lundi 27 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris pendant que la télé est sur TV5. J'essais de m'adresser à vous comme si j'écrivais dans un journal. Ce soir je suis très heureux d'avoir un climatiseur. L'asphalte du goulag occidental c'est chaud, je crois qu'il fait trente sept celsius avec le taux d'humidité. La grosse nouvelle c'est ce joueur de soccer tout étoile qui a signé avec Montréal. Les caisses de Saputo sonnent déjà, il tonne, y'a des nuages noir d'orage... Ce soir je cherche, j'arrive pas a me renouveler, je dis merci aux couples de lecteurs de Deux-Montagnes chez qui j'ai été invité dimanche, du plaisir, des burgers et de la baignade du très bon temps. J'écoute ma petite voix,elle dis rien, j'ai pas mal voilà pourquoi elle est silencieuse. Mais oui le bulletin de nouvelles français en a que pour les feux de forêts, ici on en a aussi mais je crois que c'est de l'ordre du normal, je crois que dans l'ouest il a plu les gens ont pu regagner leurs logis mais je sais pas ils en ont pas parlé au bulletin de nouvelles nationale. Puisqu'aujourdhui il faut avoir une opinion surtout je préfère ne pas en avoir. Je pense au sentier le long de l'ancien chemin de fer à New-York ça a l'air sympathique. Je vous parlerai pas des produits du terroir quoi que mon coeur est avec les poulets d'Angèle, c'est les volailles d'Angèle à Saint-Esprit des bêtes qu'on traumatise pas qui mont de l'espace et qu'on peux voir à la télé dans la charcuterie. Des volailles nourries aux grains, ça fait longtemps que je suis pas passé là. Je suis pas un grand critique culinaire j'ai trop mangé de dindes névrosées, qui glougloutaient avant de se faire tordre le cou, mais que voulez vous je mange pas Kosher. Je rêve de cette fesse de porc vieillies suspendues pendant trois ans, de la vrai charcuterie. J'ai une toune d'un vieux groupes de folk français, ça dis "Dans ma vallée..." Je me souviens plus c'est de qui, Malicorne peut être. J'écris tout ça et c'est les robots qui vont me détecter, y'a quelques irréductibles qui lisent! Bravo! Là vous m'avez au bout de mon clavier a essayer pendant qu'à la télé ils parlent de Pôle Emploi c'est le centre de main-d'oeuvre français. Y'a longtemps que j'ai mis les pieds là pour un schizophrène ces endroits là c'est l'enfer, ça fait juste vous caller plus profond. Je pense à mes lecteurs nomades qui trainent leur Courailleuse, j'espère qu'ils ont du plaisir. Je termine là dessus si ça vous embête faites moi savoir. Je vous remercis quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 26 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore moi! C'est difficile d'écrire du neuf cette nuit, suis toujours dans le goulag occidental, j'ai hate à mon court voyage à New-York. Il pleut,je pense  à Foglia et à ses chats, aux amis des arts graphiques à l'époque,à comment j'ai fréquenté une école de décrocheurs même là j'étais pas à ma place. Au cégep ou je devais travailler avec un néo-nazi sans culture.C'est souvent du pareil au même ce que j'écris.J'oublie de grand pan de ma vie, faut dire que boire de la bière c'est devenus rapidement inintéressanr mais je buvais pareil. J'ai reçu avec plaisir une invitation chez mon lecteur de Deux-Montagnes. Je pense à comment c'est bien d'avoir une famille, des frères et soeurs. Ma vie est devenue plus tranquille plus sereine.Viens un moment où composer est difficile, non, non, je vous parlerai pas de la ceuillette des pommes ni d'autre travaux tout aussi monotone. C'est dimanche, y'a longtemps que je ne vais plus à la messe, j'ai quand même soif de spirituel. Cette nuit j'essais d'avoir les pensées tournées vers une puissance supérieure. De la gratitude, je dois avoir de la gratitude... Je racontais à l'ami comment il fallait faire les choses, ne pas attendre et s'y mettre, peinture, écriture voilà! Sinon on reste paralysé et frustré et j'écris ça avec humilité ce que j'écris là ça a pas une grande portée... Créer puisque c'est de ça qu'il s'agit on a pas eu d'enfant, on met la main à la pâte pour de petites choses comme celle ci. Il faut que vous ayez du plaisir a me lire. Y'a un peu de circulation dans le goulag, j'ai pas entendu le feu d'artifice hier. Non! Non! Je suis pas Saint-Exupéry qu'ils viennent de mettre à l'écran du cinéma. "Dessine moi un mouton!"-Saint-Exupéry, Le petit Prince. Je pense à ce gars maintenant décédé qui rêvait d'une vie de château tellement il avait une haute opinion de lui même. Plus j'avance plus c'est difficile.J'aimerais beaucoup avoir un Bouvier-Bernois comme compagnon, ça vous dis rien. Je suis loin de mon sentis il me semble que ma folie est partie, ce qui fait une écriture aride, sèche qui n'accouche de rien et cherche le propos. C'est moi, narcissique, c'est ma vie... Cette nuit je suis réveillé, je rêve quand même à La Corse, à la Méditerranée.J'irai bien un jour.J'arrive plus à vous traduire mon étât d'esprit, je suis désemparé. J'aimerais avoir plusieur lecteurs mais bon pour le moment c'est ça. Le cinéaste disait que certain avaient un succès d'estime. Vous voyez j'en suis rendus a vous écrire les mêmes choses, vivement le voyage. Voilà mon radotage pour aujourd'hui je vous remercis quand même d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine J'espère!!!
 

Bernard

samedi 25 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'aime beaucoup les vendredi soir sur TV5, d'excellent reportages.Hier encore une émission sur la Martinique. J'y étais ce printemps on a changé d'avion a Fort-de-France. Mon premier contact avec la chaleur au mois de mars. Je deviens fan de la Compagnie Créole.Ce matin j'ai la tête vide LaPresse+ fonctionne pas. Le goulag occidental est tranquille, dans deux semaines je serai à New-York. J'essais de revenir sur mon sentis. Je peux pas me servir de la matière brute pour vous le décrire c'est d'écriture qu'il s'agis pas de peinture.Il faut nommer les choses rajoutés une voix aux voix faire que tout ça ressemble à une chorale plus proche du Ave Maria que de la cacophonie.J'ai pas le sentiment de ne pas feeler. Cette nuit tout va, je ne dors pas mais ça va, ai souvenir des discothèques le vendredi soir, des nuits a me faire casser les oreilles encore heureux que j'ais pas d'acouphène plus tard je me souviens de La Playa rue Saint-Laurent on nous fouillait avant d'entrer, peu de femmes, beaucoup d'hommes pour un club macho. Y'a aussi les bars salons faute d'en avoir un chez soi on y invitais les amis, personne ne venais on se sentais bien seul.Je me souviens je marchais dans cette discothèque bondée où c'était impossible de reconnaitre qui que ce soit et j'éclusais les bières jusqu'à être saoul mort, on me laissait pas somnoler sur les comptoirs. Je devais sortir.Je crois que mes aventures vous intéressent pas pour le jazz y'avait le vingt quatre vingt rue Clark, on pouvait y entendre le guitariste Michael Gauthier et ses invités c'étais bien. Mon épopée s'est terminée au G Sharp avec les jams sessions et le désagréable Garry propriétaire du ci nommée maintenant décédé. Il faisait les nuits de la rue Saint-Laurent. Le fil conducteur là dedans c'est l'alcool et le délire des éclopés. Je pense au film Looking for mister Goodbar que j'avais pas compris. Les gens sérieux bambôchent pas toute la nuit. Je m'ennuis pas de cette vie là."In the midnight calling whe call more, more, more, with the rebel yell"-Billy Idol. J'ai cette musique dans la tête,le roi de la marchette aussi de Plume Latraverse et Gerry Boulet. "j'aime les nuits de Montréal"-Jacques Normand il étais beaucoup plus vieux que moi de l'époque de ce qui s'appelait les cabarets. On a pas eu les mêmes nuits. Bon! Comme vous voyez ça donne dans le souvenir ce matin. Je veux vraiment pas retourner dans ce monde là, il est trop cruel. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 23 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je m'attelle pour vous livrer un autre blog. Faute d'avoir l'air marin et salin, je me parfume avec un échantillon de Burberry Brit Rythm. Ça sent bon et je lis Parfums de Philippe Claudel une écriture très touchante qui nous amène dans des odeurs qu'on croyais avoir oublié. Viens de regarder un film sur le Vaucluse et le mont Ventoux entre autre, ça fait rêver et donne le désir d'y aller, je crois que c'est en Provence. De magnifiques bâtiments médiéval et une France encore sauvage si ça se peux. Comme francophone je peux pas m'empêcher de penser que mes racines, mes ancêtres étaient français. Ça me fascine La France le côté communard qu'ils ont encore aujourd'hui, cette belle devise "Liberté, Égalité. Fraternité". Pourtant au goulag occidental c'est très américain, pour faire des choses, des affairres je crois qu'on a moins de paperasse a remplir que les français disont qu'ici c'est moins hiérarchisé et regarder qui écris un pauvre type sans reconnaissance. Je pense à ce médecin j'avais écris médecon, c'est presque ça, croisé en Guadeloupe qui me disait et ta mère d'un ton méprisant, en voilà un qui vas allé loin. Je vous l'ai écris je pars pour New-York dans deux semaines. J'y vais seul dans un voyage organisé j'ai hâte. J'espère que les gens vont m'accepter, c'est un peu mon angoisse du moment. Je racontais à l'ami qu'après avoir tant vu New-York au cinéma ça va être bien d'y être pour vrai."Chaude étais la nuit"-Richard Desjardins. Pourtant c'est frais, je cherchais comment on appelait les soldats français à l'uniforme bleu de la première guerre mondiale, ce sont les poilus je crois dis avec un très grand respect. La guerre au terrorisme est toujours là, faut pas s'empêcher d"être actif et ailleur acheter un peu d'huile d'olive grecque et peut être du fromage fêta. Dans le goulag occidental la rue Ontario entre Frontenac et Delorimier a l'air d'une zone sinistée. Je crois qu'ils refont l'aqueduc pendant ce temps là le marchand de hot-dogs et de frites attend les clients. Je suis pas ingénieur c'est ça qu'on appelle les infrastructures? C'est la nuit, des klaxons, un grincement de balançoire et les voitures qui passent. Je pense que c'est tranquille dans le goulag occidental plusieurs sont partis en voyage pour les vacances de la construction et le jeudi par tradition c'est jours de paye et y'en a qui vont boire jusqu'a ce qu'il n'ais plus un rond. Pendant ce temps là je vais me coucher. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 22 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ai réservé mon voyage à Manhattan... Je sais que certaines personnes aiment pas qu'on écrive, ils appellent ça étaler sa vie. Moi je crois pas c'est un exercise parfois exigeant,est-ce qu'on a reproché quelque chose aux gens qui ont peint les grottes de Lascaux? Parfois écrire ça empêche d'avoir le coeur gros, ça met les choses en perspective un peu comme le point de fuite en peinture. Je tiens à dire bonne vacances à Myrtle Beach aux neveux et nièces j'espère que les enfants vont s'amuser ça fait toute une tribu!!!  Ce soir on entend les motos ronronner dans le goulag occidental. J'essaye de me fabriquer des souvenirs bien qu'il soit un peu tard ça va me faire des choses a raconter à la matriarche. Je ne fuit pas je m'amuse ma vie a longtemps été monotone, l'ennuis m'épuisait, la folie m'étreignait... Quoi vous dire de la peur? Ce soir quelqu'un m'a traité de pissou, j'ai pas aimé mais il peux le penser. J'essais de faire les choses malgré cette maudite paranoïa.... J'espère avoir le temps de me rendre au musée Guggenheim... Ce soir je prend mon temps pour vous écrire, je trouve la vie moins lourde mais il est un peu tard. J'ai eu une folle jeunesse pour après tomber dans l'abyme du rêve dirait le poète, je suis remonté, je remonte toujours pourtant je passerai pas a l'histoire avec mes écritures, la postérité je serai pas là pour savoir. Si j'étais génial ça se saurait, faute de génie j'y met de la sueur pendant que ça gueule dehors. Ce soir y'a des amis qui sont à Québec avec leurs Courrailleuse, une magnifique roulotte. Je suis un peu anxieux y'a longtemps que j'ai mis les pieds à l'hôpital c'est tant mieux."Casser la gueule de ses souvenirs"-Claude Dubois. Je sais pas si je vous ai déjà raconté le hug que m'avait donné la femme du gouverneur général quand j'ai été invité à la résidence officielle.Elle a dis qu'on pouvais se compter parmis ses amis. Tant qu'a être dans le luxe j'ai ouvert une boîte de biscuits Ritz... Vous voyez bien que je radote...Foglia il parlais de vélo, moi je parle du temps qui passe j'y rajoute quelques fioritures de mon crû. J'écris jamais rien d'essentiel c'est pas un traité de chirurgie.Je pense aux enfants, aux plaisirs simples de l'enfance, à l'amour des parents des frères des soeurs. Je crois que ce soir j'en ai assez écris. Je vous remercis donc d'avoir lu jusque là!!! Je vous fait la bise à tous!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est la nuit ou le petit matin comme vous voulez.Mon lecteur de Deux-Montagnes m'a fait des suggestions de voyages. Je crois que pour mon anniversaire je vais me rendre à New-York. Ce matin j'ai une réunion de mon groupe d'entraide. Je cherche quoi vous écrire. Je vous parlerai pas de la collusion dans l'industrie de la construction c'est trop chiant. Cette semaine à la station de métro du goulag occidental un gars criait t'est un cave, je sais pas à qui il s'adressait, il étais pas reposant."il n'y a plus d'après à Saint-Germain-des-Prés"-Léo Ferré. Je visualise l'hôtel, j'ai le sentiment d'y être déjà.Je salut mon lecteur ancien préposé à l'entretien ménager du Cégep du Vieux Montréal. Je suis toujours heureux de savoir qu'il lis. J'aime beaucoup voir les mots qui s'affichent lentement à la vitesse que je les tapes. Les agriculteurs français font la grève, en regardant les actualités on en viens a croire que la France est un pays invivable pourtant tout les regards sont tournés vers la Grèce et l'aide financière qu'ils ont demandé, à la télé on a commencé a voir des publicités d'huile d'olive grecque. Chaque pays a ses problèmes je crois qu'ici c'est Stephen Harper et les apparences d'aide aux familles. Ils donnent d'une main pour reprendre de l'autre. "Je voulais te dire que je t'attend"-Michel Jonazs, oui j'attend je ne sais qui je ne sais quoi, je vieillis c'est pas mal pour moi. Je voudrais écrire des mots de soie, toute mes excuses je cherche la foi.Lentement le matin arrive ceux qui sont pas en vacances rentre lentement au boulot. Je pense aux études, au cours aux adultes, à comment même là j'ai échoué ça fait de moi une personne sans scolarité. C'est un peu pour ça que j'écris j'ai toute la liberté. Je suis à bout de mes mots, vour mériteriez plus un silence que ce discours inutile. C'est quoi ces expressions françaises "Y'a pas photo" et "du coup" je cherche a les remplacer mais elles sont uniques. Du coup j'ai plus rien a écrire. Je travaille pas dans le béton précontrains, je coule, je coule, c'est pas sous marin. Ça pas de sens ce que j'écris là.De la prose voilà je pense à Monsieur Jourdain, je sais pas pourquoi. Je me réveille ai préparé un café. Je vous raconte ce que je ressent, je m'écoute c'est un peu du délire c'est pas très structuré. Bon! C'est assez pour le moment, j'ai rédigé encore une fois un texte sans queue ni tête. Je salut mon partenaire de voyage si il me lis encore. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 21 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pas de baignade aujourd'hui on étais supposé sortir du goulag occidental,ça se feras pas. Y'a plein de camion qui vont de reculons, on entend que ça. Je m'écoute, souhaite bon voyage à mes lecteurs retraités de l'Outaouais.Ils se passe plein de choses dans le monde et moi je fait de l'introspection.J'essais de rester dans le moment présent essais de pensés au voyage que je veux faire. Semble que quelques mois avant les fêtes c'est le mieux, le moins dispendieux. Je rêve quand même encore à Paris, à Besançon, à Trieste, à Londres, à la Guadeloupe, je suis remplis de beau souvenirs.L'employé de l'hôtel à Milan qui me prenait pour un docteur, le commis de l'hôtel à Trieste qui faisait les meilleurs cafés du monde. Pour me souvenir j'ai regardé deux documentaires sur Paris ça me donne envie d'y retourner.Je pense me rendre à Cuba avant que les américains envahissent.Je vous écris ça c'est pour meubler mon temps, faire oeuvre honorable.Pense à mes collègues qui souffrent et s'expriment par l'art aux Impatients, des créations thérapeutique biens que çe soit plutôt occupationnel juste le fait de dire qu'on s'en va peindre, dessiner c'est mieux que rien. Je me censure je veux pas vous parler de mon parrain décédé y'a pas longtemps. J'y pense parfois c'était un bon vivant,il jouait de l'accordéon. Le climatiseur fonctionne pas, il fait chaud, je l'ai démarré. Quand je vous écris je me vide, j'exprime mon ressentis, j'irais bien discuter au comptoir du café mais je trouve ça malsain, je veux pas faire rire de moi.Je suis vide mais vide je ne ressent que l'angoisse j'essais de l'apaiser. Les grands poètes écrivaient pas aussi longtemps, ils parlaient d'une écriture chirurgicale, je crois que c'est Michel Garneau qui disait ça."Je t'attend au café Rimbaud, je sais que tu ne viendras pas, j'écris dans un carnet de notes une chanson au crayon de feutre, en t'attendant" - Lucien Francoeur. J'ai toujours aimé les poètes, les écrivains je crois qu'il y a de la noblesse dans ce qu'ils font. Quelqu'un me demandait si je faisait de la poésie, j'ai répondus non j'en écris! Je crois que je vais plutôt me rendre à New-York qu'à Paris c'est moins loin et je crois que c'est la ville!!! La métropole du monde!!! J'attend pour partir, je vais peut être avoir une autre occasion en avion du moins je l'espère sinon ce seras l'autobus. Je réussis toujours à vous écrire quelque chose malgré tout, quand je finis je suis content. Je vous remercis d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard