samedi 6 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Le soleil se couche lentement, ai mangé une énorme pizza, j’ai plus faim… N’ai plus de souvenirs une vie c’est court, je pourrais vous parler de mes soirées autour de la table de pool à la Brasserie Cervoise, plus tard c’était au bar latino La Playa, deux endroits qui n’existent plus. J’ai appris qu’on avait repris le bistro les Bobards ça devrais démarrer cet hiver… Ce soir je veux être poétique j’y arrive pas, souvent les mots sont rares. J’ai dans la bouche un goût de sel. J’ai un ami qui me surnomme Salieri c’est bien pour Saulnier… Y’avait aussi ces soirées passées aux vingt-quatre vingt à écouter du jazz, parfois je crois qu’on veut me tuer pour avoir laissé mon portefeuille dans un bar du vieux Montréal et être partis sans payer. J’étais tellement idiot et j’avais tellement soif d’alcool. Voilà Johnny https://www.youtube.com/watch?v=S5dfBTj1RhU l’hôtel des cœurs brisés à son âge faut le faire… Je cherche encore, je crois que l’amie danseuse a lu mes textes précédents et que ça ne lui a pas plu, elle répond pas au téléphone. J’ai une mélodie dans la tête je crois que c’est une chanson de Stephen Faulkner je retrouve pas les paroles. Je l’aurai fait j’aurai écris, bientôt le voyage à Washington… Je pense aux hôtels de passe cheap où on ne reste qu’un moment. Mon hôtel de Washington c’est un trois étoiles c’est pas mal. Je sais pas vraiment quoi vous écrire ce soir dans le goulag occidental ce sont les feux d’artifices, j’écris ça je suis pas certain y’a pas de circulation ni de passants et les autobus semblent pas être détournée. J’écris encore le nom de mon hôtel pour m’en souvenir, Comfort Inn Pentagon, voilà! J’ai pas envie de commencer à niaiser avec des appels téléphoniques à l’amie danseuse, c’est l’été. J’aimerais écrire et me laisser aller pourtant je ne sais pourquoi j’ai une tension… Les vacances de la construction c’est bien les deux dernières de juillet? Ça se termine donc dimanche, on est déjà dans la première semaine d’août, en fait je crois que c’est terminé depuis une semaine. Vous voyez ce soir je suis perdu, demain je deviens sexagénaire. La rentrée scolaire pour les jeunes c’est le vingt-neuf août, il leurs reste donc vingt-deux jours de congé… J’essais encore de rejoindre l’amie danseuse, je voulais pas recommencer cette manière de faire, c’est pas une façon de vivre, ça me fait mal… Qu’en diras tu? Je m’étais dit ne plus recommencer ça, je crois que je vous l’ai écrit précédemment mais je l’écris encore pour que ça m’entre bien dans la tête. Je sais j’ai pas la fine plume des grands écrivains, le français c’est difficile en Amérique du nord quoi que ça s’apprend en lisant les grands auteurs, je pense à Paul Valéry que j’ai vaguement lu… Je devrai le lire plus sérieusement pour en parler. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 5 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! On a battu un record, il fait très chaud. Cet après-midi je suis allé à l’hôpital pour des relevés sanguins. J’ai pas attendus longtemps et c’était climatisé. J’écoute ce que dis mon âme. « Elle chante au milieu des bois la source et je me demande s’il faut croire en cette légende d’une fille qu’on y trouva »- Henri Dijan https://www.youtube.com/watch?v=QveiL3wdLHQ  Une chanson grave… J’attends le téléphone de l’amie, chez moi c’est frais. J’écoute ai j’ai pas encore trouvé le mot… Je crois pas en avoir besoin si je le trouve pas. Me souviens d’un studio sur Basile-Patenaude dans Rosemont, c’était invivable chaud et humide et on me reprochait de pas rester chez moi, je crevais… Je recommence a chercher le mot, faut pas, c’est pas utile… Je pense au polonais qui avant d’être malade avait des armes à feu , c’est juste pour écrire que parfois n’importe qui est armé… Je suis épuisé, assis devant l’écran je cherche toujours, c’est de la folie. Ce soir ça me dis de continuer, d’écrire même si ça semble niais… Je m’égare entre la plage, la forêt et ces mots pour dire je ne sais quoi… Pour l’instant tout va bien c’est le début de soirée, la gérante de l’édifice a trouvé un chien, un petit terrier abandonné je crois qu’elle a appelé la SPCA pour qu’on s’en occupe. En fait c’est pas la gérante, c’est l’intervenante qui nous aide au quotidien. J’arrive pas à laisser le mot de côté je crois que c’est vernaculaire mais j’en suis pas certain… Je cherche un qualificatif pour la langue que tout le monde parle. C’est fatigant de chercher et de pas trouver… Je laisse ça là c’est pas important. C’est bien vernaculaire un mot à chasser les poux, que j’utilise jamais sinon pour faire mon smatte. Bon je décolle je me censure pas j’essais de faire comme mes maitres les grands poètes décédés, je pense à plusieurs et ceux qui restent je ne les lis pas, la poésie parfois est dans le silence et moi je suis bavard, je me présente comme Bernard grande gueule… Voilà, je les comptes mes mots pourtant ils sont pas rare j’en suis le plénipotentière mais je sais pas ce que ça veux dire je crois que c’est plein pouvoir. Je sais pas ce que je dis c’est pas grave mais faite pas ce que je fait c’est ennuyeux. J’ai pas de rythme. Je veux pas bâcler ce texte, parfois ça ressemble à ça mais j’y pense un bon moment avant d’écrire mes niaiseries. Je ne dis pas je l’écris, pense encore au Balcon Vert à ce copain avec qui j’étais la dernière fois que j’y suis passé, j’y avais écrit un poème dans leur cahier et le copain l’avait illustré. Ce soir c’est pas fameux ce que je vous écris. Il est temps que je termine. Je vous laisse juge de tout ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

jeudi 4 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! L’amie viens de partir, j’arrête pas de faire des gaffes, aussi bien dans ce blog que quand je lui parle. Moi la danse je connais pas ça, encore moins quand c’est pour saisir une démarche de création… Me suis ouvert un Gatorade… Je crois que j’ai marché sur des œufs en posant des questions à l’amie danseuse. Quand on a affaire à des créatrices faut faire attention. Aujourd’hui j’ai fait installer un nouveau modem et un nouveau service de câble télé. J’ai deux guides sur Washington je les regarde un peu… Ai fait un hug à l’amie quand elle est partie. Je sais pas où j’en suis dans mes sentiments pour elle, ont va laisser ça comme ça… Ai regardé une émission sur l’Alsace et la Lorraine quel beaux pays. Ce soir je sais pas pourquoi je trouve que ça pue, la chaleur? Je pense aux formalistes, je sais pas trop ce que c’est, tout est dans la forme? Pas le fond? Moi ma forme elle est toute simple un peu plus près de l’expressionisme, je m’exprime et je suis déjà dépassé par toutes ces belles idées. Je suis pas un peintre j’écris, on m’auras laissé là dans l’écriture de ce qui ne va pas, l’amie s’estime beaucoup c’est bien. Moi, l’estime de moi apparait et disparait comme un petit oiseau effrayé par un chat. Quelle image! C’est pas fort quelques mots et je reviens aux serins, la nuit est déjà bien avancé, ce soir à la télé j’ai vu les Beatles en concert sur le toit de leurs studio, je crois que c’était pour l’album Let It Be ça a fait les beaux jours, si il y en eut, de mon adolescence. Je me sent peiné tout à coup, je sais pas comment vous l’écrire ma passion, les mots que je ne sais pas me mettre en bouche mais que j’essais d’écrire sans être foudroyé d’innocence. Et ça reviens l’autodénigrement, le pauvre cave que je suis. Je sais j’ai pas besoin de l’écrire d’autre le feront pour moi. Voilà tout à coup y’a une odeur de parfum c’est bien… Je pense aux vegan sur la route à Saint-Esprit ça feras pas de bons clients pour les poulets d’Angèle. Je cherche un mot, c’est pas vernaculaire, j’arrive pas à le trouver, ce soir je donne ma langue au chat je cherche trop je trouverai pas. Voilà! Je saute au Pentagone que j’espère voir bientôt, le mot me trotte dans la tête j’en deviens fou… Je trouve ça grave de pas être capable de trouver un mot, je pense que je commence a avoir cette maladie de la mémoire, L’Alzheimer, le meilleur moyen de trouver c’est d’arrêté de chercher, c’est bizarre je me souviens juste de la personne et avec qui j’étais la dernière fois que j’ai utilisé ce mot et c’est pas un bon souvenir… J’arrête ça là je le rattraperai ce mot. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Hier je suis allé chez le médecin. J’ai rien de grave une visite de routine… Aujourd’hui j’attends le technicien de Bell. J’ai envie ce matin de vous composer quelque chose de très beau mais suffit pas d’avoir le désir encore faut-il avoir le talent. J’aimerais vous transporter dans les rues torrides du goulag occidental, sur l’asphalte et le ciment qui suintent la chaleur. Souvent quand on veut faire beau on y arrive pas c’est plus splash thrash cette semaine dans Hochelaga les gens étaient tous sur leurs balcons pour se rafraichir de la chaleur de l’appartement. C’est le quatre aôut et déjà le chèque est dépensé, souvenir de madame Harel qui dis que Hochelaga à été plus propre que ça, à l’époque c’était un quartier ouvrier avec quatre où cinq usines qui faisaient vivre les familles. Maintenant c’est la pauvreté qui loge pas loin du stade… On fait carrière, on en est à la troisième génération, de l’assistance sociale sinon c’est une autre carrière de malade mental… Dans les années cinquante on était encore fier, fier de travailler et de gagner son pain, les enfants jouaient dans la ruelle, ce qu’on disait moins c’était les parents internés à l’université de l’est c’est comme ça que les plus cyniques appelaient Saint-Jean-de-Dieu. J’aurai vu les murs de l’institut, je suis passé dans les locaux vides de l’ancienne direction. C’est triste y’a plus de vie dans ces bureaux, après avoir vidé les corridors des patients ont vide maintenant les bureaux. Ce qui restait de vie c’était là, ça grouillait maintenant quand on y passe tout est mort… Je sais pas trop quoi pensé les malades ont veux pas les voir à l’institut et pas plus dans Hochelaga-Maisonneuve quand on parle c’est à la deuxième personne du pluriel, vous autres les b.s. qui avez tout gratis!!! C’est ce que les gens croient qu’on paye rien, c’est un peu vrai on a pas les moyens… J’aurai vécu cette époque trouble sans être capable de garder un emploi. Je suis brûlé. Dans ma famille lointaine y’en a qui trouvent étrange que je travaille pas puisque je vie à Montréal et qu’on a qu’à se baisser pour ramasser l’or… Cette nuit la rue va grouiller de monde c’est bientôt l’heure du last-call, les vrais vont sortir avec une bouteille qu’ils vont boire dans le parc même si c’est interdit, l’alcool est interdit et le parc est fermé depuis minuit. Tout à coup je pense à la stigmatisation, j’aime bien dire que c’est pas écris dans mon front la schizophrénie mais je me traine quand même les pieds… « phénoménale Philomène »-Richard Desjardins. Là tout à coup je pense à la musique country et western du prolétaire, c’est surtout à Saint-Tite que les Cow-boys vont cuver leurs bières, let’s go pour une danse en ligne, là je vous mentionne quelque chose de vraiment intime mon amour de la musique country. Je termine donc en fredonnant ce remerciement d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 3 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis pas capable de rester deux minutes tranquilles, Bell a réussis à me vendre son service de télévision. J’espère que j’aurai pas de troubles, je prie le Bon Dieu que tout fonctionne. On me demande deux barres de tension j’en ai trois j’espère que c’est suffisant. Bon! Je vous écris pas à propos de mes problèmes technique. Je compte sur le technicien. Aujourd’hui j’ai pensé à l’amie danseuse aphasique, je crois que je vais mettre fin à notre relation. Je peux pas l’aider, c’est une belle femme mais j’ai toute les misères du monde à la comprendre… En ce moment je compte le nombre de prises que j’utilise… Ça me fait mal changer de service, je suis certain que les choses iront pas bien! Je vais essayer de me diriger vers mon senti, je vais demander à ma puissance supérieure que tout aille bien. Aujourd’hui je suis heureux d’avoir un climatiseur, je laisse ça là un moment… J’ai un ami qui a le service que j’ai commandé et tout va bien, ça me rassure. Moi je suis du genre à déranger toute la terre pour des problèmes de la sorte… J’écoute le brouhaha dans ma tête… Faut que je me prépare pour mon voyage à Washington. Je vais être au Comfort Inn Pentagon city, en cas d’urgence, ça me fait peur de vous écrire ça, je veux pas donner de mauvaises idées à personne… Hier des gens avec un accent ont téléphoné pour avoir mon adresse ça aussi je confie ça à Dieu.  Parfois j’ai des phrases passe partout, des paroles de chansons, je crois qu’on parle de vers d’oreille. Je me sent comme une grosse vache dans le champ, une grosse vache qui meugle en regardant passé le train… Voilà j’ai toujours cette difficulté à écrire sans me dénigrer au moins une fois par blog. Je sais pas pourquoi je fais ça c’est pas utile, je me remonte pas. Je pense au magnifique jardin japonais du jardin Botanique, je crois que c’est une chose que je devrais faire plus souvent aller m’asseoir là et méditer quoi que le zen japonais c’est pas facile. « Respire par le nez! Respire par le nez! » que je me dis, ça me ralentis j’y vois pas plus clair mais c’est moins grave. Tout à coup je suis comme vide, j’ai de la peine pour l’amie mes relations avec les femmes sont toujours difficile. Je sais vous, vous écririez pas ça dans votre blog… Celui là commence dans les avatars techniques pour presque se terminer dans les émotions sentimentales. Je suis pas un karaté kid, le sport où l’art martial devrais faire partie des jeux olympiques de deux mille vingt… Je connais beaucoup de gars qui sont passé par les dojos de Montréal, y’avait de grand maître. De grand san, en français on dirais monsieur. Je pense que je suis dus pour un revisionnement du film Karaté Kid. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

 

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’essaie de changer mon horaire de rédaction. Hier j’étais à une fête chez l’amie, ai un peu discuter poésie et littérature c’était intéressant. Je racontais que le blog ça pouvait apparaitre kitch à certains, mais pourquoi pas? Ce matin j’ai rendez-vous chez le médecin et demain je change de compagnie de câble télévisé. J’espère que ça va bien aller. J’essais de me « pluger » sur mon intérieur. Je me sens bien, me suis couché tôt j’ai dormis c’est encore la nuit. J’ai plus grand-chose à écrire voyez-vous, la palette de mes émotions semble à sec, c’est comme de l’acrylique ça coute cher. Si je compare je crois que maintenant je suis à l’aquarelle c’est plus difficile et plus délicat, le designer retraité de l’Outaouais pourrais m’en parler, faut laisser sécher le papier…  Hier j’étais heureux d’assister à une fête chez l’amie, je suis pas resté longtemps mais c’était très festif. Je pense à cet été où on avait loué une maison, y’en a une qui croyais qu’on voulait acheter on avait visité son chalet à L’Annonciation à cette époque j’avais une vieille voiture, une Honda toute percée, toute rouillé mais je réussissait à  sortir de la ville avec… C’était l’été de la crise du golf d’Oka avec les amérindiens, un été chaud… J’ai de la difficulté à vous écrire là-dessus, ça me fait mal dans l’âme, je pense à cet autochtone surnommé « Lasagne » je sais pas ce qu’il deviens, ça fait longtemps. Je suis loin de mon sentis avec ça… C’est étrange les souvenirs plus récents sont flous, hier je racontais comment la poésie c’est difficile, j’ai pas la prétention que ça prend, le sérieux aussi… Je trouve que ça passe vite j’essais de retenir le temps c’est impossible. Hier chez l’amie on a bien mangé, elle a fait une soupe indienne, le repas étais végétarien c’était bien ça faisait changement de mes sandwichs au jambon… Je suis triste ce matin je crois que ça marcheras pas avec l’amie. J’écoute ce qui se passe dans mon senti, je suis angoissé, on croit parfois faire de la bonne poésie avec l’angoisse c’est faux, j’écris pour essayer de passés au travers, de devenir plus serein. Je pense à ce nom de « serin » qu’on donne aux compagnons homosexuel c’est très dénigrant. C’est toujours étonnant comment les gens nomment les choses d’une façon dévalorisante… Bon! Retour chez moi j’attends un chèque de l’université pour une participation à un groupe de discussion… Avec l’amie je crois que je suis encore dans les amours impossibles, je peux pas nommer ça autrement. Hier à la fête les gens avaient tous un handicap physique, ils ne se plaignaient pas, moi et ma pauvre maladie mentale je faisait pic pic… « Un souvenir heureux »- Danièle Thompson auteur Vladimir Cosma compositeur interprète Diane Dufresne https://www.youtube.com/watch?v=Ei6SKEJz8bw J’aime bien cette chanson elle me touche c’est de la nostalgie. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

 

lundi 1 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Avant de vous écrire je regardais cette vidéo de Eddy Van Halen que vous trouverez sur https://www.facebook.com/feelmetalentertainmet/?fref=nf  et je me suis dit si lui fait de magnifiques solos de guitare c’est qu’il a travaillé seul longtemps. À part mon insomnie c’est une des raisons pourquoi vous me lisez encore ce soir. J’en ai passé des heures avec une guitare mais j’ai pas avancé voilà pourquoi je préfère l’écriture, je crois que je chemine plus comme ça… Je remercie mon lecteur ancien concierge à la retraite qui vie maintenant à Repentigny pour son commentaire. Tiens cette nuit je baille… Je reviens avec mon senti, je vois une porte qui s’ouvre dans l’écran j’hésite à y entrer. J’ai peur de ce qu’il y a l’autre bord, je vous écris et en même temps je cherche la photo qui vas accompagner ce texte, vous allez voir une œuvre d’art un poing pris en photo lors d’un voyage à Trieste en Italie. Je crois que l’expo était temporaire, le poing me rappelle les Blacks Panthers qui avaient levé le leurs aux Olympiques de Mexico en mille neuf cent soixante huit https://imageetinformation.wordpress.com/2014/09/11/49/  j’étais encore un enfant mais je me souviens de ça, j’ai toujours cru que leurs cause était juste mais la parole d’un enfant ça vaut pas grand-chose. Souvenir aussi que j’étalais la grosse Presse sur la table, je commençais souvent  par la fin les bandes dessinées y étaient, ensuite c’était les sports où on pouvais commencer à lire Pierre Foglia l’un amenant à l’autre je me retrouvais dans les pages d’actualités… Je reviens à mon senti, j’ai une mélodie dans la tête mais j’arrive pas à savoir c’est quoi et de qui… Écrire sur les Blacks Panthers, qui n’existent plus d’ailleurs c’est un peu courir après le trouble. Je suis trop vieux pour la révolution et le grand soir c’est pas maintenant. Je sais pas si vous avez déjà écouté l’Internationale https://www.youtube.com/watch?v=kEZhCB8KdWw  c’est un peu heavy à écouter le matin, ce qui est fascinant et affolant en écoutant ça c’est de voir comment ça demande une façon de penser uniforme celles des ouvriers et des paysans. Je me souviens avoir travaillé dans différents ateliers et comment les collègues s’en foutait de ça ce qui les intéressais c’est les danseuses nues les jours de paye. Je voulais placer une vidéo de danseuses nues mais tout le monde sait de quoi elles ont l’air. Faudrait pas qu’il y ait une révolution culturelle on m’enverrais rapidement travailler aux champs cueillir ces mêmes fraises, bleuets et pommes dont je vous parlais l’autre fois tout ça pour une bouchée de pain… Faut comprendre ce qu’est un vaux-rien… Laissons Mao dans sa mausolée, je sais pas si j’ai de vieux révolutionnaires dans mes lecteurs ce qui me viens à l’idée c’est que la révolution ça se fait avec du cash et aussi que le changement se fait au niveau individuel, si je réussis à changer j’aurai gagné un combat. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard