lundi 26 octobre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Encore un autre défi. La nuit est tombée, je voudrais faire de la poésie, j'y arrive pas. Je suis dans un de ces états j'ai dormis tout l'après-midi. J'ai fait de l'insomnie toute la nuit. J'ai pas a m'en faire c'est normal. J' ai ouvert la porte, j'aère le studio. La vaisselle trempe dans l'eau chaude c'est la poésie du quotidien.Dehors y'a des motos qui ronronnent, les gens quittent le goulag occidental, ils rentrent chez eux.J'ai mis la télé sur France 24, y'a un débat avec la gôôôôche sur les banlieues. Je crois qu'à l'époque ils appelaient ça la zone... J'irai pas faire de tourisme dans les banlieues  que parfois j'ai tendance à les comparer au goulag, à Montréal la pauvreté est au centre quoi que R-D-P et Saint-Michel c'est pas la joie. Y'a eu des coups de feu et un assassinat la semaine passée. Les français aimeront pas que je parle de leurs réalité, ils s'engueulent à la télé, ils me font pensés à des poules qui caquèttent. Ils ont des problèmes avec l'éducation, je crois qu'on s'en va vers ça avec l'austérité gouvernementale. Les coupures dans l'éducation. Ils parlent d"apartheïd" c'est pas ça dans le goulag occidental, y'a une certaine solidarité entre les malheureux. Ça me fait un peu suer, ils parlent de HLM comme d'un remède à tout, on concentre les pauvres au même endroit, c'est comme ça ici aussi je crois que c'est une panacée.Les français ont de l'ouvrage social a faire à Marseille. Ouais!!! Y'a des émeutes partout, les banlieues françaises, les quartiers de villes américaines,je sais pas trop quoi vous écrire là dessus, les... Je sais pas comment les nommer, magrébins, arabes, musulmans et les noirs américains je crois qu'ils font le même combat.Mais de quoi je me mêle? Je pense à la pleine citoyenneté, à la psychiatrie citoyenne une autre forme de marginalité dans la maladie, tout bon sociologue vous dirait que les choses changent pas vite y'a des avancées et des reculs.Je devrais me tenir tranquille à l'ombre de la tour Eiffel me contenter d'être un touriste. J'arrive pas a construire un texte qui a du sens. Je suis toujours étonné par ma niaiserie. C'est un peu ça quand on écoute les actualités à répétitions, le chômage chez les français a baissé, tant mieux!!! Le prix Goncourt va être attribué par la Tunisie, je crois pas gagner grand chose, je suis pas un vrai écrivain, juste un bloggeur avec des mots fourre tout. Je gagne jamais grand chose sauf le plaisir d'écrire, j'aime ça!!! J'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 25 octobre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis désolé d'avoir renommé mon quartier le goulag occidental. Je pense que ce sont beaucoup plus les réserves autochtones qui sont des goulag. J'ai vu deux de ces dames qui m'ont touché a pleurer. J'ai aussi vu le statut de ma lectrice puéricultrice du nord de Montréal, j'y pense aussi à sa mère partie trop tôt. C'est émouvant j'ai de la peine. Les drames ça nous laisse souvent sant mot. Je tiens aussi a saluer ma lectrice de Deux-Montagnes qui a fait le bon choix, je la félicite, je sais qu'elle est dévouée. Tout ce monde là ce sont des personnes résilientes qui m'entourent, qui font que je continue. Lundi la semaine commence, je vais débuter ça avec une prière en pensant à tout ceux qui sont partis. Je me fait vieux, je sais,mais je me rétablis un jour à la fois. Ce soir le goulag occidental est calme à part la passerelle ou passent les voisins c'est fatigant. Vendredi passé je suis allé à l'hôpital de Sherbrooke à l'auditorium où j'ai parlé de rétablissement, de patients partenaires et de pleine citoyenneté. J'espère que mes mots ont portés, les gens ont applaudis à la fin. Je crois que je vous l'ai déjà écris. Si jamais vous êtes en détresse et tombez sur mon blog n'hésitez pas a demandé de l'aide, elle est là la force. Je vous aime sans vous connaitre quand vous prenez le temps de me lire. Comme souvent j'ai la larme à l'oeil, je vais pleurer je me cacherai pas, être ému c'est normal, c'est ce qui fait que je suis vivant, les émotions... Parfois je trouve qu'il y a un parfum de fin du monde, il se passe tant de choses, guerre, exil, naufrage, tempête, inondation, maladie faut garder sa sérénité au travers de tout ça, se reposer. Je trouve pas l'humilité humoristique, l'humour c'est une chose que j'ai pas. Y'avait un écrivain qui parlait de la dictature de l'humour. Y'a de ça au goulag occidental si t'est pas un comique t'est perdus. Faut rire à s'en fendre l'âme. Pourtant c'est pas drôle et quand vous écrivez faut que ce soit bref, des one liners. C'est justement pas ça que je veux faire. Quelques mots pour faire réfléchir, pensez à la vie qui s'en va, qu'il faut en profiter avant que ce soit finis. On me disait que je suis un profiteur heureusement je suis sortis de tout ça, je profite pas je suis enthousiaste. Je pense qu'il y a longtemps les gens se revalorisaient à mes dépends. Je cesse tout ça ici je deviens trop négatif. Je vais dire une prière pour vous tous. Merci d'avoir lujusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 24 octobre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! La fin du mois commence tôt chez les prestataires, gratteux, shylock on a plus bein bein d'argent. Y'a des assassins dans le goulag occidental, des criminels qui envahissent les domiciles. Ça commence de façon sordide ce soir... Je vais changer mon propos tout le monde le sait le goulag occidental c'est pas Westmount et c'est peuplé de célibataires fauchés dont personnes ne parle à part dans les faits divers, j'allais écrire les faits d'hiver c'est un peu aussi ça. J'écoute et je me demande pourquoi j'arrive pas a écrire ce que je ressent pourtant j'y plonge dans mes sentiments et c'est pas une question d'être sentimental ou pas. Je vie mes émotions, c'est certain que l'écriture c'est pas très viril mais je pense que VLB serait pas d'accord. Je brise le rythme quand je m'arrête pour réfléchir sur ce que je vais écrire. Y'a un hacker, un pirate informatique qui grimpe sur ma machine, j'ai laissé des mots de passes un peu partout pourtant je les change souvent si quelqu'un envahissait ma machine y'a longtemps qu'il se serait servis de ma carte de crédit et de mon compte à la caisse. On a essayé de me faire croire quelques fois a des appels téléphoniques de Microsoft, tout le monde sait qu'ils font rien par téléphone. J'attire probablement la malchance avec ce mauvais journal d'un internaute. " Je voudrais voir New-York, je ne voyage qu'en mappemonde"-Daniel Lavoie, oui.oui! J'y retournerais à New-York mais accompagné. En Europe le ski est commencé mais c'est en altitude.Dans les Cantons-de-l'est les montagnes sont couleurs d'automne bientôt on ne verras que le vert des conifères. Je me questionne sur le béton des villes et son contraire la nature sauvage question survie la ville semble plus facile, chassé, tendre des collets, pêché pour manger c'est difficile et exigeant. La plupart des gens préfèrent survivre dans la ville, ils vont dans le bois en sachant qu'ils reviendront. Bientôt ce seras la neige et du travail pour les camionneurs, les opétateurs de machinerie, les signaleurs... J'y arrive plus a écrire ce que je ressent pourtant dans ma tête c'est un long babil comme à Babel, les langues et les voix. Babylone pis Bob Marley, je sais pas pourquoi j'écris ça j'ai pas un rythme reggae. Hailé Sélassié, le Sha d'Iran maître des rasta et des gros fumeurs de ganja. Étrangement j'écris ça et y'a un parfum d'antiphlogestine un remède de grand-mère. Assez déliré pour ce soir, je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 23 octobre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Suis de retour de Sherbrooke.J'y ai parlé de mon parcours. des patients partenaires, des enjeux et des facteurs de réussites. J'ai plongé rapidement en me présentant comme une personne en rétablissement souffrant de schizophrénie paranoïde avec co-morbidité. Les gens qui assistaient à l'atelier étaient plutôt froid, ils ont quand même applaudis à la fin. Ça été un retour remarqué à l'hôpital contrairement à mes vieilles habitudes j'étais payé pour être là. La nature était resplendissante sur l'autoroute dix. Ce soir le goulag est tranquille, en revenant je suis allé au supermarché. Je crois que j'ai croisé le gars qui m'a volé mon premier Ipad, on s'est dévisagé longtemps y'avait rien a faire avec ça. Je m'entête a vous écrire,ce que j'ai vu de l'hôpital de Sherbrooke c'est tout propre tout neuf. La ride Montréal-Sherbrooke s'est bien passé avec l'ami Luc, on a parlé de nos souvenirs de la Guadeloupe comment c'était extraordinaire. Comment chacun dans son département voulait avoir son gentil Bernard. Une jeune femme au centre de traitement des toxicomanies m'a dis avoir quelqu'un comme moi. Tant mieux! Je suis moins seul! J'ai des flashs des actualités, les autochtones amérindiennes sont abusés battus et violés, y'a toute cette difficulté a soigner un peuple alcoolique et toxicomane, les gens seraient peut être tenté de donné de l'argent mais c'est pas suffisant pour remonter l'estime de soi. Justement comment on soigne ça un peuple qui n'est plus chez lui dans ses terres?J'ai pas de réponse. Vendredi soir toujours au goulag occidental.... Y'a les mères,toutes ces mères qui cherchent leurs enfants disparus, les cheffes de clan qui ont du pouvoir... Je parlerai pas des policiers de la S.Q. je sais pas a quoi ils pensaient commettre des crimes pareils. Ça me fait réfléchir sur mon rapport avec l'autorité comment je dois m'en tenir loin. C'est la nuit, j'écris encore quelques lignes et je vais me coucher. Il est pas encore minuit. Hier soir j'ai eu le trac et de la difficulté à dormir. À l'hôpital de Sherbrooke c'est le comité des usagers qui est en charge des patients partenaires. Je crois pas que ce soit une bonne idée de mélanger les deux, le comité des usagers selon moi a plus un rôle d'advocacy si je puis dire, de défense des droits. Les patients-partenaires sont là à titre de consultant, de personnes consultées je crois que les deux font pas bon ménage.... Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 22 octobre 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui j'ai décidé d'écrire dans l'après midi. Les arbres ont changé de couleur, il fait soleil. Les camions de Gaz Métro arrivent à leur parking. C'est le silence dans le studio, le frigo viens d'arrêter de ronronner. Je pense à la chanson du regretté André Paiement du groupe CANO, "Je suis même pas sortie une fois aujourd'hui, y faisait bein beau plein de soleil que Michel m'a dis". C'est une chanson d'automne déprimante, si je regarde en arrière j'ai fait pleins de dépressions qui m'ont menées à  la psychose pour finalement devenir schizophrène. Je sais pas si ce parcours là est possible mais ça ressemble à ça. Lentement je me rétablis,je trouve pas quoi vous écrire. Je pense à l'édimestre Véronique de l'institut... Vous allez me dire tu pense trop, j'essais quand même d'écrire c'est l'action. Y'a longtemps déjà je me présentais à trois heure, l'ouverture, à la défunte brasserie la Cervoise, tellement alcoolisé que la serveuse me servait un café. J'étais le seul à ne pas me voir oui alcoolique jusqu'aux enfers. C'était un peu comme l'Hôtel California des Eagles. Je trouvais pas la sortie...Un peu plus tôt dans mon alcoolisme y'avait ce disc-jockey avec qui je discutais musique, il me racontais que les Doobie brothers était un groupe financé par les motards criminels. Je crois pas qu'ils avaient ce genre de sensibilité. Je les ai vues les lumières de la nuit, ça m'intéresse plus. Je préfère le jour, la lumière du soleil. Dans le rock'n'roll tout ce que je savait faire s'est transporter de lourdes caisses de matériel de scène. La  dernière fois que je suis allé au pub c'est au  O'Lunney's pas loin de Times Square à New-York. J'ai mangé une shepperd pie en français je crois qu'on appelle ça un pâté parmentier, au Québec c'est un pâté chinois, c'étais bon. Dehors une voiture passe avec le volume de musique au fond. Je regarde ma vie d'aujourd'hui c'est beaucoup mieux que toutes ces nuits obsédé par le sexe, la drogue et le rockn'roll ça fait plus de vingt ans que j'ai quitté ça et je ne m'en porte que mieux. Je crois que je suis à ma place chez moi à vous écrire, les shops, les ateliers, les usines c'était pas fait pour moi. Je préfère la solitude qui permet d'écrire de réfléchir et de voir un peu plus où je vais. On me l'a dis qu'écrire c'est ma voie et que j'ai une voix. J'essais de mettre une tonalité dans tout ça, je m'ennuis pas j'aime ça. C'est certain que les pelleteux de nuages comme nous appelait Duplessis ça fait pas des fortunes mais c'est permis de rêver. Je vous laisse la-dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 21 octobre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir dans le parc ils s'entrainent au rugby, le vrai l'australien. C'est toujours le goulag occidental, la chronique de mon intérieur, de mes sentiments. Hier soir l'angoisse m'a envahis j'ai eu peur de me faire tuer et en même temps j'avais des pincements à la poitrine. C'est comme si j'avais changé ma schizophrénie pour de l'angoisse... Ce soir j'écoute ce que ça dis, les pincements sont toujours là mais moins aigus. Je crois que l'écriture m'aide dans ces moments là. Je sais pas pourquoi je me donne la permission d'écrire. J'ai jamais étudié la littérature à l'université ni gagné de prix. Je suis un loser pourtant... Les pompiers passent, je vais essayé de me procurer leurs calendriers, j'aimerais pas être un grand brûlé. Y'a des émotions qui reviennent je les ai déjà vécu dans mon enfance je crois, un sentiment de bien être et là faites pas la joke avec bien-être social c'est pas de ça que je parle. Je bave littéralement je bave et la nuit j'ai la bouche sèche... Ils ne jouent plus dans le parc... Parfois le sentiment d'un complot contre moi reviens et de mon côté j'ai cessé l'enquête, c'est mon insidieuse folie, ma douloureuse maladie. Votre fou s'en va a Sherbrooke vendredi je vais parler de rétablissement, mais oui je me rétablis, je ressent plus la lourdeur de la maladie, la peur n'est là qu'un court moment bien que je sais très bien que je ne serai jamais guéris... Je paye mon loyer ça m'aide de savoir que je coucherai pas dehors aujourd'hui on m'a dis que ça allait pas très bien dans l'édifice, j'ai pas conscience de ça je fréquente pas les voisins. Quand j'étais plus jeune tout les bruits que j'entendait dehors m'angoissait, c'était les assassins qui me poursuivaient... J'endormais ça avec de l'alcool mais est venue un moment ou ça ne faisait plus effet. J'ai donc cessé de consommer et me suis mis à prier ça marche!!! Cette longue maladie mentale je ne la souhaite à personne même pas à mon pire ennemi. Je m'entend encore assis à l'arrière de l'autobus cent trente neuf PieIX, j'avais de gros sanglot et je savais pas quoi faire ni où aller. Les policiers m'ont aidé en m'amenant à l'hôpital mais ça toujours été difficile de mettre des mots sur ce que je ressentais de nommer la maladie mentale. J'ai souvenir aussi des corridors agités de l'hôpital comment je ne trouvais jamais de réconfort à cet endroit. Y'a longtemps déjà je ne suis plus hospitalisé souhaitez moi que ça continue. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Votre pauvre fou.
 

Bernard

mardi 20 octobre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis épuisé, je crois que c'est parce que j'ai suivis les élections. Le goulag occidental est tranquille, dans le parc en face on a arraché un poteau avec une affiche défense de stationner, il est maintenant accroché à la clôture... Je pense aux clôtures montées en Europe pour empêcher les migrants de passé. J'ai reçu un courriel semble qu'ils sont méchants, qu'ils agissent comme des bêtes abandonnent leurs enfants dans les hôpitaux. Moi je comprend ça par l'épuisement, l'étât ou ils sont... J'arrête ça là je reviens dans le goulag occidental, le premier ministre qui a été élu pas loin. Je sais pas quoi lui demandé, je suis trop vieux parfois il faut laisser la place aux jeunes des quartiers au nord du goulag occidental, Saint-Michel, Montréal-Nord ou j'ai passé une partie de mon enfance et qui étais pas si désagréable... Avant d'être exilé dans le goulag occidental, j'ai habité la petite Italie, Villeray, Rosemont et la Petite Patrie maintenant je suis amarré au même endroit depuis longtemps. Ce soir il se passe rien dans ce que j'écris, ça m'ennuis et vous ça dois vous fatiguer. Ce sont les finales de baseball, je me souviens avoir joué au baseball mineur, pee-wee et bantam j'étais pas très bon, le sport que j'ai le plus aimé c'est le cyclisme. J'aimais partir le matin et faire quelques kilomètres, je crois que je vous l'ai déjà raconté... Y'avait aussi le patin à glace, le ballon balai, maintenant j'ai cinquante neuf ans et je marche, pas à pas... La nuit est tombée, je lis un recueuil de nouvelles du New-Yorker, New-York, "Start spreading the news, I am coming today, it's up to you New-York, New-York". Très bonne chorale de jeunes filles au Hockey, elles viennent de Manille. La télé est ouverte sur le match... Quand je regarde ça je suis sur tension partisan de l'équipe maison. Non! Non! Je termine pas là dessus je pense au Royal Albert Hall à Londres y'a eu des bons shows là mais on y jouait pas au hockey. On entend les joueurs se plaquer sur la bande, dans les arrêts de jeu y'a du rock'n'roll mais vous savez tout ça même mes lecteurs russes... Mon père m'amenait au hockey au Forum, je me rappelle de se stade à l'époque ou y'avait des colonnes... Je crois qu'à l'époque le coach c'étais Scotty Bowman plus tard j'ai mangé un steak à la taverne Toe Blake. Je radotte, je radotte, je devrais aller dans les menus détails, les démangeaisons... Va falloir que je réalise que je peux pas réinventer ma vie, voilà! Je termine ici en vous remerciant d'avoir lu!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard