jeudi 30 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je réalise que je me suis réconcilié avec la télévision et ça grâce à TV5 et de magnifiques émissions sur les vieux pays et les contrées étangères. Je racontais cet après-midi comment quand j'étais plus jeune je me permettais pas de voyager dans ma vision il était interdit d'être touristes fallait partir loin et longtemps. Je l'ai jamais fait mon quartier c'est le goulag occidental je suis jamais resté au même endroit aussi longtemps c'est mon port d'attache ça m'a permis de partir pour Besançon, Lille, Milan, Trieste, Paris, Londres, Pointe-à-Pître, Boston, Toronto, Québec et bientôt New-York. Je fait les voyages que j'ai pas fait dans ma jeunesse j'étais trop paranoïaque. Ce soir j'ai mangé végan, des hamburgers sans viandes c'est nourrissant mais pour moi des burgers c'est fait avec de la viande on a pas réussis à me convertir. C'est la nuit sur le goulag occidental, j'ai hate de partir c'est la semaine prochaine. New-York c'est la ville d'un de mes romans phare Ringolevio, la vie de l'écrivain Emmet Grogan maintenant décédé, dans ce roman il a réussis a montrer la misère du mouvement hippies des années soixantes. "Start spreading the news, I'm coming today, it's up to you New-York New-York" C'est ce que chantais le crooner Frank Sinatra on est loin d'Allen Ginsberg et de la littérature beat. Je pense que Ginsberg était pas très copain avec Grogan, Ginsberg écrivait de la poésie pendant que Grogan nourrisait les jeunes qui arrivait en ville. Dans le goulag occidental on a une gare de triage, parfois je vois des jeunes arriver par le train, ils ont voyagé sur les wagons de freight comme à l'époque de Woody Guthrie et dans le temps de la crise des années vingt."This land is my land, this land is your land, from California to..." Peter, Paul and Mary.Pete Seeger c'est un grand chanteur folk américain aux idéaux progressistes. Bon! Ça l'air qu'on va avoir des élections cet automne ils se dépèchent de distribuer notre argent ça l'air qu'ils vont construire des H.L.M. faut savoir ce que c'est que de vivre dans ces logements, c'est remplis de gens malades laissés à eux même sans support. Je veux bien être solidaire mais pas solidaire de tout ces petits traffics qu'impose la pauvreté. J'ai pas encore choisis pour qui je vais voter mon choix balance entre le Bloc de Gilles Duceppe et le NPD de Thomas Mulcair. Mais c'est comme d'habitude j'ai de la difficulté a me convaincre j'essairai pas de vous convaincre. J'arrête, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 29 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir y'a feux d'artifices dans le goulag occidental. Je viens de regarder une émission qui traitais de la prise de médicaments par Hitler. Il avait le parkinson. Je vois les petites madames de Rosemont assimilé tout ce qui tremble à Hitler... C'est peut être de la que viennent les préjugés sur les médicaments. Moi je suis malade mais c'est le contraire des Nazis, je crois que le genre humain est bon pourtant... Le racisme la discrimination font encore partis du quotidien c'est malheureux, aux États on viens juste de retirer le drapeau des confédérés, le klu-klux-klan existe encore, c'est de la folie d'écrire là dessus, je pense que politiquement la droite est criminelle. Le souvenir est important faut se rappeler que nos ancêtres allaient chercher des esclaves sur les plages de l'Afrique. Je pense aussi au grand dérangement à la déportation des Acadiens, les anglais ont spolié un pays. C'est heavy à soir ce que j'écris, la différence ça a souvent dérangé, on aime les choses uniforme, toutes pareilles c'est une façon d'alléger la pensée. Je pense à une chose du genre métro-boulot-dodo, fait ça et tu va être O.K. moi c'est ce genre de vie là que je met en question, la machine de production et de consommation c'est pas beaucoup mieux que les massacres de masse. Disont que tu commence a travailler à quinze ans et que tu finis à soixante cinq ce genre de vie, cinquante ans, je parle d'un ouvrier, cinquante ans a faire la même chose dans le même atelier y'a de quoi perdre le gôut à la vie. Pour le drapeau du général Lee je crois que c'est celui des esclavagistes. Je pense à Marx a comment je suis esclave du capital mais semble que le Marxisme ça fonctionne pas pourtant peu possèdent et plusieurs ont rien, partagé ça rendrais la vie plus facile voyons pour les armateurs grec. Je me fait des accroires je suis personne juste un pauvre type perdu dans le goulag occidental, un pauvre type qui a longtemps cru qu'il aurait une belle vie mais a été dépassé par une lourde angoisse, un lourd sentiment de solitude. Ouais! De toute façon j'ai jamais pensé fondé une famille quand c'étais le temps de faire ça je trouvais la vie trop dure et j'aurais pas aimé avoir des enfants aussi abrutis que moi. Pourtant l'autre soir j'étais assis devant la télévision et je pleurais en me disant on fait encore de belles choses. C'est ça qui est étonnant la beauté est pas disparue et je crois qu'elle deviens de plus en plus nécessaire. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 28 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est une exception j'ai mis Stingray des années soixante dix. Juste pour me rappeler, me rappeler ma faillitte de camelot du Montréal-Matin, cette bicyclette rose que j'avais eu plutôt que la Peugeot. Cet après-midi pluvieux où j'avais essayé de la vendre pour payer mes dettes. J'avais pas réussis, je voulais pas faire face à mes responsabiltés j'ai donc décidé de fuir. J'ai pris la Montée Masson à Saint-François et j'ai pédalé jusqu'au carrefour avec la vingt cinq, la peur m'a pris j'avais pas d'endroit ou aller j'ai viré de bord pour rentrer et faire face à mon père, encore un autre échec. Ce soir c'est la canicule, je vous écris ça sur une toune de Barry White en mangeant des menthes,c'est si loin tout ça pourtant ça ressemble à hier. Je trouve plus quoi vous écrire, cet été passé a monter des sculptures, c'est déjà de la vieille histoire, c'est le même été que ma regretté soeur s'est mariée. La nostalgie ça sert pas à grand chose on peux rien changer. Tellement d'échecs et quelques victoires, des patrons à l'air bête qui osent pas me dire que je suis pas à ma place. Qu'est-ce qui reste a faire quand on a lu Baudelaire, Verlaine, Rimbaud? S'entêter a écrire en essayant de nommer précisément notre ressentis et encore si c'étais simple comme ça...L'idée c'étais de devenir j'y suis pas arrivé, encore un autre échec. N'ai plus qu'a déplier la berçante, la rocking chair comme disent les français, et aller d'avant en arrière comme un grand bébé dévoyé.Un loser voilà ce que je suis, j'ai pas gagné au jeu de la vie. Je sais, je sais c'est de l'apitoiement, y'a mieux et y'a pire. Lentement le soleil se couche sur le goulag occidental ce soir y'a pas d'orage. Semble que ce qui est important c'est l'expérience, je dois être prudent... Souvenir encore quand mon père m'amenait jouer au baseball, je jouais sur le banc et dans les dernières manches je jouais au champ gauche ou je laissait passer toutes les balles. Je suis certain que je vous l'ai déjà écris, je peux pas réinventer ma vie une fois passé le demi siècle. Je vous raconterai pas les fois ou je me suis fait vraiment assommer a en tomber sans connaissance. J'écoutais mon frère ce week-end semble qu'il y a des gars de la banlieue qui se rappellent encore de moi. Je vous raconterai pas les saouleries et le vomis, c'est triste... J'aurai essayé de vous intéresser encore aujourdhui, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 27 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris pendant que la télé est sur TV5. J'essais de m'adresser à vous comme si j'écrivais dans un journal. Ce soir je suis très heureux d'avoir un climatiseur. L'asphalte du goulag occidental c'est chaud, je crois qu'il fait trente sept celsius avec le taux d'humidité. La grosse nouvelle c'est ce joueur de soccer tout étoile qui a signé avec Montréal. Les caisses de Saputo sonnent déjà, il tonne, y'a des nuages noir d'orage... Ce soir je cherche, j'arrive pas a me renouveler, je dis merci aux couples de lecteurs de Deux-Montagnes chez qui j'ai été invité dimanche, du plaisir, des burgers et de la baignade du très bon temps. J'écoute ma petite voix,elle dis rien, j'ai pas mal voilà pourquoi elle est silencieuse. Mais oui le bulletin de nouvelles français en a que pour les feux de forêts, ici on en a aussi mais je crois que c'est de l'ordre du normal, je crois que dans l'ouest il a plu les gens ont pu regagner leurs logis mais je sais pas ils en ont pas parlé au bulletin de nouvelles nationale. Puisqu'aujourdhui il faut avoir une opinion surtout je préfère ne pas en avoir. Je pense au sentier le long de l'ancien chemin de fer à New-York ça a l'air sympathique. Je vous parlerai pas des produits du terroir quoi que mon coeur est avec les poulets d'Angèle, c'est les volailles d'Angèle à Saint-Esprit des bêtes qu'on traumatise pas qui mont de l'espace et qu'on peux voir à la télé dans la charcuterie. Des volailles nourries aux grains, ça fait longtemps que je suis pas passé là. Je suis pas un grand critique culinaire j'ai trop mangé de dindes névrosées, qui glougloutaient avant de se faire tordre le cou, mais que voulez vous je mange pas Kosher. Je rêve de cette fesse de porc vieillies suspendues pendant trois ans, de la vrai charcuterie. J'ai une toune d'un vieux groupes de folk français, ça dis "Dans ma vallée..." Je me souviens plus c'est de qui, Malicorne peut être. J'écris tout ça et c'est les robots qui vont me détecter, y'a quelques irréductibles qui lisent! Bravo! Là vous m'avez au bout de mon clavier a essayer pendant qu'à la télé ils parlent de Pôle Emploi c'est le centre de main-d'oeuvre français. Y'a longtemps que j'ai mis les pieds là pour un schizophrène ces endroits là c'est l'enfer, ça fait juste vous caller plus profond. Je pense à mes lecteurs nomades qui trainent leur Courailleuse, j'espère qu'ils ont du plaisir. Je termine là dessus si ça vous embête faites moi savoir. Je vous remercis quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 26 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore moi! C'est difficile d'écrire du neuf cette nuit, suis toujours dans le goulag occidental, j'ai hate à mon court voyage à New-York. Il pleut,je pense  à Foglia et à ses chats, aux amis des arts graphiques à l'époque,à comment j'ai fréquenté une école de décrocheurs même là j'étais pas à ma place. Au cégep ou je devais travailler avec un néo-nazi sans culture.C'est souvent du pareil au même ce que j'écris.J'oublie de grand pan de ma vie, faut dire que boire de la bière c'est devenus rapidement inintéressanr mais je buvais pareil. J'ai reçu avec plaisir une invitation chez mon lecteur de Deux-Montagnes. Je pense à comment c'est bien d'avoir une famille, des frères et soeurs. Ma vie est devenue plus tranquille plus sereine.Viens un moment où composer est difficile, non, non, je vous parlerai pas de la ceuillette des pommes ni d'autre travaux tout aussi monotone. C'est dimanche, y'a longtemps que je ne vais plus à la messe, j'ai quand même soif de spirituel. Cette nuit j'essais d'avoir les pensées tournées vers une puissance supérieure. De la gratitude, je dois avoir de la gratitude... Je racontais à l'ami comment il fallait faire les choses, ne pas attendre et s'y mettre, peinture, écriture voilà! Sinon on reste paralysé et frustré et j'écris ça avec humilité ce que j'écris là ça a pas une grande portée... Créer puisque c'est de ça qu'il s'agit on a pas eu d'enfant, on met la main à la pâte pour de petites choses comme celle ci. Il faut que vous ayez du plaisir a me lire. Y'a un peu de circulation dans le goulag, j'ai pas entendu le feu d'artifice hier. Non! Non! Je suis pas Saint-Exupéry qu'ils viennent de mettre à l'écran du cinéma. "Dessine moi un mouton!"-Saint-Exupéry, Le petit Prince. Je pense à ce gars maintenant décédé qui rêvait d'une vie de château tellement il avait une haute opinion de lui même. Plus j'avance plus c'est difficile.J'aimerais beaucoup avoir un Bouvier-Bernois comme compagnon, ça vous dis rien. Je suis loin de mon sentis il me semble que ma folie est partie, ce qui fait une écriture aride, sèche qui n'accouche de rien et cherche le propos. C'est moi, narcissique, c'est ma vie... Cette nuit je suis réveillé, je rêve quand même à La Corse, à la Méditerranée.J'irai bien un jour.J'arrive plus à vous traduire mon étât d'esprit, je suis désemparé. J'aimerais avoir plusieur lecteurs mais bon pour le moment c'est ça. Le cinéaste disait que certain avaient un succès d'estime. Vous voyez j'en suis rendus a vous écrire les mêmes choses, vivement le voyage. Voilà mon radotage pour aujourd'hui je vous remercis quand même d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine J'espère!!!
 

Bernard

samedi 25 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'aime beaucoup les vendredi soir sur TV5, d'excellent reportages.Hier encore une émission sur la Martinique. J'y étais ce printemps on a changé d'avion a Fort-de-France. Mon premier contact avec la chaleur au mois de mars. Je deviens fan de la Compagnie Créole.Ce matin j'ai la tête vide LaPresse+ fonctionne pas. Le goulag occidental est tranquille, dans deux semaines je serai à New-York. J'essais de revenir sur mon sentis. Je peux pas me servir de la matière brute pour vous le décrire c'est d'écriture qu'il s'agis pas de peinture.Il faut nommer les choses rajoutés une voix aux voix faire que tout ça ressemble à une chorale plus proche du Ave Maria que de la cacophonie.J'ai pas le sentiment de ne pas feeler. Cette nuit tout va, je ne dors pas mais ça va, ai souvenir des discothèques le vendredi soir, des nuits a me faire casser les oreilles encore heureux que j'ais pas d'acouphène plus tard je me souviens de La Playa rue Saint-Laurent on nous fouillait avant d'entrer, peu de femmes, beaucoup d'hommes pour un club macho. Y'a aussi les bars salons faute d'en avoir un chez soi on y invitais les amis, personne ne venais on se sentais bien seul.Je me souviens je marchais dans cette discothèque bondée où c'était impossible de reconnaitre qui que ce soit et j'éclusais les bières jusqu'à être saoul mort, on me laissait pas somnoler sur les comptoirs. Je devais sortir.Je crois que mes aventures vous intéressent pas pour le jazz y'avait le vingt quatre vingt rue Clark, on pouvait y entendre le guitariste Michael Gauthier et ses invités c'étais bien. Mon épopée s'est terminée au G Sharp avec les jams sessions et le désagréable Garry propriétaire du ci nommée maintenant décédé. Il faisait les nuits de la rue Saint-Laurent. Le fil conducteur là dedans c'est l'alcool et le délire des éclopés. Je pense au film Looking for mister Goodbar que j'avais pas compris. Les gens sérieux bambôchent pas toute la nuit. Je m'ennuis pas de cette vie là."In the midnight calling whe call more, more, more, with the rebel yell"-Billy Idol. J'ai cette musique dans la tête,le roi de la marchette aussi de Plume Latraverse et Gerry Boulet. "j'aime les nuits de Montréal"-Jacques Normand il étais beaucoup plus vieux que moi de l'époque de ce qui s'appelait les cabarets. On a pas eu les mêmes nuits. Bon! Comme vous voyez ça donne dans le souvenir ce matin. Je veux vraiment pas retourner dans ce monde là, il est trop cruel. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 23 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je m'attelle pour vous livrer un autre blog. Faute d'avoir l'air marin et salin, je me parfume avec un échantillon de Burberry Brit Rythm. Ça sent bon et je lis Parfums de Philippe Claudel une écriture très touchante qui nous amène dans des odeurs qu'on croyais avoir oublié. Viens de regarder un film sur le Vaucluse et le mont Ventoux entre autre, ça fait rêver et donne le désir d'y aller, je crois que c'est en Provence. De magnifiques bâtiments médiéval et une France encore sauvage si ça se peux. Comme francophone je peux pas m'empêcher de penser que mes racines, mes ancêtres étaient français. Ça me fascine La France le côté communard qu'ils ont encore aujourd'hui, cette belle devise "Liberté, Égalité. Fraternité". Pourtant au goulag occidental c'est très américain, pour faire des choses, des affairres je crois qu'on a moins de paperasse a remplir que les français disont qu'ici c'est moins hiérarchisé et regarder qui écris un pauvre type sans reconnaissance. Je pense à ce médecin j'avais écris médecon, c'est presque ça, croisé en Guadeloupe qui me disait et ta mère d'un ton méprisant, en voilà un qui vas allé loin. Je vous l'ai écris je pars pour New-York dans deux semaines. J'y vais seul dans un voyage organisé j'ai hâte. J'espère que les gens vont m'accepter, c'est un peu mon angoisse du moment. Je racontais à l'ami qu'après avoir tant vu New-York au cinéma ça va être bien d'y être pour vrai."Chaude étais la nuit"-Richard Desjardins. Pourtant c'est frais, je cherchais comment on appelait les soldats français à l'uniforme bleu de la première guerre mondiale, ce sont les poilus je crois dis avec un très grand respect. La guerre au terrorisme est toujours là, faut pas s'empêcher d"être actif et ailleur acheter un peu d'huile d'olive grecque et peut être du fromage fêta. Dans le goulag occidental la rue Ontario entre Frontenac et Delorimier a l'air d'une zone sinistée. Je crois qu'ils refont l'aqueduc pendant ce temps là le marchand de hot-dogs et de frites attend les clients. Je suis pas ingénieur c'est ça qu'on appelle les infrastructures? C'est la nuit, des klaxons, un grincement de balançoire et les voitures qui passent. Je pense que c'est tranquille dans le goulag occidental plusieurs sont partis en voyage pour les vacances de la construction et le jeudi par tradition c'est jours de paye et y'en a qui vont boire jusqu'a ce qu'il n'ais plus un rond. Pendant ce temps là je vais me coucher. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard