mardi 10 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je sais pas trop quoi vous écrire. Il fait doux dans le goulag. Deux de mes lecteurs vont bientôt être à Jacksonville Floride. Moi j'attend des nouvelles du voyage en Guadeloupe comme on dis tout viens à point à celui qui sait attendre. Comme toujours c'est des niaiseries que j'écris. J'espère que ça a valeur d'expression. La neige fond lentement. Ça vous intéresse probablement pas de savoir que je sort de la douche. J'essaye pas de faire mon comique ç'est pas drole.Ce matin j'entend les corneilles. Ai mangé mon petit-déjeuner. Je pense que j'ai tout dis ce que j'avais a dire sur le goulag occidental comment les gens font la navette entre l'hôpital psy et leurs appartements.  J' y arrive pas, j'y arrive pas, vous écrire quelque chose qui a du sens.Je regarde les voiture passées, je suis vide mais quand même anxieux, la voisine passe sur la passerelle. C'est terrible de savoir que je vais écrire toute ma vie mais seulement que des insignifiances, c'est angoissant.Dehors une jeune fille attend l'autobus, je roule à vide. Ils volent des vélos pour les vendre et s'acheter de la poudre. Je pense à cette copine qui m'avait donné son nip, c'était idiot de faire ça, je pouvais vider son compte. Je l'ai pas fait. Premier courriel ce matin une publicité de PayPal. J'en ai rien a foutre, pardonnez le langage. Y'avait ces gens à la télé qui avec leurs tablettes électronique, leurs téléphones essayaient de prendre une photo du Président Obama. Ça donne quoi de dire que tu est passé tout près du président? Aurais mieux value une bonne conversation... Pour ce qui est de l'écriture de l'intimité ce matin, vous aurez pas plus qu'un lavage de vaisselle. Je divague comme toujours en sachant pas ce que je vais écrire. Vous vous attendiez à quelque chose d'inspirée c'est plus de l'ordre de l'expiré. J'expire sans en être à mon dernier soupir. Je pense aux Besançon à Besançon, aux Invités au festin, à leurs communauté de gens spéciaux. Sur le mur derrière moi y'a une icône qui me rappelle mon passage chez eux dans l'ancien monastère. Ce qu'il y a d'étonnant c'est comment la vie et les gens passent et on retiens très peu de ces rencontre. Chacun retourne à ses petits soucis quotidien en ne gardant que de fugaces souvenirs. Sur la rambarde de la passerelle y'a des glaçons qui dégouttent. Mes mots sont comme ça, le texte comme le glaçon fond bientôt il n'en resteras plus rien. Y'auras qu'a attendre la prochaine giboulée. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 8 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après midi je suis sortis du goulag occidental pour allé avec des amis au bord de l'eau à Verchéres. C'étais fantastique, le fleuve et la glace, le bleu de tout ça on a bien rigolé. J'ai tué un peu d'angoisse... Si les choses vont bien dimanche prochain à cette heure ci je serai en Guadeloupe. J'ai quand même bien aimé regardé les maisons ancestrales sur la rive sud. Comment vous écrire je reviens chez moi quelqu'un a sonné et a pas laissé de message, je trouve ça angoissant de toute façon je suis toujours angoissé. On a avancé l'heure il est dix huit heure et il fait clair, c'est bien... Je prend mon temps pour vous écrire ce soir, y'a des lecteurs qui sont partis en voyage, on va s'ennuyer. Je vais me faire un café.À Verchères y'avait des pêcheurs sur la glace, j'ai demandé à l'un d'eux ce qu'il pêchait, du brochet et du doré, les brimballes grouillaient pas trop. Ma très chère amie m'a donné de la bouffe je la remercie ici, je suis choyé... Pendant ce temps là le soleil se couche dans une teinte orangé ça promet du beau temps pour demain. Le studio est électrique, je prend des chocs de statique. Je pense aux rêves de millions de dollars chez les jeunes comme si la fortune monétaire amenait le bonheur, c'est faux c'est une question de valeurs on apprend ça en vieillissant, on leurs souhaite quand même de devenir aussi riche que Bill Gates on verras comment ils vont se débrouiller. Moi de l'argent j'en ai jamais eu, j'ai pas de talent financier. Loser voilà ce que vous allez dire le Loser de la chanson de Beck mais je sais qu'a chaque jour je gagne des combats intimes, je me rétablis... Je sais jamais comment finir une conversation téléphonique pas plus que comment finir ce blog que j'essais de mettre à jour. J'ai délaissé le cahier pour rédiger à froid, parfois j'ai pas une grande inspiration mais vous là préférez vous ça à mes délires paranoïaque? J'entend des gens discuter sur la passerelle un chien jappe. Je crois que le soleil était assez fort aujourdhui pour faire fondre la neige. Je sais pas si j'ai encore mon lecteur pêcheur, travailleur de la Rolls-Royce. J'ai pensés à lui au bord de l'eau. Cette nuit on va gagné cette heure perdue peut être dormir une heure de plus. Se coucher plus tôt... C'est vide mon affaire ce soir je veux pas vous parler de ma souffrance c'est inutile. Je pense à mon autre lecteur travailleur chez Bombardier lâche pas comme on dis le meilleur est à venir. Comme souvent ça donne dans la niaiserie mon blog, n'empêche j'ai une bonne pensée pour vous tous. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 7 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin j'ai mal à la gorge et ma peur est omniprésente. Je pense à tout ces objets que des inconnus ont déplacés chez moi remarquez je n'en ai pas la certitude absolue, les voisins me le diraient si quelqu'un entrait chez moi. N'empêche un détecteur de fumée disparus, des vis aussi, un bocal d'advil ou on a rajouté et enlevé de la ouate. Je soupçonne un complot de la compagnie pharmaceutique, du lobby des médicaments, c'est ça la maladie. J'ai connus quelqu'un qui avait les mêmes symptomes pourtant je suis en rétablissement. Aussitôt que j'écris là dessus j'ai des déjà vu, de la la difficulté a expliquer clairement ce que je vie.Ici c'est la nuit dehors dans le goulag occidental y'a de la circulation. J'essais de réfléchir au prochain objet qu'ils vont voler ou déplacer rien qui a de la valeur juste une petite chose pour que ça me turlupine dans le ciboulot. Ce matin y'a que ma voix intérieur qui parle. Jeudi elle me traitait de guidoune, me dénigrait, je crois que c'est l'anxiété avant le départ en voyage dans une semaine. Dans mon rétablissement y'a souvent la part des devoirs plus que des droits qu'on fait valoirs. Je sais pas trop quel droit on bafoue chez moi par contre j'essais de respecter mes devoirs, mes obligations.J'ai aucune preuve de tout ce que je raconte c'est de la folie, de la maudite maladie. Cette nuit j'ai très mal dormis comment voulez vous dormir quand vous vous sentez envahis. C'est inconscient mais ça nourris l'angoisse quand même je me sent chez moi. J'ai pas d'autre endroit ou habiter. Je me cache pas. Vous allez me dire voilà un bel exemple de maladie mentale.Merci pour tout je m'en passerais. Mon corps parle, gargouille c'est lui qui dans ses gargouillement m'a amené à l'abstinence. C'est samedi, la semaine de relâche s'achêve, la semaine prochaine j'attend des nouvelles pour le voyage.J'ai déjà été claustrophobe.Les bruits de l'extérieur de l'appartement m'angoissait quand j'aménageais et que je trouvais une douille de vingt deux c'étais la peur. Je crois avoir raconté ça ailleurs dans mes écrits. Je pense aux lecteurs de P-A-T qui m'a piqué mon livre répertoire de subvention de toute façon je crois qu'il est plus à date. Ce soir j'ai des ennemis partout, j'ai des batons dans les roues. Lentement la nuit se termine, les autobus reprennent du service. Une dernière, une toute petite et dernière ligne de mots, en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochainej'espère!!!
 

Bernard

jeudi 5 mars 2015

Au présent

Bonsoir!Bonjour! Me suis versé un verre de jus d'orange ça me fait pensés au petit déjeûner à l'hôtel.J'ai hate de partir semble que mon billet est acheté.Quitté le goulag occidental pour une couple de jours ça feras pas de tort.Je vous écris de la soirée.Je sais pas ou ils ont pris mon nom mais on m'invite à des allocutions de Justin Trudeau pourtant je suis pas un homme d'affaire encore moins libéral. J'ai jamais été dans aucun partis et je garde ça de même. Je parlerai pas plus longtemps de politique même si tout est politique. Cette semaine j'ai appris qu'un intervenant ami prenait sa retraite, je lui souhaite Cuba La Havane son rhum et ses cigares. Cuba les frontières sont presque ouvertes aux américains çe seras plus la chasse gardée des canadiens. J'en connais qui vont essayer de ramener leurs petites cubaines ici. Ai mangé un yogourt et fait un café. Je pense aux nombres de médecins à Cuba. Je sais pas si j'irais me faire soigner là. Comment ils soignent ça la schizophrénie? Dans des camps de travail? Au goulag occidental on nous laisse à nous même faut inventer sa vocation, y'en a qui quêtent d'autre ramassent des bouteilles et d'autres encore font de petits traffics. Pour revenir à Trudeau je crois pas qu'il ait une grande connaissance de la vie dans le goulag occidental. J'ai toujours l'impression que c'est un petit gars de Westmount qui surfe sur la popularité de son défunt père.  Je crois que j'ai des lecteurs franchement libéraux j'attaquerai donc pas leurs convictions. J'écris ça et je sais pas quoi écrire d'autre y'a un grand vide. Un grand vide porté par le niaiseux que je suis . C'est toujours comme ça quand j'écris sur la politique c'est pas fort ça me remonte pas l'ego. Ce soir c'est encore l'hiver de mars, je sais pas si y'en a qui vont dormir dehors c'est quand même très froid. Aujourd'hui je vais faire de la lessive voilà une chose que les grands auteurs tout occupés à leurs passion créatrice faisaient pas. La lessive c'est pas porteur de poésie, les chaussettes qui manquent les vêtements qui rapetissent parce qu'on les a mis dans le séchoir c'est de l'ordre de la platitude du quotidien.À l'époque y'a pas si longtemps y'avait quand même la corde à linge celle sur laquelle on couchait et cette autre ou on faisait sécher au grand air. Les draps avaient une fraîche odeur et quand on en couvrais le lit ça vous berçais pour la nuit. Je vous écrirai pas un traité de lessive, le petit change qui roule dans le séchoir, je vais juste le ramasser et le déposer dans ma tire-lire. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 3 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Mercredi, une heure dans la nuit, il ne neige plus. Je cherche un mot clé qui feras que j'aurai plus de hits sur ma page. Hier j'en ai eu soixante seize c'est déjà pas mal. J'ai pas encore regardé les actualités.Y'a Montréal et Québec qui chiquent la guenille autour de la fête nationale. Je pense au pair-aidant que je ne serai pas. J'essaye d'aider d'une autre façon en parlant de mon expérience dans différents congrès. Je me rétablis lentement ça arrive moins souvent que des objets disparaissent de chez moi, que les agents entrent chez moi et subtilisent une babiole,c'est de la paranoïa. Si un inconnus entrait chez moi les voisins m'en parlerait. C'est de la folie, de la maladie, je viens de manger des chips. Je regarde dehors c'est tout blanc. Les nouvelles sont pas disponibles sur la tablette électronique. Je sais pas si je vous l'ai écris mais si tout va bien je part pour la Guadeloupe bientôt. J'essairai de vous tenir au courant sur Facebook. Le goulag occidental est tranquille cette nuit à l'heure ou je vous écris y'a encore du monde  dans les bars.C'était ma vie d'avant, viens de lire une métaphore potagère, j'aime pas ça ma vie c'est pas un potager,j'ai pas de mauvaises herbes a arracher mais des défauts a corriger. Ça persiste chez moi cette idée que Dieu va me le faire payer cher si je ne suis pas les directives.Je suis pas assigné à résidence je peut aller ou je veux quand je veux... C'est prosaïque ce que j'écris, les lampadaires ne clignotent plus, les russes font pas dans la dentelle ils assassinent les opposants, dans ces moments là le nom de goulag occidental perd tout son sens.Je crois pas être un prisonnier politique je vie quand même au milieu des fous. Ce serait être fou de ne pas croire que je suis fou. Je suis dans le Centre-Sud à Montréal, Québec, Canada, c'est toujours l'hiver, on pense aux amis de la direction de l'institut, ils vont subir les coupures. Je sais pas quel genre de programme on va mettre en place pour la santé mentale. J'espère qu'on va s'aligner franchement vers la pleine citoyenneté. Ma folie je la soigne à la pleine citoyenneté, participation expérientielle a différents comités. Persistance a remplir mes devoirs, mes droits je crois que je les ai tous je me sent pas brimé. J'ai hate de prendre l'avion. J'espère que tout va bien se passés. Ça l'air de rien comme ça mais je vous ai écris du milieu de la nuit dans mon goulag occidental, le votre comment il est votre goulag?  Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Fait froid ce matin dans le studio. J'ai coupé le chauffage.Dehors il fait beau. Je sais pas trop de quoi vous entretenir. je pense à la semaine de relâche quand j'étais enfant il me semble qu'on avait pas ça. Pour manqué l'école fallait avoir une bonne grippe et pour le retour une lettre des parents. Je me rappelle quand nous sommes déménagé de Montréal-Nord à Terrebonne je refusais de faire mes devoirs en sachant très bien que je retournerais jamais à cette petite école. J'oubliais que ces gens là étaient en communication. Je cherche quoi vous dire sur l'école j'y suis pas allé longtemps en secondaire trois je passait plus de temps à la salle de billard et à la taverne qu'en classe. Je suis allé à l'école de la vie ça été long et difficile. Je me tenais avec les plus vieux un peu parce que ma soeur et sa copine Aline les admirait. Je croyais qu'on m'admirerais aussi. Déjà à cet âge là j'avais l'affect affecté. Je sais bien ces grands gars là sont jamais devenus des personnes exceptionnelles, on les a jamais retrouvé personnalité du mois.Moi j'ai fait mon chemin difficile, je suis jamais arrivés à rien, de classes en classes, de jobs en jobs. Parfois j'allait voir des shows surtout des bands de blues ou un duo qui interprétais de la musique américaine je me souviens aussi de J.D. Slim et du Blue rocket spécial du vieux rock des familles.Ouais! Je peux dire que j'étais un bum, je souffrais et je me soignais à la bière et au scotch. Ce fut une longue descente aux enfers pour quelques heures de plaisir combien sont passées dans la souffrance. J'essayais de vivre dans une sorte d'univers underground avec de fausses valeurs. Cette semaine à la télé j'ai vu un documentaire sur Roger Tabra, le poète et parolier, il est démolis par l'alcool mais il a au moins l'honnêteté de dire aux jeunes de pas prendre ce chemin là. Éric Lapointe était là aussi. Je trouve qu'il veillis très mal je crois que maintenant il fait des shows pour les matantes. Comment écrire qu'il n'y en a pas beaucoup qui deviennent millionnaire avec le rock'n'roll si oui riches mais malades comme des chiens à vouloir mourrir dans cet univers d'alcool et de dépression. Parfois ça fait de belles chansons mais on les paye de la douleur. Je suis hypersensible et je vais le rester tout ce qui reste de ma vie, des émotions à la moindre chansons touchantes, "Hey, Hey my my, rock'n'roll is gonna die"- Neil Young. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 1 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis jaloux de ma belle-soeur qui fait un voyage aux Indes. Je sais pas si elle me lis mais je lui dis bravo. Ce matin le goulag est ensoleillé, je suis allé faire des courses. Je suis content de savoir que le CS300 a fait son premier vol. Dans le parc en face une jeune fille joue avec son chien. Ce matin je suis calme, je fait pas trop d'angoisse.Vous savez l'angoisse est souvent mon moteur, dehors le chien jappe. C'est terrible de vous écrire comme ça dans le vide, ma lectrice aux Indes fait le cornac c'est comme ça qu'on appelle ceux qui montent et dressent les éléphants. J'ai mangé mon petit déjeûner,des toasts au beurre d'arachides. Je pense au four o'clock tea anglais, une surprise du dernier voyage à Londres c'est mon ami la directrice générale qui m'a fait vivre l'expérience des sandwichs aux concombres. Lentement je prend mon café, tout ce monde qui est à la retraite. Viens de téléphoner à la matriarche elle est grippé mais solide. J'entend les corneilles, je crois que cet après-midi il va neigé sur le goulag occidental. J'attend la livraison de mes courses ai marché aller retour au super-marché.Onze heure du matin, j'ai toujours l'âme en paix. Je prie ma Force Supérieure. Je sais vous rigoler mais moi sans spiritualité je suis mort. Je regarde les émissions littéraire à la télé, je les ai déjà vue, j'arrive pas a trouver une lecture absolument nécessaire. Je vais continuer a lire un roman de Marie Laberge. Je suis passé chez le concierge pour le reçu du loyer, c'est payé je peux dormir en paix. Parfois je me dis que si j'étais vraiment humble j'écrirais pas, je passerais la moppe pourtant j'ai déjà essayé ça m'a pas réussis. Je veux pas utiliser les mots pour faire mal juste dire la douleur parfois. Le dimanche c'est une bonne journée pour bouquiner, y'a longtemps que je l'ai pas fait. J'achète les livres qui me parlent, j'en ai encore beaucoup a lire. Le ciel se couvre lentement, c'est blanc... Dans une couple de semaine je devrais être à l'aéroport si tout se passe bien c'est pour ça que je vous place une photo d'avion, j'en raffole. Je sais pas trop a quoi j'étais destiné dans le milieu ou je suis venue au monde, ouvrier d'atelier? Me semble que tu peux pas faire ça toute une vie. Maintenant c'est finis j'écris et je lis c'est comme ça que je suis heureux.Parfois il faut se taire, comme toujours j'aimerais bien vous entendre surtout ne vous gênez pas. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard