vendredi 14 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'avais presque l'idée d'abandonner cette écriture, mais je vais faire un baroud d'honneur en espérant que le désir d'écrire reste présent. Les portes grincent et j'ai vécu une semaines d'enfer. La paranoïa était hyper-présente. Je sais vous aimez pas que j'écrive là dessus. Allons y pour le goulag occidental qui est un peu la zone montréalaise. Je viens de découvrir à la télé un profil, un nez, un vrai nez celui de Marie Drucker qui a de quoi accroché le moins mordus des hommes. Cette semaine je me sentais comme Atlas j'avais le poids du monde sur les épaules. Pourtant je ne suis qu'un petit monsieur, les jeunes filles dans l'autobus disaient que je suis laid et que je voyageais comme une matante. Je vais juste vous dire une chose elles étaient pas très jolies.Le climatiseur est arrêté dehors y'a des gens qui parlent, je pense aux motards criminels, j'en ai peur. Ce soir je sais pas trop quoi vous écrire, j'ai donné mon goddam best dans les blogs précédent. Je reviens au climatiseur en fonction automatique je sauve de l'énergie. En parlant de ça je pense à Manhattan à tout les autobus au taux de pollution, quoi que les gens qui habitent les hautes tours en ont rien a foutre. Je pense aux enfants d'une nièce de l'Outaouais, elle est puéricultrice ses enfants vont bientôt commencé l'école je crois. Je leurs souhaite du plaisir a apprendre et le plus longtemps possible. Ce soir y'a rien qui presse pourtant le temps passe très vite, c'est la nuit, je pense au temps ou je travaillais toute la nuit en écoutant du heavy métal "Hey, Hey, my, my, rock'n'roll is gonna die"-Neil Young. Viens un temps ou la vie de rocker est plus tenable quoi que certains rockers disaient de moi que j'étais un granola c'est vrai que j'ai jamais eu de grosses machines à moteurs et je ressemblait pas à Fonzy. Lentement j'arrive a vous écrire quelque chose pense à la cueillette des pommes bientôt, cherchez moi pas là je n'y vais plus, j'ai pas de talent de ceuilleur. J'aimerais ça parler de ceux qui m'entourent comme cette voisine à qui j'ai parlé deux fois et qui la deuxième fois m'a tout de suite demandé si je voulais acheter une chaîne, c'est ça la pauvreté et les mauvaises habitudes. Pour l'instant pour moi ça va, le monde est plus léger y'en a qui ont les épaules plus larges que moi. Je viens de finir mon café, samedi arrive bientôt et j'ai perdu mon couteau me reste qu'a boire de l'eau en oubliant le Sambo, métro, métro, métro is it good I dont know. Ça se termine sur ces pauvres rimes plates et des cris dans le goulag occidental. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 13 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Désolé pour le texte d'hier, cette nuit je reprend pied. Je décante lentement mon voyage à New-York et je pense encore à ces escaliers de secours. Cette nuit le goulag occidental est très calme, y'a quand même des gens qui discutent dehors. Je trouve pas quoi vous raconter peut être ma visite dans un magazin de chaussures à Soho.Ils y vendaient de beaux vieux souliers neuf à cent cinquante dollars c'est pas dans mes moyens.Je reprend pied mais ça veux pas dire que j'ai quelques choses a écrires. Les motos qui pétaradent m'énervent toujours, les voitures roulent vite sur Sainte-Catherine avec quelques respirations par le nez je réussis a me calmer.Je suis un peu la campagne électorale et la chose municipale semble que les émanations de feux de foyer tuent beaucoup de monde les propriétaires vont devoir mettre leurs âtres à jour. Moi je veux bien mais à l'intersection ou j'habite je suis certain de l'occurence des maladies pulmonaires et c'est pas pour ça qu'ils vont fermer la rue Notre-Dame c'est ça aussi le goulag occidental et sa poussière. Vous allez dire il est toujours a brailler mais pour écrire ça prend de la persévérance je crois c'est pas simple, le climatiseur est arrêté et le frigo ronronne mes neurones sont occupés et mon cerveau marmonne. Je sais pas si les lecteurs de la famille se rappellent d'un voyage familial à Malone aux States ça fait très longtemps, j'en ai un vague souvenir, c'étais la belle époque... Je reviens lentement je suis moins désemparé, c'est étrange cette nuit y'a un parfum d'huile d'olives manque que les épinards à Popeye. Mes textes sont jamais égaux mais faut quand même le faire, manger une salade césar sur une terrasse de la petite Italie à New-York, c'est sympathique. Le restaurant c'étais le Da Gennaro typiquement italien new-yorkais. Pour ceux qui ont une certaine culture littéraire et qui se rappellent du roman Ringolevio c'est dans cette petite italie que ce passe une partie du roman qui pour moi est un roman fétiche.J'ai pensé aussi à West side story bien que je sois pas certain d'y avoir mis les pieds et tenez comme ça qui me viens en tête Un tramway nommé désir. À New-York on pense aussi à Warhol et à sa Factory.Je reviens lentement sur terre dans le goulag occidental. Les balabçoires grincent. Et là je pense à Sur les quais avec Marlon Brando je crois que ce sont les débardeurs et les quais de New-York à une certaine époque. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 11 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les stylos disparaissent et réapparaissent, je trouve des pièces de monnaie européennes là ou je les attendais le moins. On entre chez moi et on brise mon intimité. Je sais pas ce que j'ai fait pour mériter ça. D'un autre côté ça peut être cette saloperie de schizophrénie. Je sais bien que c'est pas quelques mots sur internet qui vont briser cette folie. Comment vous dire qu'essayer d'être une bonne personne ça semble pas suffisant ces étâts d'esprits reviennent fréquemment et quand je m'y attend le moins. Je pense aux escaliers de secours de New-York c'est comme si je m'en étais déjà servis. Si je vous ai fait mal je vous demande pardon ce soir je suis brisé. J'abandonne, par ma volonté je peux rien faire. Je suis à bout Je sais y'en a qui veulent que je crève à partir d'aujourd'hui je m'enferme chez moi. Je dis bien chez moi je paye mon loyer et je permettrai à personne de l'envahir. Je pense aux grecs dans le voyage à New-York une bonne façon d'immigrer aux États, à moins que ce soit un armateur je crois pas qu'il y ais de grecs assez riches pour voyager en Amériques. Mais c'est pas de mes affaires qu'ils fassent donc ce qu'ils veulent. C'est certain que je suis différent que les gens peuvent pas s'identifier à moi,je questionne leurs bien être autant que si j'étais un itinérant, je crois parfois que c'est cette direction là que je prend pourtant j'ai parlé avec des anciens c'est pas évidents.Me suis rasé et douché, eau de cologne et after-shave dans la rue ce serait impossible dans la vie ça prend une adresse fixe. Les gens me traitent de chicken, mais oui j'ai peur c'est comme si je me battais contre des fantômes, je me bat contre des fantômes les oreilles me sillent. Je me calme, c'est bientôt la nuit, le climatiseur est arrêté. Semble que j'avais pas droit à l'erreur. Les mauvaises habitudes ça tue et c'est peut être ça je suis mort. J'ai des ennemis et je me rend dites moi ce qu'il faut que je fasse. Ça fait vingt et un ans que je vie dans le goulag occidental, y'a eu plein de choses qui sont disparus qui sont arrivé chez moi. Au début de la maladie j'ai signé des papiers sans les lires c'est peut être ça mais je vous dirais que ma signature vaux pas grand chose. Je vous raconte ça comme ça, ça va disparaitre jusqu'à la prochaine fois quand vous vous demandez ce qu'est le goulag occidental c'est ça, c'est ma vie. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je récupère de mon voyage, c'est éprouvant l'autobus mais quand même pas autant qu'un jet lag. Ce matin il pleut sur le goulag occidental, tout est tranquille j'ai beaucoup dormis. Le sentiment de persécution s'efface. Je vais écrire lentement ça seras pas aussi riche que la chronique de New-York. Malgré tout j'y pense encore à ce voyage, la tête pleine d'images et l'impressionnante quantités de gens.Y'a beaucoup de circulation dans le goulag occidental mais jamais comme dans Manhattan. Un petit bonjour et un gros merci aux gens qui cliquent j'aime sur ma page Facebook. Je vais essayer de revenir à mon sentis parfois j'entend dire que je suis un escroc c'est faux.À quoi ça rime? Je sais pas. "First we take Manhattan then we take Berlin"-Leonard Cohen. Je sais pas si je peux dire ça comme ça mais dehors dans le goulag occidental j'ai des poussées de schizophrénie des accents de psychoses, c'est pas reposant. Je sais que plusieurs d'entre vous rentraient de vacances hier et que d'autre sont à leurs retraite bien méritée. Moi j'ai la tête qui fonctionne tout le temps c'est fatigant. Ce matin j'aimerais beaucoup être comique mais j'y arrive pas. Parfois je crois que je suis un gars de la rue c'était il y a longtemps j'avais pas d'argent je gardais pas mes logements et je couchais chez un et chez l'autre je sais pas si c'est ce qu'on appelle un itinérant... Mais non, je suis pas parfait, je cherche a m'améliorer. Je suis encore fasciné par le voyage organisé comment tout ce monde là a voyagé sans se pogné faut dire qu'à Manhattan y'a beaucoup de policier et qu'on étais pas là pour se faire chier. Je peux dire que dans ce week-end je suis littéralement monté très haut pour aujourd'hui redescendre très bas."Demain matin montréal m'attend, cherchez moé pu à Saint-Constant parce que demain je sacre mon camp en ville"- Michel Tremblay. Montréal pour un québéquois c'est la métropole à son échelle. Je suis trop chicken pour aller recommencer ma vie à New-York tout mes amis sont ici. "Je voudrais voir New-York je ne voyage qu'en mappemonde"-Daniel Lavoie. Je l'ai vu ça excacerbé ma névrose pour un moment mais pour le reste c'est o.k. Dans le goulag occidental c'est la misère les gens quand ils vous voient cherche a vendre toute sorte de choses pour entretenir leurs habitudes. Je sais mon blog est pas fort ce matin je m'inventerai d'autre voyages. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 9 août 2015

Au présent

Good morning! Good evening! I am back from... Vous inquiètez pas j'ai pas perdu mon français parce que je suis allé à New-York, Manhattan plus précisément. Je profite de ce blog pour dire merci à ceux qui mon souhaité un joyeux anniversaire. New-York c'était un cadeau que je me faisait. Je me suis remplis les yeux, les buildings, les monuments, les belles femmes et l'architecture. Ça faisait changement du goulag occidental, une vrai grosse ville, la plus grosse en Amérique du nord probablement. Je me suis concentré sur un endroit qui s'appelle le Bryant parc, vivant grouillant de monde et d'activités de tout genres, culturelles licites et illicites. J'en ai profité pour rédiger un texte sur mon ouï, ma "vision" de ce voyage. Là je pense à quelle photo je vais utiliser pour illustrer ça, j'ai pleuré en quittant la grosse pomme au son de la magnifique chanson Imagine de John Lennon. Je suis monté dans le Empire State Building, je suis tellement remplis d'images et d'information que j'en oublie. Ai mangé chez Monsieur Trump, mais non! Mais non pas chez lui mais dans le magnifique édifice qui abrite ses bureaux. Y'a ground zero aussi, la plus haute tour en amérique du nord pourtant j'ai pas été ému, je l'ai été a Central Park dans Strawberry Fields et près de la fontaine ou ils ont tournés le film Angels je crois. Ce soir j'entend des voix je ne suis pas seul c'est la rumeur de Manhattan qui m'a suivis jusqu'ici.Le voyage en autobus est quand même épuisant cette proximité et je dirais même promiscuité est difficile, je regrette pas même si j'étais le seul loner dans ce voyage.J'ai pas osé mettre les pieds à Times Square ai vu la foule et les enseignes c'est suffisant. Les publicités sur écran géant aussi. On est passé dans Harlem on vois que ça a changé. En rentrant chez moi dans le goulag occidental j'attendais l'autobus et j'ai croisé une vieille connaissance un propriétaire de bistro ou j'avais mes habitudes, j'ai eu plus peur de lui que de tout Manhattan. Y'a du chic aussi dans cette ville même si il y fait chaud on vois des messieurs à la chemise blanche au col attaché et pantalon marine impeccable. Je vous parlerai pas de la différence avec le sloppy goulag qui quand on est de retour a un parfum de poissons faut partir pour respirer cette odeur. Y'a une chose que j'ai aussi remarqué y'a pas autant de monde tatoué qu'au goulag et c'est bien. Je termine et je vous reviendrai peut être avec autre chose en attendant je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine!
 

Bernard

mercredi 5 août 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dehors c'est grand vent sur le goulag occidental. Dans deux dodos je pars pour New-York. J'ai commencé mes bagages, pas grand chose, je serai pas partis longtemps. La dernière fois que je suis allé aux States c'était à Boston et à Cape Cod, J'ai aimé ça mais j'ai eu une prise de bec avec l'amie du moment, ça a gâté le voyage. Je sais pas comment je vais réagir dans ce voyage organisé.Je vais suivre les indications. Je sais que ça va être la foule mais enfin... Dans le moment je réfléchis je suis vidé. Je vous rédige ça a partir de je ne sais quoi dans mon monde intérieur...À Boston je crois qu'on avait pas de carte de la ville je me rappelle que nous sommes arrivés à la gare tout près du TD Garden. Voilà je suis tellement désoeuvré que je vous parle de hockey dans la saison morte. Le fait est que dans ce voyage en rétrospective je voulais pas la perdre et me retrouver seul au coeur de Boston. J'ai raté une occasion de me fermer la gueule. Comme souvent je croyais qu'on m'avait volé une clé USB mais en cherchant comme il faut je l'ai retrouvé. Je me suis fait un café et j'attend les actualités à la télé. C'est pas dans le voyage le vol de clé, c'est là maintenant!!! Je fait les cent pas dans le studio, j'essais d'être inspiré. Je suis pas heureux cet après midi, je vous laisse ici et je reviens plus tard... Voilà! Je suis de retour et j'ai perdu le fil viens de regarder les actualités. Je suis dans un drôle d'état entre l'euphorie et la déprime et une tendance a trouvé ce que j'écris ici, grave très grave comme toujours c'est de la folie. À toute les fois je me dis j'y arriverai pas. Ouais! Hiroshima et la pièce d'avion d'Air Malaysia ça me met tout à l'envers.Lentement la nuit s'en viens, le climatiseur a redémarré. J'arrive pas a me distraire j'espère que le voyage va le faire. "Mais nous on fabrique des bombes, de plus en plus de bombes, on peux en tuer des millions à la ronde"-Michel Pagliaro, faut que je me considère privilégié de vivre dans un pays tranquille.C'est juste un blog quelques mots sur mon ressentis j'y arrive pas toujours a nommer la peur, l'angoisse, l'anxiété, je cherche la beauté et essaye de la rédiger. Je me trompe la prose est pas belle, ma prose est comme une bébelle, un jouet que j'utilise pour passer le temps que je perd pourtant... Voilà! C'étais ça pour ce soir, c'est pas grand chose je sais mais je fait ce que je peux avec ce que j'ai. Je vous laisse encore une fois là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 4 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est moins intense, y'a un magnifique couché de soleil, on a droit à ça au goulag occidental.Je me promène entre le cahier et l'écran, mon lecteur de Deux-Montagnes voulait savoir si j'ai hate de partir pour New-York, Oui!!! J'ai hate!!! La grosse pomme c'est pas rien, deux jours encore et je pars. C'est un court séjour mais je connaitrai jamais une ville aussi bien que Montréal. Avant quand je partais j'avais l'habitude d'aller au nord, Lac Saint-Jean, Côte Nord, Bas-du-fleuve, Charlevoix, Gaspésie cette année c'est un spécial. Je me lâche lousse. Je suis un peu nerveux... Je risque de vous pondre de la poésie d'autobus interurbain. J'espère que tout va bien se passer qu'il ne m'arriveras rien de fâcheux. J'ai hate de voir la statue de la Liberté et L'Empire State Building, j'ai vu ça cent fois au cinéma mais en vrai jamais. Je crois que je vais me receuillir à Ground Zero le monument. "Que c'est triste Venise au temps des amours mortes"-Je sais pas c'est de qui mais c'est pas Venise et pas plus les amours mortes. Lentement j'avance dans mes écritures. Aujourd'hui dans LaPresse+ y'avait un article sur les rues piétonnes de Montréal, le journaliste aimerais que ça ressemble aux villes d'Europe mais justement c'est pas l'Europe, Montréal c'est une ville nord-américaine où on fait encore ses courses au supermarché. La nuit les boîtes, comme ils disent en europe, sont pleines de gens de la banlieue, le night life c'est le lot des banlieusard. Je comprend le désir des gens de vouloir flâner en paix dans leur quartier mais c'est la ville pleine de tout et de n'importe quoi. Je regrette pas de vivre au goulag occidental loin de cette maudite banlieue aux maladies congénitales. Quand même dans le goulag occidental y'a des tirs d'armes à feu la nuit c'est heavy. Des chauffeurs de taxi qui veulent se rendre justice en écrasant des clients mauvais payeurs c'est quasiment un bulletin de nouvelles que je vous fait là, si je reviens à moi l'angoisse me donne mal à l'estomac et je veux être content quand j'aurai terminé de vous rédiger ceci. Je sais pas si vous avez remarqué mais mes textes sont jamais égaux, ils sont plus ego qui est assez gros merci. Je pense à l'humilité pour en avoir un peu faut être drôle mais moi je donne pas dans l'humour. L'humour c'est la poule aux oeufs d'or du show-bizness, comment dire si vous riez en lisant ceci tant mieux mais c'est pas volontaire Bon bein! Je vous abandonne là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard