dimanche 14 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est la foire du Bourget qui débute! Des avions Airbus et Boeing a vendre en quantité astronomique. J'aime beaucoup les avions, bientôt je vais me trouver une destination. J'adore aussi dans le ciel ce long fil blanc de condensation qui suit un appareil. J'ai des lecteurs qui travaillent dans l'industrie aéronautique, c'est bien! On sait qui travaille conscienscieusement. Ce soir les nuages sont revenus, le week-end se termine mes lecteurs sont pas tous des fans d'avions y'en a qui trippent sur ce qu'on appelle des fifth-wheel. Ce soir c'est un peu la chronique de tout le monde.Je sais pas si mon lecteur de Deux-Montagnes va toujours au Nicaragua sur le site de douane Canada ils disent que c'est dangereux, beaucoup d'armes à feu... Dehors dans le parc ça joue au ballon rond. Ma lectrice de l'outaouais m'écrivais à propos de la chanson, Maybe I am amazed que je traduirais par Je suis peut être tellement étonné de Paul McCartney sur un de ses albums solo. Une chanson d'amour immortelle presque un ver d'oreille quoi de mieux pour commencer votre semaine de boulot. Comme photo cette semaine je vais placer le nom d'un album des Beatles, Abbey Road antérieur à l'album solo. Les Beatles on les aimait tellement on étais pas de la génération d'Elvis et les Rolling Stones faisait un petit peu trop bourgeois décadent mais j'en suis vite venus a préférer les originaux, le regretté B.B.King. l'antédiluvien Robert Johnson, Willie Dixon, Papa John Creach et tout les anglais qui ont été influencé par les bluesmens d'origine. Le blues c'est les champs de cotton et plus tard la vie urbaine et ses workshops à Chicago et ailleurs. Le blues je l"ai tellement souvent, je me sent bleu comme un ciel de nuit en ville sans étoiles autre que celles qui brillent par la musique. Je pense aussi à Robert Cray ou au texas blues du regretté Stevie Ray Vaughn, une guitare distordue et pesante excellente. Je pense aussi à l'ami Louis Janelle de Montréal qui puise son inspiration aux racines. Si vous faites attention vous pourrez le voir à l'affiche dans un bluesbar d'ici. La musique qui nous accompagne c'est grand, j'avais un copain qui ne parlait que de payola comment on payait pour qu'une toune joue en boucle et se retrouve au palmarès. Faut dire que le blues c'est pas une musique de Juke-box. Pour terminer un petit salut à Lucille la guitare de B.B.King et à son homonyme l'amie très chère. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 13 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'arrive d'une longue marche à travers le goulag occidental, me suis rendus au parc Lafontaine un des joyaux du plateau. Depuis hier je pense à La Défense  à Paris c'est grand et pas très vert. Hier à la télé j'ai vu un grand artiste marocain qui préfère l'anonymat, c'est bien et en y repensant je crois que moi aussi je préfère ça. Quand tu te pose comme écrivain, artiste certains veulent te couper les couilles. Ils manquent tellement de confiance en eux, se font tellement chier à leur travail qu'ils dénigrent tout le monde artistique. C'est que mon avis ça vaux pas grand chose vous me direz t'est pas un vrai artiste mais c'est quoi un vrai artistes quelqu'un qui s'habille de façon excentrique? Les bobos du plateau...  Je vais préparer un macaroni à la viande, les filles sont quand même jolies l'été quand on vois un peu de peau mais parfois un peu trop de tatous. Écrire c'est ma discipline, je l'exerce le plus souvent possible. J'aimerais bien avoir encore des souvenirs pour ma lectrice retraitée campeuse de l'outaouais. Je pense à Pearl Buck, des lectures communes. Je fait bouillir de l'eau pour les pâtes, je tombe dans le domestique... À la maison dans ma jeunesse on aimait bien les Beatles, Yesterday c'est une sapré belle chanson. McCartney semble très heureux de son oeuvre, il a raison c'est un beau bonhomme qui a écris et composé de belles choses. Dehors j'entend quelqu'un rire, le climatiseur s'est arrêté il fait frais. Les macaronis sont dans l'eau, ça vous intéresse pas, je vais tailler un oignon et faire cuire de la viande, voilà comme écrivain je suis digne de Ricardo, les recettes un peu plus simple. Bientôt ce seras le temps du déménagement, une tradition montréalaise, le premier juillet, ce week-end quelques un s'y sont pris d'avance. J'écris comme je parle c'est pas terrible. L'eau qui bouille chauffe le studio. Le ciel est remplis de cumulus pas de cunningo... Enfin, je suis toujours dans la niaiserie. Je pense à mon lecteur champion de pétanque qui a pris la peine de téléphoner je lui dis merci! Au supermarché j'ai rencontré le très sympathique ami Jacques on a eu une petite discussion sur l'austérité, on est d'accord tout les deux y'en a de l'argent on le dépense pas à la bonne place on préfère subventionner les multinationales. Bon! Bon! Je vais cuire la viande m'occuper de l'oignon. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 11 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui j'ai mal. Je sais pas pourquoi je pleurerais. Vous voyez y'a de ça une incapacité a conjuguer le verbe pleurer. Je suis triste, la vie m'ennuis. Le temps gris m'épuise. J'aimerais ça avoir quelqu'un a qui parler, les larmes me montent aux yeux... Je pense à tout ces gens croisés qui voulaient mon mal je crois. Y'a un peu de maladie là dedans je crois. Je pense à Isabelle Boulay à son "Saule inconsolable" c'est une chanson, je sais la vie c'est pas une chanson.Je me relis j'ais écris deux fois je crois, y'a un peu de foi là dedans... C'est un triste jeudi, sans raison comme ça avec une sorte de désespoir que je voudrais parfois poétique mais le mal ça fait crever, ça fait douter. Je ne sais plus, j'ai jamais su du fond de mon ignorance je suis blessé, j'ai le coeur magané... Les dîplomes de l'université de la vie quand on les a il est trop tard c'est déjà l'âge de la nuit. Je suis une vieille bourrique, une vieille mûle qui n'en fait qu'a sa tête... Parfois le soleil perce cet après midi j'ai la tête dans la brume. Je sais vous lisez  et mes larmes sont tarries. J'aurais aimé avoir le talent de Saint-Denis Garneau ou d'Alain Grandbois mais je suis qu'un pauvre type que la poésie a abandonné et qui vire la terre sans voir rien poussé. Méthaphore jardinière même pas agricole, le goulag occidental est pas cultivable comme moi qui donne les apparences de la culture mais qui au fond est un parfait ignare. Je veux trop faire beau mais c'est comme le poisson défraichis, ça pue. Un jour j'irai me perdre sur les rives du fleuve me laisserai emporter par son eau grise vers les îles de Sorel. Noyé je serai noyé sans conscience et on repècheras ma carcasse bouffis et envahie par les vers. Je vous écris comme ça sur ma fin, c'est rien de joyeux mais vous en faites pas aujourd'hui la mort je la tiens loin  c'est une sorte de muse du genre qui reviens quand on s'y attend le moins... Le cinéaste intellectuel disait que je suis un neurasthénique, va pour ça, on a pas tous ses moyens savants. Si j'étais un bon écrivain ça se saurais, je veux pas publier à compte d'auteur. J'essais toujours de laisser une trace de ce que je vie, de ce que j'ai vécu... Non! Non! Je suis pas Émile même si je fréquente l'institut. J'ai pas le talent de ses derniers écrits comme le poète défraichis je répète je répète sans savoir ce que je dis.Maintenant j'attend la nuit, je regarderai le tube pour me laisser emporté. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 10 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin on répond à la demande d'une charmante personne qui voulais lire mon blog. J'ai été très touché d'entendre Monsieur Aussant parlé d'exil aux funérailles de Monsieur Parizeau. Hé oui! La maladie nous exile de nous même et c'est parfois difficile de se refaire une patrie. J'ai pas envie d'écrire de niaiseries là dessus. Je suis rentré à la maison, le goulag occidental ça fait vingt ans que j'en ai fait ma patrie, mais oui c'est le faubourg à m'lasse. J'y ai mes habitudes. Ce matin je ne sais trop quoi vous écrire après cette vague de ressentiment que je ne peux me permettre. J'écoute ce que mon âme dis pour revenir au sentis. Quand j'écris je veux vous plaire et m'amuser. C'est toujours une tentative de réconciliation, un questionnement pour le mieux. Je suis pas philosophe mais j'espère être écrivain, vivre en plein jour malgré les dénigrements. Ce matin j'entend les voisins discuter, il est midi j'ai pas dîné. Je bûche pour vous écrire, j'ai gossé avec le climatiseur. J'ai reçu un courriel d'une Berlinoise qui veux devenir mon amie, je trouve ça lôuche. Je préfère de beaucoup les vrais amis aux amis virtuel. Cette nuit j'ai dormis et j'ai lu une histoire populaire de l'amérique latine, un carnage, une spoliation et l'histoire est supposée avançée grâce à ça on parleras pas du Mexique et d'autres étâts qui sont toujours sanguinaires. Soudain j'entend un avion qui passe au dessus du goulag occidental. Comment on dis je parle aussi espagnol? Yo tambien habla espanol? Yo soy Bernard. Je suis mûr pour me rendre à Cuba. Avec la réconciliation je crois que les choses vont aller mieux mais je suis pas sur que c'est ce que les cubains de Miami pensent. Voilà je baragouine deux trois mots et je suis prêt a faire des discours fleuve comme ceux de Fidel Castro. "Yo no soy marinero, soy capitan" un vieux hit des années cinquante sans parler de Carlos Santana l'extraordinaire guitariste avec sa Black Magic Women. Bein non! J'irai pas danser la salsa dans les boîtes de nuit. Je l'ai déjà fait. Je crois être mieux en plein jour au soleil avec peut être une gentille organisatrice. Y'a aussi le Blue jeans sur la plage un autre succès d'été. Aujourd'hui il fait très beau, je pense toujours aux antilles. Je fait pas ça trop long je veux en profiter pour aller jouer dehors."Soleil, soleil, soleil, leil..." Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! Je vous reviens bientôt, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 8 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'essais de vous raconter ma journée d'hier, l'abrutis qui était en réunion avec nous. Il était tout comme le chauffeur de taxi de la pub à la télé. Il pointais les gens du doigt mais contrairement au pesonnage de la télé il est incapable de s'exprimer et comprend pas la façon de fonctionner du groupe. Il parle sans gêne remplis de son ignorance. Je dirais que sa façon d'être est schizophrénique et criminelle. Il dis que le site de l'institut est sa deuxième maison si j'étais lui j'en ferais ma première. C'est difficile a décrire sa façon d'être mais son expression blesse. J'ai eu beau essayer de l'accepter mais j'en étais incapable ça lui prendrais des cours de savoir vivre et un minimun de politesse.  Bon! J'arrête là pour ma journée d'hier quand je suis rentré il pleuvait et un homme urinait dans la cabine téléphonique c'étais vraiment pas ma journée. Un taré qu'il faut accepter. J'ai mis ma participation aux comités en jeu, aux réunions du groupe aussi. J'ai dis que si il se présentais aux prochaines réunions je serais pas là, je quitterais. Je sais bien qu'on ne dois exclure personne mais y'a des choses dans la vie que malade mental ou pas il faut savoir. Le respect faut en avoir aussi en tant que patients...Cette nuit je suis dans mon goulag occidental, je cherche a vous dire comment je suis désemparé comment je le répète y'a des façons d"être qui me font mal, brutale et sans conscience. Ce gars là seras pas toujours dans un milieu de santé mentale, il s'est trouvé une job mais je crois pas que sa façon d'être va lui permettre de la garder longtemps, il va lui arriver malheur... C'est triste d'être impuissant devant la folie malsaine de l'autre, de voir tout ces gens qui l'entourent incapable de le placer. Je sais pas pourquoi je perd mon temps a écrire sur un cave pareil. J'arrête là! Et je remercis mon lecteur de Deux-Montagnes qui m'a renseigné sur ces moteurs de spam qui font que ça signale une couple de centaines de hits. Je vais garder en tête que j'ai au maximun vingt cinq lecteurs. C'est toujours la nuit le goulag occidental est tranquille. Je me suis couché tôt dans la soirée et je vous écris comme souvent de ma nuit. J'ai dormis un peu ça soulage la douleur que j'avait hier. " le frigidaire fait bien du bruit" les blues passent pu dans porte -Breen Leboeuf. Je pense toujours au voyage je crois que je vais téléphoner à l'agent de voyage pour savoir ce qui est pas trop cher. Je termine donc là dessus en vous demandant une prière pour votre humble serviteur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 7 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! En direct du goulag occidental.J'ai toujours le voyage en tête. Je me cherche un endroit ou aller pour quelques jours pourtant il fait chaud dans le goulag. J'ai souvenirs de ces courts voyages en auto-stop.La dernière fois je m'étais rendus ceuillir des pommes à Frelishburg,le pomiculteur et s.v.p. ne pas confondre avec l'apiculteur donc le pomiculteur était pas content de mon travail au bout de deux jours il m'a renvoyé... C'est pour ça que j'ai toujours détesté manger des pommes. J'ai pas pu ramassé ce que je mange maintenant en un an. Bientôt les mexicains vont être là et moi je partirais bien pour l'amérique du sud. Je crois que je vais attendre à l'automne. Tiens ce soir je vous écris pas de mon monde intérieur, je me sent seul et cette solitude me pèse,dehors dans le parc ils jouent au soccer. Je sais l'ennuis faut pas mentionner ça c'est pas bien, je sais pas pourquoi? Je devrais toujours être reconnaissant pourtant... Ce soir j'ai mangé des tacos au sans-viande hachée mexicain y'a rien de plus végétalien. C'est comme toujours le dimanche demain on rentre au travail, le week-end c'est jamais assez long mais j'aime quand même mes réunions du lundi matin. Les gens honorables vont travailler le lundi reste quand même qu'il y a de beaux salauds aussi dans le monde du travail. Ils appellent ça le marché du travail faut se vendre avec nos compétences moi j'en ai pas d'autre que celle là l'écriture. J'ai pas envie de connaitre encore une fois l'échec c'est pour ça que je m'en tiens à ça. J'ai cinquante huit ans bientôt cinquante neuf c'est l'âge de la retraite mais il me semble que j'ai jamais été aussi actif. J'arrive pas ce soir a vous décrire mon monde intérieur, c'est calme pas trop agité ni angoissé. J'ai des mauvais souvenirs mais je reviens pas sur le passé. Quand je cherche comme ça quoi vous écrire ça m'occupe. J'ai le ciboulot moins agité, la ciboulette moins fanée, j'ai un drôle de sentiment d'une ville étrangère je ne sais laquelle, Paris? Milan? Londres? J'en cherche une nouvelle Madrid? Barcelone? Athènes? J'irais pas pour me sauver de moi mais plutôt pour aller à ma rencontre me connaitre un peu plus dans la solitude d'une ville étrangère. Je sais c'est pas comme partir pour l'Amazonie ou le Népal mais c'est s'éloigner des habitudes du goulag occidental. Bon! Faites donc une prière pour moi que j'arrive à mieux me trouver. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 5 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Suis de retour devant l'écran pour vous écrire. La nuit est tranquille au goulag occidental. Je me rappelle qu'on avait tous hâte aux vacances d'été pour faire des cabanes dans les arbres, jouer aux docteurs aux indiens et à la guerre parfois en s'organisant un peu plus on jouait au basebal ou au football pourtant malgré tout ces jeux j'arrivait à m'isoler et a lire Edgard Allen Poe dans les traductions de Baudelaire.Fait chaud dans le studio, j'ai démarré le climatiseur.Je me rappelle la gang de gars qui cachait des cigarettes dans un trou sur le terrain de l'École Jeanne Lajoie. J'aimais aussi beaucoup quand il pleuvait ça me permettais de lire les Pearl Buck de ma soeur. j'ai plus beaucoup de souvenis d'enfance, peut être nos jeux de marelle sur l'asphalte devant la pharmacie. J'ai plus de nouveaux souvenirs d'enfances.Peut être cette arrivée à Terrebonne dans la maison et les filles qui font du bruit dans la chambre au dessus et m'empêchent de dormir.Cette nuit y'a rien dans le goulag occidental, pas loin ce matin y'auras le grand prix de formule un, les voitures surpuissantes et les pitounes super-sexy... Ici dans le goulag occidental on va voir les amateurs de feu d'artifice pour la cérémonie de fermeture. La formule un, le grand écrivain Hubert Aquin était un amateur des courses de ces voitures, sa passion brûlante l'a quand même pas empêché de s'enlever la vie.Je sais pas si la brasserie Gilles Villeneuve existe encore à Saint-Jérôme...Me suis fait un café, plus tôt je cherchais un câble qui n'existe pas je me suis réveillé j'étais debout tout près de la table... Je sais pas si mon lecteur gestionnaire de Deux-Montagnes va aller voir les voitures sport de luxe rue Crescent: J'ai souvenir de nos jeux dans le sable on y bâtissais des routes pour nos voitures miniatures. Plus tard y'a eu cette piste de course ou on avait de la difficulté a faire faire un tour aux voitures. Moi les voitures ça m'a jamais manqué, je préfèrais le vélo et j'avais un petit côté écolo qui préférais monter avec un autre pour me rendre au travail, a mon âge début vingtaine on travaillait souvent pour se payer sa première voiture, d'habitude une minoune pas chère. Les Hot-Wheels comme jouet c'étais pas mal elles roulaient vite sur leurs longues bandes de piste orange, elles roulaient à l'envers. Je crois que chez mon père y'a eu jusqu'à quatre voitures stationné devant la maison, c'étais pas un cadeau de déblayer ça l'hiver. Bon! Avant de délirer sur l'hiver en été je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard