintenant décédé.  Cette semaine j’ai pensé à la classe moyenne qui désirerait être de bons bourgeois… Moi je suis simplement un prolétaire, je suis le frappeur de relève dans l’univers du gagne petit, j’écris pendant que je suis sur le banc. Y’a aussi le mot intellectuel qu’on emploi d’une façon dénigrante, comme si c’était mal de se servir de son intellect, aussitôt que vous portez des lunettes c’est tout de suite à ça qu’on saute. J’écris parce que je veux pas tricoter… Deux voitures de police hurlantes passent à toute vitesse. J’essais de rester calme de pas donner prise à l’angoisse. Ce soir je mange du pâté à la viande que d’autre appellent de la tourtière mais ils viennent pas du Lac Saint-Jean. J’ai de la difficulté à écrire la conclusion de ce texte, souvent quand j’avais une voiture je partais vers le nord. Je pensais pas au sud et aux douanes, une voiture peux facilement se rendre au bout du chemin dans le nord mais dans le sud tu peux vraiment rouler longtemps. À l’époque les notables avaient un français châtié, moi dans ma pauvre éducation j’essais d’avoir un français clair. Je vous aime vous qui prenez le temps de lire, j’espère que mon écriture vous fait plaisir. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

vendredi 4 novembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je commence à être vide, suis revenu en autobus du métro Papineau. J’ai été obligé de crier après le chauffeur pour qu’il arrête et ouvre la porte arrière, monsieur était occupé à discuter avec sa collègue. Je cherche comment dire qu’il avait le rire trop facile c’est mauvais signe, ce type là est surement rempli de préjugé. Juste de l’entendre dire que des fous y’en a partout  ça montre quel genre de bonhomme c’est… J’en dis pas plus il est pas chez moi, c’est probablement quelqu’un qui souffre et qui le dis pas. C’est le goulag occidental, des chauffeurs d’autobus de la classe moyenne qui respectent pas le pauvre monde et quand ils lui parlent ont un ton très phony, pas capable d’être vrai. Ce soir c’est quiche aux asperges… Le soleil se couche, le ciel est toujours bleu, y’a un match ce soir. J’essaye comme toujours de vous décrire mon senti. Les joueurs de hockey font pas vraiment dans le sentiment moi c’est que ça que je sais faire parler de mes sentiments de ce que je ressent… Ai mangé ma quiche, j’écris en même temps que la télé diffuse. Je suis chez moi et j’écoute mon petit discours intérieur, j’ai un peu peur que les américains élisent Trump, un fou milliardaire… Je sais pas si c’est vrai qu’il est préoccupé par les mineurs de charbon. Je m’éloigne de mon senti je parlerai pas d’eux parce que ce eux c’est moi. Dehors y’a des mouettes, elles cherchent à se nourrir tout près des poubelles… Je pense aux gars qui sont dehors et qui cherchent de l’alcool où quelques stupéfiant pour pouvoir vivre dans la rue. Semble qu’après quelques mois la rue tue… La télé ça me calme, ça m’entre dans le corps qui deviens muet. C’est pas bon ce que je vous écris, je garde trop de choses pour moi parce que j’ai d’autres textes à écrire. Je veux pas tout donner c’est peut-être une erreur. Ils annoncent de la neige demain. Je regarde les gens vivre ils semblent heureux, le vendredi soir j’ai toujours en tête mon sujet de prédilection. Bientôt ce seras les partys de bureau, oublier pas de désigner un chauffeur. Je suis naïf de croire qu’écrire c’est suffisant pour devenir écrivain, au minimum ça prend de la reconnaissance de ses pairs. Je veux pas écrire de livre ça serait pas un best-sellers. Je pense aux éditions Hache http://editions-hache.com/  Je crois que cette « littérature » là à le droit d’exister. J’ai des idées fixes, c’est un peu la schizophrénie bien que j’aime pas prendre la maladie comme cause de ce que j’ai écris. Je compose avec cette voix qui parle toujours et comment dire que l’anxiété et la schizophrénie sont proche parent. Bon! Ce soir je vous étirerai pas ça à n’en plus finir. À la télé y’a cette publicité sur les troubles anxieux. J’arrête et je vous remercie d’avoir lu jusque-là! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 3 novembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je viens de me taper une soirée de télévision, Afrique Congo, Afrique Maroc et la Martinique, l’aéroport de Fort-de-France où je suis passé y’a quelques années, c’est de bons souvenirs. Le reportage étais sur le trafic de drogue quand je suis passé là pas une seconde j’ai pensé à ça. J’ai plutôt visité un centre de réhabilitation à Pointe-à-Pitre, je suis pas resté assez longtemps pour voir si ça marche semble que oui, c’était les journées de la santé mentale, j’ai même fait un petit discours dans la rue. Ce soir ça sent bon chez moi, j’aime ça. Il est vingt-deux heure quinze, le goulag occidental est tranquille, je pense partir quelques temps cet hiver. J’aimerais être accompagné mais je crois que comme toujours je vais être seul. Pas beaucoup parlé aujourd’hui que quelques phrases c’est la nuit, je crois qu’on reviens à l’heure normale dimanche… Parfois je pense à ces gens qui ont étudié en me demandant comment ils ont fait pour payer l’université et encore après c’est pas garantie que tu vas trouver un emploi décent. Je pense aux serveuses à la brasserie. Étrangement j’ai la chanson de la Compagnie Créole dans la tête https://www.youtube.com/watch?v=V60j37-8ZhY . Je m’ennuie un peu ce soir. Les publicités de Noël sont commencé comme d’habitude ça va être un crescendo jusqu’à l’apothéose à Noël.  Demain il va faire froid mais ce seras ensoleillé, je vais aller au cinéma. J’ai une carte cadeau je vais m’en servir, le film que je veux voir est à midi cinquante-cinq. Rien de trop profond dans mon senti, pense aux cousins à tous ces oncles décédés. J’essaye de travailler mon écriture, c’est pas sérieux je serai jamais un prix Goncourt, que cette année je n’achèterai pas. Le goulag occidental est très américain il produit pas beaucoup d’intellect. Je vois pas le temps passé, je vais crever et j’aurai rien écris de significatif. Vous qui me lisez comment voyez-vous ça ? Je crois qu’il pleut, les voitures passent pendant que je me trifouille l’âme pour vous parler de ma vie intérieure, j’y arrive pas. Ce soir je suis moins angoissé. Y’a pas de prix pour les blogs, c’est égal et varié… J’ai quand même le désir de partir en avion mais comme disait une fable de La Fontaine « Patience et longueur de temps font plus que force et rage ». J’ai la toune de Ferré C’est extra, dans la tête, https://www.youtube.com/watch?v=-GXKK6qGWgU  faut le dire il avait beaucoup de talent le monsieur mais il était pas très beau.  Lentement j’y arrive, j’ai une pensée pour le bôf le snowbird qui va partir pour la Floride encore cet hiver. Bon! On y va pour la finale sans trop pensé juste écrire rapidement ce qui me passe par la tête, c’est ma recette vous le savez. Je compte les mots comme si c’était payant, pourtant… J’y arrive à cette finale vous avez lu et je vous en remercie, jusque-là ça pas fait mal. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

 

 

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vous écris du milieu de la nuit, comme souvent. Pense à Angoulême, j’espère me rendre à son festival. J’y connais personne mais c’est pas grave, ça se passe en début d’année. Me suis fait un café, ai le souvenir d’avoir rêvé à une tranche de pain comme tous les rêves c’est étrange. « Le bon gars » https://www.youtube.com/watch?v=_RTHckra_Gc  Je me sent un peu comme le gars de la chanson comme si c’était pas correct de vivre sans alcool sans tabac peut-être que je comprends mal la chanson. Je suis bien content de m’être débarrasser de ces deux substances. C’est qu’une chanson j’irai pas scraper ma vie pour faire plaisir à Monsieur Desjardins. J’ai souvenir de la musique dans cet endroit impossible le Quai des Brumes, une grosse taverne où j’avais eu la chance de discuter avec le regretté poète Gilbert Langevin c’était sympathique. Plus tard j’ai aussi croisé cet autre regretté Roger Tabra , ce matin j’ai que des regrets n’empêche j’ai pas eu une longue discussion avec Roger il avait refusé de me servir un café. Je me souviens aussi qu’il m’avait vendu des santiag, des bottes de cow-boy hyper étroite, il disait que c’étais comme ça qu’elles étaient les plus confortables, il avait raison mais j’avais toutes les misères du monde à les mettre et à les enlever. Je vous ferai pas la liste de tous les poètes que j’ai rencontré c’est pas nécessaire. J’essaye d’en être un mais ça se dis pas, on est poète quand on est publié à l’Hexagone autrement que ça tu n’existe pas, tu ne t’excite pas. Voilà la page du festival d’Angoulême http://www.bdangouleme.com/  quand je pars sur une sheare comme ça je suis accroché, je vais y penser tant que j’y serai pas. À un moment aussi j’ai bien aimé la revue Métal Hurlant, je sais pas si c’est parce que j’ai pas suivi mais cette revue est disparue, y’a Heavy Metal en anglais qui publie ce qu’ils appellent du fantasy http://www.heavymetal.com/  Je suis loin de mon senti, je sais pas qui a gagné les séries mondiales de baseball. Le patriarche aimait bien ce sport, je me rappelle mon enfance dans les petites ligues je jouais très mal. Parfois je me lançais la balle avec mon père, malheureusement il lui manquait des doigts c’était laborieux. Là aussi j’avais fait une crise il m’avait acheté un gant de plastique, les gars de l’équipe avaient tous un gant de cuir. J’ai piqué ma crise et j’ai eu mon gant pour après me rendre compte que j’aimais pas ce sport là, je jouais sur le banc. Je cherche comme souvent comment terminer, je suis toujours dans le goulag occidental, la photo de cet édition c’est une exposition Gotlib au musée de l’histoire juive à Paris. Si vous regardez à droite dans la photo vous allez apercevoir l’affiche, n’hésitez pas a agrandir la photo. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard