mardi 25 août 2015

Au présent

 Bonsoir! Bonjour! Je vous écris à nouveau de la nuit du goulag occidental.Ai redémarré le climatiseur. C'est très superficiel ce que j'écris là, je vais plutôt y aller des profondeurs de mon âme, je pense au coeur qui saigne du Sacré-Coeur je sais ça fait un peu jésuite. C'est la rentrée et je pense à ma dernière rentrée officielle ou je me suis fait mettre à la porte du collège. Je sais pas ce qui est advenus de l'argent de l'inscription.Ils sont tellement crosseur ils ont du la garder. Ce matin on dois me livrer une eau de toilette qui va faire des malheurs, j'aime beaucoup le parfum je l'ai encore dans le nez. Je me suis couché vers vingt heure trente en me disant je vais me relever plus tard pour rédiger mon blog c'est ce que j'ai fait.Je sais pas si c'est l'angoisse qui fait que je me réveille au milieu de la nuit ça ressemble à ça. Toujours a sonder mon état intérieur, a chercher, a traquer le malaise une fois que je l'aurai trouvé je le tuerai à grand coups de prières.Je sais pas si ma lectrice à bord de la Courailleuse se souviens des morceaux de verre soufflés multicolore qu'on ramenais je ne sais d'où à Montréal-Nord.Bon! J'ai reçu un courriel pour me dire que la livraison ce seras demain après-midi, c'est bien. J'ai des démangeaisons dans le dos y'a rien de pire j'ai pas de grattoir. C'est un peu sordide mais je me gratte avec un couteau. Demain j'ai la visite d'un ami dans le goulag occidental. L'écran me tiens réveillé, j'aime beaucoup voir apparaitre ce paragraphe de mots dans l'écran pour moi c'est presque vivant. Parfois j'ai le sentiment l'émotion de mon plus jeune âge, les odeurs du pommier dans la cour humide de la maison abandonné voisine."Christ you know it aint easy, you know it should be, the way things are going, they are gonna crucify me"- John Lennon. Le premier disque des Beatles acheté par le père à la pharmacie d'en bas c'étais même pas les vrais Beatles une pâle imitation mais enfin on avait de la musique à la mode. La mode! Un temps ça m'a semblé si important, je la voyais pas mais s'en étais une cheveux longs, chemises carreauté, bottes de travail tout l'habillement du prolétaire recyclé granolas macramé. Je cherche deux phrases pour terminer à cette époque je portais la barbe et j'étais décomposé. Je salut mon lecteur barbu qui travaille dans les cuisines, on iras manger un jour... Je termine, c'est toujours la nuit il est minuit quarante six. Je vous dis merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 24 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui il faisait chaud, je suis rentré chez moi en sueur. À la caisse y'avait deux madames du bel âge qui étaient toutes mêlées. J'ai pris mon mal en patience et j'ai attendu de toutes façon y'avait qu'elles comme clientes. Je pensais à la matriarche... Ce soir c'est les écrits d'un endormis en vieillissant on deviens moins résistant. Je viens de regarder un documentaire sur les camps nazis leurs découvertes. Je suis un peu désolé de nommer l'endroit ou j'habite le goulag occidental c'est jamais aussi dur et aussi cruels que les camps quoi que vivre dans les rues du goulag occidental en se nourrissant dans les containers et en dormant sur le trottoir c'est aussi dur que la détention dans un camp. La dope aussi une façon sordide de se tuer pour pas sentir le monde quoi qu'à jeun on vois ce fameux monde qui courre... Non! Non! Je dirai pas que c'est la faute de la société on a maintenant je crois des sites de piqueries supervisées et cette fameuse réduction des méfaits que je déteste pour parler comme ça vous avez jamais vécu voisin d'un toxicomane actif, ce sont mes préjugés je sais que c'est vivre et laisser vivre. Je sais pas si vous ressentez à la lecture que je suis au bout de mon clavier, à la fin de mon écran. Je suis plus inspiré, je ferais mieux de conduire un taxi dans des températures comme aujourd'hui les chauffeurs de taxi haitiens son exhubérant ils rigolent ça leurs rappelle Haïti. J'essaye de vous dire comment je me sentais en attendant l'autobus, un gars sifflait et je sentais ça dirigé vers moi. Je paye parce que j'ai mis ma face un peu partout et je vais continuer de la mettre, c'est peut être ma schizophrénie qui me fait ressentir ça, c'est difficile. Hypersensible c'est ce qu'on dis de moi que je suis hypersensible, tout me stimule parfois négativement d'autre fois positivement. Ce soir je suis battus, je sais même pas si ce que j'écris mérite qu'on appelle ça une oeuvre. Je suis pas Saint-Denys Garneau, je disparaitrai pas tout de suite et je suis bien conscient de pas avoir son talent mais y'a plus personne qui sait qui est Saint-Denys Garneau le poète. On en a que pour l'humour les poètes on a pas besoin de ça, je pense à Gilbert Langevin le regretté poète de La Dorée au Lac Saint-Jean et au très montréalais Christian Mistral dont on oublie l'oeuvre et les chansons. Je vous ferai pas le panorama de la poésie c'est une profession de foi. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 23 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me suis levé je croyais qu'il étais deux heure vingt mais il étais vingt deux heure vingt. J'entend les avions passés au dessus du goulag occidental,c'est quelques secondes c'est pas dérangeant.Ai oublié un mot de passe c'est angoissant.Je vous écris de ma nuit encore demain il feras jour. J'essais de faire de la poésie..." Mais comment voulez vous pleurer chanter ou rire sans vous en parler"-Robert Charlebois.Hier je suis allé au cinéma,le film étais pas mal mais pas un chef d'oeuvre. Je crois, je sais pas trop si c'est la rentrée, je vais faire comme si les parents revenaient de vacances et reprenaient le boulot,Ouais! L'idée c'est pas le manque d'inspiration on trouve toujours quelques choses a écrire. Le monde grouille de folies mais je dois m'en tenir à ce que je ressent et pourtant c'est plus facile d'écrire des sentiments négatifs que le calme et la sérénité.On félicite notre lecteur de Deux-Montagnes pour le prix et les présences médiatiques de sa voiture station wagon. J'arrive plus a m'arracher le coeur pour vous pondre des textes. J'aimerais bien vous cracher à la face un malaise mais y'en a pas. Je suis bien et pour moi ça fait de la "littérature" vide. J'exhulte quand même pas.Je trouve ça sympathique d'être seul chez moi dans la nuit et de vous écrire sans malaises.Ce vide, ce vide que je ressent est effrayant le présent s'impose et la nuit dans le goulag occidental est déserte. J'essais de me cracher les entrailles mais j'y arrive plus ma plainte est celle du cochon que l'on égorge mais oui bientôt on feras boucherie, assez engraissé le cochon c'est le temps du boudin et du jambon.J'ai peur le temps passe trop vite  et j'ai pas la couenne dure. Je pense à ceux qui brûlent les poils du cochon,ça pue ça sent l'humain qui brûle. De nos jours on fait boucherie à l'année et le porc est défendus par plusieurs religions.J'ai jamais compris pourquoi,je pense à cette femme végan qui fume à en développer un cancer, c'est idiot... Ces jours ci mes textes ont pas une grande saveur éditoriale, j'entend la musique du film que je viens de voir c'est une espèce de mise en scène. Je me sent en dehors de ce que je vous écris. Je suis entre parenthèses. Je m'écoute,j'essais de capturer ce qui viens. J'essais de nommer,me souviens que la nuit je pouvais pas marcher dans l'appartement de ma copine, L'insomnie angoissé quand tu peux pas te lever c'est terrible. Je termine en vous remerciant d'avoir lujusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 22 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! De retour d'un B.B.Q. chez des amis, des collègues, c'étais bien malgré l'humour grivois de quelques un. J' ai amené ma tablette électronique pour montrer mes photos de New-York a un ami. Il a dis finalement ça existe New-York, c'est vrai que c'est une cité mythique qu'on a vu partout à la télé et au cinéma sans parler de la littérature. Je pense à Paul Auster qui vie là et y travaille, y'a aussi Phillip Roth et son classique Portnoy et son complexe. Je vous écris beaucoup sur la mégapole, c'est peut être l'endroit le plus prêt du goulag occidental qui a fait basculer le monde. Je crois qu'un artiste qui réussis passe par Manhattan, c'est pas mon cas je suis francophone et je parle beaucoup de mon goulag occidental au centre de Montréal... Les femmes ont appréciées le parfum d'eau de toilette que j'avais, elles m'ont dis de garder ça, y'a pas de quoi j'aime le parfum, j'aime sentir bon. Ce soir il fait encore chaud, le climatiseur ronronne. Je me cherche toujours une destination pour cet hiver. Je me répète en cherchant un style d'écriture originale, c'est pas d'écrire qui est difficile c'est la façon,  les mots, l'expression. Il est vingt deux heure dix, je pense au petit Antoine qui a eu six ans et va commencer sa première année scolaire. Je lui souhaite de s'amuser et de réussir les deux sont pas incompatibles et je sais que sa maman seras toujours là. Je pense à la tentative d'attentat dans le train en France au deux soldats américains qui ont empêchés le carnage. L'amérique a pas que du mauvais, y'a encore des soldats braves et courageux je les félicites et remercis même si je sais qu'ils ne liront jamais ce blog. Cet après-midi au B.B.Q. on a surtout parlé de la réforme du système de santé à comment cette politique empêchait je crois un certain confort et que les choses ne stagne pas, c'est un peu simplet, ils vont sauver de l'argent pour un ou deux ans mais pour le reste comment? J'ai pas a donné mon opinion là-dessus je suis un ignorant, une chose que je sais c'est que pour soigner nos ainés le manque d'argent c'est pas une excuse, nos pères, nos mères ont quand même construit ces systèmes là, ça marche mais rien n'empêche de les bonifier. Moi comme je dis souvent je suis juste un ti-jos connaissant pourtant quand j'écris j'essais de vous donner mon goddam best. Comme toujours je vais dans toutes les directions, je cesse et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 21 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Moi je m'ennuis de chez nous, j'ai longtemps eu ça dans la tête. Chez nous c'étais les parents les frères les soeurs avec qui je jouais ou me tiraillais.Ils ont été longtemps présent ça été difficile de me faire un chez moi. Maintenant ça fait plus de vingt ans que j'habite au même endroit dans le goulag occidental. J'y suis bien. Je sais pas pourquoi je pense à ma longue période active dans l'alcoolisme et la toxicomanie. Je devrais pas vous l'écrire c'est le genre de chose qu'il faut cacher pourtant si je veux aider quelqu'un faut que je le dise ça fait plus de vingt et un ans que j'ai pas consommé, pensez ce que vous voulez, que je suis un drogué mais je consomme plus un jour à la fois.Cette nuit dans le goulag occidental c'est tranquille, la police et l'ambulance passent plus chez moi. Je ne suis plus hospitalisé et je fait à peu près ce que je veux dans la vie. Dehors y'a de la musique, ce soir je pense à ceux que je croyais mes amis mais oui je les ai trahis maintenant je suis honnête et essais de l'être toujours un peu plus. Je suis pas supposé revenir sur mon passé le titre de mon blog c'est bien au présent mais oui présentement je suis heureux comprenne qui veux. Y'a ceux qui me lisent régulièrement c'est pour vous aussi que j'écris, on dis parfois que l'écriture c'est narcissique mais je crois que la machine atténue un peu ça, gomme l'égocentrisme, pour les plus assidus vous me lisez presque en direct c'est la beauté de la chose. "Je me fout du monde entier quand Frédéric me rappelle les amours de nos vingt ans"- Claude Léveillé. Je me rappelle à vingt ans je les aimais toutes mais j'étais incapable de leurs parler d'exprimer mon "amour". Je sais vous allez me dire la vie c'est pas une chanson, c'est pas un refrain c'est dur et cruel pourtant pour moi c'est bon d'exprimer mes émotions, ça se fait parfois dans l'urgence de la douleur morale d'autre fois dans le calme de la sérénité. Je sais pas si je vais y arriver encore, je rêve encore éveillé de voyage. Je partirai cet hiver me baigner dans la mer et encore ça rappelle une chanson. Je vous écris pas à propos des élections ils me font tous suer faut trouver le meilleur des moins bons. La gauche semble forte mais si ça fait comme en Grèce, de nouvelles élections, ça donneras pas grand chose. Moi ce qui me fascine c'est quand ils annoncent des subventions comme si c'étais l'argent des politiciens, c'est notre argent st'i!!! Avant de trop m'emporter je m'arrête ici et vous remercis d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 20 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les Al's ont gagné... Oups!!! Je suis pas supposé parler de sport, ça se veux un blog littéraire provenant du goulag occidental. J'ai reçu par la poste une vidéo pas très bonne tournée par des étudiants ou je parle de ma schizophrénie paranoïde et de ma co-morbidité. J'y radote encore. Parfois je m'entête, une vrai tête de mule... Un cabochon. J'arrête ça là ça sert à rien de me dénigrer, les autres vont le faire suffisament. C'est toujours ma prose d'acharné du clavier. Cet après-midi au super-marché du goulag un gars s'est mis a gueuler, je sais pas pourquoi mais c'étais dérangeant. Je me sentais pas en sécurité, faut dire que depuis que je rédige ce blog j'ai un peu peur mais cou donc c'est pas très grave ce que j'écris. J'oublis souvent ce que le poète m'avait dis de prendre tout mon temps, mais à chaque jour je vieillis et j'y arriverai pas, j'arriverai à rien avec cette écriture là. On m'a peut être dis que j'ai une patte pour me faire plaisir. Je pense au méthaphore que je suis incapable de faire, la patte c'est celle de l'ours qui pêche elle arrose partout. La chose littéraire exige de parfois rencontrer des gens mais je préfère la solitude, on m'a déjà dis que j'étais intéressant c'est pas suffisant. "Peut être bein que l'amour est morte"-Pierre Harel. L'amour! J'arrive pas a rencontrer et a aimer probablement parce que je m'aime pas et encore j'aime pas ce discours psycho-pop là. L'amour c'est compliqué... Je devrais me remettre a marcher a faire des randonnée dans la nature si jamais vous connaissez quelqu'un qui se cherche un partenaire... J'aimerais aussi passé une soirée devant un feu dehors ça m'aide a méditer, remarquez la ressemblance de méditer et m'éditer un se nourris de l'autre. Je mange des biscuits salés et je rêve des grands poètes.Je pense à cette intervenante qui m'avais prêté un livre intitulé coeur de hot-dogs, je lui ai jamais remis, je ne veux pas retourner en arrière là ou la mort m'a frôlé.Ce que je vous écris là c'est bien inutile, c'est de la prose de mauvais pelleteux de nuage, simplement un copier-coller comme y'en a des millions. J'y reviens...J'ai sommeil il est tard et je rédige encore.Je veux pas rien bâcler j'ai passé la soirée devant TV5  à la télé et j'ai regardé le match de football. Tout se termine ou jai commencé. Je rêve toujours de partir  je me cherche une destination, j'ai regardé un peu sur la toile je crois que Cuba serait le mieux, j'attend l'hiver l'automne au goulag occidental c'est pas si mal. Je vous laisse ici c'est pas fort fort cette nuit c'est ce que j'ai tordu de ma guenille, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 19 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour!  Vous allez me dire vous pourquoi j'écris ces proses de tarés. Pourquoi j'essais d'être sensible en faisant l'artiste? Voyons, voyons l'expression parais que ça libère mais moi je me sent parfois prisonnier de ma folie de malade mental. Prisonnier parce qu'aucune fuite n'est possible, prisonnier de cette machine ou vous me lisez, ou je me suis engagé. J'aimerais beaucoup écrire de la prose d'homme fait, d'homme de cinquante neuf ans qui cesse de la ramener sur sa vie d'adolescent. Je suis vieux inconnus, pas publié et parfois j'ai envie de me la faire sauter pourtant je le ferai pas. Je veux continuer jusqu'à ce qu'il ne me reste plus rien à écrire, intime ou pas. Je l'écris pour vous, pour toi... J'ai parfois rencontré de vrais artistes moi je suis un de ceux au talent infirmé comme dans infirme et pas tatoué. J'essais, j'essais les amis disent que ce seras une fois décédé. La gloire posthume ça sert à rien. J'ai pas appris, j'écris, j'écris dans mon goulag occidental, dans mon studio... Je fait de mon mieux je crois, même si on dis que les écrivains ce sont de grands chiens sales... Combien on est de millions a faire un blog comme le mien c'est rien de très original mais j'essais, je dis souvent que j'essais parce que la réussite est loin, d'y mettre ma couleur. Les gars disaient c'est pas drôle la vie d'artiste quand on est pas vedette et là je pense à une vedette Mado Lamotte qui dois pas rigolé même dans le vedettariat... Parais qu'on va nous ramener l'émission piment fort qui feras l'honneur à plusieurs de ses bitcheries.  Moi en vieillissant je me calme, je suis bien d'accord avec cette journaliste qui parlais de dictature de l'humour comme pour dire si t'est pas drôle t'est bon à rien. Y'a pas que le rire comme émotion, les pleurs parfois sont libérateurs et ont une beauté certaine. Je crois que ça prend une humilité  pour pleurer, les larmes c'est parfois un besoin une étape dans notre évolution, dans le changement intime et personnel. Ce soir le goulag occidental est tranquille. J'ai regardé une émission sur Julien Clerc un artiste que j'apprécie avec une belle sensibilité. On est loin du métal destroy des gars dans le bas fond. Je sais, je sais ils n'aiment pas les pleurs mais moi c'est comme on dis, pleure plus tu va uriner moins. Vous voyez ce que ça donne quand j'essais de faire mon comique des blagues plates. Bon! On ferme la boutique pour ce soir et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard