samedi 14 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Plus qu'un dodo avant le départ pour la Guadeloupe. Je suis tellement anxieux j'en suis vide. J'abandonne le goulag occidental pour une semaine ça va me faire du bien. Dans ma tête défile ce que je vais dire à la présentation. Je m'appuie sur mon collègue. Le goulag occidental est tranquille ce matin. En Guadeloupe  C'est une semaine de sensibilisation à la santé mentale qui tourne autour de l'adolescence. Je vais leurs raconter un court passage académique de mon adolescence. Ils vont voir à quel moineau ils ont affaire. Lentement je fais mes bagages, je veux rien oublier... Étrangement je retourne au temps de mon alcoolisme actif, à toute cette bière bue, je consommais autant que le père d'Achille Talon, toujours une cannette dans les mains et l'haleine éthyllique. Juste aujourd'hui je vais essayer de ne pas boire, un jour à la fois... Je pense au mode avion sur ma tablette électronique, faut pas que j'oublie. J'habite un bon édifice c'est tranquille. Je crois que les gens savent qu'une bonne part des locataires souffrent d'une maladie mentale, ils veulent pas y être associé on nous laisse donc tranquille évidemment quand y'a des problèmes on hésite pas a appeler la police, les malfaisants se tiennent loin. Je pense à ce jeux télévisé Génie en herbe, je sais pas si c'est encore en onde. J'aimais bien jouer de chez moi j'étais pas mauvais. Je pense à Fabienne Thibeault sur les enregistrements de Plume Latraverse, du grand art dans la chanson populaire. J'aime beaucoup les photos de Floride de ma lectrice retraitée de l'Outaouais. Je sais pas si elle me lis même en vacance. Cette nuit mon corps cri, les chaises craquent... Vous allez me dire tu pense trop écris! Un avion à hélice passe au dessus de chez moi il est bruyant. Ce matin j'ai lu les actualités rien de remarquable le monde suit son cours.  Comme souvent la chanson de Ruteboeuf me viens en tête "Que sont mes amis devenus, que j'avais de si près tenus et tant aimés" Léo Ferré en a fait une version magnifique. Je me vois bientôt assis à la terrasse d'un café. Hier aux nouvelles les pêcheurs de la côte ouest se plaignais de ne pouvoir vendre à la Chine une énorme huitre aux apparences de phallus. Semble que c'est un met recherché en Chine. Bon! Voilà! "la mer" de Charles Trenet, "la mer qu'on vois danser le long des golfes clair" Ce matin j'ai trop de chanson dans la tête je vous laisse donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 12 mars 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai décidé de vous écrire pendant la partie de hockey. Je pars bientôt j'ai hate. Du soleil et de la chaleur ce seras la première fois que je vais vivre ça ce temps ci de l'année. Les bagages sont presque prêt on va peaufiner la présentation dans l'avion. Je veux pas mettre n'importe quoi en ligne, c'est pas à moi de parler de la France et de ses rapports difficile avec ce qu'ils nommaient les colonies. Demain je vais m'acheter une ceinture, ce que j'écris là c'est de l'ordre de la niaiserie. La journée à quand même été plaisante. Je range quelques petites choses que je veux apporter. Semble que le décalage horaire est d'une heure c'est bien. Là on est en début de soirée j'ai fermé la télé... Viens de la mettre en marche pour voir l'adversaire de l'équipe locale prendre l'avance d'un but. Le sport ça a pas beaucoup a voir avec le sentis, l'émotion, le sentiment c'est plus une question de performance de forme physique et de résultat. Viens d'avoir la liste des PDG du réseau de la santé, je crois que la directrice de l'institut vas être une PDGA... C'est important pour ma santé mentale. Quand j'écris comme ça émotivement y'a rien, je préfère de beaucoup m'arracher le coeur, vous dire mes peurs et mes angoisses comment je les surmonte. Je respire par le nez... Ça sert à rien l'équipe est sur une stretch perdante. Ce soir j'ai la tête vide vous allez dire c'est pas nouveau bein voèyons!!! J'en connais plusieurs qui sont partis se coucher avant la fin du match, les oreilles me sillent. Moi je suis même pas un pion je compte pour rien... J'entend les voisins, à moins que ce soit ces mêmes voix comme Jeanne-D'Arc... Je sais pas pourquoi je suis si tranquille, cet après-midi j'en ai réveillé une qui dormait littéralement debout dans le wagon du métro devant les portes, y'aurait pu y avoir un accident. Je crois qu'elle était intoxiquée. Plus tard quand je suis partis de la caisse j'ai cru entendre "Esti qu'il est épais!" de la part de la caissière, c'est qu'une caissière ce qu'elle pense devrait pas me déranger avais je affaire encore une fois à ces voix je crois que oui. J'entend des véhicules reculer dans le goulag.Je crois que je suis le Howard Hugues des pauvres aussi fou que lui mais la fortune en moins trompez vous pas c'est Howard Hugues pas Hugh Hefner le playboy, les bunnies... C'étais ça pour ce soir je me suis laissé aller toujours dans l'idée du présent. Je termine donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 11 mars 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai que la chanson "je crinque ma chainsaw' dont je me rappelle plus le titre ni le nom du groupe de barbus qui la chante. Une voix d'hystérique folk dans un corps de bûcheron.Je vous écris de la nuit j'ai coupé le chauffage il fait assez doux. J'ai le nom du groupe c'est tire le coyote, je me rappelle en avoir vu en liberté chez un oncle qui vivait dans le bout de Saint-Lin. Je sais, je sais on les a repoussé plus loin avec le développement urbain. C'est mercredi, lentement la journée du départ s'en viens. Mes lecteurs de l'Outaouais seront pas les seuls à la chaleur. Dans le temps les coyotes c'étais considéré comme de la vermine on donnait quelques dollars pour la fourrure. Fallait protéger les poulaillers. C'est animaux là ont peur des êtres humains c'est assez difficile de les chasser, mais de quoi je me mêle!!! J'ai jamais tenus une carabine de ma vie et je vous écris sur la chasse comme si j'étais Davy Crockett ou Daniel Boone. Ce matin dans mon somnanbulisme je me suis réveillé tout près de la table a cherché un câble qui n'existe pas... Changement de sujet pour ceux qui me croient gay, moi la sexualité ça m'embête. J'ai la libido à zéro et je ne m'en porte que mieux... Je nie rien, j'en ai pas envie c'est tout ça m'ennuie. Je sais c'est pas très viril comme vision mais quand je vois le genre d'idiot dont certaines femmes s'amourache. Je préfère l'abstinence. Elles le trouvent tellement gentil y'a juste un petit problème c'est un batteur de femme, other thant that c'est une perle, qu'est-ce que vous attendez madame de vous faire tuer on est plus dans les années quarante, les femmes ont des droits.Je pense qu'a lire ça ce matin vous m'aimerez pas. Je peux pas vraiment être plus épais que le maire de Saguenay qui s'en prend aux intellectuels et à Greenpeace qui selon lui empêche le dévelloppement en protégeant l'éco-système. Je suis même pas sur qu'il sait ce que ça veux dire. Amenez en des industries polluantes au Saguenay, les désastres on a pas peur de ça. j'écris ça et je me sent aussi épais que lui, c'est peut être le cas... Encore autre chose,je trouve que les français sont très éprouvés ces temps ci, je ferai pas la liste des désastres mais j'ai une pensée pour eux. Je vous avoue qu'a regarder les actualités tout les soirs je deviens fatigués et bien conscient de mon impuissance devant les désastres. Je trouve quand même bizarre qu'on trouve les villages trop près de la voie ferrée, c'est la raison première de leurs existences la track, pas de track pas de village on construit pas au milieu de nowhere.Je suis certain que le chemin de fer a servis le village. Je vous laisse là dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 10 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je sais pas trop quoi vous écrire. Il fait doux dans le goulag. Deux de mes lecteurs vont bientôt être à Jacksonville Floride. Moi j'attend des nouvelles du voyage en Guadeloupe comme on dis tout viens à point à celui qui sait attendre. Comme toujours c'est des niaiseries que j'écris. J'espère que ça a valeur d'expression. La neige fond lentement. Ça vous intéresse probablement pas de savoir que je sort de la douche. J'essaye pas de faire mon comique ç'est pas drole.Ce matin j'entend les corneilles. Ai mangé mon petit-déjeuner. Je pense que j'ai tout dis ce que j'avais a dire sur le goulag occidental comment les gens font la navette entre l'hôpital psy et leurs appartements.  J' y arrive pas, j'y arrive pas, vous écrire quelque chose qui a du sens.Je regarde les voiture passées, je suis vide mais quand même anxieux, la voisine passe sur la passerelle. C'est terrible de savoir que je vais écrire toute ma vie mais seulement que des insignifiances, c'est angoissant.Dehors une jeune fille attend l'autobus, je roule à vide. Ils volent des vélos pour les vendre et s'acheter de la poudre. Je pense à cette copine qui m'avait donné son nip, c'était idiot de faire ça, je pouvais vider son compte. Je l'ai pas fait. Premier courriel ce matin une publicité de PayPal. J'en ai rien a foutre, pardonnez le langage. Y'avait ces gens à la télé qui avec leurs tablettes électronique, leurs téléphones essayaient de prendre une photo du Président Obama. Ça donne quoi de dire que tu est passé tout près du président? Aurais mieux value une bonne conversation... Pour ce qui est de l'écriture de l'intimité ce matin, vous aurez pas plus qu'un lavage de vaisselle. Je divague comme toujours en sachant pas ce que je vais écrire. Vous vous attendiez à quelque chose d'inspirée c'est plus de l'ordre de l'expiré. J'expire sans en être à mon dernier soupir. Je pense aux Besançon à Besançon, aux Invités au festin, à leurs communauté de gens spéciaux. Sur le mur derrière moi y'a une icône qui me rappelle mon passage chez eux dans l'ancien monastère. Ce qu'il y a d'étonnant c'est comment la vie et les gens passent et on retiens très peu de ces rencontre. Chacun retourne à ses petits soucis quotidien en ne gardant que de fugaces souvenirs. Sur la rambarde de la passerelle y'a des glaçons qui dégouttent. Mes mots sont comme ça, le texte comme le glaçon fond bientôt il n'en resteras plus rien. Y'auras qu'a attendre la prochaine giboulée. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 8 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après midi je suis sortis du goulag occidental pour allé avec des amis au bord de l'eau à Verchéres. C'étais fantastique, le fleuve et la glace, le bleu de tout ça on a bien rigolé. J'ai tué un peu d'angoisse... Si les choses vont bien dimanche prochain à cette heure ci je serai en Guadeloupe. J'ai quand même bien aimé regardé les maisons ancestrales sur la rive sud. Comment vous écrire je reviens chez moi quelqu'un a sonné et a pas laissé de message, je trouve ça angoissant de toute façon je suis toujours angoissé. On a avancé l'heure il est dix huit heure et il fait clair, c'est bien... Je prend mon temps pour vous écrire ce soir, y'a des lecteurs qui sont partis en voyage, on va s'ennuyer. Je vais me faire un café.À Verchères y'avait des pêcheurs sur la glace, j'ai demandé à l'un d'eux ce qu'il pêchait, du brochet et du doré, les brimballes grouillaient pas trop. Ma très chère amie m'a donné de la bouffe je la remercie ici, je suis choyé... Pendant ce temps là le soleil se couche dans une teinte orangé ça promet du beau temps pour demain. Le studio est électrique, je prend des chocs de statique. Je pense aux rêves de millions de dollars chez les jeunes comme si la fortune monétaire amenait le bonheur, c'est faux c'est une question de valeurs on apprend ça en vieillissant, on leurs souhaite quand même de devenir aussi riche que Bill Gates on verras comment ils vont se débrouiller. Moi de l'argent j'en ai jamais eu, j'ai pas de talent financier. Loser voilà ce que vous allez dire le Loser de la chanson de Beck mais je sais qu'a chaque jour je gagne des combats intimes, je me rétablis... Je sais jamais comment finir une conversation téléphonique pas plus que comment finir ce blog que j'essais de mettre à jour. J'ai délaissé le cahier pour rédiger à froid, parfois j'ai pas une grande inspiration mais vous là préférez vous ça à mes délires paranoïaque? J'entend des gens discuter sur la passerelle un chien jappe. Je crois que le soleil était assez fort aujourdhui pour faire fondre la neige. Je sais pas si j'ai encore mon lecteur pêcheur, travailleur de la Rolls-Royce. J'ai pensés à lui au bord de l'eau. Cette nuit on va gagné cette heure perdue peut être dormir une heure de plus. Se coucher plus tôt... C'est vide mon affaire ce soir je veux pas vous parler de ma souffrance c'est inutile. Je pense à mon autre lecteur travailleur chez Bombardier lâche pas comme on dis le meilleur est à venir. Comme souvent ça donne dans la niaiserie mon blog, n'empêche j'ai une bonne pensée pour vous tous. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 7 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin j'ai mal à la gorge et ma peur est omniprésente. Je pense à tout ces objets que des inconnus ont déplacés chez moi remarquez je n'en ai pas la certitude absolue, les voisins me le diraient si quelqu'un entrait chez moi. N'empêche un détecteur de fumée disparus, des vis aussi, un bocal d'advil ou on a rajouté et enlevé de la ouate. Je soupçonne un complot de la compagnie pharmaceutique, du lobby des médicaments, c'est ça la maladie. J'ai connus quelqu'un qui avait les mêmes symptomes pourtant je suis en rétablissement. Aussitôt que j'écris là dessus j'ai des déjà vu, de la la difficulté a expliquer clairement ce que je vie.Ici c'est la nuit dehors dans le goulag occidental y'a de la circulation. J'essais de réfléchir au prochain objet qu'ils vont voler ou déplacer rien qui a de la valeur juste une petite chose pour que ça me turlupine dans le ciboulot. Ce matin y'a que ma voix intérieur qui parle. Jeudi elle me traitait de guidoune, me dénigrait, je crois que c'est l'anxiété avant le départ en voyage dans une semaine. Dans mon rétablissement y'a souvent la part des devoirs plus que des droits qu'on fait valoirs. Je sais pas trop quel droit on bafoue chez moi par contre j'essais de respecter mes devoirs, mes obligations.J'ai aucune preuve de tout ce que je raconte c'est de la folie, de la maudite maladie. Cette nuit j'ai très mal dormis comment voulez vous dormir quand vous vous sentez envahis. C'est inconscient mais ça nourris l'angoisse quand même je me sent chez moi. J'ai pas d'autre endroit ou habiter. Je me cache pas. Vous allez me dire voilà un bel exemple de maladie mentale.Merci pour tout je m'en passerais. Mon corps parle, gargouille c'est lui qui dans ses gargouillement m'a amené à l'abstinence. C'est samedi, la semaine de relâche s'achêve, la semaine prochaine j'attend des nouvelles pour le voyage.J'ai déjà été claustrophobe.Les bruits de l'extérieur de l'appartement m'angoissait quand j'aménageais et que je trouvais une douille de vingt deux c'étais la peur. Je crois avoir raconté ça ailleurs dans mes écrits. Je pense aux lecteurs de P-A-T qui m'a piqué mon livre répertoire de subvention de toute façon je crois qu'il est plus à date. Ce soir j'ai des ennemis partout, j'ai des batons dans les roues. Lentement la nuit se termine, les autobus reprennent du service. Une dernière, une toute petite et dernière ligne de mots, en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochainej'espère!!!
 

Bernard

jeudi 5 mars 2015

Au présent

Bonsoir!Bonjour! Me suis versé un verre de jus d'orange ça me fait pensés au petit déjeûner à l'hôtel.J'ai hate de partir semble que mon billet est acheté.Quitté le goulag occidental pour une couple de jours ça feras pas de tort.Je vous écris de la soirée.Je sais pas ou ils ont pris mon nom mais on m'invite à des allocutions de Justin Trudeau pourtant je suis pas un homme d'affaire encore moins libéral. J'ai jamais été dans aucun partis et je garde ça de même. Je parlerai pas plus longtemps de politique même si tout est politique. Cette semaine j'ai appris qu'un intervenant ami prenait sa retraite, je lui souhaite Cuba La Havane son rhum et ses cigares. Cuba les frontières sont presque ouvertes aux américains çe seras plus la chasse gardée des canadiens. J'en connais qui vont essayer de ramener leurs petites cubaines ici. Ai mangé un yogourt et fait un café. Je pense aux nombres de médecins à Cuba. Je sais pas si j'irais me faire soigner là. Comment ils soignent ça la schizophrénie? Dans des camps de travail? Au goulag occidental on nous laisse à nous même faut inventer sa vocation, y'en a qui quêtent d'autre ramassent des bouteilles et d'autres encore font de petits traffics. Pour revenir à Trudeau je crois pas qu'il ait une grande connaissance de la vie dans le goulag occidental. J'ai toujours l'impression que c'est un petit gars de Westmount qui surfe sur la popularité de son défunt père.  Je crois que j'ai des lecteurs franchement libéraux j'attaquerai donc pas leurs convictions. J'écris ça et je sais pas quoi écrire d'autre y'a un grand vide. Un grand vide porté par le niaiseux que je suis . C'est toujours comme ça quand j'écris sur la politique c'est pas fort ça me remonte pas l'ego. Ce soir c'est encore l'hiver de mars, je sais pas si y'en a qui vont dormir dehors c'est quand même très froid. Aujourd'hui je vais faire de la lessive voilà une chose que les grands auteurs tout occupés à leurs passion créatrice faisaient pas. La lessive c'est pas porteur de poésie, les chaussettes qui manquent les vêtements qui rapetissent parce qu'on les a mis dans le séchoir c'est de l'ordre de la platitude du quotidien.À l'époque y'a pas si longtemps y'avait quand même la corde à linge celle sur laquelle on couchait et cette autre ou on faisait sécher au grand air. Les draps avaient une fraîche odeur et quand on en couvrais le lit ça vous berçais pour la nuit. Je vous écrirai pas un traité de lessive, le petit change qui roule dans le séchoir, je vais juste le ramasser et le déposer dans ma tire-lire. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard