mercredi 15 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Un peu de nouveau dans ma tanière du goulag occidental, un moniteur neuf... J'ai de la peine, je sais pas trop pourquoi, pourtant c'est un beau temps. J'ai le désir de partir je ne sais où, je me rapelle un voyage éprouvant sur la côte nord, cette côte fraîche et nuageuse le fleuve gris et le vent, j'étais déprimé et j'y ai laissé ma voiture, les épinettes et la roche, je savais pas quoi faire de ma vie. Je voulais coucher au poste de police provincial on m'a envoyé dans un endroit où j'aurais pu faire une thérapie mais j'étais incapable de comprendre. La soeur m'avait pourtant bien accueuillis auparavant j'avais loué une chambre dans un hôtel cheap où je suis pas resté. C'est un peu pour ça que je trouve important d'avoir mon chez moi tranquille avec des voisins tranquilles qui tappent pas sur le plancher toute la nuit. Triste quand j'ai pas de copine j'en veux une quand j'en ai une j'en veux pas. J'aime bien discuter en préparant et en mangeant un bon repas, pourtant les femmes m'ont fait souffrir je veux plus jamais revivre ça. Bon! J'étais partis écouter les actualités françaises. Ils sont honnête le dimanche ils laissent le supermarché vide sans personnel et aucun vol, on est pas dans le goulag occidental le supermarché Métro Plus se ferait vider faut comprendre dans le quartier les gens sont pauvres et ont faim quoi que j'en soupçonnerais quelques un de mettre la main sur des bouteilles de gros rouge. Je me souviens je me soignais avec ça au début du mois un litre de rouge et je me détendais ça m'aidais a vivre et je vous parle pas plus rare, des deux grosses mol tablette du matin,c'étais dégueulasse... Ça brasse en Grèce pendant que nous on récolte la meilleure note pour le pays, le Canada pourtant quand ils ont fait le décompte des itinérants à Montréal pas loin du goulag occidental y'avait au moins trois milles et quelques itinérants, l'itinérance c'est presque une industrie avec son journal, ses ressources, ses abris, ses groupes communautaires. Je sais vous aimerez pas ça que j'écrive ce fait. Le bas de la ville, downtown, ça toujours été l'endroit où on se rendait pour faire la fête, Montréal a encadrer ça avec le festival de Jazz, les francopholie et le festival de l'humour on imagine tout ce beau monde lâché lousse en attendant les feux d'artifices. Je sais pas trop ce que je veux raconter, les jeunes sérieux bossent et attendent pour fêter. Moi je suis vieux et blazé, je regarde les jets d'eau sur la place des spectacles. Voilà! Je vous laisse à vos b.b.q. et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 14 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui quatorze juillet fête des Français, la Bastille je crois. Je sais pas çe que ça vous fait quand vous entendez le chant des partisans, moi, ça m'émeut je trouve que les français ont mangé beaucoup de merde pour être là ou ils sont. Je suis francophile tout simplement parce que ma langue maternelle c'est pas le chinois mais bien le français. Mes racines elles sont là en France patrie de Molière et du grand chef de la résistance Jean Moulin.La France c'est un grand pays. Je sais pas si on peux parler du berceau de la civilisation moderne. Maître du chic avec Cartier, Dior, Chanel, Lagerfeld y'a quand même qu'une cité métropole française et c'est Paris. Paris mère des révolutions la dernière mai soixante huit avec son il est interdit d'interdire. Paris et ses pavés ses places ses monuments on ne se lasse pas d'admirer. Paris et ce qu'étais sa rive gauche ses cafés d'intellos ou on pensait le monde, comment ça s'appelait déjà La closerie des Lilas, Montmartre, Monparnasse le Sacré-Coeur, on dis que c'est une carte postale mais non ça vie Paris un café ou un petit blanc au bistro avant le boulot, les marchés sur les places on achète les primeurs. Je vais y retourner à Paris et essayer une autre fois de me perdre au Louvres. Je me vois avec mon Ipad assis à une terrasse a regarder les gens passés, les magnifiques parisiennes en mangeant un jambon beurre. Je suis pas gastronome mais la cuisine est quand même bonne quand au vin je bois pas d'alcool. Je vois le titi avec son béret, sa marinière et sa baguette sous le bras voilà je vous en pond des clichées c'est parce que je veux y retourner à Paris rue Mouffetard. Je me souviens plus dans quel café la fille m'appelait Gérard ça fait très beauf, je fait des voyages touristiques pas humoristiques Je pense au chanteur Renaud avec ses difficultées il est pas devenus autre chose que le beauf qu'il voulait pas être. Mistral gagnant-Renaud. Je pense à ce guitariste extraordinaire, du jazz en matinée très tôt place de la Contrescarpe c'étais magnifique et cet accordéoniste dans le métro qui jouais Mademoiselle de Paris mon premier rêve français. Je pense à André Malraux chargés des affaires culturelles sous DeGaulle c'est aussi ça la grandeur de la France, des valeurs sures on se trompe pas. Si y'a des français qui me lisent, bravo! Continuez! lächez pas!!! Vive la France!!! Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 13 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! On est lundi, je suis debout dans la nuit. J'ai la bouche sèche, le climatiseur viens de redémarrer.Le goulag occidental est tranquille.J'ai souvenir de m"être cassé une jointure en voulant frapper mon frère, il s'est tassé j'ai frappé le mur, quel idiot j'étais.Parfois j'ai plus rien à dire,il est là le défi composé a partir de rien.Je pense aux amis qui ne sont plus de ce monde, en vieillissant la mort approche on en est plus conscient c'est pour ça que je trouve important d'écrire, de laisser une trace pas une trace de brake dans le fond de mon pantalon mais une trace "littéraire".J'ai de la peine,j'aurai pas réussis a écrire un livre de mon vivant pourtant j'étais entouré de gars qui ont étudié aux arts graphiques. Ils ont tous pris une autre direction que l'imprimerie. Je pense à ce séjour à Wintapi le chalet que le "Boss" avait loué on a eu du plaisir c'était au même moment que ma fracture. La nuit comme ça j'essaye de rédiger,j'ai pas la magnifique écriture du Docteur Ferron, je me souviens dans mon enfance pendant les vacances du père être passé à Louiseville, je crois que c'est là qu'il y avait une grosse vache qui ris." Tant qui me resteras kèk chose dans le frigidaire, je prendrai le métro, je fermerai ma gueule, pis je laisserai faire"-Georges Langford. C'est ça aussi l'exil du Lac Saint-Jean ça m'a pris longtemps a arriver.Je me rappelle de Notre Dame du Cap, du Cap de la Madeleine,de Sainte-Anne-de-Beaupré,  de beaux sanctuaires un peu plus loin le monastère au Lac Bouchette et l'autre à Mistassini ces voyages là c'étais de vrai pélérinage avant la lettre. Le long chemin qui coupais la forêt en deux avec quelques cabanes des rivières et des lacs de chaque côté,on rêvait d'y pêcher de la truite.Les visites du village fantôme de Val Jalbert et du zoo de Saint-Félicien sans oublier de déguster le fameux fromage Perron. Ça c'étais une vacance mémorable de mon enfance, la baignade à Pointe-Bleue, l'eau froide du lac. Quand on passait à travers le bois j'aimais bien arriver dans les trépidantes villes du chemin du Roy.Je trouvais la noce longue, la circulation,  à Dolbeau quand on voyait des voitures qui se suivaient c'est parce qu'il y avait une noce. J'aimais aussi lire les panneaux publicitaires. J'arrivais en ville avec tout ce qu'elle a de beau et de mauvais. C'était une partie de mon enfance passé sur le siège arrière d'une voiture familiale, étonné ébahis, anxieux ne sachant pas ce qui m'attendais dans le goulag occidental. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard

dimanche 12 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Le temps passe vite, j'étais partis sur une montée de lait face à ma solitude du week-end. Je vous épargne ça, j'ai plutôt dormis et lu les actualités. Je suis un peu vieux pour faire l'écrivain généraliste.Il fait beau et chaud dans le goulag occidental ça rend la misère moins pénible. Je me souviens à Pointe-Saint-Charles d'une promotion ils donnaient des liqueurs douces ça avait tournée en échaffourrée, les femmes se prenaient à la gorge... Je cherche quoi vous écrire pense aux chroniques des professionels. Le matin comme ça je me sent pas, ai lu les chroniques de voyages dans LaPresser+ j'ai juste envie de partir. Ai fait la visite virtuelle de la maison au Mexique de mon lecteur de Deux Montagnes, ça donne envie de partir. Lentement je prend mon café Je suis vide pourtant c'est lourd après tout ça je vais téléphoner à la matriarcheé Je pense au palais du mégalomane Ceaucescu, la folie des grandeurs pour un petit peuple... Cette semaine j'ai regardé une émission sur la Polynésie française c'était d'une beauté je savais pas qu'ils avaient des oranges sauvages... Une autre émission sur une ville très touristique, des touristes russes en Thaïlande. Je voyais pas la Thaïlande développée comme ça. Je me fiait aux photos de mon lecteur chauffeur d'autobus, les thaïlandais et le pays reculé si je peux écrire, si il a besoin d'un partenaire pour un voyage qu'il me fasse signe. La solitude ça se passe surtout dans ma tête, je comprend les gens qui fuient dans toutes sortes d'activités et qui veulent pas se sentir veulent pas s'entendre. Cette voix là je vous l'écris ici parfois elle est muette, un copain me signalais la difficulté de faire confiance à sa petite voix quand on est paranoïaque, c'est vrai mais il faut toujours vérifier. Ce matin j'ai pas envie de terminer, je veux vous écrire un blog épique un blog qui finis pas, c'est bien ça épique! Mais je veux pas vous ennuyer. Mais oui je suis un Ti-Jos connaissant qui connais bein des affaires mais qui sait pas quoi faire avec. Je me dénigre je sais pas pourquoi. Je préfère qu'on me donne de la valeur et pas trop à ce que j'écris. J'attend que ça monte lentement j'écoute, le climatiseur ronronne. Je sais pas qui me lis vous êtes quand même pas des centaines.Ça marche quand même toujours dans ma tête je dois faire le choix de ce que je vais écrire et la façon de l'écrire. Ça sert un peu à ça mettre de l'ordre dans ce brouhaha cérébral. Je sais que vous aimez pas quand c'est trop long, je vous laisse donc en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 10 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pendant que les enfants jouent dehors, je reste chez moi, un chez moi climatisé. C'est étrange chaque fois que je commence a rédiger mon blog on entend la sirène du camion de pompiers. L'été je dessinais les emblèmes des équipesde la LNH. J'aimais les six équipes originales. Parfois on allait voir le match de baseball des Expos, j'ai vu jouer Rusty Staub et Pete Rose qui jouais pour  Cincinatti, il est même né là. Je pourrais vous défiler des noms de joueurs mais je crois que j'ai pas d'amateurs. On avait des bons sièges le long de la ligne de premier but. J'aimais bien les peanuts et les hot-dogs c'était au parc Jarry ça a fait revivre le quartier Villeray ou habitais des cousins. J'ai de la musique de Peter Gabriel dans la tête c'est assez complexe... J'essais de me souvenir du nom de la première brasserie sur Saint-Laurent pas loin de Crémazie, ma lectrice retraitée s'en souviens certainement. Fallait que je sois alcoolique me promener dans tant de débits de boissons. Les abreuvoirs comme écrivais le regretté Rocky Rhéaume Brisebois. Mack Jones on avait nommé les sièges du champs gauche en son honneur, Jonesville. Pourtant je regarde plus ça le baseball. Je préfère le football. Y'a un match ce soir... Toujours exilé dans le goulag occidental d'accord c'est pas un vrai exil comme celui de Jean Martin Aussant mais je peux pas croire que ma patrie elle est partout sur ce grand territoire. Ici c'est mon refuge l'endroit ou je me sent bien. Je sais que pour vous le goulag occidental c'est le faubourg à m'lasse, un quartier populaire rasé en partie par la construction de Rédio-Kénada. Dehors y'a le ronronnement d'une moto grosse cylindrée, y'a un parfum de soupe quand je vous écris j'essais de me contenter. J'ai toujours cette nostalgie du voyage pense à mes lecteurs de l'Outaouais qui sont bien chanceux avec leur Courailleuse. J'écris peut être un peu trop vite, l'enjeu c'est toujours d'écrire comment je me sent, à travers mes mots j'espère que vous saisissez mon état d'esprit. Je rédige, je rédige et ça vie peut être pas de la vie que vous voulez mais la mienne unique et aimée. Téléphone, téléphone mon bizou c'est du rock pas du biniou, une chanson dont je me rappelle plus les interprètes. C'est pas le regretté Alain Bashung et sa magnifique "Osez Joséphine". Comme toujours je sais pas comment terminer ça. C'était quelques mots pour vous tous. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 8 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je crois que je me tappe une dépression. Je me couche tard je me lève tard et ça me prend tout pour me mettre en train. La seule affaire qui tiens c'est l'écriture, ici et dans mes cahiers. Je lis et je regarde TV5 si vous saviez comme j'ai envie de partir. Pourtant j'ai tout pour être reconnaissant, je mange à tout les jours, j'ai un toît sur la tête que demander de plus. Il fait soleil! Je me plains pas mais j'irais dans le bois... C'est de la merde tout ce que je vous écris, j'attend la grâce de l'inspiration j'ai pas de muse autre que le goulag occidental. Ce soir j'ai mangé des hot-dogs avec un jus de légume,la télé fonctionne, Huard avec son chauffeur de taxi il est comique au début mais trop souvent comme cette pub ils vont le brûler. Moi y'a longtemps que j'ai pas rie. Je vous l'ai déjà dis j'ai pas le sens de l'humour surtout depuis que c'est devenus une industrie. Je me souviens de Denis Drouin qui empruntais toujours un deux à Olivier Guimond dans Cré Basile! C'est l'humour de mon enfance. Beaucoup plus tard y'a eu Paul et Paul et l'absurde déjanté. Je m'ennuis je sais je devrais pas il faut que je reste dans le moment présent. J'essaye trop d'être parfait. Les dessins animés c'étais bien aussi, Yogi l'ours, Roquet belles oreilles, Bugs Bunny, Road Runner, les Pierrafeux mais je ne rie plus ne feuillette même plus les bandes dessinées ça aussi c'étais drôle, Tintin, Astérix, Achille Talon, Lucky Luke, Kid Ordinn, les maisons Castermans et Dargaud chez les américains DC comics et Marvel comics. Maintenant je lis de la vrai littérature. Je vous les ai pas tous nommé mais je ne lis pas ce qu'on appelle maintenant des romans graphiques. Y'a quand même de grands dessins pour les adultes. Heavy Métal, Métal Hurlant, Corto Maltese et un peu plus drôle Andy Capp et Snoopy le chien Philosophe. Ce qui me déprime c'est de ne plus avoir assez de temps il file et file et je n'arrive pas à tout lire tout voir je me décourage parfois je reviens sur des choses que j'ai déjà lu, déjà vues c'est comme je vous le disait au début TV5 et un rêve de la France. Je sais je suis un pauvre type qui n'a pas su faire fortune. Disont que je suis un peu un héros pathétique de Hara-Kiri bête et méchant et un peu pornographique là je pense à Robert Crumb un des grands dessinateurs underground. Je sais pas ce que j'ai essayé de vous écrire là. "Je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre"-Charles Aznavourian. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 7 juillet 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir j'ai de la difficulté a vous écrire parfois le goulag occidental m'apparait pas assez grand. J'apprend des choses que j'ai pas besoin de savoir. Comment vous écrire ce soir, je partirais pour Paris quand on veux écrire en français c'est là qu'il faut être? Ma vie se passe entre le bruit du balai brosse et celui des motos... Immense sentiment de solitude ça reviens et ne me quitte jamais... Psychotique avant l'heure j'écoutais Tubular Bell dans le sous sol chez mon regretté père. J'essaye d'être simple je crois que c'est ce qu'il aurais voulu, travailler ramener l'argent pour le loyer la nourriture et les habits et le reste pour les soirées de loisirs telle était sa façon de vivre. C'étais pas un sentimental ça ne l'aurais pas intéressé de savoir que j'ai arrêté de boire, de consommer ces mondes là étaient à des milliers d'univers du sien. Maintenant c'est moi le vieux bonhomme, il est trop tard pour recommencer ma vie. Je m'en fait une en rabouttant mon passé et pense au présent. Je veux pas débâtir ce que les autres ont mis des années a bâtir. Quand même j'ai toujours eu la tête dans les nuages que ce soit les nuits dans le vieux-montréal, sur la rue Saint-Denis ou dans ce bar du centre-sud. Je préfère écrire devant l'écran que boire en regardant ma sale gueule dans le miroir ouais! Narcisse! J'ai bu aussi sur la rue Saint-Laurent dans des bars ou je comprenais rien de ce qui se disait et ou tout ce que je faisait c'est de commander de la bière. Trompez vous pas! Je regrette pas cette époque j'étais pas du monde juste assez fou pour coucher sur le trottoir. "Que sont mes amis devenus que j'avais de si près tenus et tant aimés"-Ruteboeuf. Les frasques et les bêtises c'est moi qui les faisait. Je comprend qu'ils m'aient laissé tomber. Ce soir les balançoires grincent, c'est l'été, il fait chaud les amateurs de terrasse et d'apéritif s'en donnent à coeur joie. Moi on veux plus me voir là et c'est bien comme ça... Je veux juste que vous sachiez que maintenant j'essaye d'être honnête. Je vous ai déjà écris là dessus on se réinvente pas, on se refait pas, c'est la vie qui continue. Tout a l'heure je me suis pris au piège de la nostalgie. Je dois pas faire ça ma vie d'aujourd'hui est cent fois meilleures que tout ce que j'aurais pu espérer, j'étais une épave un drifter comme disait le gars. Comme le phénix je renait de mes cendres. En tout cas désespérez pas. Je suis content de vous écrire merci d'avoit lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard