samedi 14 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Quoi écrire pendant ce triste lendemain de carnage. Y'a quelques années je suis allé à Paris que j'ai trouvé magnifique, le terrorisme ça respecte rien tout le monde le sait, pas même la vie. Je suis triste pour les gens qui sont décédés, les blessés et leurs familles, triste pour La France mais les Français sont fort ne serait-ce que quand ils entonnent La Marseillaise à la sortie du stade, je les admire. Le monde est blessé, le monde est touché et faut pas se leurrer ça peut être nous. C'est pas un conflit de civilisation, y'a rien de civilisé là ce sont des barbares qui ne laissent pas vivre même les leurs. Je répète encore je suis triste parce que je sais que ça ne s'arrêteras pas là, c'est la guerre et moi de guerre j'en veux pas pourtant il faut faire quelques choses, je ne sais quoi. Je laisse ça à nos dirigeants J'ai fermé la radio, la télé et j'ai lu les journeaux. C'est un samedi noir, comment faire pour qu'ils reviennent à la raison, ne laissent pas la haine anéantir leurs semblables. Hé oui! Encore une fois je suis triste, pense à Ferré l'anarchiste qui de l'endroit ou il est va accueuillir ses compatriotes en disant le prix de la liberté. Je veux pas blesser personne quand j'écris ça mais je sais qu'un jour on seras libre même dans mon goulag occidental de pacotille. Mais oui la liberté a un prix eux ils en veulent pas, préfèrent la terreur et les lois rétrogrades de L'Islam, la charia. Je sais les tirs et les bombes cette fois étaient loin de chez moi, mais je me sent pas à l'abri, l'occident est attaqué, les médias me font peur. J'essais d'imaginer les têtes dirigeantes terroristes comment ils se sentent après ces exactions cruelles. Je pense à la chanson "Quand les hommes vivront d'amour"- de Raymond Lévesque, il a écris beaucoup mieux que moi l'espoir qu'un jour... J'ai cinquante neuf ans y'a pas eu un moment dans ma vie ou la paix a règnée, y'avait toujours un conflit dans un endroit du globe. On vie tout ça, laisse ça derrière pour reprendre le quotidien sans regarder par dessus notre épaule, le terroriste il est en avant en arrière, il arrive armé sans se cacher, il va tuer. Ce seras peut être moi la prochaine victime, j'espère ne pas mourrir pour rien si ça arrive, mort oui, pour la liberté, l'égalité, la fraternité.J'ai jamais été fort sur l'armée et sur la police mais j'en profite ici pour les remercier de nous protéger. C'est chargé aujourd'hui, j'ai de la peine. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 13 novembre 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après midi c'est gris dans le goulag occidental ça des airs de Milan ou de Londres l'automne.Je raconte toujours la même chose je rêve...La vie continue, je suis vieux.C'est le week-end qui arrive. J'ai de la difficulté a placer l'accent sur le u. J'ouvre la télé on a droit à des points de presse du maire Coderre pour cette chose que je ne sais plus nommer, le dévidement? En fait c'est le déversement. Vous allez vous dire faut pas avoir grand chose a faire écrire comme ça tout les jours. Je pense à cette grosse américaine dans un McDonald de la frontière qui me disait d'aller à la guerre. Une grosse folle qui elle aussi en avait pas beaucoup à faire pour passé le temps dans un truck stop du bord de l'autoroute. Les arbres sont nus, l'herbe a jaunis. Je me souviens de ces vendredis ou j'allais prendre une bière, le problème c'est que ça s'arrêtais pas là, je faisait le trouble et n'arrivait jamais à rien. Vous en faites pas pour aujourd'hui j'irai pas, les femmes sérieuses sont pas là.Je sais que plusieurs y retournent parce qu'ils sont fatigués d'entendre la voix qui n'en finis pas dans leurs tête mais quand ça s'arrête ils sont dans le pétrin... La difficulté a communiquer c'est pour ça que j'écris, ça et la douleur dans l'âme... Je pense ici à la perte du soi, je sais pas trop ce que je veux dire peut être devenir un autre. J'entend qu'il y a eu une fusillade à Paris, encore! La France est éprouvée, je suis éprouvé, le  monde est en guerre, bientôt à Paris une conférence sur l'environnement. Je crois qu'on veux diminuer le réchauffement de deux degrés. Encore une fois tout le monde le sait. J'ai de la peine on annonce aussi une explosion à Paris et le président Hollande qui a été exfiltré du stade de football. Ça n'arrête pas, je me sent vraiment impuissant. Quand je vois un jeune arabe seul j'ai peur...On parle d'explosion, de fusillades, de grenades tout ça est confus on a pas encore arrêté personne. Je pense qu'on veux tuer Paris faire fuir les touristes de la plus grande et la plus belle ville d'Europe. Les gens voulaient simplement relaxer après une dure semaine.On dis que le président Hollande a quitté le match pour présider une cellule de crise. J'écoute, j'arrête tout ça vous êtes capable de suivre les actualités. On arrive pas a se reposer y'a toujours la terreur qui s'amène. Je reprend les mots du télé-journal scène de guérilla à Paris. J'ai tant rêvé de Paris, j'y rêve encore, un jour la paix y reviendras, on y retourneras. Je termine comme toujours en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 12 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir on a eu la visite d'une gentille policière, qui nous a informé sur les services policiers. Le goulag occidental est patrouillé par des gens biens qui veulent pas qu'on soit sollicités par n'importe qui pour des choses illégales. Je resterai pas longtemps là dessus, je reviens à mon sentis, étrangement je pense à vous dire que j'ai souper avec des hots-dogs ce soir et un beigne pour dessert. Je me sent bien... C'est difficile de trouver matière à poésie,je pense à cet agent y'a longtemps qui m'a fait un discret finger. Moi quand j'ai besoin de la police on m'envois à l'hôpital heureusement ça se produis plus. J'ai appris que pendant un pic-nic dans un parc à Montréal on avait droit à une bouteille d'alcool. Si je me souviens bien le goulag occidental est à Montréal. J'ai posé beaucoup de questions. Je me dépêche a vous écrire ça je veux arriver dans les temps pour mon blog. Ce soir c'est triste il pleut c'est le vrai automne. Je sais bien que l'agent sociocommunautaire me donneras pas tout ses trucs...J'ai chaud, j'ai peur d'avoir attrapé la grippe. Je plonge dans mon enfer , je suis pas un criminel, j'ai souvenir d'un immense vide a faire peur. Le déversement se fait lentement,on rejette les déchets un peu comme moi avec mes malaises intérieurs. Ma tuyauterie a le coeur qui bat. J'ai parlé avec le praticien ressource lui ai exprimé pourquoi ça me faisait si mal de faire le ménage, de pourquoi les intérieurs aseptisés me faisaient horreur, comment j'avais une grosse côte a remonter pour arriver à ça. Je me prépare un café, ai parlé de ces gens que je croisaient et qui fredonnaient n'importe quoi, comment je trouvais ça harcelant. J'attend que l'eau bouille, il me reste plus beaucoup de temps pour rédiger. Ce soir j'ai pas regardé les actualités. Je suis quand même toujours heureux de vous écrire. Y'a un gros bla-bla dans ma tête qui cherche a définir, j'ai peur de ce vide quand je me sent bien c'est comme si j'étais guéris faut surtout pas que je crois ça, viens toujours un moment ou il faut que j'accepte ma condition. Bientôt soixante ans il est trop tard pour bien des choses n'empêche prendre plaisir a écrire il faut, je laisserai au moins ça derrière. Je pense à vous tous essais de vous partager un peu de mon univers. Y'a mon lecteur retraité de Repentigny j'aimerais avoir de ses nouvelles. Vous tous aussi faites moi signe si vous aimez ou si vous aimez pas. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 11 novembre 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris de mon après-midi dans le goulag occidental. J'ai un texte a mettre en forme a partir de mes cahiers mais j'y arrive pas. Sur les conseils de mon lecteur de Deux-Montagnes je lis les robots d'Isaac Asimov. Je trouve que c'est bien écrit, ça coule, c'est fluide comme style. On retrouve la base de la science fiction d'aujourd'hui. Comme je suis pas là pour faire le critique, je retourne à mon sentis. Cette nuit je me suis levé pour prendre une douche il était un peu passé minuit. J'entend la sonnerie des courriels à répétitions. Je l'imagine.Dehors dans la cour de Gaz Métropolitain les camions mènent tout un boucan. Y'a encore des motos qui circulent mais je crois que bientôt ce seras la neige. Je me fais un café... Je crois que je vais manger des hots-dogs.Parfois je dors le jour et je vie la nuit. J'essais de ménager l'eau à cause du déversement dans le fleuve. Je sais pas si y'a beaucoup de rats dans cette canalisation. J'attend que ce soit terminé pour faire la lessive... Cet après-midi j'avais une migraine, heureusement elle est disparue, on m'a déjà dis que ça se soignait pas... Demain on fait le bilan des quelques années que j'habite ici. Je crois que c'est positif... Je sais qu'ils vont revenir avec le saudit ménage mais c'est pas si pire.J'ai ouvert la télé, c'est le journaliste de Toronto qui parle de sécurité en vélo. Je vous ferai pas les actualités décalées. J'ai terminé mon café, le maire Coderre va descendre avec les rats dans la canalisation.Les feuilles sont presque toutes tombées. La noirceur s'en viens tranquillement. J'arriverai jamais a écrire un livre, je suis trop vieux... Ce soir je suis seul mais la solitude ne me pèse plus, j'ai pas besoin de fuir, on sait ou j'habite si on veux me parler de visu. Ça fait longtemps que j'ai entendu parler de toilette comme ça. J'écoute, j'écoute ce que ça me dis, ma petite voix pas schizophrénique parce qu'elle est seule elle aussi. J'ai pas de peine, sans être la joie ça se vie, je pense aux copains du temps qui faisaient les choses pour impressionner les jeunes filles. Ça c'est la douleur de pas avoir de copine, d'amie. Y'a longtemps déjà j'ai été déçu en amour cette blessure là je veux pas la revivre. Je préfère la solitude à la plus belle des maîtresse. J'ai a m'aimer avant d'en aimer une autre. Je crois que je vais terminer ici, la nuit s'en viens,on écris bien que seul. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Je rajoute comme je l'ai lu de VLB, avec toute ma tendresse.
 

Bernard

mardi 10 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir on flushe dans le goulag occidental. Quoi dire là dessus? Pas grand chose, j'ai juste le mot marde dans la tête... J'attend des nouvelles pour faire peindre mon studio, disont que le fleuve seras pas propre mais chez moi si... J'aime beaucoup les publicitées avec Fred Pellerin à TV5. "Moé j'aime ça l'agriculture faut que je m'arrange pour que ça dure"-Pierre Harel. Je vais vous le dire ce soir je me fend le cul pour écrire. La télé est allumé sur une émission questionnaire française. J'attend les actualités de vingt heure outre-mer. En vrai rebel puisqu'on nous dis de ménager l'eau je pisse et je pisse comme un athlète russe, on va découvrir la dope dans le fleuve.Vous devez être tanné de lire mes niaiseries. En France prime au mérite pour les fonctionnaires, qui va rayer le plus d'assistés sociaux? Bein non voèyons, je suis qui moi pour me mêler de politique française. Les français des malades! Qui veulent envoyer les enfants de riches à l'école avec des enfants de pauvres, et tiens que je te vole ton Ipad!!! Pendant qu'on jette de l'eau usée à Montréal en Californie on utilise l'eau qui est sous terre depuis des siècles, quoi pensé? Ce soir je suis trop collé sur l'actualité je mérite une couple de claques sur la gueule. Un californien disait que l'agriculture c'étais finis, le vin californien va couter cher, heureusement j'en bois plus. Je sais pas si vous êtes comme moi mais je trouve qu'il y a des relents de fin du monde, catastrophes, guerres, cataclysmes, ça me donne juste envie de me cacher. J'essaye de me réconcilier avec la télévision, je paye le câble, je dois rentabiliser le tube en regardant la propagande. Je suis toujours dans le mal surnommé goulag occidental, y'a pas de quartier de la mort rien n'empêche dans la rue c'est mortifère on essaye d'y survivre avec ses "nasty habits" la dope pour survivre un moment et toujours replonger. Vous avez sans doute remarqué c'est un de mes sujets de prédilections.Je vais retourner à mes cahiers et essayé d'en faire quelques choses qui a du sens. Je ferai pas l'histoire de la littérature, ce blog c'est ni le style, ni la forme c'est plutôt la durée. J'ai la chance et le temps de le faire et comme j'ai souvent dis. Je sais pas écrire et j'écris pour ceux qui savent pas lire. Si vous êtes toujours là c'est que vous aimez ça et croyez le croyez le pas dans le goulag occidental on a un restaurant du nom de Miami!!! Salutation aux lecteurs de l'Outaouais qui partent bientôt pour la Floride. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 9 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Vous savez pas comme j'avais hate d'écrire aujourd'hui. Je vais essayer de vous écrire, de vous décrire un moment paranoïaque de ma journée. Ce midi je suis rentré chez moi, ai rangé quelques achats pour ensuite regardé l'afficheur de mon téléphone afin de voir les appels que j'avais reçu. En premier j'avais l'appel d'un très cher ami, jusque là ça va mais ensuite c'étais mon numéro qui étais affiché comme si j'avais fait un appel de chez moi à chez moi, l'appel avait été fait à onze heure. Ça m'a fait peur pour vérifier je me suis appelé mon numéro s'est pas affiché, on m'a juste demandé mon mot de passe. J'espère que vous comprenez, quelques heures plus tard j'ai reçu un appel de Somitel pour me dire que grâce a mon numéro j'avais gagné des magazines. Spooky!!! J'ai dis que j'étais pas intéressé ça s'est terminé là ma paranoïa s'est calmée. Ce soir j'attend de savoir... Viens d'avoir la nouvelle que Montréal irais de l'avant avec le déversement des eaux usées. J'espère que tout va bien allé... Aux actualités on nous a montré de quoi aurais l'air le monde avec un réchauffement de deux degrés, c'étais grave mais on nous a discrètement signalé que ce serait pas avant deux milles ans. J'espère que j'ai bien compris. Je vais essayer encore ce soir de revenir à mon sentis, j'ai réussis a me calmer je suis moins anxieux parfois je me sent persécuté par des techniciens, des technichiens... Y'a longtemps que j'ai pas médité, quand je vous écris c'est une sorte de méditation des mots que je vous garroche comme un mantra. J'en profite pour respirer par le nez, j'inspire et j'expire. Ce que vous lisez c'est plutôt de l'expiration, l'inspiration je sais pas ou elle est j'y travaille. Ça viens toujours du goulag occidental, un goulag de rêve avec le tout à l'égoût et l'accès a l'extérieur en tout temps, j'oubliais aussi de vous dire que dans mon goulag on a le chauffage, reste plus grand chose pour nommer ça un goulag, mais c'est intérieur une forme de réclusion sentimentale, un enfermement intérieur, c'est pas les services municipaux qui comptent c'est cet exil dans cet endroit que plusieurs ont quitté. Je sais, avant c'étais le faubourg à m'lasse, mais y'en a plus on va maintenant en voyage dans les pays de la mélasse Gran'ma, la Jamaïque, la Barbade, tout ça donne le désir du soleil ou plus humblement d'une bonne beurrée de mélasse sans parler des biscuits. Bon bein! Ça va être tout pour ce soir. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 8 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je reviens encore ce soir,respire par le nez... Si vous saviez comme j'aurais aimé être poète, il  fait déjà noir, il est un peu passé dix sept heure, disont que j'écris un poème épique c'est un peu ça tout ces blogs. Les journées passent tellement vite j'ai peur.Je pense toujours à partir mais seul c'est assez cher. Cuba peut être... Je pensais retourner à New-York mais les hôtels pour personne seule dans Manhattan c'est cher. C'est surtout l'avion que je veux prendre... Semble que Bombardier a vendu quatorze Cseries c'est bien. J'aime les avions en vol, à terre, quand je suis assis dedans quand je les regarde voler, ce sont de belles machines. Je suis désolé quand je vois ces attentats aériens.Je sais pas quand ça va finir cette guerre de terroristes, pas de si tôt je crois faut vivre,exactement faut vivre et ne pas laisser place à la peur des kamikazes. Ce soir c'est le gala des artistes ça m'intéresse plus tellement ces évènements. J'écoute plus beaucoup de musique, pense à la magnifique guitare Gibson SG de mon lecteur de Terrebonne chauffeur d'autobus. Je réfléchis vous écris lentement sans trop de mots savants pense au poète Denis Vanier à Desbiens le poète franco-ontarien. Je comprend pas pourquoi ils noient leurs poésie dans l'alcool. Desbiens je pense que c'est Patrice. Le désespoir c'est une partie prenante de la poésie parce que on n'est que demi-Dieu et on sait qu'on va mourrir pourtant l'alcool accélère la mort, amplifie le désespoir même si pour un moment on cesse d'être paranoïaque. Je sais pas si y'a du sens a chercher une certaine noblesse dans les lettres comme toujours faut lire autre chose que Le Journal de Montréal. Je pense pas que Pierre Karl Péladeau est un intellectuel... Y'a une porte qui cogne dans l'édifice, y'a ces dames qui disaient que je connais la vie. Je crois oui un peu plus qu'à vingt ans. Cet après midi j'ai rédigé mon cahier et le compte rendu de la réunion de mon groupe d'entraide. Je pense à ces hangs-over qu'on a quand on bois trop et le changement de personnalité avec l'alcool. Je suis con, con à n'en plus finir dans ces moments là je pense a fuir, fuir à Paris dans une chambre de bonne et écrire pourtant je sais que plusieurs ont essayé mais peu on réussis, ce serais une autre façon de gâcher ma vie. Je termine et vous écris que je me suis rasé et parfumé que comme toujours ça sent bon et comme toujours j'aime ça. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard