Bonsoir! Bonjour! Je suis certain que vous vous
attendiez pas a me lire aujourd'hui. Je remerci ma lectrice secrétaire retraitée
de L'Outaouais pour sa lecture attentive. Demain matin le technicien de Bell
dois passer pour un problème de friture sur mon téléphone, inquiètez vous pas je
fait pas des frites avec... Ce soir je cherche quoi vous écrire, c'est l'automne
qui arrive. Je me prépare à sortir quelques temps du goulag occidental cet
hiver... J'ai pogné la piqure avec mon voyage en Guadeloupe l'hiver passé. Quand
je parle de partir je remarque que chacun a sa vision unique du voyage en
attendant ce soir comme toujours le goulag occidental est tranquille, y'a
toujours ce chien qui jappe a heure fixe mais pas longtemps. Ce soir je
communique avec mon lecteur de Deux-Montagnes en pensant à la plage du Gosier.Je
veux pas être près de la psychose quand je vous écris, c'est épuisant... Je
pense aux migrants à tout ce qu'ils doivent endurer, je vois une sorte de
complot européen contre la Grèce seule porte d'entrée sur le continent. Je sais
c'est de l'ordre de la paranoïa mais les grecs ont quand même encore voté à
Gauche, mais j'y connais rien à la politique grecque, des grecs je connais que
les restaurants de Montréal et la Skala de l'avenue du Parc, je sais pas si ça
existe encore, me semble que je vous ai déjà parlé de ça... Je crois qu'on ne
veux pas que je voyage, mon statut de "malade mental" devrais faire en sorte que
je me berce à la journée longue devant la télévision, bein
voèyons!!!
Les fous surtout les paranoïaques ça reste à la
maison et ça se parle tout seul en cherchant les traces qu'a laissés le
persécuteur. L'auteur des basses oeuvres du complot. Quand même je vous parle de
la voisine qui je ne sais pourquoi passe ses journées a marcher sur la
passerelle devant chez moi c'est fatigant. Les îles des Caraïbes c'est quand
même beau, je vais encore vous placer une photo de La Guadeloupe, je sais ça
fait mon'onk mais c'est ce que je suis devenus j'en profite pour saluer tout les
neveux et nièces. Je pense au philosophe grec qui avait pour tout habit qu'une
barrique, je devrais voyager comme ça pas trop de bagages mais plein de choses
dans la tête. Diogène voilà son nom, célèbre pour son domicile minimal et sa
pensée. Quoi que l'hiver dans le goulag occidental faudrait chauffer la barrique
et on risquerait de s'enfumer. Bon! Encore une fois c'est pas de la grande
littérature mais une sorte de partage avec vous. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À
la prochaine j'espère!!!
Bernard