Bonsoir! C'est un blog ce soir qui viens de la Guadeloupe. Si les voyages forment la jeunesse je dois rajeunir. A part un petit problème de bagage à Fort-de-France
Tout s'est bien passé, la première fois que je montais dans un avion à hélices. Le paysage est magnifique, des bananeraie de la canne à sucre et la montagne c'est vert. Tropical! Extraordinaire! Je vais essayer de mettre des photos sur face. C'est pas le temps d'avoir des crises existentielles. Je fait ça court en vous remerciant comme toujours d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard
dimanche 15 mars 2015
samedi 14 mars 2015
Au présent
Bonjour! Bonsoir! Plus qu'un dodo avant le départ
pour la Guadeloupe. Je suis tellement anxieux j'en suis vide. J'abandonne le
goulag occidental pour une semaine ça va me faire du bien. Dans ma tête défile
ce que je vais dire à la présentation. Je m'appuie sur mon collègue. Le goulag
occidental est tranquille ce matin. En Guadeloupe C'est une semaine de
sensibilisation à la santé mentale qui tourne autour de l'adolescence. Je vais
leurs raconter un court passage académique de mon adolescence. Ils vont voir à
quel moineau ils ont affaire. Lentement je fais mes bagages, je veux rien
oublier... Étrangement je retourne au temps de mon alcoolisme actif, à toute
cette bière bue, je consommais autant que le père d'Achille Talon, toujours une
cannette dans les mains et l'haleine éthyllique. Juste aujourd'hui je vais
essayer de ne pas boire, un jour à la fois... Je pense au mode avion sur ma
tablette électronique, faut pas que j'oublie. J'habite un bon édifice c'est
tranquille. Je crois que les gens savent qu'une bonne part des locataires
souffrent d'une maladie mentale, ils veulent pas y être associé on nous laisse
donc tranquille évidemment quand y'a des problèmes on hésite pas a appeler la
police, les malfaisants se tiennent loin. Je pense à ce jeux télévisé Génie en
herbe, je sais pas si c'est encore en onde. J'aimais bien jouer de chez moi
j'étais pas mauvais. Je pense à Fabienne Thibeault sur les enregistrements de
Plume Latraverse, du grand art dans la chanson populaire. J'aime beaucoup les
photos de Floride de ma lectrice retraitée de l'Outaouais. Je sais pas si elle
me lis même en vacance. Cette nuit mon corps cri, les chaises craquent... Vous
allez me dire tu pense trop écris! Un avion à hélice passe au dessus de chez moi
il est bruyant. Ce matin j'ai lu les actualités rien de remarquable le monde
suit son cours. Comme souvent la chanson de Ruteboeuf me viens en tête "Que
sont mes amis devenus, que j'avais de si près tenus et tant aimés" Léo Ferré en
a fait une version magnifique. Je me vois bientôt assis à la terrasse d'un café.
Hier aux nouvelles les pêcheurs de la côte ouest se plaignais de ne pouvoir
vendre à la Chine une énorme huitre aux apparences de phallus. Semble que c'est
un met recherché en Chine. Bon! Voilà! "la mer" de Charles Trenet, "la mer qu'on
vois danser le long des golfes clair" Ce matin j'ai trop de chanson dans la tête
je vous laisse donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine
j'espère!!!
Bernard
jeudi 12 mars 2015
Au présent
Bonsoir! Bonjour! J'ai décidé de vous écrire
pendant la partie de hockey. Je pars bientôt j'ai hate. Du soleil et de la
chaleur ce seras la première fois que je vais vivre ça ce temps ci de l'année.
Les bagages sont presque prêt on va peaufiner la présentation dans l'avion. Je
veux pas mettre n'importe quoi en ligne, c'est pas à moi de parler de la France
et de ses rapports difficile avec ce qu'ils nommaient les colonies. Demain je
vais m'acheter une ceinture, ce que j'écris là c'est de l'ordre de la niaiserie.
La journée à quand même été plaisante. Je range quelques petites choses que je
veux apporter. Semble que le décalage horaire est d'une heure c'est bien. Là on
est en début de soirée j'ai fermé la télé... Viens de la mettre en marche pour
voir l'adversaire de l'équipe locale prendre l'avance d'un but. Le sport ça a
pas beaucoup a voir avec le sentis, l'émotion, le sentiment c'est plus une
question de performance de forme physique et de résultat. Viens d'avoir la liste
des PDG du réseau de la santé, je crois que la directrice de l'institut vas être
une PDGA... C'est important pour ma santé mentale. Quand j'écris comme ça
émotivement y'a rien, je préfère de beaucoup m'arracher le coeur, vous dire mes
peurs et mes angoisses comment je les surmonte. Je respire par le nez... Ça sert
à rien l'équipe est sur une stretch perdante. Ce soir j'ai la tête vide vous
allez dire c'est pas nouveau bein voèyons!!! J'en connais plusieurs qui sont
partis se coucher avant la fin du match, les oreilles me sillent. Moi je suis
même pas un pion je compte pour rien... J'entend les voisins, à moins que ce
soit ces mêmes voix comme Jeanne-D'Arc... Je sais pas pourquoi je suis si
tranquille, cet après-midi j'en ai réveillé une qui dormait littéralement debout
dans le wagon du métro devant les portes, y'aurait pu y avoir un accident. Je
crois qu'elle était intoxiquée. Plus tard quand je suis partis de la caisse j'ai
cru entendre "Esti qu'il est épais!" de la part de la caissière, c'est qu'une
caissière ce qu'elle pense devrait pas me déranger avais je affaire encore une
fois à ces voix je crois que oui. J'entend des véhicules reculer dans le
goulag.Je crois que je suis le Howard Hugues des pauvres aussi fou que lui mais
la fortune en moins trompez vous pas c'est Howard Hugues pas Hugh Hefner le
playboy, les bunnies... C'étais ça pour ce soir je me suis laissé aller toujours
dans l'idée du présent. Je termine donc en vous remerciant d'avoir lu
jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard
mercredi 11 mars 2015
Au présent
Bonsoir! Bonjour! J'ai que la chanson "je crinque
ma chainsaw' dont je me rappelle plus le titre ni le nom du groupe de barbus qui
la chante. Une voix d'hystérique folk dans un corps de bûcheron.Je vous écris de
la nuit j'ai coupé le chauffage il fait assez doux. J'ai le nom du groupe c'est
tire le coyote, je me rappelle en avoir vu en liberté chez un oncle qui vivait
dans le bout de Saint-Lin. Je sais, je sais on les a repoussé plus loin avec le
développement urbain. C'est mercredi, lentement la journée du départ s'en viens.
Mes lecteurs de l'Outaouais seront pas les seuls à la chaleur. Dans le temps les
coyotes c'étais considéré comme de la vermine on donnait quelques dollars pour
la fourrure. Fallait protéger les poulaillers. C'est animaux là ont peur des
êtres humains c'est assez difficile de les chasser, mais de quoi je me mêle!!!
J'ai jamais tenus une carabine de ma vie et je vous écris sur la chasse comme si
j'étais Davy Crockett ou Daniel Boone. Ce matin dans mon somnanbulisme je me
suis réveillé tout près de la table a cherché un câble qui n'existe pas...
Changement de sujet pour ceux qui me croient gay, moi la sexualité ça m'embête.
J'ai la libido à zéro et je ne m'en porte que mieux... Je nie rien, j'en ai pas
envie c'est tout ça m'ennuie. Je sais c'est pas très viril comme vision mais
quand je vois le genre d'idiot dont certaines femmes s'amourache. Je préfère
l'abstinence. Elles le trouvent tellement gentil y'a juste un petit problème
c'est un batteur de femme, other thant that c'est une perle, qu'est-ce que vous
attendez madame de vous faire tuer on est plus dans les années quarante, les
femmes ont des droits.Je pense qu'a lire ça ce matin vous m'aimerez pas. Je peux
pas vraiment être plus épais que le maire de Saguenay qui s'en prend aux
intellectuels et à Greenpeace qui selon lui empêche le dévelloppement en
protégeant l'éco-système. Je suis même pas sur qu'il sait ce que ça veux dire.
Amenez en des industries polluantes au Saguenay, les désastres on a pas peur de
ça. j'écris ça et je me sent aussi épais que lui, c'est peut être le cas...
Encore autre chose,je trouve que les français sont très éprouvés ces temps ci,
je ferai pas la liste des désastres mais j'ai une pensée pour eux. Je vous avoue
qu'a regarder les actualités tout les soirs je deviens fatigués et bien
conscient de mon impuissance devant les désastres. Je trouve quand même bizarre
qu'on trouve les villages trop près de la voie ferrée, c'est la raison première
de leurs existences la track, pas de track pas de village on construit pas au
milieu de nowhere.Je suis certain que le chemin de fer a servis le village. Je
vous laisse là dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine
j'espère!!!
Bernard
mardi 10 mars 2015
Au présent
Bonjour! Bonsoir! Je sais pas trop quoi vous
écrire. Il fait doux dans le goulag. Deux de mes lecteurs vont bientôt être à
Jacksonville Floride. Moi j'attend des nouvelles du voyage en Guadeloupe comme
on dis tout viens à point à celui qui sait attendre. Comme toujours c'est des
niaiseries que j'écris. J'espère que ça a valeur d'expression. La neige fond
lentement. Ça vous intéresse probablement pas de savoir que je sort de la
douche. J'essaye pas de faire mon comique ç'est pas drole.Ce matin j'entend les
corneilles. Ai mangé mon petit-déjeuner. Je pense que j'ai tout dis ce que
j'avais a dire sur le goulag occidental comment les gens font la navette entre
l'hôpital psy et leurs appartements. J' y arrive pas, j'y arrive pas, vous
écrire quelque chose qui a du sens.Je regarde les voiture passées, je suis vide
mais quand même anxieux, la voisine passe sur la passerelle. C'est terrible de
savoir que je vais écrire toute ma vie mais seulement que des insignifiances,
c'est angoissant.Dehors une jeune fille attend l'autobus, je roule à vide. Ils
volent des vélos pour les vendre et s'acheter de la poudre. Je pense à cette
copine qui m'avait donné son nip, c'était idiot de faire ça, je pouvais vider
son compte. Je l'ai pas fait. Premier courriel ce matin une publicité de PayPal.
J'en ai rien a foutre, pardonnez le langage. Y'avait ces gens à la télé qui avec
leurs tablettes électronique, leurs téléphones essayaient de prendre une photo
du Président Obama. Ça donne quoi de dire que tu est passé tout près du
président? Aurais mieux value une bonne conversation... Pour ce qui est de
l'écriture de l'intimité ce matin, vous aurez pas plus qu'un lavage de
vaisselle. Je divague comme toujours en sachant pas ce que je vais écrire. Vous
vous attendiez à quelque chose d'inspirée c'est plus de l'ordre de l'expiré.
J'expire sans en être à mon dernier soupir. Je pense aux Besançon à Besançon,
aux Invités au festin, à leurs communauté de gens spéciaux. Sur le mur derrière
moi y'a une icône qui me rappelle mon passage chez eux dans l'ancien monastère.
Ce qu'il y a d'étonnant c'est comment la vie et les gens passent et on retiens
très peu de ces rencontre. Chacun retourne à ses petits soucis quotidien en ne
gardant que de fugaces souvenirs. Sur la rambarde de la passerelle y'a des
glaçons qui dégouttent. Mes mots sont comme ça, le texte comme le glaçon fond
bientôt il n'en resteras plus rien. Y'auras qu'a attendre la prochaine giboulée.
Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine
j'espère!!!
Bernard
dimanche 8 mars 2015
Au présent
Bonjour! Bonsoir! Cet après midi je suis sortis du
goulag occidental pour allé avec des amis au bord de l'eau à Verchéres. C'étais
fantastique, le fleuve et la glace, le bleu de tout ça on a bien rigolé. J'ai
tué un peu d'angoisse... Si les choses vont bien dimanche prochain à cette heure
ci je serai en Guadeloupe. J'ai quand même bien aimé regardé les maisons
ancestrales sur la rive sud. Comment vous écrire je reviens chez moi quelqu'un a
sonné et a pas laissé de message, je trouve ça angoissant de toute façon je suis
toujours angoissé. On a avancé l'heure il est dix huit heure et il fait clair,
c'est bien... Je prend mon temps pour vous écrire ce soir, y'a des lecteurs qui
sont partis en voyage, on va s'ennuyer. Je vais me faire un café.À Verchères
y'avait des pêcheurs sur la glace, j'ai demandé à l'un d'eux ce qu'il pêchait,
du brochet et du doré, les brimballes grouillaient pas trop. Ma très chère amie
m'a donné de la bouffe je la remercie ici, je suis choyé... Pendant ce temps là
le soleil se couche dans une teinte orangé ça promet du beau temps pour demain.
Le studio est électrique, je prend des chocs de statique. Je pense aux rêves de
millions de dollars chez les jeunes comme si la fortune monétaire amenait le
bonheur, c'est faux c'est une question de valeurs on apprend ça en vieillissant,
on leurs souhaite quand même de devenir aussi riche que Bill Gates on verras
comment ils vont se débrouiller. Moi de l'argent j'en ai jamais eu, j'ai pas de
talent financier. Loser voilà ce que vous allez dire le Loser de la chanson de
Beck mais je sais qu'a chaque jour je gagne des combats intimes, je me
rétablis... Je sais jamais comment finir une conversation téléphonique pas plus
que comment finir ce blog que j'essais de mettre à jour. J'ai délaissé le cahier
pour rédiger à froid, parfois j'ai pas une grande inspiration mais vous là
préférez vous ça à mes délires paranoïaque? J'entend des gens discuter sur la
passerelle un chien jappe. Je crois que le soleil était assez fort aujourdhui
pour faire fondre la neige. Je sais pas si j'ai encore mon lecteur pêcheur,
travailleur de la Rolls-Royce. J'ai pensés à lui au bord de l'eau. Cette nuit on
va gagné cette heure perdue peut être dormir une heure de plus. Se coucher plus
tôt... C'est vide mon affaire ce soir je veux pas vous parler de ma souffrance
c'est inutile. Je pense à mon autre lecteur travailleur chez Bombardier lâche
pas comme on dis le meilleur est à venir. Comme souvent ça donne dans la
niaiserie mon blog, n'empêche j'ai une bonne pensée pour vous tous. Merci
d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard
samedi 7 mars 2015
Au présent
Bonjour! Bonsoir! Ce matin j'ai mal à la gorge et
ma peur est omniprésente. Je pense à tout ces objets que des inconnus ont
déplacés chez moi remarquez je n'en ai pas la certitude absolue, les voisins me
le diraient si quelqu'un entrait chez moi. N'empêche un détecteur de fumée
disparus, des vis aussi, un bocal d'advil ou on a rajouté et enlevé de la ouate.
Je soupçonne un complot de la compagnie pharmaceutique, du lobby des
médicaments, c'est ça la maladie. J'ai connus quelqu'un qui avait les mêmes
symptomes pourtant je suis en rétablissement. Aussitôt que j'écris là dessus
j'ai des déjà vu, de la la difficulté a expliquer clairement ce que je vie.Ici
c'est la nuit dehors dans le goulag occidental y'a de la circulation. J'essais
de réfléchir au prochain objet qu'ils vont voler ou déplacer rien qui a de la
valeur juste une petite chose pour que ça me turlupine dans le ciboulot. Ce
matin y'a que ma voix intérieur qui parle. Jeudi elle me traitait de guidoune,
me dénigrait, je crois que c'est l'anxiété avant le départ en voyage dans une
semaine. Dans mon rétablissement y'a souvent la part des devoirs plus que des
droits qu'on fait valoirs. Je sais pas trop quel droit on bafoue chez moi par
contre j'essais de respecter mes devoirs, mes obligations.J'ai aucune preuve de
tout ce que je raconte c'est de la folie, de la maudite maladie. Cette nuit j'ai
très mal dormis comment voulez vous dormir quand vous vous sentez envahis. C'est
inconscient mais ça nourris l'angoisse quand même je me sent chez moi. J'ai pas
d'autre endroit ou habiter. Je me cache pas. Vous allez me dire voilà un bel
exemple de maladie mentale.Merci pour tout je m'en passerais. Mon corps parle,
gargouille c'est lui qui dans ses gargouillement m'a amené à l'abstinence. C'est
samedi, la semaine de relâche s'achêve, la semaine prochaine j'attend des
nouvelles pour le voyage.J'ai déjà été claustrophobe.Les bruits de l'extérieur
de l'appartement m'angoissait quand j'aménageais et que je trouvais une douille
de vingt deux c'étais la peur. Je crois avoir raconté ça ailleurs dans mes
écrits. Je pense aux lecteurs de P-A-T qui m'a piqué mon livre répertoire de
subvention de toute façon je crois qu'il est plus à date. Ce soir j'ai des
ennemis partout, j'ai des batons dans les roues. Lentement la nuit se termine,
les autobus reprennent du service. Une dernière, une toute petite et dernière
ligne de mots, en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la
prochainej'espère!!!
Bernard
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