jeudi 11 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui j'ai mal. Je sais pas pourquoi je pleurerais. Vous voyez y'a de ça une incapacité a conjuguer le verbe pleurer. Je suis triste, la vie m'ennuis. Le temps gris m'épuise. J'aimerais ça avoir quelqu'un a qui parler, les larmes me montent aux yeux... Je pense à tout ces gens croisés qui voulaient mon mal je crois. Y'a un peu de maladie là dedans je crois. Je pense à Isabelle Boulay à son "Saule inconsolable" c'est une chanson, je sais la vie c'est pas une chanson.Je me relis j'ais écris deux fois je crois, y'a un peu de foi là dedans... C'est un triste jeudi, sans raison comme ça avec une sorte de désespoir que je voudrais parfois poétique mais le mal ça fait crever, ça fait douter. Je ne sais plus, j'ai jamais su du fond de mon ignorance je suis blessé, j'ai le coeur magané... Les dîplomes de l'université de la vie quand on les a il est trop tard c'est déjà l'âge de la nuit. Je suis une vieille bourrique, une vieille mûle qui n'en fait qu'a sa tête... Parfois le soleil perce cet après midi j'ai la tête dans la brume. Je sais vous lisez  et mes larmes sont tarries. J'aurais aimé avoir le talent de Saint-Denis Garneau ou d'Alain Grandbois mais je suis qu'un pauvre type que la poésie a abandonné et qui vire la terre sans voir rien poussé. Méthaphore jardinière même pas agricole, le goulag occidental est pas cultivable comme moi qui donne les apparences de la culture mais qui au fond est un parfait ignare. Je veux trop faire beau mais c'est comme le poisson défraichis, ça pue. Un jour j'irai me perdre sur les rives du fleuve me laisserai emporter par son eau grise vers les îles de Sorel. Noyé je serai noyé sans conscience et on repècheras ma carcasse bouffis et envahie par les vers. Je vous écris comme ça sur ma fin, c'est rien de joyeux mais vous en faites pas aujourd'hui la mort je la tiens loin  c'est une sorte de muse du genre qui reviens quand on s'y attend le moins... Le cinéaste intellectuel disait que je suis un neurasthénique, va pour ça, on a pas tous ses moyens savants. Si j'étais un bon écrivain ça se saurais, je veux pas publier à compte d'auteur. J'essais toujours de laisser une trace de ce que je vie, de ce que j'ai vécu... Non! Non! Je suis pas Émile même si je fréquente l'institut. J'ai pas le talent de ses derniers écrits comme le poète défraichis je répète je répète sans savoir ce que je dis.Maintenant j'attend la nuit, je regarderai le tube pour me laisser emporté. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 10 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin on répond à la demande d'une charmante personne qui voulais lire mon blog. J'ai été très touché d'entendre Monsieur Aussant parlé d'exil aux funérailles de Monsieur Parizeau. Hé oui! La maladie nous exile de nous même et c'est parfois difficile de se refaire une patrie. J'ai pas envie d'écrire de niaiseries là dessus. Je suis rentré à la maison, le goulag occidental ça fait vingt ans que j'en ai fait ma patrie, mais oui c'est le faubourg à m'lasse. J'y ai mes habitudes. Ce matin je ne sais trop quoi vous écrire après cette vague de ressentiment que je ne peux me permettre. J'écoute ce que mon âme dis pour revenir au sentis. Quand j'écris je veux vous plaire et m'amuser. C'est toujours une tentative de réconciliation, un questionnement pour le mieux. Je suis pas philosophe mais j'espère être écrivain, vivre en plein jour malgré les dénigrements. Ce matin j'entend les voisins discuter, il est midi j'ai pas dîné. Je bûche pour vous écrire, j'ai gossé avec le climatiseur. J'ai reçu un courriel d'une Berlinoise qui veux devenir mon amie, je trouve ça lôuche. Je préfère de beaucoup les vrais amis aux amis virtuel. Cette nuit j'ai dormis et j'ai lu une histoire populaire de l'amérique latine, un carnage, une spoliation et l'histoire est supposée avançée grâce à ça on parleras pas du Mexique et d'autres étâts qui sont toujours sanguinaires. Soudain j'entend un avion qui passe au dessus du goulag occidental. Comment on dis je parle aussi espagnol? Yo tambien habla espanol? Yo soy Bernard. Je suis mûr pour me rendre à Cuba. Avec la réconciliation je crois que les choses vont aller mieux mais je suis pas sur que c'est ce que les cubains de Miami pensent. Voilà je baragouine deux trois mots et je suis prêt a faire des discours fleuve comme ceux de Fidel Castro. "Yo no soy marinero, soy capitan" un vieux hit des années cinquante sans parler de Carlos Santana l'extraordinaire guitariste avec sa Black Magic Women. Bein non! J'irai pas danser la salsa dans les boîtes de nuit. Je l'ai déjà fait. Je crois être mieux en plein jour au soleil avec peut être une gentille organisatrice. Y'a aussi le Blue jeans sur la plage un autre succès d'été. Aujourd'hui il fait très beau, je pense toujours aux antilles. Je fait pas ça trop long je veux en profiter pour aller jouer dehors."Soleil, soleil, soleil, leil..." Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! Je vous reviens bientôt, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 8 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'essais de vous raconter ma journée d'hier, l'abrutis qui était en réunion avec nous. Il était tout comme le chauffeur de taxi de la pub à la télé. Il pointais les gens du doigt mais contrairement au pesonnage de la télé il est incapable de s'exprimer et comprend pas la façon de fonctionner du groupe. Il parle sans gêne remplis de son ignorance. Je dirais que sa façon d'être est schizophrénique et criminelle. Il dis que le site de l'institut est sa deuxième maison si j'étais lui j'en ferais ma première. C'est difficile a décrire sa façon d'être mais son expression blesse. J'ai eu beau essayer de l'accepter mais j'en étais incapable ça lui prendrais des cours de savoir vivre et un minimun de politesse.  Bon! J'arrête là pour ma journée d'hier quand je suis rentré il pleuvait et un homme urinait dans la cabine téléphonique c'étais vraiment pas ma journée. Un taré qu'il faut accepter. J'ai mis ma participation aux comités en jeu, aux réunions du groupe aussi. J'ai dis que si il se présentais aux prochaines réunions je serais pas là, je quitterais. Je sais bien qu'on ne dois exclure personne mais y'a des choses dans la vie que malade mental ou pas il faut savoir. Le respect faut en avoir aussi en tant que patients...Cette nuit je suis dans mon goulag occidental, je cherche a vous dire comment je suis désemparé comment je le répète y'a des façons d"être qui me font mal, brutale et sans conscience. Ce gars là seras pas toujours dans un milieu de santé mentale, il s'est trouvé une job mais je crois pas que sa façon d'être va lui permettre de la garder longtemps, il va lui arriver malheur... C'est triste d'être impuissant devant la folie malsaine de l'autre, de voir tout ces gens qui l'entourent incapable de le placer. Je sais pas pourquoi je perd mon temps a écrire sur un cave pareil. J'arrête là! Et je remercis mon lecteur de Deux-Montagnes qui m'a renseigné sur ces moteurs de spam qui font que ça signale une couple de centaines de hits. Je vais garder en tête que j'ai au maximun vingt cinq lecteurs. C'est toujours la nuit le goulag occidental est tranquille. Je me suis couché tôt dans la soirée et je vous écris comme souvent de ma nuit. J'ai dormis un peu ça soulage la douleur que j'avait hier. " le frigidaire fait bien du bruit" les blues passent pu dans porte -Breen Leboeuf. Je pense toujours au voyage je crois que je vais téléphoner à l'agent de voyage pour savoir ce qui est pas trop cher. Je termine donc là dessus en vous demandant une prière pour votre humble serviteur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 7 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! En direct du goulag occidental.J'ai toujours le voyage en tête. Je me cherche un endroit ou aller pour quelques jours pourtant il fait chaud dans le goulag. J'ai souvenirs de ces courts voyages en auto-stop.La dernière fois je m'étais rendus ceuillir des pommes à Frelishburg,le pomiculteur et s.v.p. ne pas confondre avec l'apiculteur donc le pomiculteur était pas content de mon travail au bout de deux jours il m'a renvoyé... C'est pour ça que j'ai toujours détesté manger des pommes. J'ai pas pu ramassé ce que je mange maintenant en un an. Bientôt les mexicains vont être là et moi je partirais bien pour l'amérique du sud. Je crois que je vais attendre à l'automne. Tiens ce soir je vous écris pas de mon monde intérieur, je me sent seul et cette solitude me pèse,dehors dans le parc ils jouent au soccer. Je sais l'ennuis faut pas mentionner ça c'est pas bien, je sais pas pourquoi? Je devrais toujours être reconnaissant pourtant... Ce soir j'ai mangé des tacos au sans-viande hachée mexicain y'a rien de plus végétalien. C'est comme toujours le dimanche demain on rentre au travail, le week-end c'est jamais assez long mais j'aime quand même mes réunions du lundi matin. Les gens honorables vont travailler le lundi reste quand même qu'il y a de beaux salauds aussi dans le monde du travail. Ils appellent ça le marché du travail faut se vendre avec nos compétences moi j'en ai pas d'autre que celle là l'écriture. J'ai pas envie de connaitre encore une fois l'échec c'est pour ça que je m'en tiens à ça. J'ai cinquante huit ans bientôt cinquante neuf c'est l'âge de la retraite mais il me semble que j'ai jamais été aussi actif. J'arrive pas ce soir a vous décrire mon monde intérieur, c'est calme pas trop agité ni angoissé. J'ai des mauvais souvenirs mais je reviens pas sur le passé. Quand je cherche comme ça quoi vous écrire ça m'occupe. J'ai le ciboulot moins agité, la ciboulette moins fanée, j'ai un drôle de sentiment d'une ville étrangère je ne sais laquelle, Paris? Milan? Londres? J'en cherche une nouvelle Madrid? Barcelone? Athènes? J'irais pas pour me sauver de moi mais plutôt pour aller à ma rencontre me connaitre un peu plus dans la solitude d'une ville étrangère. Je sais c'est pas comme partir pour l'Amazonie ou le Népal mais c'est s'éloigner des habitudes du goulag occidental. Bon! Faites donc une prière pour moi que j'arrive à mieux me trouver. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 5 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Suis de retour devant l'écran pour vous écrire. La nuit est tranquille au goulag occidental. Je me rappelle qu'on avait tous hâte aux vacances d'été pour faire des cabanes dans les arbres, jouer aux docteurs aux indiens et à la guerre parfois en s'organisant un peu plus on jouait au basebal ou au football pourtant malgré tout ces jeux j'arrivait à m'isoler et a lire Edgard Allen Poe dans les traductions de Baudelaire.Fait chaud dans le studio, j'ai démarré le climatiseur.Je me rappelle la gang de gars qui cachait des cigarettes dans un trou sur le terrain de l'École Jeanne Lajoie. J'aimais aussi beaucoup quand il pleuvait ça me permettais de lire les Pearl Buck de ma soeur. j'ai plus beaucoup de souvenis d'enfance, peut être nos jeux de marelle sur l'asphalte devant la pharmacie. J'ai plus de nouveaux souvenirs d'enfances.Peut être cette arrivée à Terrebonne dans la maison et les filles qui font du bruit dans la chambre au dessus et m'empêchent de dormir.Cette nuit y'a rien dans le goulag occidental, pas loin ce matin y'auras le grand prix de formule un, les voitures surpuissantes et les pitounes super-sexy... Ici dans le goulag occidental on va voir les amateurs de feu d'artifice pour la cérémonie de fermeture. La formule un, le grand écrivain Hubert Aquin était un amateur des courses de ces voitures, sa passion brûlante l'a quand même pas empêché de s'enlever la vie.Je sais pas si la brasserie Gilles Villeneuve existe encore à Saint-Jérôme...Me suis fait un café, plus tôt je cherchais un câble qui n'existe pas je me suis réveillé j'étais debout tout près de la table... Je sais pas si mon lecteur gestionnaire de Deux-Montagnes va aller voir les voitures sport de luxe rue Crescent: J'ai souvenir de nos jeux dans le sable on y bâtissais des routes pour nos voitures miniatures. Plus tard y'a eu cette piste de course ou on avait de la difficulté a faire faire un tour aux voitures. Moi les voitures ça m'a jamais manqué, je préfèrais le vélo et j'avais un petit côté écolo qui préférais monter avec un autre pour me rendre au travail, a mon âge début vingtaine on travaillait souvent pour se payer sa première voiture, d'habitude une minoune pas chère. Les Hot-Wheels comme jouet c'étais pas mal elles roulaient vite sur leurs longues bandes de piste orange, elles roulaient à l'envers. Je crois que chez mon père y'a eu jusqu'à quatre voitures stationné devant la maison, c'étais pas un cadeau de déblayer ça l'hiver. Bon! Avant de délirer sur l'hiver en été je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

jeudi 4 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est la nuit tout est calme. Je viens de manger un yogourt. J'ai finalement acheté en ligne le jeans et la veste.Viens de lire les actualités, rien de marquant. Je pense encore à cette ruelle de Pointe-à-Pître... Toujours l'espoir de repartir bientôt, je ne sais où: Je prend mon temps pour vous écrire c'est presque devenus confidentiel entre nous. Cette nuit j'ai un sentiment de départ, c'est juste un sentiment je ne pars pas tout de suite. Bientôt je vais cesser d'écrire sur le voyage c'est comme si j'allais à la pêche ça ne mord pas. Dehors y'a une voix... Je sais pas, je sais pas, je sais pas, je suis ignorant.Ça vous irrite peut être mes exercises de style. Je pense à l'époque ou au printemps je me cherchais du boulot, les étudiants revenaient sur le marché du travail, de la compétition,on m'embauchait rarement l'été ça faisait mon affaire j'en profitais pour faire du vélo, là je pense à l'ami Pierre le frère de mon beauf avec qui j'avais fait une belle randonnée de deux jours. Vous êtes surpris? Oui j'ai déjà été sportif, je roulais quelques kilomètres à tout les matins, la vie est passée et je suis devenus inactif. Je pense au praticien ressource à la retraite qui continus a être sportif. J'entend une moto... Les camions remontent la rue Frontenac, y'a cet ami journaliste au Journal de Montréal que je ne fréquente plus. J'ai pas la plume d'un article de journal quotidien. Je suis trop vieux.L'idée c'est de réussir a vous écrire quelque chose qui résonne mais je me rend bien compte que je ne dis rien. C'est toujours laconique ce que j'écris. Hier soir j'ai regardé une émission sur les SS nazi, c'était atroce de voir pendre les résistants, le feu au village. Je crois que la guerre d'aujourd'hui n'est pas beaucoup mieux avec ces otages qu'on décapite, L'EI c'est une autre forme de fascisme.La mort toujours présente. Je crois que le Québec est une société malade obsédé par son système de santé et qui élis des médecins pour se faire soigner le politique, ça me fait pensés à ces notables de village qui soignaient tout en sachant tout de vous. Pourtant le médecin fait plus de visite à domicile on délègue la travailleuse sociale parfois, d'autre fois c'est le préposé au soins qui va échanger avec l'équipe. Je cherche quel médecin soignerais le Québec à la grandeur, nous ferais grandir dans ce début de siècle. Le jour se lève lentement, je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 2 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me suis levé au milieu de la nuit mais j'ai écris que deux mots. Là c'est le matin la circulation est bruyante. Je cherche de quoi vous entretenir, je sais pas si cette phrase là a du sens.Je vais y aller lentement en commençant par me chausser.Je pense à mon adolescence, à ces jeunes filles qui avaient une carte de crédit, papa payait!!!  Il pleut, j'ai fait du café.Je cherche vraiment quoi vous écrire, Jacques Parizeau est décédé, il auras pas vu le pays. Le seul assez honnête pour parler du vote ethnique. Avec mon père je me suis déjà rendu à une réunion politique ou il avait fait un discours. Son comté L'Assomption étais voisin du nôtre, Terrebonne. Comme chef on a autre chose avec Péladeau. C'est moins noble. J'y arrive pas ce matin je veux aller trop vite, j'ai rêvé je ne sais plus à quoi... Voilà Québec Solidaire ça fait du sens pour moi c'est le seul partis progressiste même si je sais que plusieurs d'entre vous se paient la tête de la madame à moustache. J'ai une toune de Dan Bigras dans la tête La bête humaine, c'étais il y a plus de vingt ans je crois. On se demande ce qu'il deviens Bigras entre la pub et le concert du refuge, est-ce qu'il va nous sortir un cd?!!!  Ha! Et puis tiens je vous le dis, ce matin je vais aller magaziner une veste de Jeans et un jeans. J'en ai vraiment besoin tout est trop petit je deviens gros. Je veux quand même revenir au sentis de ce matin de désoeuvrement ou j'essais quand même de poser une autre pierre à l'édifice de ma niaiserie. Et puis non je vais pas magaziner j'attend, j'aime pas aller dans les magazins, je vais encore porter mes guenilles c'est ce qu'il y a de moins cher. Je pense à la musique Buddha bar on peux entendre ça dans les avions. J'ai hate de reprendre l'avion mon frère m'a parlé du Nicaragua ça semble bien,  malheureusement je parle pas espagnol. Je vais peut être préféré Cuba. La Guadeloupe cet hiver ça m'a rendu malade des plages et du soleil quand ici y'a de la neige et qu'il fait froid. C'est le deux juin, le trente mai je me suis baigné dans la piscine chez ma nièce c'étais pas la mer mais on a bien rigolé.Je pense à mon amie PDGA du CIUSSS de l'est de l'île. Je sais pas si elle prend le temps de me lire c'est une femme très occupé mais c'est grâce a elle si maintenant je voyage, je salut aussi mon ami Luc qui est présentement à la SAPA. Ça me gène un peux de vous mentionner mais vous êtes important pour moi. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard