dimanche 5 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour d'un excellent brunch chez des lecteurs de Lachenaie qui est maintenant Terrebonne je crois. Aujourd'hui c'est lundi de Pâques je crois que c'est congé pour plusieurs. Le Canadien a gagné son match et Price le gardien a égalé le record d'avoir gagné le plus grand nombre de match. C'est mauvais signe quand je tourne autour du pot comme ça que j'arrive pas a écrire mon monde intérieur dans le Goulag occidental. Je jongle, je jongle c'est comme ça qu'on appelait ça cet épuisant bruit intérieur.Hier en présence de mes lecteurs j'ai réalisé que j'étais très arriéré point de vue informatique, ma chose a moi c'est l'écriture... J'arrive pas a croiser les jambes elles glissent une sur l'autre. C'est un lundi ou la neige a fondue et les érables coulent. J'ai quand même comme toujours mal à l'âme, j'entend le frigidaire et l'ordi c'est toujours la nuit. Je me gratte le dos en pensant au chansonnier Plume Latraverse "comme une plotte qui se frotte su le cadre de porte".On me demandais hier quel étais mon plus beau voyage, je crois que c'est toujours celui a venir. Ça m'a pris du temps pour partir mais maintenant je ne suis plus arrêtable, je tiens quand même a garder mon appartement, je partirai pas faire du three planting dans les provinces de l'ouest. Si c'est comme travailler dans un verger ils me garderaient pas longtemps. J'ai l'iguane de la guadeloupe en tête, je croyais qu'a la plage on pouvait se piquer sur des oursins... Mon lecteur de deux montagnes m'a appris qu'on pouvait attraper une hépatite avec une poignée de main. La prochaine fois je serai plus prudent et me ferai vacciner. Les changements dans le système de santé sont en vigueur maintenant. Je sais pas ce qui va advenir de ceux qui comme moi ont une maladie mentale plusieurs croient que le ministre a débâtis les choses et qu'on mettras du temps a s'en remettre, étrange! On soigne le système pas le malade!. Cette année j'ai pas regardé de film biblique, j'ai plutôt regardé la série Sons of Anarchy, tout le contraire du pardon et de la prière, de la vengeance au prix du sang. Ça sert à rien d'être cruel, on s'achèteras pas de vêtements a l'effigie des couleurs de cette bande de motards. Hier à Montréal dans le Goulag occidental j'ai vu deux motos, je crois qu'il est un peu tôt c'est pas pour la température mais plutôt pour les plaques de glace qui sont toujours là. Je pense au mythique film Easy Riders si vous l'avez pas vu courrez l'acheter c'est du grand cinéma un "road movie" avant la lettre. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'a voir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 3 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vous écris la télé en marche sur la partie de hockey. Y'a rien de sentimental dans un match. Je pense encore à mon voyage en Guadeloupe, ici ce soir ils annoncent de la neige. J'ai ouvert la porte pour faire un peu d'air. Canadiens viens de marquer, parait que le copyright permet pas de décrire un match en ligne. Quand je vous écris ça meuble le vide qui m'habite. Un autre but pour Montréal, je mange des clémentines et pour dessert j'ai mangé un Jos Louis. Y'a VLB qui a publié sa somme sur Fréderic Nietzche. Je sais même pas comment son nom s'écris mais c'est un philosophe marquant encore au vingt et unième siècle. J'arrive pas a me concentrer, c'est le soir qui est tombé sur le goulag occidental pas le grand soir comme le désirerais les manifestants étudiants, ça fait longtemps que je l'attend ce soir mais la société évolue lentement et la police fesse fort. Les dirigeants étudiants finissent au mieux politiciens et oublient leurs racines ouvrières. Je bois de l'eau pour mieux vivre ma solitude j'essais de me rappeler mon séjour en maison de chambres, mes derniers jours de folie, de maladie maintenant je me rétablis et je prie. Je suis ce que je suis parce que c'est organisé comme ça, tout le monde sait, connait ma destinée je suis le seul à pas la connaitre. Un écrivain ça écris c'est ce que je fait, on passe à la deuxième période du match. C'est deux à deux, le joueur qui s'appelle Toutou c'est un numéro quatre? Ça seras pas bon ce que j'écris. Je regarde le match en même temps. Quand ils veulent gèrer mon patrimoine je sais pas si la gérance de rien les intéressent. J'ai un déjà vu, un court scénario sans mise en scène... C'est énervant, me suis fait un café y'a même des publicitées en japonais... en japonais ou en Coréen? Je tue mon angoisse ce soir je la tue devant l'écran! Goodbye anxiety! Le poète jubile quand même pas, il arrive pas a dormir, le sort du monde lui importe comment écrire une société qui s'identifie à la comédie à l'humour, au showbizz me semble que c'est grave, on se distraie de cet univers assassin, quand même faut faire pour le mieux sans se mortifier bien que ça soit Vendredi Saint. Le match est terminé. Je suis vide pourtant c'est pas moi qui a joué. Dehors ça circule et ça gueule. J'abandonne ici, je reviendrai plus tard avec quelque chose j'espère de plus sensé. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine!!!
 

Bernard

mercredi 1 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir les policiers de la série 19/2 étaient pour un moment dans le goulag occidental coin Frontenac et Sainte-Catherine. J'avais plein de choses a vous raconter mais j'ai oublié n'empêche je suis content de ne plus avoir a faire avec les policiers. La réalité dépasse toujours la fiction, je reste...je reste dans mon trou dans le goulag occidental. Soudain la tête me tourne c'est peut être le rosbiff que j'ai mangé ce soir sans parler des cochonneries, biscuits salés, chips, fromage. J'arrive pas a vous écrire mon monde intérieur si je vous dis mon angoisse toujours présente vous allez me conseiller le médecin. Moi l'angoisse est un moteur créatif, c'est à travers elle que j'écoute la voix qui vous écris en ce moment. Le goulag occidental est tranquille ce soir, si y'a un de mes lecteurs, une de mes lectrices qui veux partir en voyage avec moi qu'ils  me fassent signe.La nuit m'ennuie, je plie, je plie et je souris pourtant personne ne m'a dis d'aller au lit c'est bien là ce que j'écris. Je suis pas détruit loin des interdits, ma vie, ma vie essuie les compromis les on dis de moi de lui en attendant la pluie, la symphonie des mots maudits, la tyrannie du jeudi et cette niaiserie en i en mots finis sans qui la vie se dis, s'écris en croyant faire de la poésie et je me trahis, je suis pas poète ou peut-être un peu un petit sans grand mot sans ménagerie, le chien c'est moi je le dis, vous le savez et chaque jour je péris, je me détruit en quelques os en quelques bruits. Ouais!!! C'est pas fort jusqu'ici, je ne dis rien que de moi. Vous je vous connais pas. Le philosophe disait connais toi toi même et tu seras plus fort que toutes les armées. Je suis pas certain d'être capable d'arrêter un missile de F-35... Depuis que je vous ai avoué avoir peur je suis paralysé. J'hésite a vous écrire ma vérité du moment. Je pense à toutes sortes de choses folles, le parc Belmont, la regretté Alys Robi et sa lobotomie, ma camisole chimique qui est de plus en plus grande et me laisse libre de tout mouvements. Y'a ce co-pilote allemand qui s'est tué en amenant dans la mort tout ceux qui étaient dans l'avion avec lui. Encore un que la psychiatrie a oublié, je crois que les métiers à haut-risques devraient être interdit au suïcidaire, mais comment savoir? C'est pas simple, y'a tout de même moins d'accidents d'avions que d'automobiles. Je sais j'écris des bêtises et quand je me présente comme schizophrène paranoïde avec co-morbidité je fait fausse route enfin je sais pas si il faut le dire ou pas. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 31 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin je suis sortis faire les courses. Un homme m'a dis que la margarine Lactantia en plus grosse quantité coutait le même prix que la margarine d'huile d'olive, ce qu'il savait pas c'est que j'achète ce que je veux... et on s'en fout des courses ce matin. Le goulag occidental est encore froid, l'itinérant déjeûne avec des chips... Le ciel est quand même bleu, on pense à nos snowbirds de l'Outaouais. La neige fond lentement, le sol se réchauffe, vous voulez quelque chose de plus substantiel comme texte. Moi j'essais la poésie des phrases. Le quotidien de la matinée est rarement très poétique, je m'appelle pas Gaston Miron ou Jacques Ferron bien que le rapaillage de Miron m'éblouis. L'amour voilà à quoi il faut arriver pourtant j'ai de la difficulté a aimer cet Imam qui n'aime pas la démocratie parce qu'elle va contre l'islam selon lui et il raconte ça sous le manteau de la liberté d'expression. Moi j'expulserais cet homme là, je l'exilerais en pays musulman si c'est si bien que ça pourquoi il ne va pas vivre là et il ose nous faire passé pour des tarés. Je veux bien être tolérant mais y'a des limites. Je sais pas pourquoi je suis passé de Miron à l'Imam... Je crois qu'au Québec on accueille très bien les gens qui croient en nos valeurs sinon qu'ils aillent se faire voir ailleurs.Leurs charia est rétrograde et j'écrirai pas ça sous l'anonymat. J'ai de la difficulté a développer là dessus tellement cet abus m'enrage, cet imam j'y vois que de la graine de terroriste du genre a vouloir prier vers la Mecque dans une cabane à sucre. On va dire que je suis fou et intolérant c'est facile, quand on perd des libertés à cause de ces terroristes intégristes... Dehors la racaille!!! Dehors la canaille!!! Pourtant je suis pas de droite, mais j'ai la gauche maladroite. Je sais pas si les politiciens attendent le carnage avant de faire quelque chose. Ces gens là, j'aime pas beaucoup cette façon d'écrire je suis quand même une part de ces gens. Je sais pas si vous comprenez on utilise souvent ces gens pour signaler notre opposition. L'expression "ces gens". Quand même pour la paix de tous il faut parfois exclure. Noam Chomsky serait pas d'accord lui qui met la liberté d'expression au dessus de tout, si on s'exprime pour annihiler la démocratie c'est de la folie. Parfois faut se tenir debout et imposer nos limites. J'ai pas grand chose de plus a écrire. Qu'on déporte ces gens qui ne croient pas en nos valeurs et je le répète je ne suis pas de droite j'en attend que un qui mette ses culottes. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard Saulnier

dimanche 29 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! En cette fin d'après midi c'est ensoleillé dans le goulag occidental. Y'a eu un accident d'avion à Halifax je trouve qu'il y en a de plus en plus. Quelques mots pour l'ami qui s'inquiète de ma peur, c'est passé je me suis calmé, je respire par le nez. J'ai ouvert la porte pour aérer, je pense encore à la Guadeloupe. Cet après midi j'ai regardé le film Mommy un excellent film avec de très bon comédiens. C'est toujours une tentative d'écriture de ce que je ressent au moment présent. Dehors des gens parlent anglais, j'ai regardé la revue des livres dans LaPresse+ et les chroniques télévisées de Lire et de Tout le monde tout lu. J'ai noté que deux livres. Je pense à cette fille qui vend des milliers de livres et qui est passé du web à l'édition traditionnelle. La semaine passée j'ai rencontré une de mes lectrices qui m'a abandonné parce que j'écrivais sur ma schizophrénie paranoïde... Lentement la neige fond, c'est le dimanche des rameaux. Je sais plusieurs vont travailler demain matin, moi mon travail c'est d'écrire même si ça semble idiot. J'ai passé l'après midi lentement devant la télévision...Ai un peu parlé à la matriarche. Je crois que quelques uns d'entre vous préfèrent quand j'écris en joual, français ou joual j'en dis pas plus. Y'a les manifestations étudiantes que je ne fréquente pas mais que j'appuie, mom aliénation mentale prend partis pour le rétablissement et la pleine citoyenneté c'est je crois un de mes devoirs de manifester mais la folie se transformerais rapidement en psychose dans les rangs des manifestants. À Tunis les présidents ont marché pour contrer la triste réalité des attentats. Je suis en porte à faux, je teste mes fondations, elles sont bonnes. Je voulais dire aux lecteurs lectrices de pas toujours prendre ce que j'écris au sérieux, si ça va vraiment mal je vous le dirai. Tranquillement je regarde les livres dans mes bibliothèques. J'espère un jour publier dans l'édition traditionnelle. Je crois que les éditeurs veulent pas de moi, les fous font trop de coquilles et sont par essence instable pourtant plusieurs ont publié de la littérature déjantée faut croire que la mienne l'est pas assez. Je pense à Hunter S. Thompson et à son Gonzo writing, les lecteurs sont souvent conservateurs, ils aiment les constructions littéraire classique... La semaine passée y'avait ce directeur de vol qui avant le départ faisait un thumbs up, c'est rassurant. Je vous laisse en vous souhaitant une bonne semaine et en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 26 mars 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit c'est l'insomnie quoi que j'ai dormis un peu entre dix neuf heure et minuit. Le goulag occidental est calme, lentement la neige fond, on vois les crottes de chiens que les gens ont pas ramassés.L'édifice est silencieux.Ce matin je vais parler de pleine citoyenneté et de rétablissement.Je me suis rasés...Je suis nerveux j'espère que je vais bien faire. Le matin quand je suis seul et dans le silence les voix me dénigrent pas, j'ai besoin de ce silence. Les insolations me démangent. Cette phrase là est très laide mais essentielle... Je pense aux toîts de tôles des maisons en Guadeloupe, en vacance on arrive a oublier le volcan et même par affaire la Soufrière se fait oublier...Saint-Claude c'est jolie tant que le volcan fait pas éruption. Quoi vous écrire de neuf? Vous trouvez peut être que j'écris trop, vous avez pas le temps de me suivre, l'écriture c'est ma survie, non j'ai pas de doctorat en y repensant bien je crois que l'université de la vie m'a mieux servie que les bancs de l'école. Voilà les voix qui surgissent je ne sais d'où et qui me traitent de pauvre plouc... Cette semaine y'a une revue Science et Avenir qui traite de schizophrénie, dehors y'a un gars qui sacre je crois que c'est après moi pourtant il me voie pas je suis caché derrière le rideau. J'écris pour mes amis, pour la famille les autres je crois qu'ils veulent que je me taise. Je pense à Josée Yvon qui disait qu'il fallait tout écrire. J'imagine que c'est le propriétaire de l'immeuble qui sacre après moi et me dis de lâcher le bloc ou le b.s.J'aime pas quand on viens gueuler à ma porte. Tout travail mérite salaire et oui madame j'ai double statut. Je veux pas vivre avec la peur de perdre ma job et suis trop malade pour faire des huit heures par jour,ça me cause quand même des problèmes de conscience. Je sais je devrais me cacher et parler avec la voix plaignarde du malade. J'ai pas envie de jouer ce jeux là comme je l'ai déjà écris je plaide coupable de pauvreté. Je pense au camelot de l'itinéraire qui crois que je le niaise, c'est pas volontaire je le sais qu'un jour je vais me retrouver devant rien. J'ai peur, j'ai peur, j'ai peur... Me reste que une ou deux lignes a écrire. Je serai jamais en paix pourtant je me souviens d'un temps ou j'étais bien. Je dois corriger ma direction je sais pas si je vais y arriver pourtant je crois que je suis honnête. Je travaille, ce que j'écris là en est là preuve. Enfin! Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard  

mercredi 25 mars 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je mange une orange... Comment vous dire que j'essaie de pas trop demander.Tout à l'heure dans le parc en face ils ont installé une grosse bâche bleu et dessous des chaises, je sais pas pourquoi... Ha! Et tiens je vous le dis!!! Je m'auto dénigre je suis un gros fou, un gros malade mental pourtant c'est toujours une tentative de voir les choses malgré les murmures incompréhensibles de l'autre. Je suis un gros coco dirais le collègue. Dehors un chien jappe et un passant aussi. La Guadeloupe m'est rentré dans le corps, j'espère que l'hiver tire à sa fin. Je pense au docteur qui bégaie je crois qu'il ne m'aime pas... Ce foutu besoin d'approbation je fais je crois les choses pour le mieux, comme on dis on peut pas plaire à tout le monde et à son père.  Ai mangé un sandwich en Martinique suis arrivé là en avion à moteurs hélices, j'étais jamais monté là dedans c'est bien,ça s'envole assez vite. Étrangement après quelques heures de vol en C-Séries mon mal de genoux disparait. Je regarde la carte, souvenirs de Pointe des Châteaux, et après de la plage des Raisins clairs, la magnifique plage de Sainte Anne et ensuite Le Gosier, je crois que je vous ai déjà écris là dessus, je le fait encore pour raviver le souvenir pour m'y voir encore. Ce soir dans le goulag occidental il pleut, c'est bon signe la neige va fondre, l'eau d'érable va couler, on s'éloigne jamais assez toujours de retour dans le Goulag occidental sur une île aussi entre un fleuve et une rivière. Je pense au Tropique du cancer, et au Tropique du capricorne d'Henri Miller, c'est chaud quasiment porno.Moi ce que j'écris ce seras jamais à l'index ça n'existe plus, les gens vont plutôt en rire c'est plus facile dans un monde ou on expose les photos de Robert Mapplethorpe comme des chefs d'oeuvre y'a plus de limite, l'origine du monde de Courbet ça défrise plus personne. Le vrai scandale c'est le sang qui coule, en Guadeloupe j'avais oublié tout ça. Maintenant c'est la nuit, j'essais de vous dire plutôt que de fuir. Ce soir ça gueule et ça tousse c'est pas des voix, je suis chez moi. Ouais! Je vous finirai pas ça en apothéose, quand je vous écris je me sent un peu mieux, ça allège cette souffrance. Je ne veux pas prendre des moyens plus dangeureux. J'ai assez donné dans ces eaux là. Tout à coup le l'autodénigrement de la journée reviens. Je cesse donc ici de peur de vous ennuyer. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard