dimanche 3 mai 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris en attendant le match, ce soir le goulag occidental se donne des airs de Guadeloupe, c'est magnifique! Soudain j'ai une chanson dans la tête "Pourquoi donc a tu brisé mon coeur" Je me souviens plus qui chantais ça, c'est vieux... J'écoute ce qui se passe dans mon âme, j'ai pas mal me suis fait un café et pense à mon lecteur joueur de pétanque, sa saison va surement commencée. Y'a toujours cette saudite solitude, je m'arrange bien avec mais parfois j'aimerais bien avoir quelqu'un dans ma vie. C'est pas que je m'ennuie mais... Attendre les amis qui me téléphonent en vous écrivant. C'est ce côté de la solitude que j'aime, je fais ce que je veux quand je veux et y'a des choses qu'avec l'expérience j'ai rayé de ma vie, ça va mieux ainsi. Je me tiens quand même toujours sur mes gardes, j'essais de pas piquer de colère, je m'excuse auprès des employés de Bell Canada parfois je deviens impatient et comme on dis "Tout viens à point à qui sait attendre" une vrai bonne vieille maxime. Je pense toujours à un voyage je ne sais où, j'ai un peu peur avec ce qui s'est passé au Népal. Hier j'ai vu dans LaPresse+ qu'il y avait de beaux sentiers pour marcher à Vancouver. Je sais pas si mon ami fonctionnaire à Ottawa me lis encore, peut-être qu'il pourrait m'en parler? Je vais peut être attendre à l'hiver prochain et aller trempé mes pieds dans le sud. Je répète encore que ce soir c'est une belle soirée pour se faire un feu et je sais très bien que mon designer retraité aime pas ça, c'est vrai que le feu c'est un peu le retour de l'homme des cavernes. C'est Ferland qui chantais "Montréal est une femme" le goulag occidental c'est le fils de cette femme, le goulag mal en point, désemparé, maman l'a laissé. Dans le goulag occidental sur Ontario y'a le café Touski un repaire d'anarchiste ou ça discute fort. Sur Frontenac y'a la maison Normand Bethune ce sont les communistes parfois je me demande quand l'être humain va changer et parler d'autre chose que le capital. Tout ça pour dire qu'on admire les fortunés et on oublie Saint-François. "La maudite machine qui ma avalée à marche en Kâline faudrait la cassée"-Pierre Flynn. J'ai pas grand chose a dire je sort les vieux hits d'Octobre même si Flynn viens d'en sortir un nouveau. Ouais!!! Je manque d'inspiration je vous sort les vieilles affaires je me répète. Enfin! Si vous voulez  la vérité je vais regarder le match des millionnaires en patins. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 2 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'ai vu sur le web que mon lecteur de deux montagnes est maintenant propriétaire d'un jeep, un vrai de vrai pour jouer dans la bouette.Étrangement je pense à la PDGA du CIUSSS de l'est-de-l'île-de-Montréal. Je sais pas si elle a le temps de me lire,enfin de toute façon je la salut. Le goulag est tranquille cette nuit.J'essais de vous imaginer des choses incroyables que je pourrais écrire mais je reste dans le quotidien c'est plus fort que moi.Y'a aussi ce grand oncle Rolland Allard qui avait une ferme à Sainte-Jeanne-d'Arc au Lac Saint-Jean. J'y ai passé quelques jours dans mon enfance ça été un séjour marquant. J'aimais pas les vaches par contre l'odeur d'une étable m'attirait. Je sais pas ou je vais avec ça c'est un peu Bernard à la ferme. J'avais peur que mes parents me laissent là j'en ai pleuré un coup. J'étais trop petit pour installer la trayeuse sur une vache c'est tout ce que j'ai connu de l'agriculture ça m'a pas donné envie d'être cultivateur. Bon! Je reviens dans le goulag occidental et j'oublie les quotas de lait, on produisait pas à volonté... Les cols bleu ont installé une énorme plaque de métal au dessus d'un trou qu'ils ont creusé dans la chaussée. L'autobus arrête plus devant chez moi. Ha oui!!! J'ai oublié de vous dire hier j'ai préparé un rôti de boeuf à la provençale il était excellent. Ça allait mal cette nuit la connection internet a planté maintenant tout est revenus.Je suis retourné au lit et j'y ai pas trop pensé. Ce matin il fait très beau enfin, vous vous demandez surement ce que je fait chez moi, j'ai lu LaPresse+.Les principaux dossiers. J'ai retenu qu'il y avait maintenant un bateau de croisières sur la Loire, un peu cher mais ça semble intéressant.Dans les actualités ils ont écris sur la place que les femmes manifestantes veulent prendre. Je pense aux Femens un peu partout dans le monde, j'ai comme l'impression que le combat seras long, le militantisme féministe est bi-pôlaire selon moi, ça passe par des vagues à chaque décennies des hauts et des bas, maintenant on est dans une période haute, active... Ciel bleu, grand soleil des journées comme ça on a rien a envier aux Antilles. Les pousses de fleurs commencent a sortir. Je sais plus trop quoi vous écrire, les gens ont mis leurs bermudas, on entend la sirène de l'ambulance, c'est une trop belle journée pour tomber malade. J'ai plus grand chose a écrire faut que je m'en garde un peu pour les prochains post. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 30 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Belle et douce soirée, le soleil se couche, la nuit approche et je laisse la fenêtre ouverte. Ce soir on est bien dans le goulag occidental. Je salut l'ami professeur d'histoire de l'art avec qui j'ai eu la chance de petit déjeûner au Miami un restaurant kitch du quartier. Le soleil est encore haut, la lumière c'est l'espoir. Je me sent bizarre suis incapable de parler à la matriarche. Je vous écris en jetant un coup d'oeil dehors, de temps à autre une moto bruyante passe. Je pense aux terrasses de la rue Saint-Denis à comment je m'y rendais la vie difficile incapable, là j'emploi un mot détestable, d'intégrer un groupe, j'étais toujours à part avec l'alcool. Ça toujours été Jekyll and Hyde... Je cherche en respirant par le nez, parfois je devrais réciter un mantra en pensant au Népal à Katmandou, ici rien ne bouge. Les voitures klaxonnent pour rien. Demain c'est la fête des travailleurs, y'a longtemps que j'en fait plus partie, la travailleuse sociale Guadeloupéenne disait que j'ai un double statut ce qui est pas faux. Dans le goulag occidental personne vas hisser le drapeau rouge, le grand soir c'est pas maintenant. Le premier ministre a rencontré les dirigeants syndicaux,  c'est pour la façade pour sauver les apparences, ils ont rien réglé là tout le monde le sait. Le salaire minimun a augmenté et même en travaillant quarante heure on est toujours dans la pauvreté, pauvre! C'est la survie sans s'amuser sans loisirs, à manger du macaroni au fromage, toujours dans le trou financier. Je le sais j'ai essayé de travailler à de petits salaires. Je voyais pas l'avenir et je buvais ma paye. Quand même je suis le seul responsable de mes échecs sur le marché du travail et ailleurs. Lentement le temps passe, cet après midi on a sonné chez moi. J'ai pas répondu.Je pense encore aux avions à un départ je ne sais où. Y'a de nouvelles mesures pour les prestataires on a plus le droit de voyager plus de deux semaines consécutives. Si je résume en somme faudrait travailler à se désâmer à petits salaires rentré chez soi épuisé, n'être plus capable de faire autre chose que s'abrutir devant les pubs télé faire ça a l'année longue dans le désespoir... "les pauvres sont toujours malades!"- Plume Latraverse, dix neuf heure quarante sept le soleil disparait pendant que le balai brosse passe. Je vous laisse là dessus en vous souhaitant du bonheur a jardiner. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 29 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Vivre dans la nuit c'est de même que je veux faire ça.-Nuance ou Nuage, je me souviens plus du nom du groupe qui chantait ça. Hé oui c'est la nuit il fait doux j'ai laissé la fenêtre ouverte. Dehors c'est tranquille y'a pas de circulation automobile.Foglia est à sa retraite, je sais pas quoi en penser. Je me souviens d'André Rufiange c'est vieux, dans la même page du journal de Montréal y'avait une chronique pour tout ceux qui voulaient voir leurs noms dans le journal.Je sais pas trop, comme souvent, quoi vous écrire. Je me souviens de mes nuits alcoolique le monde était d'une laideur, moi je puais l'alcool et le tabac et je couchais dans les entrées de commerce incapable de rentré chez moi trop saoul pour marcher et pas un sous pour prendre le taxi. Maintenant tout ça c'est finis, je réussis a dormir du sommeil du juste. Je pense à Tabra qui conseille aux jeunes de pas faire comme lui, son foi le dévore et les jeunes c'est plutôt "live fast, die fast" mais la mort on sait jamais quand elle va passée. La révolte adolescente c'est bien mais pour un bonhomme près de la soixantaine comme moi ça pas de sens. Faut accepter, là je me rend bien compte que je vous emmène dans un sentier moral et on aime pas beaucoup ça se faire faire la morale. Quoi que j'en ai connus qui prêchais l'alimentation naturiste, végétarienne je sais pas trop mais qui en manquais pas une pour se saouler. Ils sont vegan mais se shootent. J'étais saoul et je marchais dans les ruelles désertes la nuit je cherchais une porte ouverte après les heures pour boire du scotch dans une tasse... J'ai arrêté tout ça quand j'ai avoué que l'alcool m'avait battue. Maintenant je sort plus la nuit, je dors ou je vous écris de mes nuits d'insomnies. Ouais!!! Les ruelles j'y cherchais une romance violente à la Bukowsky laissez moi vous dire que se faire tapper sur la gueule c'est pas très très romantique. J'ai changé de modèle masculin ça m'aide, les hommes qui m'inspirent à l'image du père sont inspiré, sportif et cultivé. Ça aussi c'est étrange d'avoir besoin d'un modèle quand on est presque sexagénaire. Cette nuit je trouve ça agréable de vous écrire, c'est le printemps, bientôt le vert, l'espoir, la renaissance... J'espère être en mesure de quitter pour un bout de temps le goulag occidental cet été. Tout à coup j'entend la voix de mon lecteur de Deux-Montagnes que je salut ici en terminant. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 27 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est gris dans le goulag occidental... Je sais j'ai fait une erreur en nommant mon blog goulag mais c'est pour rigoler de toute façon je suis pas dans la richissime Westmount. Ici on peux encore trouver un abri pas cher. Terrible séïsme à Katmandou, les téléjourneaux nous ont montré ça, mes pensées sont avec toutes les familles touchées, ça fait un autre pays à reconstruire des monuments a refaire. J'ai pensés aller offrir mes services mais je crois que je serais une nuisance plus qu'une aide, j'ai donc aidé un itinérant d'ici. Moi qui veux encore partir en voyage ça me fait un peu peur. Je pense à mon lecteur de Mascouche chauffeur d'autobus, j'aimerais bien me rendre en Thaïlande avec lui, il connais bien ce pays. Ici on attend quand même le soleil, la chaleur... Je me suis levé de ma chaise ai presque perdu l'équilibre pourtant la terre ne tremble pas, c'est mentalement que je suis déséquilibré. Je pense aussi à Saint-André-de-Kamouraska un beau pays sur la rive du fleuve. J'aimerais aussi avoir un chalet et me faire un feu en soirée dans la nature. M'amuser avec le tisonnier. Bientôt tout va devenir vert mais avant il faut que ça bourgeonne. Je vous réécrirai pas La Flore Laurentienne de Marie Victorin, avec un nom pareil on croirais que c'est une femme mais c'est un religieux. Je me souviens après souper dans mon adolescence je sortais de la maison pour aller bummer au parc des canards. On fumait et buvait en cachette et plus vieux on faisait du parc un lieux de rencontre pour se rendre à la taverne. C'est il y a très longtemps maintenant je préfère rester chez moi et éviter de faire de mauvaises rencontres. Y'avait quelques guitaristes dans le parc on aimait bien les écouter jouer les dernières chansons à la mode, Georges Moustaki, Led Zeppelin Stairway to heaven, Cat Stevens, América, les Eagles et beaucoup d'autre... Ces gars là savaient quoi faire de leurs dix doigts. Des souvenirs, des souvenirs souffrant aussi incapable d'avoir, de m'entendre avec une copine. Je crois que je les comprenais pas. Soudain j'entend un avion qui passe au dessus du goulag occidental, j'aime bien revenir et atterrir à Dorval, à l'aéroport Pierre-Éliot-Trudeau. Avec la vie que j'ai menée c'est rien pour être dans le jet set c'étais beaucoup plus l'auto-stop, le pouce que l'avion. Ce soir j'ai qu'a marcher et revenir en autobus, mais non! Mais non! L'ami retraité de Repentigny je fuirai pas, les choses se règlent un jour à la fois. C'est tout pour ce soir merci d'avoir lu jusqu'ici, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 25 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pour débuter des souhaits de prompt rétablissement à la matriarche. Là je vous parle de la partie d'hier qui a semé le doute chez les partisans, on peux pas gagner on compte pas de buts à part ça je sais pas comment vous dire mon malaise.Je reprend mon souffle pour mettre les points et les virgules à la bonne place.Je crois que les cols bleu ouvrent le point d'eau dans le parc. Ce matin une maman m'a bousculé sur le trottoir. C'est des niaiseries tout ça, j'arriverai jamais à rien avec l'écriture. Les gens veulent des histoires j'en raconte pas c'est juste la rubrique de mes événements cervicaux, l'avancée dans les rues du goulag occidental.Ils ont préparé le parc pour les matchs de soccer.Ça va lentement l'écriture aujourd'hui, je pense comme souvent à la moppe à la serpillière, j'ai pas pu, j'ai pas su rester là et encore y'en avait d'autre pour critiquer pour chialer. C'est étonnant comment on veux pas me "kalisser" la paix. Je suis un pauvre fou, je suis un "nègre blanc, aigre doux" -Stephen Faulkner. Je me pose la question de l'humilité, ça se dis pas qu'on est humble pourtant j'ai rien pour être orgueilleux, prétentieux. Je me prépare un café. Je pense aux enfants, j'écris pas pour eux... Je sais pas si vous vous souvenez des Dingodossiers de Gottlib, une des bandes dessinées les plus comiques que j'ai jamais lu. Maintenant je veux faire écrivain sérieux. Je devrais plutôt me cacher, je pense donc partir vers des pays inconnus, des lieux nouveaux et eux qui ça eux? Ceux qui me persécutent dans le territoire du goulag occidental, je les laisse derrière quand même je suis trop vieux pour commencer une autre vie. Je capote quand même sur les avions, j'aime beaucoup être assis dans un long vol... Je crois que les cols bleu plombiers ont terminé leurs journées. L'eau coule dans le parc... Je pense aussi aux camelots du magazine l'itinéraire, y'en a je me demande ou ils prennent leurs bonne humeur, j'aimerais qu'ils m'en donnent un peu. Il ne me reste que trois lignes a vous écrire j'essais de garder le même format. Je sais pas vers ou je vais partir mais une chose est sure je vais y aller.New-York? Espagne? Italie? On dis souvent que c'est pas la destination c'est le voyage qui est important surtout que j'ai pas d'amis américains pas plus Outre-mer. L'eau est bonne a boire dans le parc les passants s'abreuvent et vous abreuvez vous de ma prose cet après-midi c'est comme ça que je finis. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 23 avril 2015

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris de la nuit,lentement j'essais de trouver quelque chose d'intéressant a vous faire lire. La défaite du Canadien 1 à 0 ? J'ai de la difficulté a vous parler de mon quotidien.J'ai fait des démarches pour qu'on me rembourse mon titre de transport.Faut passé par le médecin. Ce matin je prend conscience que mon propos est toujours le même. Non! Non! Je vous parlerai pas de PKP.Je vous ai abandonné en cour de route. J'ai dormis toute la nuit.Le goulag occidental est tranquille ce matin.Je fait des phrases pour remplir. J'écris n'importe quoi on m'invite à des évènements littéraires mais c'est à Paris, un peu loin.J'ai peur qu'une dangereuse crapule qu'un psycopathe entre en contact avec moi. Me suis fait un café,il est tard dans la matinée c'est comme si je n'avais plus de souvenirs. Les journées passées à la bibliothèque de l'école. La lecture des Martine de ma soeur à la maison, les miniatures d'avions de voitures a coller,tout ça c'est déjà loin.Ce matin je suis aussi vide que dans la nuit, je pense à quand je sautais des clôtures avec Michel mon ami d'enfance...Je suis triste je sais pas pourquoi, triste et nostalgique en pensant au Montréal-Nord de mon enfance c'étais pas un repaire de gang. VLB y habitais aussi et c'est sur une de ses rues que le FLQ avait caché Pierre Laporte. Montréal-Nord c'était aussi une terre d'accueil pour les italiens, les gens des régions, le bas du fleuve, le Lac Saint-Jean qui venait se faire une vie en ville loin de la province. Il est presque midi y'a pas de courrier.Je sais pas pourquoi j'ai une urgence d'écrire.Ai pris une douche. J'entend mon frère crier Meman! Quand il en avait assez que je joue avec lui. Ce midi c'est nuageux comme à Londres. Le goulag occidental c'est la capitale de la pauvreté, de l'itinérance, les trottoirs sont peuplés de gens qui ne savent que faire ou aller plusieurs se disent qu'ils vont s'en sortir seul, c'est impossible.Plutôt que de prendre mon temps je vous écris ça à la va-vite pourtant... Le gars de Terrebonne m'appelait le gars de la ville, c'est vrai que j'ai passé plus de temps au goulag occidental de Montréal que dans la banlieue. C'est la relève pour le chauffeur d'autobus. Je me suis parfumé je déteste pas avoir un bon parfum.Ça a ni queue ni tête ce que je vous écris. Je me rappelle je portais des souliers avec des fers ma mère m'avait envoyé faire une course, j'ai couru et j'ai glissé je me suis violemment cogné la tête sur le trottoir, j'ai mêlé la salade et le choux je crois que c'est là que je suis devenus fou. C'est tout pour aujourd'hui, j'attend vos commentaires, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard