lundi 27 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est gris dans le goulag occidental... Je sais j'ai fait une erreur en nommant mon blog goulag mais c'est pour rigoler de toute façon je suis pas dans la richissime Westmount. Ici on peux encore trouver un abri pas cher. Terrible séïsme à Katmandou, les téléjourneaux nous ont montré ça, mes pensées sont avec toutes les familles touchées, ça fait un autre pays à reconstruire des monuments a refaire. J'ai pensés aller offrir mes services mais je crois que je serais une nuisance plus qu'une aide, j'ai donc aidé un itinérant d'ici. Moi qui veux encore partir en voyage ça me fait un peu peur. Je pense à mon lecteur de Mascouche chauffeur d'autobus, j'aimerais bien me rendre en Thaïlande avec lui, il connais bien ce pays. Ici on attend quand même le soleil, la chaleur... Je me suis levé de ma chaise ai presque perdu l'équilibre pourtant la terre ne tremble pas, c'est mentalement que je suis déséquilibré. Je pense aussi à Saint-André-de-Kamouraska un beau pays sur la rive du fleuve. J'aimerais aussi avoir un chalet et me faire un feu en soirée dans la nature. M'amuser avec le tisonnier. Bientôt tout va devenir vert mais avant il faut que ça bourgeonne. Je vous réécrirai pas La Flore Laurentienne de Marie Victorin, avec un nom pareil on croirais que c'est une femme mais c'est un religieux. Je me souviens après souper dans mon adolescence je sortais de la maison pour aller bummer au parc des canards. On fumait et buvait en cachette et plus vieux on faisait du parc un lieux de rencontre pour se rendre à la taverne. C'est il y a très longtemps maintenant je préfère rester chez moi et éviter de faire de mauvaises rencontres. Y'avait quelques guitaristes dans le parc on aimait bien les écouter jouer les dernières chansons à la mode, Georges Moustaki, Led Zeppelin Stairway to heaven, Cat Stevens, América, les Eagles et beaucoup d'autre... Ces gars là savaient quoi faire de leurs dix doigts. Des souvenirs, des souvenirs souffrant aussi incapable d'avoir, de m'entendre avec une copine. Je crois que je les comprenais pas. Soudain j'entend un avion qui passe au dessus du goulag occidental, j'aime bien revenir et atterrir à Dorval, à l'aéroport Pierre-Éliot-Trudeau. Avec la vie que j'ai menée c'est rien pour être dans le jet set c'étais beaucoup plus l'auto-stop, le pouce que l'avion. Ce soir j'ai qu'a marcher et revenir en autobus, mais non! Mais non! L'ami retraité de Repentigny je fuirai pas, les choses se règlent un jour à la fois. C'est tout pour ce soir merci d'avoir lu jusqu'ici, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 25 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pour débuter des souhaits de prompt rétablissement à la matriarche. Là je vous parle de la partie d'hier qui a semé le doute chez les partisans, on peux pas gagner on compte pas de buts à part ça je sais pas comment vous dire mon malaise.Je reprend mon souffle pour mettre les points et les virgules à la bonne place.Je crois que les cols bleu ouvrent le point d'eau dans le parc. Ce matin une maman m'a bousculé sur le trottoir. C'est des niaiseries tout ça, j'arriverai jamais à rien avec l'écriture. Les gens veulent des histoires j'en raconte pas c'est juste la rubrique de mes événements cervicaux, l'avancée dans les rues du goulag occidental.Ils ont préparé le parc pour les matchs de soccer.Ça va lentement l'écriture aujourd'hui, je pense comme souvent à la moppe à la serpillière, j'ai pas pu, j'ai pas su rester là et encore y'en avait d'autre pour critiquer pour chialer. C'est étonnant comment on veux pas me "kalisser" la paix. Je suis un pauvre fou, je suis un "nègre blanc, aigre doux" -Stephen Faulkner. Je me pose la question de l'humilité, ça se dis pas qu'on est humble pourtant j'ai rien pour être orgueilleux, prétentieux. Je me prépare un café. Je pense aux enfants, j'écris pas pour eux... Je sais pas si vous vous souvenez des Dingodossiers de Gottlib, une des bandes dessinées les plus comiques que j'ai jamais lu. Maintenant je veux faire écrivain sérieux. Je devrais plutôt me cacher, je pense donc partir vers des pays inconnus, des lieux nouveaux et eux qui ça eux? Ceux qui me persécutent dans le territoire du goulag occidental, je les laisse derrière quand même je suis trop vieux pour commencer une autre vie. Je capote quand même sur les avions, j'aime beaucoup être assis dans un long vol... Je crois que les cols bleu plombiers ont terminé leurs journées. L'eau coule dans le parc... Je pense aussi aux camelots du magazine l'itinéraire, y'en a je me demande ou ils prennent leurs bonne humeur, j'aimerais qu'ils m'en donnent un peu. Il ne me reste que trois lignes a vous écrire j'essais de garder le même format. Je sais pas vers ou je vais partir mais une chose est sure je vais y aller.New-York? Espagne? Italie? On dis souvent que c'est pas la destination c'est le voyage qui est important surtout que j'ai pas d'amis américains pas plus Outre-mer. L'eau est bonne a boire dans le parc les passants s'abreuvent et vous abreuvez vous de ma prose cet après-midi c'est comme ça que je finis. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 23 avril 2015

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris de la nuit,lentement j'essais de trouver quelque chose d'intéressant a vous faire lire. La défaite du Canadien 1 à 0 ? J'ai de la difficulté a vous parler de mon quotidien.J'ai fait des démarches pour qu'on me rembourse mon titre de transport.Faut passé par le médecin. Ce matin je prend conscience que mon propos est toujours le même. Non! Non! Je vous parlerai pas de PKP.Je vous ai abandonné en cour de route. J'ai dormis toute la nuit.Le goulag occidental est tranquille ce matin.Je fait des phrases pour remplir. J'écris n'importe quoi on m'invite à des évènements littéraires mais c'est à Paris, un peu loin.J'ai peur qu'une dangereuse crapule qu'un psycopathe entre en contact avec moi. Me suis fait un café,il est tard dans la matinée c'est comme si je n'avais plus de souvenirs. Les journées passées à la bibliothèque de l'école. La lecture des Martine de ma soeur à la maison, les miniatures d'avions de voitures a coller,tout ça c'est déjà loin.Ce matin je suis aussi vide que dans la nuit, je pense à quand je sautais des clôtures avec Michel mon ami d'enfance...Je suis triste je sais pas pourquoi, triste et nostalgique en pensant au Montréal-Nord de mon enfance c'étais pas un repaire de gang. VLB y habitais aussi et c'est sur une de ses rues que le FLQ avait caché Pierre Laporte. Montréal-Nord c'était aussi une terre d'accueil pour les italiens, les gens des régions, le bas du fleuve, le Lac Saint-Jean qui venait se faire une vie en ville loin de la province. Il est presque midi y'a pas de courrier.Je sais pas pourquoi j'ai une urgence d'écrire.Ai pris une douche. J'entend mon frère crier Meman! Quand il en avait assez que je joue avec lui. Ce midi c'est nuageux comme à Londres. Le goulag occidental c'est la capitale de la pauvreté, de l'itinérance, les trottoirs sont peuplés de gens qui ne savent que faire ou aller plusieurs se disent qu'ils vont s'en sortir seul, c'est impossible.Plutôt que de prendre mon temps je vous écris ça à la va-vite pourtant... Le gars de Terrebonne m'appelait le gars de la ville, c'est vrai que j'ai passé plus de temps au goulag occidental de Montréal que dans la banlieue. C'est la relève pour le chauffeur d'autobus. Je me suis parfumé je déteste pas avoir un bon parfum.Ça a ni queue ni tête ce que je vous écris. Je me rappelle je portais des souliers avec des fers ma mère m'avait envoyé faire une course, j'ai couru et j'ai glissé je me suis violemment cogné la tête sur le trottoir, j'ai mêlé la salade et le choux je crois que c'est là que je suis devenus fou. C'est tout pour aujourd'hui, j'attend vos commentaires, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

mardi 21 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le temps se radouçis, la fenêtre est ouverte... Étrangement je me sent ailleurs, je viens de regarder l'émission Port d'attaches sur Athènes en Grèce. Ça donne envie d'y aller je crois que mes lecteurs de Terrebonne vont y aller cet automne. Je sais pas trop quoi vous écrire je pense encore à cette ruelle de Pointe-à-Pître en Guadeloupe. Le goulag occidental c'est aussi un port mais la mer est loin. C'est difficile de rester dans cet espèce de confort qui rend muet.Lentement le soleil se couche pendant qu'un homme chante dehors.Ce soir j'avais hate de vous écrire, de vous dire ces déjà vu... Je pense à mon lecteur chauffeur d'autobus sur la rive nord dans Laurentide-Lanaudière, je connais pas mal ce coin de pays à l'époque on prenait la route et on allait boire une bière à Saint-Donat à Rawdon à Chertsey. Parfois l'été on allait se baigner dans le parc du Mont-Tremblant à l'entrée Pimbina mais tout ça vous montre pas mon étât intérieur, le calme qui arrive avec la nuit et ces matins ou je me lève désoeuvré désemparé. Je sais pas si vous aimez toujours me lire, que je vous dise que j'ai un bouton dans le cou, que ça m'inquiète mais comme toujours c'est rien ça va disparaitre. Le parc est éclairé mais désert, un gars fouille dans les bacs il cherche des bouteilles et des canettes vides. J'ai mis de l'alcool à friction sur le bouton... Je vais avoir le début de mai très occupé c'est la Semaine nationale de la santé mentale... Parfois je me perd dans les pages web, dans les sites internets, cette semaine le site Facebook de Reprendre Pouvoir a reçu un like tout en arabe c'est inquiètant. J'ai toujours peur de l'étranger quel qu'il soit. J'entend les sirènes, l'autobus et j'ai plus beaucoup d'inspiration, je suis taré et la source de mon inspiration est tarie.C'est triste, vouloir écrire et n'avoir rien qui vaille la peine d'un mot. Ça me fait mal ça quand j'ai pas d'inspiration, quand la douleur est muette prise dans le silence pourtant ça marche toujours dans ma tête. Je fait le tri, le choix et quand je vous écris c'est le défi du silence... Des bêtises, des bêtises et c'est rien que la nuit qui commence... Ce soir je vous étirerai pas ça longtemps, j'espère que vous allez avoir du plaisir a me lire, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 19 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Les russes semblent intéressé par mon goulag occidental. Je vous écris ça en attendant la partie éliminatoires Montréal-Ottawa. Je me sent mal, je sais pas ce que j'ai. J'ai pris un café, trente huit minutes avant que le match commence. Dans le goulag russe je sais pas si ils jouent des matchs de la KLH. C'est ensoleillé dans le goulag occidental. Demain lundi une autre semaine qui commence , ouais! J'ai rien a écrire, je suis assis devant la télé ça sent le sapin ça viens d'un livre que j'ai sortis de ma bibliothèque. J'écoute l'avant match et j'ai une pensée pour René LeCavalier, Gilles Tremblay, Richard Garneau et celui qui nous reste Claude Quenneville. J'ai ouvert la porte, la présentation du match est un peu artificielle on a pas l'historique de la Soirée du Hockey. Je connais un peu le hockey, je me souviens du grand Garry qui me disait de passer le puck, la bière et le vestiaire. Je vous écris ça comme si c'était interdit, comme si j'avais pas le droit de mentionner la partie de ce soir. Publicité de Harley, j'en achète pas j'ai pas envie de me tuer. Petite toune rock "Vive le Canadien de Montréal" et "Go Habs Go!!!". Fait plus frais dans le studio je me calme, je suis plus énervé que les joueurs. Parenteau est mis de côté on appelle ça avoir de la profondeur. St-Hubert, je me sent comme un petit poulet et y'en a d'autre qui mangent des ailes. C'est un petit peu fatigant ce brouhaha avant le match. L'annonceur crois que c'est un match de boxe. À Ottawa c'est bilingue un des rares endroit ou on met ça en pratique. Une grosse police qui chante l'hymne national dans les deux langues. Moé ça me dis qu'on va perdre!!! Les voisines représentent vraiment la population d'assistées sociales et ses clichés. Chris Neil d'Ottawa méchant beau sourire!!!  Ouais!!! Ça m'énerve a toujours donner le premier but on va se brûler. De lont en large!!! On a gagné!!! Le lont, c'est un des commentateurs qui l'a prononcé comme ça. Bon! Peut être que vous allez lire ça lundi matin, c'est toujours mieux de commencer la semaine quand le canadien gagne, y'avait de l'émotion! Pas trop de controverse, du jeu robuste, cette année Montréal est hockey. J"ai fermé la télé en pensant aux visualisations de Wiese, quand tu gagne des millions t'a affaire a savoir ce que tu fait sur la glace, on est pas dans la ligue de la brasserie des Boys. J'arrête ça la. Je me lève tôt demain. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 18 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Exceptionnellement je vous écris un samedi soir, y'a pas de hockey. On a gagné la partie hier. Je pense à Kodama qui me donne plus signe de vie. Il est peut être fatigué de me lire. C'est vrai qu'avec le temps le goulag occidental deviens moins exotique. Hier j'ai vu une photo ou on on déblaiyais la neige des routes en Sibérie, ici ça semble finis mais c'est quand même pas la chaleur de la Guadeloupe. Soudain je me rappelle le Lux sur Saint-Laurent cet espèce de grand café tout en magazine ouvert toute la nuit. Le samedi soir quand y'avais rien a faire on se ramassait là, une frite et une bière importée ou une des premières bière artisanale la Belle Gueule. Je sais pas trop quoi vous écrire, le samedi soir ça longtemps été synonyme de lendemain de veille. Pour moi parfois ça rimais avec psychose et urgence d'hôpital. Je réalisais pas que cet étât là je le devais à ma surconsommation...Psychotique avant d'être saoul ou saoul avant d'être psychotique? Je jouais au bum seul a trainer dans la ville dans les endroits ouvert après les heures... Le maire parle de garder des endroits ouvert vingt quatre heure. Je me rappelle je m'assommais a en être malade et on me laissait pas dormir sur le comptoir du bar. Ouais! L'alcool c'était une façon de soigner ma paranoïa, ma peur maladive, d'invertis je devenais extravertis... Je pense aux policiers, j'ai peur d'eux, j'aimerais pas me faire enfermé... Je continus quand même à vous écrire, il fait noir et y'a mes poèmes haineux sur les femmes tout ça c'étais dans mon subconscient. J'aime les femmes mais j'arrive pas a en garder une. Je ne chasse plus, les femmes sérieuses sont occupées le soir elles travaillent ou étudient celle de mon âge sont bien casées... C'est gênant de vous écrire là dessus maintenant que je suis rangé que je reste un fou moins allumé. Maintenant comme on dis je suis un vieux bonhomme solitaire qui gratte le papier espérant faire une oeuvre. Ce soir j'avais froid et comme un Proust raté je chauffais le studio, la chaleur ça fait du bien et dehors la nuit est peuplée de mâles qui cherchent de la compagnie, Non! Non! Pas d'étrangers c'est des problèmes souvent ils sont itinérants et se cherchent un endroit pour pieuter. Je le sais je l'ai fait je cherchais un endroit pour fuir mes créanciers pour dormir sans m'inquiéter. C'était impossible ça vous rattrappe toujours. C'est pas très fort ce que je vous écris ce soir. J'ai pris un café, y'a l'angoisse et l'anxiété comme toujours. Je dois rester à mon affaire, écrire toujours écrire pour essayer de vous plaire. Drôle de chronique, c'est pas les chroniques d'une mort annoncée, je veux pas mourrir, je veux voyager, voyager léger. J'ai oublié le four, j'y fait réchauffer des saucisses en crôutes... Le courage c'est de faire les choses malgré la peur. Y'a pas de rapport avec les Pogos. Je sais pas pourquoi je pense à mes nièces puéricultrices, c'est parce que je suis puéril, je l'ai déjà écris. Elles ne me liront pas elles ont mieux a faire a élever leurs marmots. Je termine en vous signalant que j'accepte vos commentaires quel qu'ils soient. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 16 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est véritablement le printemps, la fenêtre est ouverte, les lampadaires illuminent le parc et on entend les balançoires chantées. Viens de regarder le village préféré des français deux milles quatorze, c'est magnifique... Je sais pas si le goulag occidental va se faire une histoire d'ici trois ou quatre cent ans. Ce soir je me couche pas tôt, je vous écris plutôt ceci en pensant aux fortifications de Besançon, aux Trocadéro à Paris au moulin rouge aussi. C'est des clichés vous allez me dire mais ça a plus d'histoire que vous et moi ensemble. J'ai quitté les villages pour Paris la métropole, je pense au Sacré-Coeur à mes photos de famille comme ils disent, c'est pas très exotique n'empêche fallait quand même y aller. Ce soir je me cherche un départ je ne sais pour où, l'Europe où le nouveau monde. Je crois pas être un voyageur assez aguérris pour les destinations exotiques, la Corse ça me déplairait pas... Ce soir ça sent la bouffe la grillade dans le goulag. Je crois que les voisins profitent des terrasses sur les toîts. Je vais sortir du goulag occidental demain, je vais participer à une recherche à l'institut... Les motos sont sorties comment vous dire que j'écoute la dernière saison de la sanglante série Sons of Anarchy. Je suis calme mon ciboulot s'apaise. Je suis pas Victor Hugo ni Alexandre Dumas mais j'écris quand même autant que je peux comme on dis c'est en forgeant qu'on deviens forgeron... Chez moi c'est la braise, le goulag le soufflet et ce que vous lisez la pièce que je fait en cognant le marteau clavier. J'aurais pu tout simplement évoquez tout ça mais je veux pas me brûler. Dix heure trente les lampadaires sont éteins, je cherche je cherche ce soir j'avais mal aux os et une migraine ça vous intéresse pas, pour moi c'est toujours plus simple d'écrire ma folie paranoïaque, ma peur chronique. Je pense au forgeron à comment je m'illusionnais sur le métier de sculpteur. Je suis incapable de travailler la pierre bien que j'ai fait quelques solages y'a de ça plusieures années c'était encore le bon temps maintenant je suis trop vieux pour tailler la roche. Pour la soudure je savais pas, j'inhalais les vapeurs c'est ça je crois qui m'a rendu fou, la colle, la peinture au fusil, la soudure des métiers qui appris sur le tas vous rendent fou. Mais je suis pas mort faute de mieux demain j'irai chercher de la lecture question de pas perdre la main là aussi. Je vais lire encore longtemps faute de pouvoir explorer d'autre monde. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard