dimanche 9 août 2015

Au présent

Good morning! Good evening! I am back from... Vous inquiètez pas j'ai pas perdu mon français parce que je suis allé à New-York, Manhattan plus précisément. Je profite de ce blog pour dire merci à ceux qui mon souhaité un joyeux anniversaire. New-York c'était un cadeau que je me faisait. Je me suis remplis les yeux, les buildings, les monuments, les belles femmes et l'architecture. Ça faisait changement du goulag occidental, une vrai grosse ville, la plus grosse en Amérique du nord probablement. Je me suis concentré sur un endroit qui s'appelle le Bryant parc, vivant grouillant de monde et d'activités de tout genres, culturelles licites et illicites. J'en ai profité pour rédiger un texte sur mon ouï, ma "vision" de ce voyage. Là je pense à quelle photo je vais utiliser pour illustrer ça, j'ai pleuré en quittant la grosse pomme au son de la magnifique chanson Imagine de John Lennon. Je suis monté dans le Empire State Building, je suis tellement remplis d'images et d'information que j'en oublie. Ai mangé chez Monsieur Trump, mais non! Mais non pas chez lui mais dans le magnifique édifice qui abrite ses bureaux. Y'a ground zero aussi, la plus haute tour en amérique du nord pourtant j'ai pas été ému, je l'ai été a Central Park dans Strawberry Fields et près de la fontaine ou ils ont tournés le film Angels je crois. Ce soir j'entend des voix je ne suis pas seul c'est la rumeur de Manhattan qui m'a suivis jusqu'ici.Le voyage en autobus est quand même épuisant cette proximité et je dirais même promiscuité est difficile, je regrette pas même si j'étais le seul loner dans ce voyage.J'ai pas osé mettre les pieds à Times Square ai vu la foule et les enseignes c'est suffisant. Les publicités sur écran géant aussi. On est passé dans Harlem on vois que ça a changé. En rentrant chez moi dans le goulag occidental j'attendais l'autobus et j'ai croisé une vieille connaissance un propriétaire de bistro ou j'avais mes habitudes, j'ai eu plus peur de lui que de tout Manhattan. Y'a du chic aussi dans cette ville même si il y fait chaud on vois des messieurs à la chemise blanche au col attaché et pantalon marine impeccable. Je vous parlerai pas de la différence avec le sloppy goulag qui quand on est de retour a un parfum de poissons faut partir pour respirer cette odeur. Y'a une chose que j'ai aussi remarqué y'a pas autant de monde tatoué qu'au goulag et c'est bien. Je termine et je vous reviendrai peut être avec autre chose en attendant je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine!
 

Bernard

mercredi 5 août 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dehors c'est grand vent sur le goulag occidental. Dans deux dodos je pars pour New-York. J'ai commencé mes bagages, pas grand chose, je serai pas partis longtemps. La dernière fois que je suis allé aux States c'était à Boston et à Cape Cod, J'ai aimé ça mais j'ai eu une prise de bec avec l'amie du moment, ça a gâté le voyage. Je sais pas comment je vais réagir dans ce voyage organisé.Je vais suivre les indications. Je sais que ça va être la foule mais enfin... Dans le moment je réfléchis je suis vidé. Je vous rédige ça a partir de je ne sais quoi dans mon monde intérieur...À Boston je crois qu'on avait pas de carte de la ville je me rappelle que nous sommes arrivés à la gare tout près du TD Garden. Voilà je suis tellement désoeuvré que je vous parle de hockey dans la saison morte. Le fait est que dans ce voyage en rétrospective je voulais pas la perdre et me retrouver seul au coeur de Boston. J'ai raté une occasion de me fermer la gueule. Comme souvent je croyais qu'on m'avait volé une clé USB mais en cherchant comme il faut je l'ai retrouvé. Je me suis fait un café et j'attend les actualités à la télé. C'est pas dans le voyage le vol de clé, c'est là maintenant!!! Je fait les cent pas dans le studio, j'essais d'être inspiré. Je suis pas heureux cet après midi, je vous laisse ici et je reviens plus tard... Voilà! Je suis de retour et j'ai perdu le fil viens de regarder les actualités. Je suis dans un drôle d'état entre l'euphorie et la déprime et une tendance a trouvé ce que j'écris ici, grave très grave comme toujours c'est de la folie. À toute les fois je me dis j'y arriverai pas. Ouais! Hiroshima et la pièce d'avion d'Air Malaysia ça me met tout à l'envers.Lentement la nuit s'en viens, le climatiseur a redémarré. J'arrive pas a me distraire j'espère que le voyage va le faire. "Mais nous on fabrique des bombes, de plus en plus de bombes, on peux en tuer des millions à la ronde"-Michel Pagliaro, faut que je me considère privilégié de vivre dans un pays tranquille.C'est juste un blog quelques mots sur mon ressentis j'y arrive pas toujours a nommer la peur, l'angoisse, l'anxiété, je cherche la beauté et essaye de la rédiger. Je me trompe la prose est pas belle, ma prose est comme une bébelle, un jouet que j'utilise pour passer le temps que je perd pourtant... Voilà! C'étais ça pour ce soir, c'est pas grand chose je sais mais je fait ce que je peux avec ce que j'ai. Je vous laisse encore une fois là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 4 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est moins intense, y'a un magnifique couché de soleil, on a droit à ça au goulag occidental.Je me promène entre le cahier et l'écran, mon lecteur de Deux-Montagnes voulait savoir si j'ai hate de partir pour New-York, Oui!!! J'ai hate!!! La grosse pomme c'est pas rien, deux jours encore et je pars. C'est un court séjour mais je connaitrai jamais une ville aussi bien que Montréal. Avant quand je partais j'avais l'habitude d'aller au nord, Lac Saint-Jean, Côte Nord, Bas-du-fleuve, Charlevoix, Gaspésie cette année c'est un spécial. Je me lâche lousse. Je suis un peu nerveux... Je risque de vous pondre de la poésie d'autobus interurbain. J'espère que tout va bien se passer qu'il ne m'arriveras rien de fâcheux. J'ai hate de voir la statue de la Liberté et L'Empire State Building, j'ai vu ça cent fois au cinéma mais en vrai jamais. Je crois que je vais me receuillir à Ground Zero le monument. "Que c'est triste Venise au temps des amours mortes"-Je sais pas c'est de qui mais c'est pas Venise et pas plus les amours mortes. Lentement j'avance dans mes écritures. Aujourd'hui dans LaPresse+ y'avait un article sur les rues piétonnes de Montréal, le journaliste aimerais que ça ressemble aux villes d'Europe mais justement c'est pas l'Europe, Montréal c'est une ville nord-américaine où on fait encore ses courses au supermarché. La nuit les boîtes, comme ils disent en europe, sont pleines de gens de la banlieue, le night life c'est le lot des banlieusard. Je comprend le désir des gens de vouloir flâner en paix dans leur quartier mais c'est la ville pleine de tout et de n'importe quoi. Je regrette pas de vivre au goulag occidental loin de cette maudite banlieue aux maladies congénitales. Quand même dans le goulag occidental y'a des tirs d'armes à feu la nuit c'est heavy. Des chauffeurs de taxi qui veulent se rendre justice en écrasant des clients mauvais payeurs c'est quasiment un bulletin de nouvelles que je vous fait là, si je reviens à moi l'angoisse me donne mal à l'estomac et je veux être content quand j'aurai terminé de vous rédiger ceci. Je sais pas si vous avez remarqué mais mes textes sont jamais égaux, ils sont plus ego qui est assez gros merci. Je pense à l'humilité pour en avoir un peu faut être drôle mais moi je donne pas dans l'humour. L'humour c'est la poule aux oeufs d'or du show-bizness, comment dire si vous riez en lisant ceci tant mieux mais c'est pas volontaire Bon bein! Je vous abandonne là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 3 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je crois pas que vous m'attendiez ce soir, suis sortis du goulag occidental pour me rendre par dessus le viaduc sous lequel y'a de la gaffe dans Hochelaga Maisonneuve. J'ai peur de passé là la nuit, les marlous se cherchent des serins. Pas grand chose d'édifiant ce soir. Je me sent vraiment dans le bas de la ville. Y'avait une odeur de moufette, le climatiseur fonctionne, heureusement. Je sais pas quoi vous écrire qu'un pick-up blanc à la cerise jaune a ralentis quand j'ai traversé la rue, le chauffeur m'a dévisagé. J'ai encore ouvert ma trappe trop grande suis allé dire que je suis impuissant devant des femmes elles ont rie. Je suis pas impuissant la sexualité je trouve ça compliqué. Aller coucher les enfants ça s'en viens corsé, je trouve les femmes attirantes quand-même mais pas au point de payer. Je pense au MTS quand on est infecté c'est pas drôle heureusement ç'est jamais arrivé. Je suis vraiment dans l'intime ce soir... J'ai peur ce soir, mes mots s'en vont partout ma vie se morcelle en court chapitre et je me souviens pas de ce que j'écris. Le souvenir c'est cette maison de chambres que j'ai habité une sorte de mourroir avec une variété de malades si ça se dis. J'ai résisté et ce soir je m'abandonne encore pour pas y retourner. Je veux pas crever il est trop tôt Je suis brave pour vous écrire chez moi mais dans la rue j'ai peur et je ne sais pas... La nuit m'intéresse plus y'a longtemps que je l'ai abandonné, les éclairages rutilants, les lasers et les stroboscopes ne m'impressionnent plus. Je suis resté un enfant longtemps, narcisse aussi "rien ne s'oppose à la nuit"-Je crois que c'est d'Alain Bashung et justement je m'oppose à la nuit, j'aime la lumière du jour, les vrais visages diurnes, non! Je me cache plus la face j'ai plus de cachette. Quand j'écris comme ça je ferme les portes et attire les prédateurs. Je courre à la réclusion à l'enfermement volontaire à faire livrer de la pizza et des mets chinois. Y'a rien de virtuel dans cette écriture j'essais de m'en tenir au vrai, ma peau vaux pas cher, c'est de valeur comme on dis. La folie voyez vous cette fameuse folie qui fait qu'on oublie et qu'on régresse dans des mondes sordides, je veux plus la vivre cette folie pourtant je sais pas quel chemin prendre. Je vais terminer ça comme une prière parce que parfois il n'y a que ça le reste c'est de la foutaise. Je compte sur vous pour avoir de bonne pensées pour moi. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 2 août 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Êtes vous prèt pour les élections? On oublie souvent que l'argent que les partis politique élu distribuent, c'est notre argent. Dans le goulag y'a de l'argent pour les HLM mais comme je l'ai fait remarquer plus tôt, le loyer est pas cher mais c'est des milieu de vie malsain. Je pense à tout ces gens qui travaillent au salaire minimun pour qui on ne fait rien, des jobs abrutissantes qui permettent pas d'étudier ni de ce recycler parce que, quand on rentre à la maison on est épuisé, on a tout juste la force de se faire a manger pour le lendemain recommencer. Peut êtres que vous êtes pas d'accord avec ça mais je sais qu'il y a personne qui veux payer ses achats un peu plus cher pour améliorer le sort des employés de la distribution. Ouais!!! Si c'étais si simple on le ferais quand on travaille y'en a toujours pour nous faire enrager même si on est bien payé. Moi je suis pas économiste ni gérant général de l'univers. Je suis un chômeur chronique quoi qu'à presque soixante ans je peux dire que je suis à la retraite. Un sénior qui écris parce que c'est ça qu'il a toujours voulu faire. Un gosseux de mot, un bizouneux c'est drôle je pense à Fred Pellerin, j'aimerais bien avoir son talent pour créer un monde, le seul que j'ai réussis a créer c'est le goulag occidental et ses habitants paumés, ses rues et ruelles remplies de misère rien de très allégorique dans le fait de devoir se rendre à la banque alimentaire. Aujourd'hui j'avais des brûlements d'estomac jusqu'au moments où j'ai mangé ça a finis par passer je crois que c'est l'angoisse, l'affolement avant mon départ pour New-York... Aujourd'hui le goulag occidental est nuageux avec des percées de soleil, je pense à Londres la magnifique ma promenade le long de la Tamise, sa rive si vivante, j'ai beaucoup aimé marcher sur ses boulevards m'arrêter sur les places et dans Hyde Park. Même si j'y suis allé dans le mois de décembre y'avait foule et je n'ai aperçu qu'un où deux mendiants. Riez! Riez! De ce que j'écris c'est pas très sérieux surtout qu'aujourd'hui j'ai abandonné la nuit et j'arrive pas a vous conter d'histoire construite. C'est pas Martine à la plage c'est Bernard à la nage qui essais de pas se noyer dans ses propos décousus. Tout ça pour arriver à quoi? "L'expression de mes sentiments distinguées" comme dis la formule. Je pense à ce courriel que j'ai reçu où la personne disait qu'elle étais "excessivement" heureuse de m'avoir rencontré, excessivement ça veux dire trop, je crois pas que c'est ça qu'elle voulait dire. Enfin! Je termine comme toujours en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 1 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Si tout va bien la semaine prochaine je serai à New-York. La vérité c'est que j'ai un peu peur de la ville et de l'interaction avec les autres voyageurs. Je me calme en buvant une boisson organic Santa Cruz à la mangue et orange. Le feux d'artifice viens de se terminer, les gens rentrent chez eux. J'entend le babil et le klaxon des voitures. Demain c'est dimanche la fin des vacances.J'essais de faire le tri dans mes écritures. Je pense à la matriarche et aux tantes qui restent... On vieillis tous, j'essais d'être heureux malgré les difficultées.Je pense pas qu'avec ces courtes chroniques c'est possible de faire un livre, de toute façon rajouter à la mer de bouquin je vois pas l'intérêt ou plutôt si ça officialiserais ma qualité d'écrivain. Mais pas avec des phrases comme ça . J'entend le clavier les mots qui apparaissent à l'écran, Je vous l'ai déjà écris Garneau parlait d'écritoire comme si y'avait qu'a lui qu'il étais permis d'écrire. Parfois le soir comme ça je me demande si j'ai fait de mon mieux mon âme de perdus a de la difficultée a distinguer. J'ai pas de spécialité, je deviens agés, j'ai fait tout et n'importe quoi et je sais pas encore quel est le mieux. C'est pas tellement la nécessité, c'est le désir et le sentiment qu'écrire m'apaise me calme. Là je sais pas pourquoi le mot taré apparait, vous pouvez joué dans la terre si ça vous apaise moi je prend l'écriture comme une méthode de taré. Vous savez bien que c'est faux, que c'est difficile aussi et j'y arriverai jamais a être un homme complet. Je reviens au goulag occidental à son urbanité, à comment il vis entre deux ou trois refuges et le sommeil dans les parcs. Tout ce monde là ça vie ensemble sans trop de friction mais peut être que c'est une fiction la mésentente règne. Essayez pas de comprendre, c'est comme si je fredonnais un air inconnus pour irriter quelqu'un moi ça m'arrive d'entendre des choses pareilles et ça me met la larme à l'oeil. Lentement les dernières heures du samedi passent, le climatiseur est arrêté à dix neuf degrés. J'ai pas envie d'aller me coucher de toute façon je ne dors que trois ou quatre heures."Où aller, où aller quand on est bien fatigué, allés où,allés où quand on est bien fatigout."-François Guy. Mauvaise manie ces extraits de chansons obscures. J'essais de toujours faire le même format et là je crois que je vous en ai assez écrit un écrivain ça écris mais moi j'écris que des niaiseries. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard 

vendredi 31 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis toujours impatient de vous écrire, peut-être que j'ai peu de lecteurs mais ceux qui comptent sont là. C'est la nuit dans le goulag occidental, étrangement je regarde des émissions de voyage à la télé et je suis ému. Je sais pas si je peux écrire ça plutôt que de vous écrire que je pue, j'ai pris une douche et je me suis parfumé on est dans le goulag occidental les services d'eau sont là c'est pas la jungle. J'aime quand même ça vous pondre des niaiseries pareilles c'est moins pire que d'aller se faire tatouer, tout le monde fait ça aujourd'hui. Dehors y'a des autobus, des voitures et des motos la circulation est moins dense que le lundi matin. Inquiétez vous pas je vais revenir a ce que je ressent, cet espèce de satisfaction quand je termine un blog. Ça me rend heureux autant que de parler à la matriarche. Le parfum c'est du Stetson digne de Saint-Tite où de Stephen Harper heureusement c'est juste le nom qui est chevalin, Stetson comme le chapeau et si cher au Calgary de Stephen."Je suis un cow-boy à Paris, le Lone Ranger de la rue de Neuilly"-Stephen Faulkner. Bon mêlons pas les Stephen, le chanteur c'est Steve. J'écoute et n'entend rien que le silence, j'ai pas de muse si ce n'est ça le silence. J'essais de me concentrer pour revenir au cow-boy disont que je me promène entre la littérature d'écurie et la chronique intime. Cette semaine j'ai vécu de la culpabilité en pensant à mes jeunes années passées a écoeurer les gens. Si jamais vous rencontrez une de mes "victimes" dites lui que je m'excuse que j'ai changé pas beaucoup mais assez pour laisser les gens en paix et tranquille. Le roi des cons, je sais pas pourquoi ça me passe dans la tête quand écrire devrais participer a remonter l'estime que j'ai de moi. C'est une bataille jamais gagné toujours a recommencer en vieillissant on acquiers de l'expérience du moins je le crois... Je voulais aussi vous écrire que j'apprécie vos commentaires. Je répond pas toujours, je devrais peut être ouvrir un courrier des lecteurs mais c'est pas un journal, c'est pas la presse imprimée. Quoi d'autre? C'est le week-end qui commence, les vacances de la construction qui se terminent. À la télé c'est déjà les publicitées de la rentrée scolaire... Je continus à vous faire part de mes réflexions dans le goulag occidental, j'aime bien le climatiseur il arrête et repart quand c'est le temps, vous me direz y'a déjà eu pire goulag, j'en sort un peu me tiens en marge et observe le moujïk. J'arrête là en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard