mercredi 11 novembre 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris de mon après-midi dans le goulag occidental. J'ai un texte a mettre en forme a partir de mes cahiers mais j'y arrive pas. Sur les conseils de mon lecteur de Deux-Montagnes je lis les robots d'Isaac Asimov. Je trouve que c'est bien écrit, ça coule, c'est fluide comme style. On retrouve la base de la science fiction d'aujourd'hui. Comme je suis pas là pour faire le critique, je retourne à mon sentis. Cette nuit je me suis levé pour prendre une douche il était un peu passé minuit. J'entend la sonnerie des courriels à répétitions. Je l'imagine.Dehors dans la cour de Gaz Métropolitain les camions mènent tout un boucan. Y'a encore des motos qui circulent mais je crois que bientôt ce seras la neige. Je me fais un café... Je crois que je vais manger des hots-dogs.Parfois je dors le jour et je vie la nuit. J'essais de ménager l'eau à cause du déversement dans le fleuve. Je sais pas si y'a beaucoup de rats dans cette canalisation. J'attend que ce soit terminé pour faire la lessive... Cet après-midi j'avais une migraine, heureusement elle est disparue, on m'a déjà dis que ça se soignait pas... Demain on fait le bilan des quelques années que j'habite ici. Je crois que c'est positif... Je sais qu'ils vont revenir avec le saudit ménage mais c'est pas si pire.J'ai ouvert la télé, c'est le journaliste de Toronto qui parle de sécurité en vélo. Je vous ferai pas les actualités décalées. J'ai terminé mon café, le maire Coderre va descendre avec les rats dans la canalisation.Les feuilles sont presque toutes tombées. La noirceur s'en viens tranquillement. J'arriverai jamais a écrire un livre, je suis trop vieux... Ce soir je suis seul mais la solitude ne me pèse plus, j'ai pas besoin de fuir, on sait ou j'habite si on veux me parler de visu. Ça fait longtemps que j'ai entendu parler de toilette comme ça. J'écoute, j'écoute ce que ça me dis, ma petite voix pas schizophrénique parce qu'elle est seule elle aussi. J'ai pas de peine, sans être la joie ça se vie, je pense aux copains du temps qui faisaient les choses pour impressionner les jeunes filles. Ça c'est la douleur de pas avoir de copine, d'amie. Y'a longtemps déjà j'ai été déçu en amour cette blessure là je veux pas la revivre. Je préfère la solitude à la plus belle des maîtresse. J'ai a m'aimer avant d'en aimer une autre. Je crois que je vais terminer ici, la nuit s'en viens,on écris bien que seul. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Je rajoute comme je l'ai lu de VLB, avec toute ma tendresse.
 

Bernard

mardi 10 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir on flushe dans le goulag occidental. Quoi dire là dessus? Pas grand chose, j'ai juste le mot marde dans la tête... J'attend des nouvelles pour faire peindre mon studio, disont que le fleuve seras pas propre mais chez moi si... J'aime beaucoup les publicitées avec Fred Pellerin à TV5. "Moé j'aime ça l'agriculture faut que je m'arrange pour que ça dure"-Pierre Harel. Je vais vous le dire ce soir je me fend le cul pour écrire. La télé est allumé sur une émission questionnaire française. J'attend les actualités de vingt heure outre-mer. En vrai rebel puisqu'on nous dis de ménager l'eau je pisse et je pisse comme un athlète russe, on va découvrir la dope dans le fleuve.Vous devez être tanné de lire mes niaiseries. En France prime au mérite pour les fonctionnaires, qui va rayer le plus d'assistés sociaux? Bein non voèyons, je suis qui moi pour me mêler de politique française. Les français des malades! Qui veulent envoyer les enfants de riches à l'école avec des enfants de pauvres, et tiens que je te vole ton Ipad!!! Pendant qu'on jette de l'eau usée à Montréal en Californie on utilise l'eau qui est sous terre depuis des siècles, quoi pensé? Ce soir je suis trop collé sur l'actualité je mérite une couple de claques sur la gueule. Un californien disait que l'agriculture c'étais finis, le vin californien va couter cher, heureusement j'en bois plus. Je sais pas si vous êtes comme moi mais je trouve qu'il y a des relents de fin du monde, catastrophes, guerres, cataclysmes, ça me donne juste envie de me cacher. J'essaye de me réconcilier avec la télévision, je paye le câble, je dois rentabiliser le tube en regardant la propagande. Je suis toujours dans le mal surnommé goulag occidental, y'a pas de quartier de la mort rien n'empêche dans la rue c'est mortifère on essaye d'y survivre avec ses "nasty habits" la dope pour survivre un moment et toujours replonger. Vous avez sans doute remarqué c'est un de mes sujets de prédilections.Je vais retourner à mes cahiers et essayé d'en faire quelques choses qui a du sens. Je ferai pas l'histoire de la littérature, ce blog c'est ni le style, ni la forme c'est plutôt la durée. J'ai la chance et le temps de le faire et comme j'ai souvent dis. Je sais pas écrire et j'écris pour ceux qui savent pas lire. Si vous êtes toujours là c'est que vous aimez ça et croyez le croyez le pas dans le goulag occidental on a un restaurant du nom de Miami!!! Salutation aux lecteurs de l'Outaouais qui partent bientôt pour la Floride. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 9 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Vous savez pas comme j'avais hate d'écrire aujourd'hui. Je vais essayer de vous écrire, de vous décrire un moment paranoïaque de ma journée. Ce midi je suis rentré chez moi, ai rangé quelques achats pour ensuite regardé l'afficheur de mon téléphone afin de voir les appels que j'avais reçu. En premier j'avais l'appel d'un très cher ami, jusque là ça va mais ensuite c'étais mon numéro qui étais affiché comme si j'avais fait un appel de chez moi à chez moi, l'appel avait été fait à onze heure. Ça m'a fait peur pour vérifier je me suis appelé mon numéro s'est pas affiché, on m'a juste demandé mon mot de passe. J'espère que vous comprenez, quelques heures plus tard j'ai reçu un appel de Somitel pour me dire que grâce a mon numéro j'avais gagné des magazines. Spooky!!! J'ai dis que j'étais pas intéressé ça s'est terminé là ma paranoïa s'est calmée. Ce soir j'attend de savoir... Viens d'avoir la nouvelle que Montréal irais de l'avant avec le déversement des eaux usées. J'espère que tout va bien allé... Aux actualités on nous a montré de quoi aurais l'air le monde avec un réchauffement de deux degrés, c'étais grave mais on nous a discrètement signalé que ce serait pas avant deux milles ans. J'espère que j'ai bien compris. Je vais essayer encore ce soir de revenir à mon sentis, j'ai réussis a me calmer je suis moins anxieux parfois je me sent persécuté par des techniciens, des technichiens... Y'a longtemps que j'ai pas médité, quand je vous écris c'est une sorte de méditation des mots que je vous garroche comme un mantra. J'en profite pour respirer par le nez, j'inspire et j'expire. Ce que vous lisez c'est plutôt de l'expiration, l'inspiration je sais pas ou elle est j'y travaille. Ça viens toujours du goulag occidental, un goulag de rêve avec le tout à l'égoût et l'accès a l'extérieur en tout temps, j'oubliais aussi de vous dire que dans mon goulag on a le chauffage, reste plus grand chose pour nommer ça un goulag, mais c'est intérieur une forme de réclusion sentimentale, un enfermement intérieur, c'est pas les services municipaux qui comptent c'est cet exil dans cet endroit que plusieurs ont quitté. Je sais, avant c'étais le faubourg à m'lasse, mais y'en a plus on va maintenant en voyage dans les pays de la mélasse Gran'ma, la Jamaïque, la Barbade, tout ça donne le désir du soleil ou plus humblement d'une bonne beurrée de mélasse sans parler des biscuits. Bon bein! Ça va être tout pour ce soir. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 8 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je reviens encore ce soir,respire par le nez... Si vous saviez comme j'aurais aimé être poète, il  fait déjà noir, il est un peu passé dix sept heure, disont que j'écris un poème épique c'est un peu ça tout ces blogs. Les journées passent tellement vite j'ai peur.Je pense toujours à partir mais seul c'est assez cher. Cuba peut être... Je pensais retourner à New-York mais les hôtels pour personne seule dans Manhattan c'est cher. C'est surtout l'avion que je veux prendre... Semble que Bombardier a vendu quatorze Cseries c'est bien. J'aime les avions en vol, à terre, quand je suis assis dedans quand je les regarde voler, ce sont de belles machines. Je suis désolé quand je vois ces attentats aériens.Je sais pas quand ça va finir cette guerre de terroristes, pas de si tôt je crois faut vivre,exactement faut vivre et ne pas laisser place à la peur des kamikazes. Ce soir c'est le gala des artistes ça m'intéresse plus tellement ces évènements. J'écoute plus beaucoup de musique, pense à la magnifique guitare Gibson SG de mon lecteur de Terrebonne chauffeur d'autobus. Je réfléchis vous écris lentement sans trop de mots savants pense au poète Denis Vanier à Desbiens le poète franco-ontarien. Je comprend pas pourquoi ils noient leurs poésie dans l'alcool. Desbiens je pense que c'est Patrice. Le désespoir c'est une partie prenante de la poésie parce que on n'est que demi-Dieu et on sait qu'on va mourrir pourtant l'alcool accélère la mort, amplifie le désespoir même si pour un moment on cesse d'être paranoïaque. Je sais pas si y'a du sens a chercher une certaine noblesse dans les lettres comme toujours faut lire autre chose que Le Journal de Montréal. Je pense pas que Pierre Karl Péladeau est un intellectuel... Y'a une porte qui cogne dans l'édifice, y'a ces dames qui disaient que je connais la vie. Je crois oui un peu plus qu'à vingt ans. Cet après midi j'ai rédigé mon cahier et le compte rendu de la réunion de mon groupe d'entraide. Je pense à ces hangs-over qu'on a quand on bois trop et le changement de personnalité avec l'alcool. Je suis con, con à n'en plus finir dans ces moments là je pense a fuir, fuir à Paris dans une chambre de bonne et écrire pourtant je sais que plusieurs ont essayé mais peu on réussis, ce serais une autre façon de gâcher ma vie. Je termine et vous écris que je me suis rasé et parfumé que comme toujours ça sent bon et comme toujours j'aime ça. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 7 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le temps froid arrive, j'ai un parfum de crème à mains dans le nez. C'est difficile d'écrire à tout les soirs, c'est presque s'arrêter à tout les mots et réussir quand même a faire une phrase. Cet après midi je pensais aux amis de la fin de mon adolescense, à comment ils sont disparus et moi qui s'est enfoncé dans l'alcoolisme, la toxicomanie et la maladie mentale. Je suis pas devenus grand chose, une sorte de consultant au savoir expérientiel pour des programmes de santé mentale. Je me rétablis un peu plus à chaque jour, quoi que parfois je régresse. Étrangement j'ai toujours Trieste en tête, à cet atelier d'art sur la colline, une coopérative comme cette cafétéria, les personnes en rétablissement y travaillent dans un beau cadre. Je pense au docteur Rotelli à la façon qu'il a eu de me dire qu'il étais communiste et son encouragement a fermer les hôpitaux psychiatrique. Il m'a dis que j'y arriverais, je crois que oui y'a des années que j'ai pas été hospitalisé. Y'a aussi le docteur Roelandt qui disait "une hospitalisation aussi courte que possible, aussi longue que nécessaire".Je pensais à la culture générale, à comment c'est inutile pour gagner sa vie... Je me vois psychotique dans la salle commune de l'hôpital, la télévision brouillée sur des émissions niaise et moi j'ai peur entouré d'inconnus soignants comme soignés. De mauvais souvenirs tout ça, la solitude n'est plus aussi intense, je ne me perd plus dans ces mondes nocturnes... Le chemin a été long mes souliers sont lourd mais un jour à la fois j'y arrive... Tout ça a commencé à Besançon avec le docteur Besançon et la psychiatrie citoyenne qu'ici on parle de pleine citoyenneté. Comme je dis toujours c'est bien de gueuler pour ses droits mais avant faut remplir ses devoirs. Je pense à la devise française "Liberté, Égalité, Fraternité" Si les voyages forment la jeunesse dans mon cas ils réjouissent la vieillesse, je pense à Édouard Couty un prof de Science Po en France que j'ai eu la chance de rencontré et avec qui j'ai discuter un monsieur très sympathique qui en avait vu d'autre. Bein non! C'est pas mon testament mais au cas ou vous donnerez ce qui est utile pour une transplantation et pour le reste amusez vous en écoutant de la musique. C'est un peu triste de terminer comme ça mais je l'avais jamais dis a personne, une fois écris ça doit être valable. Ce soir je continus a vivre avec plaisir et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 6 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour à vous tous. Le week-end qui arrive, l'été des indiens se termine dans le goulag occidental. Le goulag c'est une espèce de réverve pour autochtone toxicomane et alcoolique. Je dis des niaiseries les autochtones sont à l'ouest du goulag occidental au parc Cabot. Le parc Gamelin a été nettoyé les pushers ont changé de station de métro. J'arrête là d'écrire là dessus c'est très mauvais. Je regarde les publicités sur les vétérans, y'a des années j'en ai rencontré un, alcoolique avec le système neurologique bousillé, à jeun il étais très gentil en boisson c'était une bête, c'était un vétéran de la Corée. J'ai en tête la culture générale, je suis pas fort, je raconte toujours les mêmes histoires. Bein oui! J'ai lu et je lis encore mais ça sert à quoi de lire, de connaitre différents auteurs, j'allais vous faire une liste je sais pas pourquoi je pense au Ulysse de James Joyce et à VLB, c'est de la littérature difficile je devrais relire et écrire comme Joyce que je veux refaire le langage, j'ai de grandes ambitions j'y arriverai jamais, j'ai pas de finesse comme le docteur Ferron et là je pense à Étal Mixte de Gauvreau tout en technique mais pour moi incompréhensible. Je pense que si les livres n'avait pas existé j'aurais été très malheureux, présentement je lis Isaac Asimov je retourne sur mes pas je régresse dans mon adolescence pourtant je passe mon temps a dire que j'ai détesté cette adolescence. Le seul endroit ou j'étais bien c'était à la bibliothèque de l'école à lire des Signes de piste. L'ami musicien disait les maisons de la couture plutôt que de la culture.Y'a Dantec qui est fort dans la science-fiction ou peut être plus la prospective fiction. Les guerres de Dantec on est collé dessus. Je vous écris ça pendant que la télévision joue en bruit de fond. C'est la nuit dans le goulag. J'écris comme un bucherôn me sert du clavier comme d'une chainsaw pour abattre tout ces maudites émotions négatives pourtant c'est permis d'avoir des émotions. "la guerre, la guerre, c'est pas une raison pour se faire mal"-André Melançon. Ce soir chez moi ça sent la bouffe les voisins cuisinent, moi j'ai mangé mon bouillis, c'étais chaud, c'étais bon. La souris se promène toute seule dans l'écran, je pense au thé londonien...À la télé c'est une émission sur les japonais. Depuis que l'avion est tombé dans le Sinaï je pense moins a partir, pourtant je crois qu'à Montréal on est en sécurité dans les antilles aussi. J'irai peut être à Cuba à LaHavane. Je termine donc là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

 

jeudi 5 novembre 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je me prépare a lire les Robots d'Isaac Asimov sur les conseils de mon lecteur de Deux- Montagnes. Aujourd'hui y'a fait tellement beau j'ai pris un café dans le parc avec l'ami... Lentement le soleil se couche, ai terminé la lecture d'un recueuil de nouvelles d'Ann Beattie, intéressant ces tranches de vie, ça nous rappelle notre âge, oui c'est vrai je suis plus tout jeune quoi que lorsque je suis allé chez la matriarche, j'ai vu un vrai vieux qui fumait le cigare. J'entend un gars gueuler dehors... J'écris sur deux tableaux? Mon cahier et mon blog... Un autre gars passe en chantant, je crois qu'il essais de tuer son angoisse. Je pense à mes sorties alcoolisées d'il y a longtemps on fumait encore dans les bars et ça puait la bière et le tabac. C'est difficile de vous écrire de trouver un propos, dans le goulag occidental des gens rentrent chez eux, au métro Papineau les toxicomanes sont tout heureux d'avoir trouvé du stock, de la drogue à mourrir et à tuer le temps en sachant très bien où ça mène. La rue Frontenac est achalandée, les étudiants étaient en grève aujourd'hui, j'ai toujours trouvé ça absurde même si c'est pour la bonne cause, les profs de sociologie et de science politique notent ils pour avoir été grévistes? Lentement la première affaire qu'on va savoir on va être en hiver, les arbres ne seront plus rouge sang. Je m'écoute encore, j'ai pas pris de café je suis moins angoissé, parfois... J'ai oublié ce que je voulais écrire l'ami m'a téléphoné. Je crois que je voulais développer sur l'anxiété, l'angoisse, je fais pas tellement la différence ça se passe souvent dans l'attente sans parler de la peur qui se présente, la peur que quelqu'un sois entré chez moi et ais déplacé des choses pour justement me faire angoissé. Viens de voir une pub de Noël à la télé et l'autre le fils qui pile des boîtes et dis à sa mère qu'il fait son possible. C'est étonnant d'entendre comment les gens font leurs possibles dans la publicités. Semble que les jeunes terrorristes et leurs manifestes à la bombe vont être accusés. L'austérité, faut avoir et faut encore vivre sur la sécurité du revenus pour savoir ce que c'est, même une job au salaire minimum nous sort pas de la merde, pensez y quand vous voyez quelqu'un flipper vos boulettes. Moi je suis pas assez intelligent pour me résigner a faire ça, toutes les jobs pour moi c'est la shop pour vivre dans le goulag occidental. Cet après midi j'en écris pas plus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard