vendredi 21 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Moi je m'ennuis de chez nous, j'ai longtemps eu ça dans la tête. Chez nous c'étais les parents les frères les soeurs avec qui je jouais ou me tiraillais.Ils ont été longtemps présent ça été difficile de me faire un chez moi. Maintenant ça fait plus de vingt ans que j'habite au même endroit dans le goulag occidental. J'y suis bien. Je sais pas pourquoi je pense à ma longue période active dans l'alcoolisme et la toxicomanie. Je devrais pas vous l'écrire c'est le genre de chose qu'il faut cacher pourtant si je veux aider quelqu'un faut que je le dise ça fait plus de vingt et un ans que j'ai pas consommé, pensez ce que vous voulez, que je suis un drogué mais je consomme plus un jour à la fois.Cette nuit dans le goulag occidental c'est tranquille, la police et l'ambulance passent plus chez moi. Je ne suis plus hospitalisé et je fait à peu près ce que je veux dans la vie. Dehors y'a de la musique, ce soir je pense à ceux que je croyais mes amis mais oui je les ai trahis maintenant je suis honnête et essais de l'être toujours un peu plus. Je suis pas supposé revenir sur mon passé le titre de mon blog c'est bien au présent mais oui présentement je suis heureux comprenne qui veux. Y'a ceux qui me lisent régulièrement c'est pour vous aussi que j'écris, on dis parfois que l'écriture c'est narcissique mais je crois que la machine atténue un peu ça, gomme l'égocentrisme, pour les plus assidus vous me lisez presque en direct c'est la beauté de la chose. "Je me fout du monde entier quand Frédéric me rappelle les amours de nos vingt ans"- Claude Léveillé. Je me rappelle à vingt ans je les aimais toutes mais j'étais incapable de leurs parler d'exprimer mon "amour". Je sais vous allez me dire la vie c'est pas une chanson, c'est pas un refrain c'est dur et cruel pourtant pour moi c'est bon d'exprimer mes émotions, ça se fait parfois dans l'urgence de la douleur morale d'autre fois dans le calme de la sérénité. Je sais pas si je vais y arriver encore, je rêve encore éveillé de voyage. Je partirai cet hiver me baigner dans la mer et encore ça rappelle une chanson. Je vous écris pas à propos des élections ils me font tous suer faut trouver le meilleur des moins bons. La gauche semble forte mais si ça fait comme en Grèce, de nouvelles élections, ça donneras pas grand chose. Moi ce qui me fascine c'est quand ils annoncent des subventions comme si c'étais l'argent des politiciens, c'est notre argent st'i!!! Avant de trop m'emporter je m'arrête ici et vous remercis d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 20 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les Al's ont gagné... Oups!!! Je suis pas supposé parler de sport, ça se veux un blog littéraire provenant du goulag occidental. J'ai reçu par la poste une vidéo pas très bonne tournée par des étudiants ou je parle de ma schizophrénie paranoïde et de ma co-morbidité. J'y radote encore. Parfois je m'entête, une vrai tête de mule... Un cabochon. J'arrête ça là ça sert à rien de me dénigrer, les autres vont le faire suffisament. C'est toujours ma prose d'acharné du clavier. Cet après-midi au super-marché du goulag un gars s'est mis a gueuler, je sais pas pourquoi mais c'étais dérangeant. Je me sentais pas en sécurité, faut dire que depuis que je rédige ce blog j'ai un peu peur mais cou donc c'est pas très grave ce que j'écris. J'oublis souvent ce que le poète m'avait dis de prendre tout mon temps, mais à chaque jour je vieillis et j'y arriverai pas, j'arriverai à rien avec cette écriture là. On m'a peut être dis que j'ai une patte pour me faire plaisir. Je pense au méthaphore que je suis incapable de faire, la patte c'est celle de l'ours qui pêche elle arrose partout. La chose littéraire exige de parfois rencontrer des gens mais je préfère la solitude, on m'a déjà dis que j'étais intéressant c'est pas suffisant. "Peut être bein que l'amour est morte"-Pierre Harel. L'amour! J'arrive pas a rencontrer et a aimer probablement parce que je m'aime pas et encore j'aime pas ce discours psycho-pop là. L'amour c'est compliqué... Je devrais me remettre a marcher a faire des randonnée dans la nature si jamais vous connaissez quelqu'un qui se cherche un partenaire... J'aimerais aussi passé une soirée devant un feu dehors ça m'aide a méditer, remarquez la ressemblance de méditer et m'éditer un se nourris de l'autre. Je mange des biscuits salés et je rêve des grands poètes.Je pense à cette intervenante qui m'avais prêté un livre intitulé coeur de hot-dogs, je lui ai jamais remis, je ne veux pas retourner en arrière là ou la mort m'a frôlé.Ce que je vous écris là c'est bien inutile, c'est de la prose de mauvais pelleteux de nuage, simplement un copier-coller comme y'en a des millions. J'y reviens...J'ai sommeil il est tard et je rédige encore.Je veux pas rien bâcler j'ai passé la soirée devant TV5  à la télé et j'ai regardé le match de football. Tout se termine ou jai commencé. Je rêve toujours de partir  je me cherche une destination, j'ai regardé un peu sur la toile je crois que Cuba serait le mieux, j'attend l'hiver l'automne au goulag occidental c'est pas si mal. Je vous laisse ici c'est pas fort fort cette nuit c'est ce que j'ai tordu de ma guenille, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 19 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour!  Vous allez me dire vous pourquoi j'écris ces proses de tarés. Pourquoi j'essais d'être sensible en faisant l'artiste? Voyons, voyons l'expression parais que ça libère mais moi je me sent parfois prisonnier de ma folie de malade mental. Prisonnier parce qu'aucune fuite n'est possible, prisonnier de cette machine ou vous me lisez, ou je me suis engagé. J'aimerais beaucoup écrire de la prose d'homme fait, d'homme de cinquante neuf ans qui cesse de la ramener sur sa vie d'adolescent. Je suis vieux inconnus, pas publié et parfois j'ai envie de me la faire sauter pourtant je le ferai pas. Je veux continuer jusqu'à ce qu'il ne me reste plus rien à écrire, intime ou pas. Je l'écris pour vous, pour toi... J'ai parfois rencontré de vrais artistes moi je suis un de ceux au talent infirmé comme dans infirme et pas tatoué. J'essais, j'essais les amis disent que ce seras une fois décédé. La gloire posthume ça sert à rien. J'ai pas appris, j'écris, j'écris dans mon goulag occidental, dans mon studio... Je fait de mon mieux je crois, même si on dis que les écrivains ce sont de grands chiens sales... Combien on est de millions a faire un blog comme le mien c'est rien de très original mais j'essais, je dis souvent que j'essais parce que la réussite est loin, d'y mettre ma couleur. Les gars disaient c'est pas drôle la vie d'artiste quand on est pas vedette et là je pense à une vedette Mado Lamotte qui dois pas rigolé même dans le vedettariat... Parais qu'on va nous ramener l'émission piment fort qui feras l'honneur à plusieurs de ses bitcheries.  Moi en vieillissant je me calme, je suis bien d'accord avec cette journaliste qui parlais de dictature de l'humour comme pour dire si t'est pas drôle t'est bon à rien. Y'a pas que le rire comme émotion, les pleurs parfois sont libérateurs et ont une beauté certaine. Je crois que ça prend une humilité  pour pleurer, les larmes c'est parfois un besoin une étape dans notre évolution, dans le changement intime et personnel. Ce soir le goulag occidental est tranquille. J'ai regardé une émission sur Julien Clerc un artiste que j'apprécie avec une belle sensibilité. On est loin du métal destroy des gars dans le bas fond. Je sais, je sais ils n'aiment pas les pleurs mais moi c'est comme on dis, pleure plus tu va uriner moins. Vous voyez ce que ça donne quand j'essais de faire mon comique des blagues plates. Bon! On ferme la boutique pour ce soir et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 18 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! "il est minuit j'écoute ma ville qui dort"-Michel Rivard. Cette nuit c'est une chaleur pesante sur le goulag occidental.Je me trouve un peu épais de me livrer à vous comme ça. Hier on a eu un magnifique B.B.Q. burger et blé d'inde. Je sentais malgré tout les gens prisonniers dans leurs têtes. Me suis fait un café, j'entend des mots arabes qui passent dans ma tête, je sais pas ce que ça veux dire Allah me parle. On va laisser ça là les intégristes aimeront pas ça. Je pense à cette femme aux yeux fatigué qui portais le Niquab, elle étais complètement couverte sauf les yeux qui étaient très éloquent. Je pense à la guerre à ce qu'a dus subir cette femme là, à ses enfants perturbés qui n'écoutent que le père. J'ai vu ça sur la croisière à New-York... Y'a la liberté qui est parfois si exigeantes qui demande de prendre ses responsabilités c'est dur à vivre,les institutions ne sont plus coercitives à moins d'être en prison. Je sais pas ce que j'écris là..."Prend une chance avec moé, je m'en vas tout te donner"-Lucien Francoeur, c'est un peu ça j'ai l'affect déchiré plutôt que d'être dans tes écouteurs je suis dans ton écran.Il pleut, j'ai un coup de soleil.Je te donne tout mes mots, tout ces mots qui ne sont pas d'un érudit, des mots que je veux simple avec un peu d'esprit.Je me suis levé je croyais qu'il étais une heure cinquante neuf mais non il étais onze heure cinquante neuf. C'est pas la chronique d'une mort annoncée, je veux pas crevé. Y'a tout ces gens arrivés en Amérique par bateau qui ont vu la mythique statue de la liberté, oui on est libre mais libre jusqu'au dernier dollar qu'on a dans les poches, libre de se faire organiser, " There is a sucker born every minute" c'est à peu près ça. Sur la plage on vois des personnes grasses, huileuses qui scintillent au soleil,les adonis et les apollons sont ailleurs peut être à Nice sur la côte d'Azur. Les plages populaires sont pour les gros bedonnants comme moi. Y'a ces bandes d'enfants de cette ville qui ont le plus beau terrain de jeu, le lac, la plage. Cette nuit je suis vidé j'arrive pas a vous écrire la plus intime de mes pensées, c'est ce que veux le poète nommé la douleur de vivre, le mal de l'existence et tout ça c'est raté parce que justement ça tente la poésie et n'y arrive pas. Mais comme toujours je prend la liberté d'écrire en sachant que les rues ne sont pas pavées d'or, qu'après la nuit viendras une autre nuit et je dirai, je dirai... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 17 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui je suis sortis du goulag occidental pour me rendre à la plage du lac Maskinongé à Saint-Gabriel-de-Brandon. J'ai pensés à mes cousins qui habitent là. Je les connais pas beaucoup je les ai rencontré une ou deux fois dans mon enfance à l'époque ou mon oncle avait un chalet à Montpellier, au Lac Simon ou au Lac vert. En revenant j'ai vu les machines agricoles qui travaillaient profitant du beau temps. Je pense que c'est le temps pour les premiers foin, le blé d'inde aussi.Je suis très ignorant des choses de la terre, c'est pas au goulag occidental qu'on apprend des notions d'agricultures. Sur la route derrière une grange y'avait des dizaines de machines agricoles, c'est mécanique ça prend de l'entretien pour bien opérer. Je me suis baigné l'eau était froide juste assez pour se sentir vivant.Dans Lanaudière y'a beaucoup de motos, je sais pas pourquoi j'ai toujours cru ça. La matriarche est dans l'Outaouais elle reviens bientôt, la canicule lui pèse. Y'a des choses qui disparaissent aussi chez la voisine. Je suis pas seul. À la plage un couple m'observait longuement, poliment je leurs ai demandé si on se connaissait ils ont dis non, qu'ils regardaient comme ça, je les ai remercié et je suis partis.Ce que vous lisez là ça rajoute a ma paranoïa, ça l'exacerbe. J'ai ramené avec moi une odeur de campagne une odeur d'étable,ça sent bon c'est différent de l'odeur des gaz d'échappements. Je sais pas nagé, je nage mais pas longtemps, je perd le souffle et parfois j'ai l'impression que je vais couler comme une pierre. Ce soir je suis moins dans ma tête le plein air c'est bon. Le goulag est tranquille plusieurs personnes sont rentrés des vacances ce matin. Moi j'ai hate de commencer mes différents groupes et comités. Dans ma jeunesse, riez pas je suis vieux jai maintenant cinquante neuf ans, j'écrivais donc dans ma jeunesse on faisait parfois une virée des tavernes de Lanaudière toujours avec un beer buddy.Je me souviens aussi de mes tournées entre l'hôpital de Joliette et l'autre de Saint-Jérôme, la question c'étais j'habitais ou Laurentide ou Lanaudière. Demain épluchette de blé d'inde et B.B.Q. ça va être sympathique.Lentement l'été passe pour moi le mois d'août c'est toujours le plus beau, l'époque dans mon enfance ou on achetais des fringues neuves pour la rentrée. Je me souviens d'une rentrée ou il faisait très chaud... Bon! Je vous reviens bientôt en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 16 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai vu que même pendant cette canicule j'ai des lecteurs assidus. Ça va prendre un bout de temps avant que je sorte New-York de ma tête. Le restaurant irlandais ou j'ai mangé une bonne shepperd pie se nomme O'Lunney's sur la 45ei rue. C'étais bon. Ce soir le goulag occidental est étincelant avec un coucher de soleil comme il n'y en a pas souvent. Aujourd'hui je suis pas sortis dehors et j'ai dis que deux mots à la voisine qui niaisait sur la passerelle. Je regarde les stylos des endroits que j'ai visités, j'en ai perdus quelques un. Je veux pas être négatif je vous écris et je médite les voix me lâchent, j'entend rien de dénigrant. J'étais quand même bien dans le Bryant Park. Les gens faisaient leurs affaires moi je faisait la mienne dans mon cahier avec personne pour m'écoeurer. J'ai regardé sur ma carte Bryant Park pas loin de Times square. Je voulais prendre le beat de New-York deux jours c'est suffisant pour cette grande course urbaine. Ce soir je suis très heureux d'avoir un climatiseur pour les pauvres comme moi c'est pas un luxe. J'ai couché à East-Rutherford dans le New-Jersey un bel hôtel, une suite avec cuisine c'étais chic Je me souviens plus du nom une sorte de Home Hilton. Trompez vous pas je suis bien chez moi, je préfère l'avion à l'autobus, pour monter dans l'Empire State Building c'est les mêmes procédures de fouille qu'à l'aéroport. J'ai vu trois jeunes italiens qui s'amusaient c'était drôle, ils se poignaient les fesses.Les femmes sont belles à New-york  en tout cas plus belles que dans le goulag occidental. Dans mon quartier c'est surtout une histoire de voitures et d'autobus. J'aimerais quand même pas être captif des embouteillages de Manhattan. Je crois que je vous ai écris tout ça précédemment je me répète, de la le désir de partir pour une autre destination, le Nicaragua peut-être bien que les plages y soient pas très propres, c'est quand même un bon endroit pour faire du tourisme écologique. C'est quand même difficile d'avoir de l'inédit dans ce monde ou on a tout fait tout vu dans les fenêtres électroniques. Y'a pas vraiment de nouvelles images possibles ce sont toutes des clichés, des vrais déjà vu qui rajoutent à la difficultés de composer littérairement et photographiquement. Je rajoute de l'information sur l'information mais je le fait pour vous mes amis électroniques et unique. Bon! Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 15 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ça sent la rentrée, les nouvelles fournitures scolaires, les nouveaux livres que maman recouvrais selon certaines règles de papier cartonné rouge ou bleu. J'aimais ça retourné à l'école me faire de nouveau amis jusqu'au temps ou on a déménagé et que les gars m'on donné une bonne leçon pour avoir frappé un des leurs. Je lui avais dis de m'attendre à quatre heure c'est ce qu'il a fait. Je suis coupable je lui ai sauté dessus. Mais ça mis à part la rentrée m'enchantait. Je pense encore à Manhattan,c'est la nuit dans le goulag occidental, je pense aux agents d'immeubles qui n'apprécient surement pas cette dénomination de goulag occidental. Vous allez me dire écris tu pense trop... J'ai maintenant cinquante neuf ans, j'espère trouvé une autre destination de voyage bientôt.À l'école je me souviens du petit catéchisme du nouveau et de l'ancien Testament de John and Mary qui nous apprenais des rudiments d'anglais. Je me souviens que je rêvais de la mythique frontier town annoncée dans les revues de bande dessinée j'aurais tant aimé y aller. Pour être plus adulte y'a les gosses du taureau de la bourse de New-York y touché c'est supposé apporter la fortune.  C'est la nuit, j'ai dormis sans ennuis. Je devrais écrire au plus près de ce que je ressent, les choses ce sont replacées en bon hypersensible les objets me parlent, leurs disparitions comme leurs apparitions.À la rentrée vers la fin de l'été j'aimais pas porté ces chemises empesées qui m'irritaient le cou plus tard ce fut cette mémorable déconfiture ou je me suis fait mettre à la porte du collège privé la première journée de classe pour avoir fumé du hash. Je comprend toujours pas qu'on m'ais pas donné de l'aide c'est ce que je ferais aujourd'hui pour n'importe quel étudiant avant qu'il prenne trop de retard en classe. Mais j'étais un bum, un bum on aide pas ça c'est bon pour l'usine et la prison. Je crois que lundi les gens rentrent au travail si ce n'est déjà fait, moi je suis supposé aller à la plage, il va faire beau... Y'avait aussi l'énorme pomme que j'apportais à la maitresse d'école qui la plaçais bien en évidence sur le coin de son bureau et je me rappelle avoir mérité la médaille d'honneur j'étais pas tout mauvais. Souvenir d'un passage à travers la mare glaçé qui a brisé et ou je me suis mouillé en plein hiver j'ai du allé me changer et je crois que ma mère m'a fait un billet pour mon retard à l'école. Bon! Aller joué dehors on a encore le temps. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaqine j'espère!!!
 

Bernard