mardi 3 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Mercredi, une heure dans la nuit, il ne neige plus. Je cherche un mot clé qui feras que j'aurai plus de hits sur ma page. Hier j'en ai eu soixante seize c'est déjà pas mal. J'ai pas encore regardé les actualités.Y'a Montréal et Québec qui chiquent la guenille autour de la fête nationale. Je pense au pair-aidant que je ne serai pas. J'essaye d'aider d'une autre façon en parlant de mon expérience dans différents congrès. Je me rétablis lentement ça arrive moins souvent que des objets disparaissent de chez moi, que les agents entrent chez moi et subtilisent une babiole,c'est de la paranoïa. Si un inconnus entrait chez moi les voisins m'en parlerait. C'est de la folie, de la maladie, je viens de manger des chips. Je regarde dehors c'est tout blanc. Les nouvelles sont pas disponibles sur la tablette électronique. Je sais pas si je vous l'ai écris mais si tout va bien je part pour la Guadeloupe bientôt. J'essairai de vous tenir au courant sur Facebook. Le goulag occidental est tranquille cette nuit à l'heure ou je vous écris y'a encore du monde  dans les bars.C'était ma vie d'avant, viens de lire une métaphore potagère, j'aime pas ça ma vie c'est pas un potager,j'ai pas de mauvaises herbes a arracher mais des défauts a corriger. Ça persiste chez moi cette idée que Dieu va me le faire payer cher si je ne suis pas les directives.Je suis pas assigné à résidence je peut aller ou je veux quand je veux... C'est prosaïque ce que j'écris, les lampadaires ne clignotent plus, les russes font pas dans la dentelle ils assassinent les opposants, dans ces moments là le nom de goulag occidental perd tout son sens.Je crois pas être un prisonnier politique je vie quand même au milieu des fous. Ce serait être fou de ne pas croire que je suis fou. Je suis dans le Centre-Sud à Montréal, Québec, Canada, c'est toujours l'hiver, on pense aux amis de la direction de l'institut, ils vont subir les coupures. Je sais pas quel genre de programme on va mettre en place pour la santé mentale. J'espère qu'on va s'aligner franchement vers la pleine citoyenneté. Ma folie je la soigne à la pleine citoyenneté, participation expérientielle a différents comités. Persistance a remplir mes devoirs, mes droits je crois que je les ai tous je me sent pas brimé. J'ai hate de prendre l'avion. J'espère que tout va bien se passés. Ça l'air de rien comme ça mais je vous ai écris du milieu de la nuit dans mon goulag occidental, le votre comment il est votre goulag?  Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Fait froid ce matin dans le studio. J'ai coupé le chauffage.Dehors il fait beau. Je sais pas trop de quoi vous entretenir. je pense à la semaine de relâche quand j'étais enfant il me semble qu'on avait pas ça. Pour manqué l'école fallait avoir une bonne grippe et pour le retour une lettre des parents. Je me rappelle quand nous sommes déménagé de Montréal-Nord à Terrebonne je refusais de faire mes devoirs en sachant très bien que je retournerais jamais à cette petite école. J'oubliais que ces gens là étaient en communication. Je cherche quoi vous dire sur l'école j'y suis pas allé longtemps en secondaire trois je passait plus de temps à la salle de billard et à la taverne qu'en classe. Je suis allé à l'école de la vie ça été long et difficile. Je me tenais avec les plus vieux un peu parce que ma soeur et sa copine Aline les admirait. Je croyais qu'on m'admirerais aussi. Déjà à cet âge là j'avais l'affect affecté. Je sais bien ces grands gars là sont jamais devenus des personnes exceptionnelles, on les a jamais retrouvé personnalité du mois.Moi j'ai fait mon chemin difficile, je suis jamais arrivés à rien, de classes en classes, de jobs en jobs. Parfois j'allait voir des shows surtout des bands de blues ou un duo qui interprétais de la musique américaine je me souviens aussi de J.D. Slim et du Blue rocket spécial du vieux rock des familles.Ouais! Je peux dire que j'étais un bum, je souffrais et je me soignais à la bière et au scotch. Ce fut une longue descente aux enfers pour quelques heures de plaisir combien sont passées dans la souffrance. J'essayais de vivre dans une sorte d'univers underground avec de fausses valeurs. Cette semaine à la télé j'ai vu un documentaire sur Roger Tabra, le poète et parolier, il est démolis par l'alcool mais il a au moins l'honnêteté de dire aux jeunes de pas prendre ce chemin là. Éric Lapointe était là aussi. Je trouve qu'il veillis très mal je crois que maintenant il fait des shows pour les matantes. Comment écrire qu'il n'y en a pas beaucoup qui deviennent millionnaire avec le rock'n'roll si oui riches mais malades comme des chiens à vouloir mourrir dans cet univers d'alcool et de dépression. Parfois ça fait de belles chansons mais on les paye de la douleur. Je suis hypersensible et je vais le rester tout ce qui reste de ma vie, des émotions à la moindre chansons touchantes, "Hey, Hey my my, rock'n'roll is gonna die"- Neil Young. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 1 mars 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis jaloux de ma belle-soeur qui fait un voyage aux Indes. Je sais pas si elle me lis mais je lui dis bravo. Ce matin le goulag est ensoleillé, je suis allé faire des courses. Je suis content de savoir que le CS300 a fait son premier vol. Dans le parc en face une jeune fille joue avec son chien. Ce matin je suis calme, je fait pas trop d'angoisse.Vous savez l'angoisse est souvent mon moteur, dehors le chien jappe. C'est terrible de vous écrire comme ça dans le vide, ma lectrice aux Indes fait le cornac c'est comme ça qu'on appelle ceux qui montent et dressent les éléphants. J'ai mangé mon petit déjeûner,des toasts au beurre d'arachides. Je pense au four o'clock tea anglais, une surprise du dernier voyage à Londres c'est mon ami la directrice générale qui m'a fait vivre l'expérience des sandwichs aux concombres. Lentement je prend mon café, tout ce monde qui est à la retraite. Viens de téléphoner à la matriarche elle est grippé mais solide. J'entend les corneilles, je crois que cet après-midi il va neigé sur le goulag occidental. J'attend la livraison de mes courses ai marché aller retour au super-marché.Onze heure du matin, j'ai toujours l'âme en paix. Je prie ma Force Supérieure. Je sais vous rigoler mais moi sans spiritualité je suis mort. Je regarde les émissions littéraire à la télé, je les ai déjà vue, j'arrive pas a trouver une lecture absolument nécessaire. Je vais continuer a lire un roman de Marie Laberge. Je suis passé chez le concierge pour le reçu du loyer, c'est payé je peux dormir en paix. Parfois je me dis que si j'étais vraiment humble j'écrirais pas, je passerais la moppe pourtant j'ai déjà essayé ça m'a pas réussis. Je veux pas utiliser les mots pour faire mal juste dire la douleur parfois. Le dimanche c'est une bonne journée pour bouquiner, y'a longtemps que je l'ai pas fait. J'achète les livres qui me parlent, j'en ai encore beaucoup a lire. Le ciel se couvre lentement, c'est blanc... Dans une couple de semaine je devrais être à l'aéroport si tout se passe bien c'est pour ça que je vous place une photo d'avion, j'en raffole. Je sais pas trop a quoi j'étais destiné dans le milieu ou je suis venue au monde, ouvrier d'atelier? Me semble que tu peux pas faire ça toute une vie. Maintenant c'est finis j'écris et je lis c'est comme ça que je suis heureux.Parfois il faut se taire, comme toujours j'aimerais bien vous entendre surtout ne vous gênez pas. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 28 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour encore une fois dans la nuit.Comment vous décrire ma douleur mon angoisse quand je suis avec d'autre personnes à l'institut. Mon surmoi qui me dénigre, mon ego qui déraille. Je suis pas dans ma zone de confort. J'arrive à me sentir mieux quand je suis seul chez moi.Faut que je me mette en tête que ce sont des collègues c'est tout. Personne ne vie avec moi.Une part de la réunion d'hier a été consacré à mes différentes activités culturelles à l'institut. Je crois que c'est bien que je fait de mon mieux. Parfois ma schizophrénie fait surface c'est douloureux. Toujours l'impression d'être le niais sujet de dénigrement. Viens d'apprendre que Foglia est à la retraite, je mentionne ça, ça me dérange pas mais c'étais, c'est? Un maudit bon chroniqueur. Je l'avais abandonné dans la presse papier pour plus tard le retrouver dans LaPresse+ de ma tablette électronique. J'essairai pas de faire comme lui, ça se saurait si j'avais son talent. Voilà! Vous l'avez la phrase laide qu'aucun chroniqueur d'expérience utiliserais. Cette nuit je me met de la pression comme si les gens voulaient absolument me lire. Je vous écris à vous qui attendez devant votre écran. Écrire! Écrire c'est bien beau mais ça mène où? Mon histoire de goulag ça tiens pas la route, le faubourg à mélasse, c'est le premier nom du quartier, c'est pas la misère du vrai goulag, n'empêche j'ai du m'exiler de la banlieue nord pour vivre dans cet urbain goulag occidental. Je suis pas inspiré à tout coup, un mot me viens au peu d'esprit que j'ai, désenchantement, on regarde tout ça, ça assassine en Russie, la guerre en Ukraine, les jeunes qui s'en vont au djihad. Dites moi qui réenchanteras le monde, qui ramèneras la joie si jamais il y eut de la joie dans ce nouveau siècle. Voilà ce sont pas mes voix qui feront ça, j'entend pauvre cave, épais et j'en inventerai pas c'est suffisant comme ça ... On m'a dis que je devais parfois me féliciter mais de quoi, tout est difficile, voilà après quelques lignes je reviens à la douleur du départ à ma culpabilité comme si je méritais de me dénigrer. Mon souhait c'est de pas rajouter de conneries assassines dans la machine. Je veux juste que vous m'emportiez dans votre journée tout ça fait très adolescent à la recherche de soi. Je devrais m'en faire j'ai cinquante huit ans presque un vieillard, un bonhomme comme on disait quand j'avais vingt ans. Je termine en saluant tout le monde et en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 27 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les actualités.Je crois qu'on a jamais autant écris sur les musulman. Pas moyen de passés à côté. Faut que je fasse attention à ce que j'écris si je veux pas être taxé d'islamophobie. N'empêche elles m'énervent avec leurs foulard, des femmes se sont battues pour avoir le droit de vivre à visage découvert. Je pense aux nonnes dans leurs uniformes du début du siècle dernier. Changeons de sujet, aujourd'hui j'ai une réunion du comité culturel de l'institut je crois qu'il n'y auras plus beaucoup de sous pour la culture avec la réforme en santé et services sociaux. Je ne sais comment écrire l'importance des arts pour la personne malade. Juste participer à une pièce de théâtre et réussir a jouer, voilà une chose qui remonte l'estime pour des personnes qui n'en avaient plus beaucoup dans la maladie. J'admet que les temps sont dur qu'il y a priorité a soigner les plus souffrants mais que leurs restent ils après une longue hospitalisation éloigné de tout un chacun, la pièce de théâtre peut être un moyen de renouer le contact avec ceux que la maladie avait éloigné, un prétexte. Je pense que les activitées artistiques vont écoper.J'espère pouvoir continuer a rédiger mes humeurs culturelles. Je reviens au goulag... J'ai mangé mon petit déjeuner. Je sais pas pourquoi je pense à ces grands appartements du plateau désertés par les familles,ça doit être plate vivre seul dans un sept et demi,on se trouve des co-locs. Je crois que je vais retourner me coucher. La nuit... C'est assez terrible de rédiger dans le vide comme ça...Me relève, j'ai dormis,de la nuit je passe au jour. C'est un matin ensoleillé quand je vais avoir finis cette rédaction je vais prendre une douche. Vendredi c'est tranquille dehors y'a pas trop de circulation. La voisine viens de partir, ce midi j'ai une réunion à l'Institut. Je crois que je vais écouter j'ai pas grand chose a dire. Je crois que l'édimestre de l'institut est en vacance. J'ai des textes qui attendent. Encore cet hiver le goulag occidental est au prise avec les nids de poules. J'écris, j'écris, j'écris je sais pas pourquoi j'ai rien d'essentiel a exprimer. J'entend les voitures ronronner les gens s'en vont au travail. Je reçois des courriels publicitaire. J'attend toujours les courriels de vous qui me lisez bonnes ou mauvaises japprécie toujours vos critiques. J'en ai assez écris pour ce matin  c'est des niaiseries. Je termine là dessus j'esprère que ça vous a plus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 25 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir tout le monde! Aujourd'hui je suis à boutte, l'énervement de partir encore en voyage je crois. Je vous en dirai plus quand j'aurai le billet et la réservation d'hôtel. J'ai quand même hate, un autre voyage en avion c'est pas rien. Aujourd'hui dans le goulag occidental, je continus a nommer mon quartier de ce nom là même si ça déplait à certains, il neige. Si seulement on pouvait parler d'une forme de goulag moins dure avec quand même l'hiver et l'exil. Je vais vous dire qui a peint la toile qui apparait su mon post précédent, c'est Éric Forget un ami que j'apprécis. J'écris très mal cet après midi. Je suis écartelé entre les cahiers, la préparation de mon intervention en voyage et le blog. Je mange des bâtonnets aux sésames et je m'auto-dénigre. J'ai pas besoin de personne pour me rabaisser pourtant je crois qu'on apprécie ce que je suis. Dans mon dénigrement je prie, je sais ça vous fait rire mais moi ça m'apaise. Hier j'ai bien vu que j'avais des limites, je comprend absolument pas la réforme de la santé et des services sociaux. J'en viens a dire que je peux pas être ni contre, ni pour quelque chose que je comprend pas. Vous avez affaire ici à un type qui a pas son secondaire trois. La gestion... Y'avait un vieux dicton qui disait qu'il fallait rester loin des hôpitaux si on voulais pas tomber malade. Je crois que je vous l'ais écrit y'a pas longtemps. Je crois faire tout ce qu'il faut pour rester loin de l'hospitalisation. Je vais dehors, je m'implique dans la cause de la pleine citoyenneté. Je crois que ça me réussis. Y'a longtemps, et je m'en souviendrai toujours je passait beaucoup de temps a entrer et a sortir de HMR. Je crois que le psy a fait une bonne job avec moi, je suis pas guéris, je me traite et je me rétablis. Dans les bonnes journées je trouve les gens gentils mais je dois prendre conscience que j'ai pas de pouvoir sur les autres. J'en ai que sur moi m'a vision des choses comment j'appréhende l'autre. Ce que je vous écris là ça ressemble à de la psychologie cent un c'est pas très poétique. J'aimerais être un poète, nommer les choses précisément, sans fautes. Mettre un nom à ce que je ressent, le poète disait tel est ma quête. Nommé ce malaise intérieur qui me prend je ne sais pourquoi ni comment mais qui fait mal, une douleur toute psychique. Ce qui me viens en tête comme ça c'est dolorosa. Finalement il neige beaucoup on vois rien devant. Je suis à l'abri heureusement. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 24 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore debout au beau milieu de la nuit. Je me questionne sur ce fallacieux amalgame entre le goulag occidental et le centre-sud. Un cousin m'y a fait réfléchir. Je crois quand même que plusieur vivent en exil au centre-sud, au goulag occidental, on les a poussés ici parce que les ressources d'aide sont omniprésentes. Ce matin je me trouve con, ça m'arrive de temps en temps mais pas tout le temps. Je pense au petit-fils de ma lectrice retraité de l'Outaouais. La bande dessinée qui serait bien pour lui ce sont les volumes reliés du magazine Spirou c'est intéressant et pas trop cher. J'ai regardé les actualités rien d'intéressant... J'ai réussis a replacer la sonnerie de ma tablette électronique, je suis content. Comme souvent, ce matin ça tourne à vide, ils ont trouvé un tunnel à Toronto, on se demande à quoi il peux servir, une cache pour terroristes? Je me sent de moins en moins en sécurité. Quelle connerie la guerre! Quand j'écris l'institut et Émile me reviennent souvent en pensées. Je bloque ce matin y'a des choses que je veux pas vous révéler. Il est quatre heure du matin tout le monde dors dans le goulag occidental. Je pense à ce cousin que j'étais heureux de rencontré en fin de semaine. J'ai ouvert la radio, ils parlent de mon ancien quartier la Petite Bourgogne,ils font un historique... J'ai mis de la musique baroque, ça fait longtemps que j'ai écouté la radio... Je pitonne, je change de chaîne, pense à Flaubert qui espérais écrire sur rien, je suis épais, cette nuit c'est pas l'estime de moi qui est très forte. Ouais! Ce que je nomme pensé c'est pas nécessairement de l'ordre de la philosophie, c'est plus une conscience des êtres chers, des événements potentiellement dangereux. Mais oui! On a joué au bowling c'étais drôle quoi que j'en ai trouvé certains enragé mais c'étais juste pour le plaisir. Moi j'ai pas fait une grande performance plusieurs dallot... Ça me fait du bien d'écouter de la musique, c'est léger et ça me calme les choses sont moins graves. J'ai pris mon petit déjeuner, parfois je me fait mal j'oublie que la musique existe, que c'est agréable. Ce matin y'a pas d'animation à la radio, juste de la musique c'est bien. Ils appellent ça une nuit cent pour cent musique, on se sent moins seul quoi que la solitude me permet de vous écrire. Je dérange personne chez moi je suis seul et le plancher ne craque pas. C'étais ça pour cette nuit. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard