mardi 10 février 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris de ma nuit ou on ramasse la neige tombée sur le goulag occidental. J'ai pas de nègre il faut donc que j'écrive tout moi même. Le brouha-ha de la machinerie a cessé.Je croyais qu'il étais deux heure du matin il n'est que vingt trois heure trente. J'ai de la misère a décollé je trouve pas les mots. Si je m'envole pas c'est pas grave y'a que moi aux manettes. Je pense encore partir je ne sais vers quelle destination. Hier on a eux une discussion sur l'authenticité comment il faut se garder un quand-à-soi ne pas toujours étaler ses tripes sur la table mais s'exprimer quand même de façon assertive. C'est pour ça que je m'exprime à la première personne du singulier. Je vous laisse ce qui vous appartiens bien que j'ais pas de réaction immédiate avec le blog. Je pense a ma regretté soeur qui croyais être authentique et qui disait tout ce qui lui passait par la tête sans égards pour les autres, elles était malade faut bien comprendre. Me suis fait un café, mangé une barre tendre. Je pense à Foglia tout ce temps sans le lire, son vélo et ses chats, ces personnages avec qui   souvent il s'entretiens des artisans du terroir. Moi je suis dans l'univers des fous, tout est trop sensés y'a rien a dire. Étrangement j'ai une toune des Jackson five dans la tête, "I want you back" pourtant à l'époque ou ça jouait j'étais plus Beatles et la british invasion. Minuit quinze j'ai mangé... Suis retourné au lit, je me lève il est huit heure douze dehors y'a beaucoup de circulation les gens s'en vont au boulot. Hier j'avais envie de cesser tout ça cette écriture pour faire quoi ? Je sais pas,m'engager dans la légion étrangère? J'attend une livraison, un cable pour le Ipad par Fédéral Express. J'arrive pas a vous écrire sur mon sentis. Je me sent mal parce quelqu'un m'a envoyé son profil sur Linkdl. Ça fait plusieurs fois je sais pas quoi pensés ni quoi répondre. Une chose est certaine je suis pas à la recherche d'un emploi. C'est pour ça que je suis pas pleinement citoyen quoi que je prend mon temps pour la cause de la santé mentale qui me tiens à coeur. Je viens de comprendre que si on a a me dire quelque chose on vas y aller directement pas par réseaux sociaux interposés du moins je l'espère. Lentement je termine ce blog. Je vais lire les actualités. Je suis bien réveillé mais pas rasé. Je vais faire mon lit comment on dit? Tel on fait son lit tel on se couche?  J'arrête tout ça là en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

dimanche 8 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui il tombe une bonne bordée de neige. Je pense à tout ceux qui veulent pas être retraçé, assurez vous qu'il n'y a pas d'ordinateur près de vous, pas de téléphone cellulaire, pas de tablettes électronique et ne répondez pas au téléphone. Cou donc on est en deux milles quinze, n'utilisez pas vos cartes de débit et de crédit. Promenez vous avec une cagoule par ces temps froids c'est pas un inconfort.Ouais! Ça part mal après midi. Le goulag occidental est couvert de neige. C'est étrange j'ai toujours sommeil même en plein après-midi. J'hésite a employé le mot charrue souvent c'est péjoratif pour celle qui ne poussent pas la neige. Les charrues passent dans la rue et forment des congères. C'est pas bon ce que je vous écris, ça m'ennuie je voudrais être inspiré à tout les jours.Un tracteur recule... Je suis toujours étonné de voir qu'avec toutes cette machinerie et cette circulation dans les rues, il y en ais pas plus qui se font écrasé. C'est un peu pour ça que je reste à la maison a lire le dernier Dantec de la science-fiction pornographique. Je l'attendais mais après je me demande ce qu'il va écrire ça va ressembler à des contes pour enfants. Dimanche, demain c'est le retour au boulot quoi que j'ai des retraités parmis mes lecteurs... Entre compter les flocons de neige et vous écrire je préfère le deuxième. Ça tombe ça tombe ce soir y'a encore du hockey à la télé. Je passe par des moments de grand vide, rien de déstabilisant à part une petite maladie du fondement mais ça c'est mon intimité. J'espère que ça vous fait rigoler. La neige change d'intensité un moment on vois rien en avant après ça cesse de rafaler et on vois plus loin. Je sais pas si je vous ai raconté quand j'étais petit gars on disaient des bonhommes qui lisaient qu'ils étaient des maniaques, on étais pas loin de la vérité moi je lis toujours j'ai toujours une lecture a faire, j'allais dire en train mais y'a longtemps que j'ai pris le train... Je regarde dehors je vois plus rien. Lire et écrire voilà ce qui me tiens. J'ai pas encore compris ce qu'on apprenais a lire, une vision d'un autre univers? D'un autre monde? L'universalité des sentiments? Le talent des grands auteurs qui restent actuel même après des centaines d'années, je pense à Molière à tout les classiques. C'est ça ma folie lire et quelque fois relire pour être certain d'avoir compris d'avoir saisis les images que l'auteur a exprimé. Je crois que la lecture c'est une valeur qui nous permet de vivre le bien en opposition au mal. Sur ces hautes pensées de philosophie niveau B je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

samedi 7 février 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je reviens sur le shift de nuit.Il a neigé sur le goulag occidental.Je suis plus très très inspiré. J'ai rêvé à la taverne et à son waiter.On a parlé des rénovations qu'ils ont fait, essentiellement des grands panneaux de fer blanc,des tuiles de métal pressé. Des pièces de fer blanc moulées à la presse avec un moule positif et négatif. Tout ça d'un jaune boucane comme à la belle époque des cigarettes.Ils nous montraient ça en nous servant une bière curieusement j'étais pas effrayé après tout le mal que j'ai vécu avec l'alcool mais je me suis quand même réveillé. Je sais pas si ça sent encore les oeufs pourris à la taverne dans mes rêves j'ai pas le parfum. C'est toujours la nuit, la taverne a le permis pour rester ouvert après minuit. Je pense aux recherchistes télévisuel qui à une certaine époque tournaient leurs émissions culturelles dans les tavernes ringardes comme chez Roger rue Beaubien. Aujourd'hui à Montréal on en est aux micro-brasserie chaque taverne a sa bière et comme je ne les fréquente plus je sais pas laquelle est la plus branché. Comme souvent quand je parle de bière je me souviens de ce gars au café Campus qui m'avait dis de consulter c'est le meilleur conseil que j'ai jamais eu. On me servait jamais assez vite mon bock était toujours vide. J'ai toujours bu en alcoolique. J'étais pas dans le jet set mais plus dans le shoe set, comme dans la chanson de Plume Latraverse "Errez de taverne en taverne pour se donner l'impression de bouger" c'est la balade de la caisse de vingt quatre. Dehors cette nuit y'a quelqu'un qui parle c'est difficile de trouver un abri à cinq heure du matin. Il marche, il marche malgré son mal aux pieds veux pas mourrir gelé, cherche une entrée pour se réchauffer. Un endroit ou il peux trainer quelques heures avant la journée. Parfois il pense à l'hôpital pour éloigner le mal enlevé ses vieux bas sale en attendant dans la salle faire comme si il avait reçu de la malle pour lui dire dans quelle talle on le classait enfant de la balle, pourtant il calle il calle s'enfonce et s'étale dans la salle de l'hôpital. Ha! Ce qu'on est bien chez soi a inventer de petites histoires pas trop dramatique pas tout à fait alcoolique en écoutant la sirène des voitures de flics. Lentement la nuit passe vivement le jour que je l'enlasse avec ma mauvaise poésie qui se tasse, non! Non! Je ne peux pas boire c'est juste une passe. Les muses sont revenues ça brasse, c'est très mauvais mais quoi je suis pas un as!!! Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 6 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Un ami m'a dis que le travail intellectuel est exigeant. Je sais pas pour moi mais j'arrive à peine a sortir du lit le matin. J'ai peur de faire une dépression. C'est la difficultée de faire face au vide quotidien. Le temps est long. C'est un peu pour meubler ça que je vous écris. On gèle dans le goulag occidental. J'ai invité quelqu'un a prendre un café et a aller patiner. J'ai pas eu de réponse. Si vous me lisez je m'excuse si je vous ai dérangé. Dehors c'est blanc on attend encore un peu de neige.Je force trop pour vous écrire chers lecteurs/trices. Je réalise que c'est important d"être à l'abri l'hiver mais pas de mourrir étouffé dans une yourte.Le bus viens de passé il est plein c'est vendredi matin. Je pense aux gens qui font des semaines de quatre jours qui travaillent pas le vendredi. Je crois que ma lectrice secrétaire retraité de l'Outaouais avait cet horaire là. Je me souviens d'avoir travailler dans une usine ou on avais cet horaire là quatre jours semaine dix heures par jour et le vendredi on nous demandait toujours de faire du surtemps. Je disait non. Je préférait niaiser la nuit. Ça fait longtemps, ça fait longtemps aussi que je punche plus. Je peux dire qu'à cinquante huit ans je suis retraité. Ça me fait plaisir de vous écrire, je me sent bien pendant que je le fait et je me sent mieux après. C'est pas des très belles phrases on est pas de l'autre côté des choses comme l'écrivais Jacques Ferron l'immense écrivain. Je suis pas notable, j'ai pris l'initiative d'écrire. J'ai eu une réponse pour le patin pendant que je vous écrivais on a décliné mon offre, une réponse c'est mieux que rien. Je prend un café " Je suis même pas sortis une fois aujourd'hui, il faisait bien beau plein de soleil que Michel m'a dis"-André Paiement le regretté du groupe CANO. Je m'ennuis pas de ces journées passées à la taverne, a écluser de la broue. Je souhaite un bon voyage en Inde à une lectrice de Lachenaie. Je vous raconte pas tout je veux pas blesser personne. L'amour elle est ou l'amour, je serai aimé quand je me respecterai et j'en aurai jamais finis d'aider, d'écouter tout ça ça manque d'humilité pourtant je suis pas grand chose. "Play me a rock'n'roll song or play me no song at all"  -Valdy J'ai une pensée pour une amie que je ne vois plus. J'espère qu'elle a une belle vie. Dans le parc en face un gars promène ses chiens. Je termine là dessus comme je vous ai dis je me sent mieux de vous avoir écris. Je retourne au cahier. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 5 février 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Suis revenus à la rédaction nocturne en espérant le retour des muses.Il ne neige plus dans le goulag occidental.J'ai pas regardé les actualités. La chute de l'avion m'effraye mais ne m'empêche pas de pensés à un autre voyage. Ce matin j'ai rendez vous avec le médecin, un contrôle de routine. Il est deux heure du matin, je pense à Gottlib l'auteur de bandes dessinées. Je crois que vous avez déjà lu ça quelque part. Je mange des barres tendres.Vous souvenez vous de la Partridge family? une famille de musicien avec un show télé avec le célèbre et adulé des jeunes filles David Cassidy et sa chanson I think I love you. Y'avait aussi le Sugar Sugar des Archies sans parler des Monkeys et de leurs I am a believer, trois groupes propres pour les adolescentes, des groupes qui s'opposaient aux sales Rollings Stones et au sexy Mick Jagger ainsi qu'a tout ces bands de la vague anglaise. Je pense aussi au American Bandstand du samedi matin avec son palmarès ses danseurs aussi et ses éclairages psychédélique si un groupe voulait percer fallait qu'il passe là. L'animateur c'était Dick Clark. Cette semaine une voisine pendant qu'on écoutais Led Zeppelin m'avouait avoir fantasmé sur les boucles de cheveux de Robert Plant le chanteur du groupe. Je ne sais trop pourquoi les jeunes garçons trippaient aussi sur ces bands. Je crois qu'on voulait les imiter pour attirer les jeunes filles, on s'étais tous laissé pousser des tignasses de cheveux. Au Québec on avait Jeunesse d'aujourd'hui pas très très rock mais on y voyait les Lutins je crois que le chanteur c'étais Simon, les Sultans et l'adulé Bruce Huard, les Chanceliers et les débuts de Michel Pagliaro ces trois là ils ont survécu dans ma mémoire. Je trouvais ça drôle de les voir faire du lipsync avec de fausses guitares. Plus tard y'a eu le show des années soixante dix qu'animait Donald Lautrec,on l'a vu récemment à la télé il tente un retour mais je crois qu'il est un peu vieux. Tout ça pour vous dire qu'on y croyait au peace and love. Les adultes savaient bien que c'étais du show-bissnezz qu'après tout il fallait gagner sa crôute tout ça c'étais la mode. Je vous ai pas parlé du passage des Beatles au Ed Sullivan show, j'étais trop jeunes mais je sais que c'est là qu'à commencé l'invasion british. Dimanche passé on a vu Sir Paul McCartney spectateur au superbowl. Les fausses guitares c'était peut-être parce que certains groupes rock détruisait les vrais pour et pendant le show. Je termine là dessus je vais lancer mon ordi sur le mur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 3 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de trouver sur la table un papier que je croyais avoir perdus. Pour moi c'est comme si quelqu'un était entré chez moi, en mon abscence et l'avait déposé là. C'est ma folie, ma maladie... Je suis sortis une demie heure, acheter un cahier et des crayons, des razoirs aussi. Je recommence les cahiers, pour l'instant je vous écris sur le blog... J'ai le ménage du local communautaire a faire. Je crois que ce seras pas aujourd'hui. Le papier que j'ai retrouvé c'est comme si quelqu'un ramassait derrière moi et déposait sur la table. Dehors il fait beau c'est pas trop froid pourtant ça me fait mal ce que je vous raconte là. Je suis perdus. Je sais bien que c'est interdit d'entrer chez moi quand je suis pas là. Soleil, soleil, il fait jour... Quand je veux parler à quelqu'un y'a personne c'est un peu pour ça que je vous écris de ma folie. Ce serait pire dans une chambre d'hôtel avec femme de ménage, j'espère que vous comprenez, j'essais de me ramasser mais j'y arrive jamais. J'ai mis mes souliers, dehors ça klaxonne, un camion avec une nacelle passe en clignotant.Les pompiers répondent à une alerte. Je me sent pas victime mais persécuté, j'ai jamais trouvé la source de mon mal, dans le temps on faisait appel à Saint-Antoine le patron des causes perdues, des choses perdues aussi. C'est ça aussi la paranoïa la peur des inconnus, des voisins qu'on croise mais à qui on a jamais parlé. Je ne peux fuïr, ça fait des années que je vie avec ça a me prend toujours par surprise pourtant ça serais beaucoup plus simple si je l'avais carrément perdus le papier. Cet après-midi j'ai envie de parler de choses sérieuses, c'est la semaine de prévention du suïcide, non je suis pas suïcidaire cette époque là est passé. J'essais juste de vivre avec mes carences, mon mal. Les objets qui se déplacent ça reviens d'une fois à l'autre pas souvent. Cette semaine j'ai rendez vous avec le médecin je vais lui en parler. Y'a de la culpabilité dans ça je sais pas pourquoi Je me ramène, je me ramène, j'ai parlé avec mon lecteur chauffeur d'autobus de Mascouche, on a tout les deux apprécié le superbowl. "Avec le temps, avec le temps va tout s'en va"-Léo Ferré. Ma folie s'en va pas mais elle me prend toujours par surprise et j'essais toujours de reprendre mon équilibre. La photo aujourd'hui c'est un hommage aux prédécesseurs à ceux qui auraient aimé vivre comme je vie avec la maladie dans le goulag occidental, le centre sud, la rue Sainte-Catherine et ses nids de poule entre le viaduc et le boulevard Pie-IX. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 2 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui c'est le vrai hiver de février. J'aime beaucoup ça y'a de la neige et je suis seul chez moi sans obligation de sortie. C'est mon cinquante huitième hivers au Québec. J'ai jamais connus autre chose. Ça fait vingt et un ans que j'habite le goulag occidental ou si vous préférez le centre-sud de Montréal.Je pense toujours au mal que j'ai fait avant. Je pense à vous tout ceux que j'ai cotoyé dans ma maladie ma folie toxique. Dehors il neige. Je sais ce que vous pensez c'est simple d'écrire je peux faire pareil, mais allez y!!! Ne vous gênez pas!!! C'est pas une compétition c'est juste un gars qui écris, enfin tout ça... Ce que je trouve domage c'est que je fait plus de sports, je marche par la force des choses j'ai pas de voiture. C'est tout blanc, le poète écrivait "la neige a neigée" et le chansonnier "Y fait pas chaud même si l'hiver est beau" Plume Latraverse. J'ai plus de longs délire hivernal, j'aime le silence sourd des chutes de neige. Le bonhomme se demandait toujours ce que faisait ces gens qui roulaient en voitures, ils ne travaillent pas? C'est drôle. Je sais pas si ce que j'écris ça tiens dans la durée, y'a ça aussi toujours revenir à écrire. Y'a une belle chanson de Richard Séguin là dessus. J'écris pour me débarasser de cette folie, pour dire aussi ce qui m'ennuis ce que j'envie. Y'a longtemps déjà j'essayais de vivre dans une maison de chambre c'étais l'enfer... Je crois avoir déjà écris là dessus, on ne se réinvente pas. Il neige toujours de la poudreuse, pense à ces gens ensevelis en montagne, y'a des risques hors pistes en ville on peux se faire frapper par une voiture qui glisse. La voisine asiatique écoute de la jolie musique de son pays, c'est oriental. Je regarde dehors les voitures qui passent, pense à Londres pense à cet arc pas très loin de Hyde Park. C'est l'après midi, je suis tranquille, je suis serein. La douleur du coeur est pas là. Je partirai pas pour Acapulco je reste dans la neige. Les amis me téléphonent, le bus passe. J'aimerais bien être inspiré faire de ma prose une poésie a lire en sortant de la nuit. Pourtant je ne suis pas gris ni des yeux ni des cheveux, poivre et sel et niaiseux. Je sais pas pourquoi je pense à ma nièce puéricultrice de Cantley dans l'Outaouais. Trois enfants une grosse famille, je crois qu'elle est heureuse. Toujours la neige, j'écris en après midi aujourd'hui. C'est blanc immaculée, bientôt je devrai y aller. Je sais pas comme toujours comment terminer. J'arrête j'ai finis de niaiser. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard