jeudi 16 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C'est la nuit dans le goulag occidental, hier les canadiens ont gagné leurs premiers match des séries. Certain d'entre vous semblent préféré mes brefs commentaires à mon blog.Il est trois heure trente cinq tout est calme. La folie furieuse a pas encore eu le temps de s'installer dans ma tête. Hier j'ai donné une interview à des étudiants du cegep de Rosemont, en passant je salue mon ami responsable des communications qui travaille là maintenant. Pas grand chose dans les actualités à part le séries du hockey et les manifestations étudiantes.Si je m'écoute je vous annonce mon tourment intérieur ou je me dénigre constamment. Le gardien au goulag occidental disait que je devais me féléciter pour ce que je fait c'est pas tout négatif. Vous ais je déjà écrit que je suis, en plus de ma maladie mentale, un alcoolique et un toxicomane en rétablissement. Je sais plusieurs d'entre vous préfèrent l'anonymat, moi je le dis car je crois être un oiseaux rare, ça n'engage que moi. Ça fait vingt et un ans que j'ai pas consommé, si y'a un lecteur qui veux savoir comment j'ai fait qu'il m'écrive en privé sur Facebook.J'essais de vivre un jour à la fois, non, non c'est pas que le titre d'une chanson quétaine d'André Breton. Lentement je sent le malaise monté en moi, ma sérénité n'est jamais gagné Je pense à Bouddha. J'aimerais bien être toujours dans le calme et la douceur, ça m'apparait impossible.Tout les matins je lis mon petit "bréviaire" comme le faisait les vicaires d'antan ça me donne quelques chose a méditer. Parfois j'ai la foi, parfois moins,je respecte les athés et j'irais pas jusqu'à dire une prière à l'assemblée municipale quoi que je perçois un grand ressentiment envers la prière, le crucifix et les symboles religieux, on s'entend pour dire que les prêtres dans le passé étaient pas tous des exemples de chasteté.Je pense aussi à ces pensionnats ou on gardais les autochtones, c'étais ça le vrai goulag occidental, des enfants éloignés de leurs parents et du mode de vie ancestral. À Montréal maintenant on importe des curés pour les paroisses latinos. Les de souches ont pas mal abandonné la pratique religieuse, ils ont une vie spirituelle plus intime, plus intérieure, ils ont pas besoin de clâmé sur tout les tôits qu'ils ont la foi. J'ai quand même une pensée pour vous tous et j'essais de faire une prière personnelle à l'éternel. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!
 

Bernard

mardi 14 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore une belle journée ensoleillée. C'est l'après midi dans le goulag y'a beaucoup de passants. La fenêtre est ouverte et on entend la machinerie qui recule.Y'a des gens qui parlent anglais, y'a beaucoup d'itinérants avec leurs sacs à dos. Ils s'en vont vers Hochelaga Maisonneuve. Je veux pas vous écrire ça comme si je noircissais du papier. J'ai eu toutes les difficultées du monde a sortir du lit. Je vais me faire un café. Les lattes du store balancent et se frappent. Je sais pas trop quoi vous écrire mon étât intérieur est pas mal. Je ne souffre pas trop. Cinquante huit ans et j'écris encore mes étâts d'âme comme un enfant. Je préfère vous écrire que dormir.Je me répète je pense encore a partir je ne sais où. Les amis lecteurs de Aylmer sont surement sur le râteau par ce beau temps. Ça me rappelle qu'on faisait ça à la maison à Terrebonne on raclais le gazon, j'aimais pas tellement ça c'est pourquoi j'ai jamais été paysagiste. C'est gênant de dire ça comme si j'étais paresseux. J'écris j'écris y'a un parfum de barber shop et des voitures noire qui passent. Je pense à cette expérience du Péristyle Nomade, L'Usine à Paysage c'étais bien. J'ai réussis a écrire un texte et a expliquer a quelqu'un en quoi ça consistait. Je bave en buvant mon café... La neige dans le parc est toute fondue, mon café goûte le sirop d'érable. Je pense à Marie qui avait une ardoise au bistro, manger à crédit c'est l'enfer, tout est a recommencé à chaque mois... J'ai le tournis la tête me tourne pourtant je suis bien assis c'est peut être l'écran qui m'envois de mauvaises ondes."Terminus tout le monde descend" une chanson de je sais plus qui. Maintenant dans le métro on nous remercis d'avoir voyager avec la STM. Sur la rue y'a un vieux Pick-up remplis de junk qu'ils stationnent du bon bord selon les indications. Sur cette rue y'a toujours eu un camion comme celui là ou un truck de déménagement. J'aime ça vous écrire comme ça depuis que je fréquente plus le cabaret du temps qui passe ma vie va mieux. Ce matin j'ai reçu le compte du câble télé, c'est pas pire. Je sais je me répète mais j'insiste jamais assez sur ce plaisir d'écrire. J'espère que vous en prenez autant à me lire. Je regarde les vélos qui roulent sur le trottoir c'est pas leur place qu'ils prennent la piste cyclable. Un vélo qui te rentre dedans ça fait mal. Les voitures ont hissées le drapeau du club de hockey Canadiens!!! Ouais!!! Et voilà c'est à peu près tout. J'étais pas très inspiré. Je vous remercis quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 12 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Retour au boulot? Moi je m'y met tout de suite quoi que j'aime bien vous écrire. J'ai toujours cru qu'un boulot ça devait être pénible, fatigant et désagréable pourtant j'aime bien vous écrire... Je suis toujours au goulag occidental l'ami du quartier m'a signalé que le goulag c'étais partout ou y'avait un bagne en russie.Dans le goulag on est tous plus ou moins sous le regard du centre de détention Parthenais pour les peines de moins de deux ans. Ça fait pas tellement loin pour nous incarcéré quoi que à mon expérience on préfère nous détenir à Bordeaux. Je crois que Parthenais c'est l'endroit ou on nous détiens quand on veux approfondir une enquête. C'est aussi l'endroit ou étais l'ancienne prison des femmes. J'ai toujours eu peur de vivre dans l'ombre de cet édifice pourtant ça fait plus de vingt ans et j'ai jamais vécu dans un quartier aussi tranquille.Ce soir je suis, comme souvent, dans un passage insomniaque... Je reviens à ma vie intérieure, à ce calme qui m'habite surplombé par l'angoisse sans elle je me sentirais pas vivant.J'attend l'inspiration tout ce que j'entend c'est le bruit du frigidaire, de l'ordi et ma respiration on se croirais dans un film de Bergman en noir et blanc. Juste du bruit et un langage qu'on comprend pas. Je sais pas si c'est moi qui y vais moins souvent mais on vois presque plus de policiers dans les shops de beigne...La semaine dernière les manifestants ont eu droit au beau travail des policiers de la SPCUM, des contraventions!!! Ça veux souvent dire l'ouverture d'un dossier et votre nom fiché pour une infraction je ne sais pour combien de temps...Je suis pas tellement d'accord avec les grèves étudiantes, refusé de recevoir un service pour lequel on a payé c'est absurde, dans mon temps si tu te présentais pas à ton cour tu coulais c'est tôut Un étudiant en chirurgie qui fait la grève ça mène à la mort du malade? C'est une question, les internes ils font la grève? J'aimerais bien qu'ils suivent leurs cours quand ce seras mon tour je veux avoir les médecins les mieux formés au monde en attendant je vais me tenir loin. "Rolling on the river"-CCR y'a longtemps que j'ai entendu cette musique rock originale. Je crois que le compositeur du groupe c'étais Don Fogerty.J'ai trippé longtemps là dessus.C'est pas que j'ai plus rien a vous dire c'est que je trouve plus les mots. Il est minuit vingt cinq je termine comme toujours en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! N'hésitez pas a faire vos commentaires, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Tôt dimanche matin,hier soir le Canadien a gagné en tirs de barrage. J'ai bien aimé le tir foudroiyant de Desharnais.Voilà quand on se mêle d'écrire sur ce qu'on connait pas on fait des fautes.Aujourd'hui ça devrais être doux, assez pour aller prendre un café dans le parc. Je pense à Hyde Park pourtant je suis pas à Londres et j'ai pas de discours pour le speaker corner's.Je reviens à comment je me sent ce matin, je me réveille lentement pendant que les mouettes gueulent dehors. Quelque's un d'entre vous vont peut être lire ça en entrant au bureau lundi matin.C'est pas plus mal vous allumez l'ordi votre café à la main et pensez à tout le boulot qui vous attend cette semaine. J'ai ouvert le rideau je crois vraiment qu'il va faire beau.J'ai les genoux en compote. Pour une rare fois j'ai mis du sucre dans mon café,je vais manger... C'est l'aube, lentement le soleil se lève. J'ai mis du sirop d'érable dans mon café, ai mangé deux toasts avec du fromage, c'est très insignifiant ce que j'écris ce matin. Je me réveille, j'ai pas mal. Je vois la barre du jour du nom d'une regrettée revue.Quelques voitures passent lentement dans le goulag occidental.La nuit est terminée il fait clair et ce matin est sans douleur.J'essais de vous écrire ça d'une traite j'y arrive pas comme souvent quand je suis heureux. Yes sir! C'est le bonheur ce matin au goulag occidental, j'ai pas a demander je l'ai, tout à l'heure je vais lire les actualités ça me tente pas de vous en parler vous ferez comme moi vous les lirez mais j'y pense parait qu'au Québec cinquante pour cent des personnes savent pas lire, ça en laisse pas beaucoup pour mon blog. Deï Gratia je sais pas pourquoi ça me viens à l'esprit, c'est peut être le prêcheur du dimanche. " le ciel est bleu, réveille toi, réveille toi, c'est un jour nouveau qui commence"- Chant scouts ou scolaire des années soixante. Je penses aux cousins lecteurs qui habitaient Villeray, je les salut ici. Je pense à la revue Mainmise j'aurais bien aimé y écrire elle accueillait tellement de ceux que je considère mes maîtres, mais c'est de l'histoire ancienne, y'avait aussi une revue qui s'intitulais Québec rock ça traitais de musique. Y'avait juste moi pour lire ça.Je lis plus de magazine, je crois que je les trouve pas assez audacieux et je me fait vieux. Je veux pas me faire raconter le grand soir quand il est pas là. Ce matin un salut tout spécial à mon lecteur chauffeur de bus sur la rive nord. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard 

vendredi 10 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est le blues du vieux chien sale au goulag occidental, blues et goulag c'est antinomique vous allez me dire comme un choix entre le Jack Daniel's et la vodka. Ceux qui lisent et n'aiment pas, cliquez sur votre site pornographique préféré. Vous me comprenez... Non! Moi non plus je me comprend pas. Ce soir ça grouille en ville vendredi soir on se cherche une copine pour la nuit ou plus si affinitées. "Trouble Oh trouble let me free" je crois que c'est Cat Mohamed Islam Stevens qui chantait ça. J'ai changé le miroir et les bouteilles du bar pour l'écran et le clavier ordiné, ça fait moins mal et demain j'aurai pas de hangover... Je tousse, ça fait plus de vingt ans que je suis dans ce qu'on appelais avant le faubourg à m'lasse que j'ai rebaptisé goulag occidental comme un provincial. On part toujours de sa province pour venir gagner sa vie dans la métropole, le gouvernement auras beau faire les plans nord qu'il voudras les jeunes vont toujours s'exiler, je pense à Midnight Cowboy. Comment écrire qu'a vingt ans on se résigne à sa vie pépère loin des grands centres. Moi je vous dirai que j'ai pas été capable de vivre en banlieue, j'étais trop triste, trop malheureux."J'ai souvenir encore" -Claude Dubois. Oui de longues traversées de ville de Laval pour essayer de terminer mon secondaire cinq dans une école de décrocheurs, j'étais déjà trop vieux pour raccrocher au secondaire j'aurais du m'inscrire à l'université quand même j'avais pas les moyens et les seuls formulaires que je savait remplir étaient ceux de l'assurance chômage et de la sécurité du revenus. Y'a toujours ce mensonge qui fait croire que l'instruction est gratuite c'est faux, une job les cours du soir et on est pas certain d'être autre chose que commis.Tout ça c'est une question de choix vous allez me dire et je me défendrai pas avec la maladie. Je suis pas une victime. Ce soir chez moi j'entend la télé des voisins, c'est pas si mal c'est pas trop fort y'a pas de musique de basse tonitruante. Je pense à toutes cette écriture à la télé, dans les pubs, à la radio, dans les revues et les journaux. Y'en a qui parlent pas si ça a pas été écris avant, les scripts du cinéma des textes que je n'arrive pas a écrire. C'est la grève étudiante bein du brasse-camarade. Je sais pas de quel côté me ranger, les doctorants révolutionnaires ou les étudiants pépères... Mais puisqu'il faut quand même s'amuser, sortir le soir vivre la nuit et quand c'est finis découvrir le monde diurne aussi difficile que le nocturne et se battre avec les anges de la nuit. Je sais plus ou je suis rendu... C'est difficile de trouver la ligne pour terminer, je veux pas vous écoeurer mais j'espère que ça vous plait. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine toujours!!!
 

Bernard

mercredi 8 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit le parc est tout blanc, on pense à nos snowbirds de l'Outaouais qui sont sur le chemin du retour. J'arrive pas a dormir. Je suce des menthes une habitude de taré. Rue Sainte-Catherine y'a pas mal de circulation, une pensée pour ces comédiennes devenues serveuses faute d'auditions,le showbizz c'est glamor quand on regarde qu'un côté de la médaille.. Faut faire la part des choses je sais pas si ça me plairait de jouer la même pièce soirées après soirées. La ligue d'improvisation du regretté Gravel étais bien pour ça toujours de nouvelles répliques.Ouais! Les Rolling Stones à Québec cet été en voilà d'autre avec du rock de grand père maintenant biens sages se tenant loin des frasques de leurs jeunesses. À la télé j'ai vu ce monsieur sud-américain qui pleurait parce qu'ils avait couché chez les punks, je crois qu'il voulait dire des junkies. Étrangement je pense à PA Rocksteady des soins spirituel qui vont disparaitre. J'en ai parlé au directeur adjoint ça semble définitif. Je passe maintenant à mes sentiments cette nuit. Je suis devant l'écran dans le plus simple appareil et j'écoute ce que dis mon corps, je râle... L'autodestruction voilà ou j'en étais y'a vingt et quelques années... J'ai sommeil, je vais quand même essayer de vous écrire ce blog, c'est de moins en moins fort je crois que je m'éloigne de mon sentis. Je veux trop faire de poésie sans blesser les amis. Je cligne des yeux, j'ai moins mal à l'âme. Je pense à toi, toi qui lis ça je sais pas ce que tu pense moi je suis toujours dans la douleur sourde des insomnies. Je pense aux embarquements pour si tard de la regrettée Myra Cree qui m'ont accompagné dans mes nuits les plus noires.Ça fait longtemps tout ça... Cette nuit chez moi ça sent le pâté à la viande, l'odeur d'un souper.Lentement j'attend l'inspiration pense aux amis de Lille, de Besançon de la Guadeloupe aussi et aux docteurs Rosetti de Trieste et Melun de Montréal. L'automne passé je me promenais dans les rues de Londres maintenant j'attend vers ou la vie va m'emporter. Je suis pas une lumière surtout la nuit je suis éteins et ne brille pas Je veux terminer ça sur une bonne note pour retourner à mon lit et dormir du sommeil du "juste." À quoi bon tout ça? Je persévère du bout de mon goulag occidental, je suis pas Soljenytsine, je souhaite pas le retour des tsars. Y'a mon lecteur mopologiste à la retraite j'espère que je l'ai pas blessé. Avant dans le goulag occidental y'avait une shop qui s'appelait la Vicker's je crois, elle est morte on en parle plus c'étais les beaux jours d'Hochelaga-Maisonneuve. Je termine sur cette note nostalgique en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mardi 7 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai parlé d'un oncle avec la matriarche quand je pense à lui ça me paralyse, comme si j'avais pas le droit d'écrire. Ai lu des choses sur le vrai goulag,  ça ressemble au Lac-Saint-Jean dans les années vingt trente, des scies mécaniques et des bûcherons des draveurs aussi. Mon goulag occidental contemporain est tout en voitures et en condos, on y choisis l'exil pour être plus prêt du boulot, je vous ai déjà écris là dessus. C'est normal pour moi d'être dans le bas de la ville, je suis pas d'une famille riche j'ai du m'exiler ici parce que les loyers sont moins chers. Le printemps s'en viens et parfois je me sens contraint comme si j'avais pas le droit de respirer. Je veux pas, j'ai pas fait comme eux la richesse matérielle signe de pouvoir ça m'intéresse pas. L'ingénieur parlait des donneurs d'ouvrages à moi on en a jamais donné autre que balayeur, moppologiste, spécialiste de la serpillière. Je reviens là dessus quand je pense à la shop de mon enfance. C'est loin tout ça je pardonne et j'espère qu'on me pardonne. La télé est sur TV5, les châteaux de la Loire, je pense quand même à la pointe des Chäteaux en Guadeloupe, parfois c'est comme si on m'interdisait de vivre pourtant ces gens là savent même pas que j'existe. Je percerai jamais le milieu littéraire je fait ma petite affaire tout seul. Les décorations et les prix très peu pour moi je suis misanthrope. Je t'aiderais bien toi avec mon petit peu de foi, je prie pour toi. J'essais de mettre du spirituel dans mon abord ce soir, du goulag occidental. Lentement je deviens vieux mais moins fou, vous me le direz quand mes délires seront plus construit. C'est le soir au goulag à la télé ils parlent de miel au Québec les abeilles disparaissent on exile les ruches, y'en a sur les toîts des édifices de Montréal, ça prend des fleurs a fertiliser, le transport du pollen, cet histoire là on l'apprend tout petit, le pistil... et les étamines, le pollen, je crois que c'est la première façon de se reproduire qu'on apprend à la petite école c'est pas très cochon quoi que le miel... À Saint-Claude on dormait sous un filet pour se protéger des moustiques, les apiculteurs se protègent aussi se faire piquer par des milliers d'abeilles c'est pas réjouissant. Comme toujours je vous écris sans savoir ou je vais mais je sais ou je suis dans le goulag occidental, la neige fond c'est bien. Je termine encore une fois en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard