dimanche 12 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Tôt dimanche matin,hier soir le Canadien a gagné en tirs de barrage. J'ai bien aimé le tir foudroiyant de Desharnais.Voilà quand on se mêle d'écrire sur ce qu'on connait pas on fait des fautes.Aujourd'hui ça devrais être doux, assez pour aller prendre un café dans le parc. Je pense à Hyde Park pourtant je suis pas à Londres et j'ai pas de discours pour le speaker corner's.Je reviens à comment je me sent ce matin, je me réveille lentement pendant que les mouettes gueulent dehors. Quelque's un d'entre vous vont peut être lire ça en entrant au bureau lundi matin.C'est pas plus mal vous allumez l'ordi votre café à la main et pensez à tout le boulot qui vous attend cette semaine. J'ai ouvert le rideau je crois vraiment qu'il va faire beau.J'ai les genoux en compote. Pour une rare fois j'ai mis du sucre dans mon café,je vais manger... C'est l'aube, lentement le soleil se lève. J'ai mis du sirop d'érable dans mon café, ai mangé deux toasts avec du fromage, c'est très insignifiant ce que j'écris ce matin. Je me réveille, j'ai pas mal. Je vois la barre du jour du nom d'une regrettée revue.Quelques voitures passent lentement dans le goulag occidental.La nuit est terminée il fait clair et ce matin est sans douleur.J'essais de vous écrire ça d'une traite j'y arrive pas comme souvent quand je suis heureux. Yes sir! C'est le bonheur ce matin au goulag occidental, j'ai pas a demander je l'ai, tout à l'heure je vais lire les actualités ça me tente pas de vous en parler vous ferez comme moi vous les lirez mais j'y pense parait qu'au Québec cinquante pour cent des personnes savent pas lire, ça en laisse pas beaucoup pour mon blog. Deï Gratia je sais pas pourquoi ça me viens à l'esprit, c'est peut être le prêcheur du dimanche. " le ciel est bleu, réveille toi, réveille toi, c'est un jour nouveau qui commence"- Chant scouts ou scolaire des années soixante. Je penses aux cousins lecteurs qui habitaient Villeray, je les salut ici. Je pense à la revue Mainmise j'aurais bien aimé y écrire elle accueillait tellement de ceux que je considère mes maîtres, mais c'est de l'histoire ancienne, y'avait aussi une revue qui s'intitulais Québec rock ça traitais de musique. Y'avait juste moi pour lire ça.Je lis plus de magazine, je crois que je les trouve pas assez audacieux et je me fait vieux. Je veux pas me faire raconter le grand soir quand il est pas là. Ce matin un salut tout spécial à mon lecteur chauffeur de bus sur la rive nord. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard 

vendredi 10 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est le blues du vieux chien sale au goulag occidental, blues et goulag c'est antinomique vous allez me dire comme un choix entre le Jack Daniel's et la vodka. Ceux qui lisent et n'aiment pas, cliquez sur votre site pornographique préféré. Vous me comprenez... Non! Moi non plus je me comprend pas. Ce soir ça grouille en ville vendredi soir on se cherche une copine pour la nuit ou plus si affinitées. "Trouble Oh trouble let me free" je crois que c'est Cat Mohamed Islam Stevens qui chantait ça. J'ai changé le miroir et les bouteilles du bar pour l'écran et le clavier ordiné, ça fait moins mal et demain j'aurai pas de hangover... Je tousse, ça fait plus de vingt ans que je suis dans ce qu'on appelais avant le faubourg à m'lasse que j'ai rebaptisé goulag occidental comme un provincial. On part toujours de sa province pour venir gagner sa vie dans la métropole, le gouvernement auras beau faire les plans nord qu'il voudras les jeunes vont toujours s'exiler, je pense à Midnight Cowboy. Comment écrire qu'a vingt ans on se résigne à sa vie pépère loin des grands centres. Moi je vous dirai que j'ai pas été capable de vivre en banlieue, j'étais trop triste, trop malheureux."J'ai souvenir encore" -Claude Dubois. Oui de longues traversées de ville de Laval pour essayer de terminer mon secondaire cinq dans une école de décrocheurs, j'étais déjà trop vieux pour raccrocher au secondaire j'aurais du m'inscrire à l'université quand même j'avais pas les moyens et les seuls formulaires que je savait remplir étaient ceux de l'assurance chômage et de la sécurité du revenus. Y'a toujours ce mensonge qui fait croire que l'instruction est gratuite c'est faux, une job les cours du soir et on est pas certain d'être autre chose que commis.Tout ça c'est une question de choix vous allez me dire et je me défendrai pas avec la maladie. Je suis pas une victime. Ce soir chez moi j'entend la télé des voisins, c'est pas si mal c'est pas trop fort y'a pas de musique de basse tonitruante. Je pense à toutes cette écriture à la télé, dans les pubs, à la radio, dans les revues et les journaux. Y'en a qui parlent pas si ça a pas été écris avant, les scripts du cinéma des textes que je n'arrive pas a écrire. C'est la grève étudiante bein du brasse-camarade. Je sais pas de quel côté me ranger, les doctorants révolutionnaires ou les étudiants pépères... Mais puisqu'il faut quand même s'amuser, sortir le soir vivre la nuit et quand c'est finis découvrir le monde diurne aussi difficile que le nocturne et se battre avec les anges de la nuit. Je sais plus ou je suis rendu... C'est difficile de trouver la ligne pour terminer, je veux pas vous écoeurer mais j'espère que ça vous plait. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine toujours!!!
 

Bernard

mercredi 8 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit le parc est tout blanc, on pense à nos snowbirds de l'Outaouais qui sont sur le chemin du retour. J'arrive pas a dormir. Je suce des menthes une habitude de taré. Rue Sainte-Catherine y'a pas mal de circulation, une pensée pour ces comédiennes devenues serveuses faute d'auditions,le showbizz c'est glamor quand on regarde qu'un côté de la médaille.. Faut faire la part des choses je sais pas si ça me plairait de jouer la même pièce soirées après soirées. La ligue d'improvisation du regretté Gravel étais bien pour ça toujours de nouvelles répliques.Ouais! Les Rolling Stones à Québec cet été en voilà d'autre avec du rock de grand père maintenant biens sages se tenant loin des frasques de leurs jeunesses. À la télé j'ai vu ce monsieur sud-américain qui pleurait parce qu'ils avait couché chez les punks, je crois qu'il voulait dire des junkies. Étrangement je pense à PA Rocksteady des soins spirituel qui vont disparaitre. J'en ai parlé au directeur adjoint ça semble définitif. Je passe maintenant à mes sentiments cette nuit. Je suis devant l'écran dans le plus simple appareil et j'écoute ce que dis mon corps, je râle... L'autodestruction voilà ou j'en étais y'a vingt et quelques années... J'ai sommeil, je vais quand même essayer de vous écrire ce blog, c'est de moins en moins fort je crois que je m'éloigne de mon sentis. Je veux trop faire de poésie sans blesser les amis. Je cligne des yeux, j'ai moins mal à l'âme. Je pense à toi, toi qui lis ça je sais pas ce que tu pense moi je suis toujours dans la douleur sourde des insomnies. Je pense aux embarquements pour si tard de la regrettée Myra Cree qui m'ont accompagné dans mes nuits les plus noires.Ça fait longtemps tout ça... Cette nuit chez moi ça sent le pâté à la viande, l'odeur d'un souper.Lentement j'attend l'inspiration pense aux amis de Lille, de Besançon de la Guadeloupe aussi et aux docteurs Rosetti de Trieste et Melun de Montréal. L'automne passé je me promenais dans les rues de Londres maintenant j'attend vers ou la vie va m'emporter. Je suis pas une lumière surtout la nuit je suis éteins et ne brille pas Je veux terminer ça sur une bonne note pour retourner à mon lit et dormir du sommeil du "juste." À quoi bon tout ça? Je persévère du bout de mon goulag occidental, je suis pas Soljenytsine, je souhaite pas le retour des tsars. Y'a mon lecteur mopologiste à la retraite j'espère que je l'ai pas blessé. Avant dans le goulag occidental y'avait une shop qui s'appelait la Vicker's je crois, elle est morte on en parle plus c'étais les beaux jours d'Hochelaga-Maisonneuve. Je termine sur cette note nostalgique en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mardi 7 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai parlé d'un oncle avec la matriarche quand je pense à lui ça me paralyse, comme si j'avais pas le droit d'écrire. Ai lu des choses sur le vrai goulag,  ça ressemble au Lac-Saint-Jean dans les années vingt trente, des scies mécaniques et des bûcherons des draveurs aussi. Mon goulag occidental contemporain est tout en voitures et en condos, on y choisis l'exil pour être plus prêt du boulot, je vous ai déjà écris là dessus. C'est normal pour moi d'être dans le bas de la ville, je suis pas d'une famille riche j'ai du m'exiler ici parce que les loyers sont moins chers. Le printemps s'en viens et parfois je me sens contraint comme si j'avais pas le droit de respirer. Je veux pas, j'ai pas fait comme eux la richesse matérielle signe de pouvoir ça m'intéresse pas. L'ingénieur parlait des donneurs d'ouvrages à moi on en a jamais donné autre que balayeur, moppologiste, spécialiste de la serpillière. Je reviens là dessus quand je pense à la shop de mon enfance. C'est loin tout ça je pardonne et j'espère qu'on me pardonne. La télé est sur TV5, les châteaux de la Loire, je pense quand même à la pointe des Chäteaux en Guadeloupe, parfois c'est comme si on m'interdisait de vivre pourtant ces gens là savent même pas que j'existe. Je percerai jamais le milieu littéraire je fait ma petite affaire tout seul. Les décorations et les prix très peu pour moi je suis misanthrope. Je t'aiderais bien toi avec mon petit peu de foi, je prie pour toi. J'essais de mettre du spirituel dans mon abord ce soir, du goulag occidental. Lentement je deviens vieux mais moins fou, vous me le direz quand mes délires seront plus construit. C'est le soir au goulag à la télé ils parlent de miel au Québec les abeilles disparaissent on exile les ruches, y'en a sur les toîts des édifices de Montréal, ça prend des fleurs a fertiliser, le transport du pollen, cet histoire là on l'apprend tout petit, le pistil... et les étamines, le pollen, je crois que c'est la première façon de se reproduire qu'on apprend à la petite école c'est pas très cochon quoi que le miel... À Saint-Claude on dormait sous un filet pour se protéger des moustiques, les apiculteurs se protègent aussi se faire piquer par des milliers d'abeilles c'est pas réjouissant. Comme toujours je vous écris sans savoir ou je vais mais je sais ou je suis dans le goulag occidental, la neige fond c'est bien. Je termine encore une fois en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 5 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour d'un excellent brunch chez des lecteurs de Lachenaie qui est maintenant Terrebonne je crois. Aujourd'hui c'est lundi de Pâques je crois que c'est congé pour plusieurs. Le Canadien a gagné son match et Price le gardien a égalé le record d'avoir gagné le plus grand nombre de match. C'est mauvais signe quand je tourne autour du pot comme ça que j'arrive pas a écrire mon monde intérieur dans le Goulag occidental. Je jongle, je jongle c'est comme ça qu'on appelait ça cet épuisant bruit intérieur.Hier en présence de mes lecteurs j'ai réalisé que j'étais très arriéré point de vue informatique, ma chose a moi c'est l'écriture... J'arrive pas a croiser les jambes elles glissent une sur l'autre. C'est un lundi ou la neige a fondue et les érables coulent. J'ai quand même comme toujours mal à l'âme, j'entend le frigidaire et l'ordi c'est toujours la nuit. Je me gratte le dos en pensant au chansonnier Plume Latraverse "comme une plotte qui se frotte su le cadre de porte".On me demandais hier quel étais mon plus beau voyage, je crois que c'est toujours celui a venir. Ça m'a pris du temps pour partir mais maintenant je ne suis plus arrêtable, je tiens quand même a garder mon appartement, je partirai pas faire du three planting dans les provinces de l'ouest. Si c'est comme travailler dans un verger ils me garderaient pas longtemps. J'ai l'iguane de la guadeloupe en tête, je croyais qu'a la plage on pouvait se piquer sur des oursins... Mon lecteur de deux montagnes m'a appris qu'on pouvait attraper une hépatite avec une poignée de main. La prochaine fois je serai plus prudent et me ferai vacciner. Les changements dans le système de santé sont en vigueur maintenant. Je sais pas ce qui va advenir de ceux qui comme moi ont une maladie mentale plusieurs croient que le ministre a débâtis les choses et qu'on mettras du temps a s'en remettre, étrange! On soigne le système pas le malade!. Cette année j'ai pas regardé de film biblique, j'ai plutôt regardé la série Sons of Anarchy, tout le contraire du pardon et de la prière, de la vengeance au prix du sang. Ça sert à rien d'être cruel, on s'achèteras pas de vêtements a l'effigie des couleurs de cette bande de motards. Hier à Montréal dans le Goulag occidental j'ai vu deux motos, je crois qu'il est un peu tôt c'est pas pour la température mais plutôt pour les plaques de glace qui sont toujours là. Je pense au mythique film Easy Riders si vous l'avez pas vu courrez l'acheter c'est du grand cinéma un "road movie" avant la lettre. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'a voir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 3 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vous écris la télé en marche sur la partie de hockey. Y'a rien de sentimental dans un match. Je pense encore à mon voyage en Guadeloupe, ici ce soir ils annoncent de la neige. J'ai ouvert la porte pour faire un peu d'air. Canadiens viens de marquer, parait que le copyright permet pas de décrire un match en ligne. Quand je vous écris ça meuble le vide qui m'habite. Un autre but pour Montréal, je mange des clémentines et pour dessert j'ai mangé un Jos Louis. Y'a VLB qui a publié sa somme sur Fréderic Nietzche. Je sais même pas comment son nom s'écris mais c'est un philosophe marquant encore au vingt et unième siècle. J'arrive pas a me concentrer, c'est le soir qui est tombé sur le goulag occidental pas le grand soir comme le désirerais les manifestants étudiants, ça fait longtemps que je l'attend ce soir mais la société évolue lentement et la police fesse fort. Les dirigeants étudiants finissent au mieux politiciens et oublient leurs racines ouvrières. Je bois de l'eau pour mieux vivre ma solitude j'essais de me rappeler mon séjour en maison de chambres, mes derniers jours de folie, de maladie maintenant je me rétablis et je prie. Je suis ce que je suis parce que c'est organisé comme ça, tout le monde sait, connait ma destinée je suis le seul à pas la connaitre. Un écrivain ça écris c'est ce que je fait, on passe à la deuxième période du match. C'est deux à deux, le joueur qui s'appelle Toutou c'est un numéro quatre? Ça seras pas bon ce que j'écris. Je regarde le match en même temps. Quand ils veulent gèrer mon patrimoine je sais pas si la gérance de rien les intéressent. J'ai un déjà vu, un court scénario sans mise en scène... C'est énervant, me suis fait un café y'a même des publicitées en japonais... en japonais ou en Coréen? Je tue mon angoisse ce soir je la tue devant l'écran! Goodbye anxiety! Le poète jubile quand même pas, il arrive pas a dormir, le sort du monde lui importe comment écrire une société qui s'identifie à la comédie à l'humour, au showbizz me semble que c'est grave, on se distraie de cet univers assassin, quand même faut faire pour le mieux sans se mortifier bien que ça soit Vendredi Saint. Le match est terminé. Je suis vide pourtant c'est pas moi qui a joué. Dehors ça circule et ça gueule. J'abandonne ici, je reviendrai plus tard avec quelque chose j'espère de plus sensé. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine!!!
 

Bernard

mercredi 1 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir les policiers de la série 19/2 étaient pour un moment dans le goulag occidental coin Frontenac et Sainte-Catherine. J'avais plein de choses a vous raconter mais j'ai oublié n'empêche je suis content de ne plus avoir a faire avec les policiers. La réalité dépasse toujours la fiction, je reste...je reste dans mon trou dans le goulag occidental. Soudain la tête me tourne c'est peut être le rosbiff que j'ai mangé ce soir sans parler des cochonneries, biscuits salés, chips, fromage. J'arrive pas a vous écrire mon monde intérieur si je vous dis mon angoisse toujours présente vous allez me conseiller le médecin. Moi l'angoisse est un moteur créatif, c'est à travers elle que j'écoute la voix qui vous écris en ce moment. Le goulag occidental est tranquille ce soir, si y'a un de mes lecteurs, une de mes lectrices qui veux partir en voyage avec moi qu'ils  me fassent signe.La nuit m'ennuie, je plie, je plie et je souris pourtant personne ne m'a dis d'aller au lit c'est bien là ce que j'écris. Je suis pas détruit loin des interdits, ma vie, ma vie essuie les compromis les on dis de moi de lui en attendant la pluie, la symphonie des mots maudits, la tyrannie du jeudi et cette niaiserie en i en mots finis sans qui la vie se dis, s'écris en croyant faire de la poésie et je me trahis, je suis pas poète ou peut-être un peu un petit sans grand mot sans ménagerie, le chien c'est moi je le dis, vous le savez et chaque jour je péris, je me détruit en quelques os en quelques bruits. Ouais!!! C'est pas fort jusqu'ici, je ne dis rien que de moi. Vous je vous connais pas. Le philosophe disait connais toi toi même et tu seras plus fort que toutes les armées. Je suis pas certain d'être capable d'arrêter un missile de F-35... Depuis que je vous ai avoué avoir peur je suis paralysé. J'hésite a vous écrire ma vérité du moment. Je pense à toutes sortes de choses folles, le parc Belmont, la regretté Alys Robi et sa lobotomie, ma camisole chimique qui est de plus en plus grande et me laisse libre de tout mouvements. Y'a ce co-pilote allemand qui s'est tué en amenant dans la mort tout ceux qui étaient dans l'avion avec lui. Encore un que la psychiatrie a oublié, je crois que les métiers à haut-risques devraient être interdit au suïcidaire, mais comment savoir? C'est pas simple, y'a tout de même moins d'accidents d'avions que d'automobiles. Je sais j'écris des bêtises et quand je me présente comme schizophrène paranoïde avec co-morbidité je fait fausse route enfin je sais pas si il faut le dire ou pas. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard