samedi 20 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Debout au milieu de la nuit de vendredi à samedi.Comme toujours le goulag occidental est calme.Y'a que le casino qui est encore ouvert mais qu'est ce qu'on fait quand on y a dilapider sa fortune? On traverse le pont de la Concorde à pieds ou le pont Jacques-Cartier,une longue marche dénigrante ou on se traite de moins que rien. Des idées de suïcide nous passent par la tête, on vas aller voir pour une dernière fois le shylock, mon numéro, ma combine ça ne peux être que la bonne, c'est la dernière fois on partiras les poches pleines en attendant on vas essayer un gratteux. Vous inquiètez pas, c'est pas moi, je suis pas gambler, le hasard feras jamais ma fortune. J'ai démarré le climatiseur. J'essais d'écouter ce qui se passe en moi, je respire fort mon souffle sile. Je pense à me raser. La climatisation indique vingt deux degrés.Je bave mon café sur ma poitrine. J'ai un trou dans mon sous-vêtements nous voilà dans l'intime domestique... Dehors il fait pas tout a fait noir les lampadaires éclairent... Les grillages empêchenr de se jeter au bas du pont et même là on est pas sur de réussir on peut en sortir handicapé, diminué c'est encore pire de pas réussir sa sortie en attendant je me me parle, mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes sait que je suis capable de me parler. Le psy lui disait "ça se raisonne" s'agit de pas avoir de raisonnement fallacieux. Dehors une patrouille de police passe, sirène et gyrophare. Toujours le même questionnement, devient on écrivain a écrire un blog. Les poètes les écrivailleux on a pas besoin de ça on préfère les avocats et les comptables faut faire nos frais comme on dis. "C'est tu pour ça que les gensses honnêtes qui suivent la loi le nez dans le cul"-Richard Desjardins. Une odeur de frites vinaigrés, quand la nuit de beuverie se termine souvent on a faim... En entrant dans ce qui nous reste de chez soi on fait le bilan monétaire on fouille nos poches pour savoir si on a encore assez d'argent pour commander a manger. Je cherche une façon de créer originale. J'en ai pas trouvé d'autre que l'écriture sur ce grand babillard. Je crois que certains poètes veulent garder les mots pour eux seul, le langage pour eux c'est une chasse-gardée et je reviens toujours aux innombrables analphabètes, gambler, analphabètes et tout les défauts du monde voilà ou me mène mon insomnie.Je vous conseille pas de parier un petit deux sur moi. Je suis hors-compétition. Voilà je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 18 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Comme souvent je suis debout au milieu de la nuit. Me suis fait un café et je vous écris.Depuis les guerres avec l'étât islamique, Daesh si vous voulez et le conflit en Ukraine on entend plus parler de l'amérique du sud. À part ce rapprochement des U.S.A  et de Cuba.Je pense à ces charniers découverts au Mexique, à ces étudiants disparus, on devrais boycotter les produits mexicains les sortir de l'A.L.E.N.A. Je suis quand même certain qu'on va accueillir des travailleurs agricole mexicains. Au goulag occidental ce sont les cols bleu qui jardinent et c'est bien comme ça..Vous vous demandez surement ou je veux en venir, bein non j'irai pas ramasser des fraises au mois de juillet, travailleur agricole c'est pas ma tasse de thé bien que je déteste pas l'odeur des vaches, d'une bouse de vache. Je suis loin de l'urbanité ce matin des erreurs sur mon rapport d'Impôt. Je sais pas si vous vous souvenez de la petite ferme du parc Lafontaine aujourd'hui le parc accueille une autre espèce d'animal... Faites vous pas soigner par un interne qui viens de McGill le programme de médecine est en "probation" ... Histoire de justice et d'écurie avec Cavalia... Dehors j'entend une voiture qui ronronne et du drum'n'bass. La matriarche semble bien se rétablir. Dans les actualités qui me contredisent, ils parlent de Carmen Quintana et du Chili... Je crois qu'il y a deux cent ans c'étais Waterloo pour ceux qui savent pas ce que c'est, Napoléon perdais la bataille et la guerre. Quand on lis l'histoire avec un grand H c'est toujours très violent, les avancées se font souvent dans le sang. Je pense allés a New-York ça me prend du temps avant de me décider, y'a Chicago aussi qui est à voir mais ce que je préférerais c'est prendre l'avion... C'est toujours la nuit, j'entend un skateboard, il est trois heure on ferme!!! Last call!!! Donnez nous une petite chance!!! Et ceux qui restent ont commandé deux bières pour faire durer la nuit. Ils sortiront en essayant de trouver un bar clandestin ouvert toute la nuit c'est pas des endroits très fréquentables on y retrouve tout ce qu'il y a de paumé dans un quartier. Après avoir passé des nuits au bar devant des bouteilles et un miroir voilà maintenant que je suis devant un écran et que je ne m'y vois qu'en caractère ordiné. Je sais pas si j'ai réussis a vous entretenir comme dans entertainement mais je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 16 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui c'est comme si le désir d'écrire est disparu, du coup, j'emprunte cette expression là à nos cousins français, du coup je  manque d'inspiration. J'ai le sentiment que certaines personnes me remplissent comme une valise Je vous dis souvent que c'est une question de transpiration. La climatisation me garde peut être trop au frais. La pluie qui tombait sur le goulag occidental a cessé, les nuages passent et moi j'en pellete, un pelleteux de nuage voilà ce que je suis. Je rêve quand même de la commune mais dans l'histoire américaine ça a brisé trop de vie. Je pense d'une autre façon a ces jeunes qui se tournent vers l'Islam, je crois que c'est parce que l'idéal de gauche a pas remplis ses promesses. C'est pas très clair ce que je vous écris là c'est un peu Marx versus Le Coran. J'ai un peu peur d'écrire là dessus, les intégristes frappent un peu partout. J'essais d'articuler une réflexion, on a déjà dis que la religion c'est l'opium du peuple, L'islam aide pas à l'émancipation, y'a ce groupe de femmes québéquoises qui ont décidé de militer maintenant hors des structures politiques. Je crois qu'elles ont sentis un recul et je les appuis c'est pas simple je suis un homme et je prendrai pas les armes je connais pas le maniement et pour moi une mort quelle quelle soit est toujours une mort de trop. Je veux écrire aussi que je suis pas un grand penseur ce que je vous écris ça déboule de ma tête bien installé dans le goulag occidental. Préposé à l'entretien ménager j'ai pas réussis a faire ça. Je me suis réfugié dans les livres et les lettres et tout ce que j'ai a vous vendre c'est ce que je vous écris là. J'ai pas peur de finir en enfer et quand j'éclusait de la bière comme les bâteaux éclusent de l'eau on m'appelait le pur, l'alcool et les larmes... Ça se tiens pas ce que je vous écris, j'aimerais bien que ce soit à gauche pourtant toute les fois que j'ai eu affaire à la bureaucratie gouvernementales ça été un échec. Lentement le temps redeviens sombre, je devrais m'en tenir au vivre et laisser vivre mais ma vie je choisis de l'écrire même si parfois c'est une faillitte. Il me reste encore quelques lignes, je suis nobody hé oui! Vous lisez n'importe qui on sort pas d'Harvard ni de Yale non plus d'Oxford et pas même de L'UQAM... J'étais incapable d'étudier dans les structures mais je crois quand même que tout est écris on savait avant moi que je deviendrais un écrivain de seconde zone. Voilà! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 14 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est la foire du Bourget qui débute! Des avions Airbus et Boeing a vendre en quantité astronomique. J'aime beaucoup les avions, bientôt je vais me trouver une destination. J'adore aussi dans le ciel ce long fil blanc de condensation qui suit un appareil. J'ai des lecteurs qui travaillent dans l'industrie aéronautique, c'est bien! On sait qui travaille conscienscieusement. Ce soir les nuages sont revenus, le week-end se termine mes lecteurs sont pas tous des fans d'avions y'en a qui trippent sur ce qu'on appelle des fifth-wheel. Ce soir c'est un peu la chronique de tout le monde.Je sais pas si mon lecteur de Deux-Montagnes va toujours au Nicaragua sur le site de douane Canada ils disent que c'est dangereux, beaucoup d'armes à feu... Dehors dans le parc ça joue au ballon rond. Ma lectrice de l'outaouais m'écrivais à propos de la chanson, Maybe I am amazed que je traduirais par Je suis peut être tellement étonné de Paul McCartney sur un de ses albums solo. Une chanson d'amour immortelle presque un ver d'oreille quoi de mieux pour commencer votre semaine de boulot. Comme photo cette semaine je vais placer le nom d'un album des Beatles, Abbey Road antérieur à l'album solo. Les Beatles on les aimait tellement on étais pas de la génération d'Elvis et les Rolling Stones faisait un petit peu trop bourgeois décadent mais j'en suis vite venus a préférer les originaux, le regretté B.B.King. l'antédiluvien Robert Johnson, Willie Dixon, Papa John Creach et tout les anglais qui ont été influencé par les bluesmens d'origine. Le blues c'est les champs de cotton et plus tard la vie urbaine et ses workshops à Chicago et ailleurs. Le blues je l"ai tellement souvent, je me sent bleu comme un ciel de nuit en ville sans étoiles autre que celles qui brillent par la musique. Je pense aussi à Robert Cray ou au texas blues du regretté Stevie Ray Vaughn, une guitare distordue et pesante excellente. Je pense aussi à l'ami Louis Janelle de Montréal qui puise son inspiration aux racines. Si vous faites attention vous pourrez le voir à l'affiche dans un bluesbar d'ici. La musique qui nous accompagne c'est grand, j'avais un copain qui ne parlait que de payola comment on payait pour qu'une toune joue en boucle et se retrouve au palmarès. Faut dire que le blues c'est pas une musique de Juke-box. Pour terminer un petit salut à Lucille la guitare de B.B.King et à son homonyme l'amie très chère. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 13 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'arrive d'une longue marche à travers le goulag occidental, me suis rendus au parc Lafontaine un des joyaux du plateau. Depuis hier je pense à La Défense  à Paris c'est grand et pas très vert. Hier à la télé j'ai vu un grand artiste marocain qui préfère l'anonymat, c'est bien et en y repensant je crois que moi aussi je préfère ça. Quand tu te pose comme écrivain, artiste certains veulent te couper les couilles. Ils manquent tellement de confiance en eux, se font tellement chier à leur travail qu'ils dénigrent tout le monde artistique. C'est que mon avis ça vaux pas grand chose vous me direz t'est pas un vrai artiste mais c'est quoi un vrai artistes quelqu'un qui s'habille de façon excentrique? Les bobos du plateau...  Je vais préparer un macaroni à la viande, les filles sont quand même jolies l'été quand on vois un peu de peau mais parfois un peu trop de tatous. Écrire c'est ma discipline, je l'exerce le plus souvent possible. J'aimerais bien avoir encore des souvenirs pour ma lectrice retraitée campeuse de l'outaouais. Je pense à Pearl Buck, des lectures communes. Je fait bouillir de l'eau pour les pâtes, je tombe dans le domestique... À la maison dans ma jeunesse on aimait bien les Beatles, Yesterday c'est une sapré belle chanson. McCartney semble très heureux de son oeuvre, il a raison c'est un beau bonhomme qui a écris et composé de belles choses. Dehors j'entend quelqu'un rire, le climatiseur s'est arrêté il fait frais. Les macaronis sont dans l'eau, ça vous intéresse pas, je vais tailler un oignon et faire cuire de la viande, voilà comme écrivain je suis digne de Ricardo, les recettes un peu plus simple. Bientôt ce seras le temps du déménagement, une tradition montréalaise, le premier juillet, ce week-end quelques un s'y sont pris d'avance. J'écris comme je parle c'est pas terrible. L'eau qui bouille chauffe le studio. Le ciel est remplis de cumulus pas de cunningo... Enfin, je suis toujours dans la niaiserie. Je pense à mon lecteur champion de pétanque qui a pris la peine de téléphoner je lui dis merci! Au supermarché j'ai rencontré le très sympathique ami Jacques on a eu une petite discussion sur l'austérité, on est d'accord tout les deux y'en a de l'argent on le dépense pas à la bonne place on préfère subventionner les multinationales. Bon! Bon! Je vais cuire la viande m'occuper de l'oignon. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 11 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui j'ai mal. Je sais pas pourquoi je pleurerais. Vous voyez y'a de ça une incapacité a conjuguer le verbe pleurer. Je suis triste, la vie m'ennuis. Le temps gris m'épuise. J'aimerais ça avoir quelqu'un a qui parler, les larmes me montent aux yeux... Je pense à tout ces gens croisés qui voulaient mon mal je crois. Y'a un peu de maladie là dedans je crois. Je pense à Isabelle Boulay à son "Saule inconsolable" c'est une chanson, je sais la vie c'est pas une chanson.Je me relis j'ais écris deux fois je crois, y'a un peu de foi là dedans... C'est un triste jeudi, sans raison comme ça avec une sorte de désespoir que je voudrais parfois poétique mais le mal ça fait crever, ça fait douter. Je ne sais plus, j'ai jamais su du fond de mon ignorance je suis blessé, j'ai le coeur magané... Les dîplomes de l'université de la vie quand on les a il est trop tard c'est déjà l'âge de la nuit. Je suis une vieille bourrique, une vieille mûle qui n'en fait qu'a sa tête... Parfois le soleil perce cet après midi j'ai la tête dans la brume. Je sais vous lisez  et mes larmes sont tarries. J'aurais aimé avoir le talent de Saint-Denis Garneau ou d'Alain Grandbois mais je suis qu'un pauvre type que la poésie a abandonné et qui vire la terre sans voir rien poussé. Méthaphore jardinière même pas agricole, le goulag occidental est pas cultivable comme moi qui donne les apparences de la culture mais qui au fond est un parfait ignare. Je veux trop faire beau mais c'est comme le poisson défraichis, ça pue. Un jour j'irai me perdre sur les rives du fleuve me laisserai emporter par son eau grise vers les îles de Sorel. Noyé je serai noyé sans conscience et on repècheras ma carcasse bouffis et envahie par les vers. Je vous écris comme ça sur ma fin, c'est rien de joyeux mais vous en faites pas aujourd'hui la mort je la tiens loin  c'est une sorte de muse du genre qui reviens quand on s'y attend le moins... Le cinéaste intellectuel disait que je suis un neurasthénique, va pour ça, on a pas tous ses moyens savants. Si j'étais un bon écrivain ça se saurais, je veux pas publier à compte d'auteur. J'essais toujours de laisser une trace de ce que je vie, de ce que j'ai vécu... Non! Non! Je suis pas Émile même si je fréquente l'institut. J'ai pas le talent de ses derniers écrits comme le poète défraichis je répète je répète sans savoir ce que je dis.Maintenant j'attend la nuit, je regarderai le tube pour me laisser emporté. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 10 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin on répond à la demande d'une charmante personne qui voulais lire mon blog. J'ai été très touché d'entendre Monsieur Aussant parlé d'exil aux funérailles de Monsieur Parizeau. Hé oui! La maladie nous exile de nous même et c'est parfois difficile de se refaire une patrie. J'ai pas envie d'écrire de niaiseries là dessus. Je suis rentré à la maison, le goulag occidental ça fait vingt ans que j'en ai fait ma patrie, mais oui c'est le faubourg à m'lasse. J'y ai mes habitudes. Ce matin je ne sais trop quoi vous écrire après cette vague de ressentiment que je ne peux me permettre. J'écoute ce que mon âme dis pour revenir au sentis. Quand j'écris je veux vous plaire et m'amuser. C'est toujours une tentative de réconciliation, un questionnement pour le mieux. Je suis pas philosophe mais j'espère être écrivain, vivre en plein jour malgré les dénigrements. Ce matin j'entend les voisins discuter, il est midi j'ai pas dîné. Je bûche pour vous écrire, j'ai gossé avec le climatiseur. J'ai reçu un courriel d'une Berlinoise qui veux devenir mon amie, je trouve ça lôuche. Je préfère de beaucoup les vrais amis aux amis virtuel. Cette nuit j'ai dormis et j'ai lu une histoire populaire de l'amérique latine, un carnage, une spoliation et l'histoire est supposée avançée grâce à ça on parleras pas du Mexique et d'autres étâts qui sont toujours sanguinaires. Soudain j'entend un avion qui passe au dessus du goulag occidental. Comment on dis je parle aussi espagnol? Yo tambien habla espanol? Yo soy Bernard. Je suis mûr pour me rendre à Cuba. Avec la réconciliation je crois que les choses vont aller mieux mais je suis pas sur que c'est ce que les cubains de Miami pensent. Voilà je baragouine deux trois mots et je suis prêt a faire des discours fleuve comme ceux de Fidel Castro. "Yo no soy marinero, soy capitan" un vieux hit des années cinquante sans parler de Carlos Santana l'extraordinaire guitariste avec sa Black Magic Women. Bein non! J'irai pas danser la salsa dans les boîtes de nuit. Je l'ai déjà fait. Je crois être mieux en plein jour au soleil avec peut être une gentille organisatrice. Y'a aussi le Blue jeans sur la plage un autre succès d'été. Aujourd'hui il fait très beau, je pense toujours aux antilles. Je fait pas ça trop long je veux en profiter pour aller jouer dehors."Soleil, soleil, soleil, leil..." Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! Je vous reviens bientôt, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard