vendredi 6 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Un ami m'a dis que le travail intellectuel est exigeant. Je sais pas pour moi mais j'arrive à peine a sortir du lit le matin. J'ai peur de faire une dépression. C'est la difficultée de faire face au vide quotidien. Le temps est long. C'est un peu pour meubler ça que je vous écris. On gèle dans le goulag occidental. J'ai invité quelqu'un a prendre un café et a aller patiner. J'ai pas eu de réponse. Si vous me lisez je m'excuse si je vous ai dérangé. Dehors c'est blanc on attend encore un peu de neige.Je force trop pour vous écrire chers lecteurs/trices. Je réalise que c'est important d"être à l'abri l'hiver mais pas de mourrir étouffé dans une yourte.Le bus viens de passé il est plein c'est vendredi matin. Je pense aux gens qui font des semaines de quatre jours qui travaillent pas le vendredi. Je crois que ma lectrice secrétaire retraité de l'Outaouais avait cet horaire là. Je me souviens d'avoir travailler dans une usine ou on avais cet horaire là quatre jours semaine dix heures par jour et le vendredi on nous demandait toujours de faire du surtemps. Je disait non. Je préférait niaiser la nuit. Ça fait longtemps, ça fait longtemps aussi que je punche plus. Je peux dire qu'à cinquante huit ans je suis retraité. Ça me fait plaisir de vous écrire, je me sent bien pendant que je le fait et je me sent mieux après. C'est pas des très belles phrases on est pas de l'autre côté des choses comme l'écrivais Jacques Ferron l'immense écrivain. Je suis pas notable, j'ai pris l'initiative d'écrire. J'ai eu une réponse pour le patin pendant que je vous écrivais on a décliné mon offre, une réponse c'est mieux que rien. Je prend un café " Je suis même pas sortis une fois aujourd'hui, il faisait bien beau plein de soleil que Michel m'a dis"-André Paiement le regretté du groupe CANO. Je m'ennuis pas de ces journées passées à la taverne, a écluser de la broue. Je souhaite un bon voyage en Inde à une lectrice de Lachenaie. Je vous raconte pas tout je veux pas blesser personne. L'amour elle est ou l'amour, je serai aimé quand je me respecterai et j'en aurai jamais finis d'aider, d'écouter tout ça ça manque d'humilité pourtant je suis pas grand chose. "Play me a rock'n'roll song or play me no song at all"  -Valdy J'ai une pensée pour une amie que je ne vois plus. J'espère qu'elle a une belle vie. Dans le parc en face un gars promène ses chiens. Je termine là dessus comme je vous ai dis je me sent mieux de vous avoir écris. Je retourne au cahier. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 5 février 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Suis revenus à la rédaction nocturne en espérant le retour des muses.Il ne neige plus dans le goulag occidental.J'ai pas regardé les actualités. La chute de l'avion m'effraye mais ne m'empêche pas de pensés à un autre voyage. Ce matin j'ai rendez vous avec le médecin, un contrôle de routine. Il est deux heure du matin, je pense à Gottlib l'auteur de bandes dessinées. Je crois que vous avez déjà lu ça quelque part. Je mange des barres tendres.Vous souvenez vous de la Partridge family? une famille de musicien avec un show télé avec le célèbre et adulé des jeunes filles David Cassidy et sa chanson I think I love you. Y'avait aussi le Sugar Sugar des Archies sans parler des Monkeys et de leurs I am a believer, trois groupes propres pour les adolescentes, des groupes qui s'opposaient aux sales Rollings Stones et au sexy Mick Jagger ainsi qu'a tout ces bands de la vague anglaise. Je pense aussi au American Bandstand du samedi matin avec son palmarès ses danseurs aussi et ses éclairages psychédélique si un groupe voulait percer fallait qu'il passe là. L'animateur c'était Dick Clark. Cette semaine une voisine pendant qu'on écoutais Led Zeppelin m'avouait avoir fantasmé sur les boucles de cheveux de Robert Plant le chanteur du groupe. Je ne sais trop pourquoi les jeunes garçons trippaient aussi sur ces bands. Je crois qu'on voulait les imiter pour attirer les jeunes filles, on s'étais tous laissé pousser des tignasses de cheveux. Au Québec on avait Jeunesse d'aujourd'hui pas très très rock mais on y voyait les Lutins je crois que le chanteur c'étais Simon, les Sultans et l'adulé Bruce Huard, les Chanceliers et les débuts de Michel Pagliaro ces trois là ils ont survécu dans ma mémoire. Je trouvais ça drôle de les voir faire du lipsync avec de fausses guitares. Plus tard y'a eu le show des années soixante dix qu'animait Donald Lautrec,on l'a vu récemment à la télé il tente un retour mais je crois qu'il est un peu vieux. Tout ça pour vous dire qu'on y croyait au peace and love. Les adultes savaient bien que c'étais du show-bissnezz qu'après tout il fallait gagner sa crôute tout ça c'étais la mode. Je vous ai pas parlé du passage des Beatles au Ed Sullivan show, j'étais trop jeunes mais je sais que c'est là qu'à commencé l'invasion british. Dimanche passé on a vu Sir Paul McCartney spectateur au superbowl. Les fausses guitares c'était peut-être parce que certains groupes rock détruisait les vrais pour et pendant le show. Je termine là dessus je vais lancer mon ordi sur le mur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 3 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de trouver sur la table un papier que je croyais avoir perdus. Pour moi c'est comme si quelqu'un était entré chez moi, en mon abscence et l'avait déposé là. C'est ma folie, ma maladie... Je suis sortis une demie heure, acheter un cahier et des crayons, des razoirs aussi. Je recommence les cahiers, pour l'instant je vous écris sur le blog... J'ai le ménage du local communautaire a faire. Je crois que ce seras pas aujourd'hui. Le papier que j'ai retrouvé c'est comme si quelqu'un ramassait derrière moi et déposait sur la table. Dehors il fait beau c'est pas trop froid pourtant ça me fait mal ce que je vous raconte là. Je suis perdus. Je sais bien que c'est interdit d'entrer chez moi quand je suis pas là. Soleil, soleil, il fait jour... Quand je veux parler à quelqu'un y'a personne c'est un peu pour ça que je vous écris de ma folie. Ce serait pire dans une chambre d'hôtel avec femme de ménage, j'espère que vous comprenez, j'essais de me ramasser mais j'y arrive jamais. J'ai mis mes souliers, dehors ça klaxonne, un camion avec une nacelle passe en clignotant.Les pompiers répondent à une alerte. Je me sent pas victime mais persécuté, j'ai jamais trouvé la source de mon mal, dans le temps on faisait appel à Saint-Antoine le patron des causes perdues, des choses perdues aussi. C'est ça aussi la paranoïa la peur des inconnus, des voisins qu'on croise mais à qui on a jamais parlé. Je ne peux fuïr, ça fait des années que je vie avec ça a me prend toujours par surprise pourtant ça serais beaucoup plus simple si je l'avais carrément perdus le papier. Cet après-midi j'ai envie de parler de choses sérieuses, c'est la semaine de prévention du suïcide, non je suis pas suïcidaire cette époque là est passé. J'essais juste de vivre avec mes carences, mon mal. Les objets qui se déplacent ça reviens d'une fois à l'autre pas souvent. Cette semaine j'ai rendez vous avec le médecin je vais lui en parler. Y'a de la culpabilité dans ça je sais pas pourquoi Je me ramène, je me ramène, j'ai parlé avec mon lecteur chauffeur d'autobus de Mascouche, on a tout les deux apprécié le superbowl. "Avec le temps, avec le temps va tout s'en va"-Léo Ferré. Ma folie s'en va pas mais elle me prend toujours par surprise et j'essais toujours de reprendre mon équilibre. La photo aujourd'hui c'est un hommage aux prédécesseurs à ceux qui auraient aimé vivre comme je vie avec la maladie dans le goulag occidental, le centre sud, la rue Sainte-Catherine et ses nids de poule entre le viaduc et le boulevard Pie-IX. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 2 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui c'est le vrai hiver de février. J'aime beaucoup ça y'a de la neige et je suis seul chez moi sans obligation de sortie. C'est mon cinquante huitième hivers au Québec. J'ai jamais connus autre chose. Ça fait vingt et un ans que j'habite le goulag occidental ou si vous préférez le centre-sud de Montréal.Je pense toujours au mal que j'ai fait avant. Je pense à vous tout ceux que j'ai cotoyé dans ma maladie ma folie toxique. Dehors il neige. Je sais ce que vous pensez c'est simple d'écrire je peux faire pareil, mais allez y!!! Ne vous gênez pas!!! C'est pas une compétition c'est juste un gars qui écris, enfin tout ça... Ce que je trouve domage c'est que je fait plus de sports, je marche par la force des choses j'ai pas de voiture. C'est tout blanc, le poète écrivait "la neige a neigée" et le chansonnier "Y fait pas chaud même si l'hiver est beau" Plume Latraverse. J'ai plus de longs délire hivernal, j'aime le silence sourd des chutes de neige. Le bonhomme se demandait toujours ce que faisait ces gens qui roulaient en voitures, ils ne travaillent pas? C'est drôle. Je sais pas si ce que j'écris ça tiens dans la durée, y'a ça aussi toujours revenir à écrire. Y'a une belle chanson de Richard Séguin là dessus. J'écris pour me débarasser de cette folie, pour dire aussi ce qui m'ennuis ce que j'envie. Y'a longtemps déjà j'essayais de vivre dans une maison de chambre c'étais l'enfer... Je crois avoir déjà écris là dessus, on ne se réinvente pas. Il neige toujours de la poudreuse, pense à ces gens ensevelis en montagne, y'a des risques hors pistes en ville on peux se faire frapper par une voiture qui glisse. La voisine asiatique écoute de la jolie musique de son pays, c'est oriental. Je regarde dehors les voitures qui passent, pense à Londres pense à cet arc pas très loin de Hyde Park. C'est l'après midi, je suis tranquille, je suis serein. La douleur du coeur est pas là. Je partirai pas pour Acapulco je reste dans la neige. Les amis me téléphonent, le bus passe. J'aimerais bien être inspiré faire de ma prose une poésie a lire en sortant de la nuit. Pourtant je ne suis pas gris ni des yeux ni des cheveux, poivre et sel et niaiseux. Je sais pas pourquoi je pense à ma nièce puéricultrice de Cantley dans l'Outaouais. Trois enfants une grosse famille, je crois qu'elle est heureuse. Toujours la neige, j'écris en après midi aujourd'hui. C'est blanc immaculée, bientôt je devrai y aller. Je sais pas comme toujours comment terminer. J'arrête j'ai finis de niaiser. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 31 janvier 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Les Canadiens ont gagné et quoi que j'écrive y'a toujours place à vos commentaires. Lentement la soirée arrive, le goulag occidental s'éclaire aux lampadaires. Dans le temps y'a un poète qui m'a écris de prendre tout mon temps. C'est ce que j'essais de faire. J'ai beaucoup aimé le Ti-Mé Show vendredi soir. Claude Meunier c'est un maître de l'humour absurde. Moi je suis tout simplement con... Voilà je suis dans une phase d'autodénigrement. Je rêve de partir encore en voyage, Paris, Milan, Barcelone, Mardrid, Rome si y'a quelqu'un qui veux partir avec moi faites moi signe. Pour l'instant je me dépayse en regardant France-24 à la télé. Je suis une grosse tarte, ce soir je me sent un moins que rien. Pourtant... Les terroristes djihadistes sont des saletés qui se gênent pas pour tuer. Je suis tellement vide... Les grecs ont voté à l'extrème gauche, les espagnols s'apprêtent a faire pareil. Ici je crois qu'on va se contenter d'un petit Justin à la mode qu'est-ce que vous voulez il parait bien!!!  Londres... Je sais pas quoi dire de Londres j'y retournerais. Je m'écoute mon discours intérieur est toujours le même, je pense aux disques de l'Album concept Woodstock. Je sais pas si la compagnie de disques Columbia existe encore et si les livres Time-Life sont encore disponible. C'était une bonne façon de se faire une marge de crédit. J'écris comme toujours, je sais pas si je réussis a vous passé de l'émotion. Je pense aux amis de Repentigny des gens de bon conseil. Quand même un poême ça s'écris pas en criant ciseaux, faut que j'écoute ce que je vie ce que je ressent en voyant les cadavres d'Ukraine et la commémoration D'Auswitch. L'impuissance face à l'horreur, ce mal intérieur, comment réagir, ça reste là toujours derrière tout ce qu'on peux faire, dire... J'ai été brisé une fois je peux pas me permettre une deuxième, cette "conscience" du mal du monde pourtant y'a encore des gens qui vivent heureux. Ont peux pas reprocher le bonheur, il faut faire pour le mieux. Maintenant la nuit est tombée sur le goulag occidental, j'y suis bien installé c'est pas mal tant que tu couche pas dehors. Faites moi rire j'ai besoin de ça le monde est si triste... Je suis incapable d'écrire drôle, je suis le clown triste et j'aimerais avoir du talent. Je ne sais si vous me suivez, un post qui se suit, un début un développement et une fin j'y arrive pas en plus c'est pas la première fois que je vous écris là-dessus. J'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 29 janvier 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je sais pas pourquoi j'ai de la peine, ça sert à rien de chercher des mots savants pour exprimer cette peine. C'est la solitude, je cherche le bonheur je suis pas trop zen, mon sentis est lourd. J'ai souvenir de ces longues soirées à l'urgence de l'hôpital, attendre et attendre dans un endroit sans réponse... La misère, la misère, j'étais inconscient ces longs moments avec la peur au ventre, pourtant c'est pas dans une ambulance ni à l'hôpital qu'on est en sécurité. Je me suis calmé j'arrive a vivre avec moi sans avoir besoin de trop de soins. L'hôpital c'est la douleur, les longs corridors, les cris, les pleurs et parfois la mort. J'ai souvenir des ultra-sons à l'urgence psy peut être que j'hallucinais. Quand on est sur une civière devant le poste d'observation c'est parce qu'on a dis qu'on voulais mourrir pas question d'isolement dans une chambre. C'est pas que j'étais niaiseux, je savais pas de quoi je souffrais en romantique je croyais avoir une maladie de poète. Je cherchais l'asile. J'ai trouvé la série 19-2 hier, très dure, je pense à ces sales pédophiles... Je sais vous parleriez pas de vos séjours à l'hôpital, de votre santé mentale défaillante, c'est pas a fréquenter des endroits de consommations décadents qu'on cultive sa santé mentale. Ce soir il neige c'est bien, j'ai du refaire mes leçons d'enfance apprendre a respecter mes devoirs c'est simple mais la psychose était pour moi un vécu enfantin. Y'a les policiers qui m'ont accompagné à l'hôpital, je crois qu'ils en avaient vu d'autre. Je me répète je réinventerai pas ma vie, je sais pas de quoi demain seras fait, je suis vieux... La neige a cessé, je dois prendre soin de moi, les plus beaux vers ont déjà été écris, dehors on entend reculer la machinerie, les tracteurs et les charrues c'est pas très poétique. La peur, la maudite peur que j'arrivais pas a surmonter. J'ai pleuré tant pleuré de voir ma vie se décomposé, dans une chambre d'hôpital je croyais me cacher. Ça vous intéresse pas ces voyages dans la folie la nuit. Je reste ici sans ennuis et sans nostalgie j'essais de reconstruire ma vie, il est un peu tard. Un lourd vécu a cherché le phare, en hurlant à la place aux poètes de la regretté Janou Saint-Denis. J'ai tant hurlé a me faire casser la gueule, personne ne voulais m'entendre dans mes jurons. Ce que je vous écris là c'est de l'ordre de l'intime mais je cherche plus a me cacher, je suis trop débâtis pour me rebatir. C'est pour ça que j'écris. Je vous demande pardon en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 28 janvier 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me remet de ma grippe en écoutant les nouvelles à RDI. Je sais pas trop de quoi vous entretenir ce soir. Ma capacité d'introspection semble s'être envolé. J'ai remis tout ce qui me passe par la tête entre les mains de ma puissance supérieure. J'ai la tête vide comme on dis. Je pense a acheter du rôti de porc... Les grecs ont élu un parti communiste mais on parle pas trop trop de la grande corruption dans ce pays, les armateurs et l'église orthodoxe qui paye pas une cenne d'impöt. Parfois j'ai l'impression que je suis un vaux rien... C'est une semaine de commémoration de la Shoa, faut pas oublier, jamais, cet inqualifiable carnage. Ce que j'écris ça sent le réchauffé ça a pas d'impact viral. Je pense aux attentats, à L'Hyper Cacher, ce soir y'a des tirs dans Israël, on se demande pour qui prendre partie, j'appuirai certainement pas le djihad... Parfois a regardé les infos je sent une grande fatigue, tout les malheurs du monde sont télédiffusés. Je vais trop loin je vais essayer de m'en tenir à mon sentis, non, non, je m'ennuis pas j'essais juste d'exprimer cette solitude meublé par la télé, la journaliste s'est pas présenté sous son vrai nom du moins dans ce que j'ai entendus. La schizophrénie fait que la télé me parle mais d'une autre façon, la folie de se sentir visé. Après avoir tenté de fuir la routine elle me rattrappe. Changé je dois changer c'est difficile, je me fait vieux engoncé dans mes habitudes maintenant c'est une sorte de silence qui m'habite. Hier j'étais au métro Gamelin quand je passe là j'ai toujours peur de me faire agresser... C'est la soirée, chauffée, meublée, les politiciens croient parler pour moi, je veux pas, je suis capable de dire ce que je souhaite ce que je veux... Je pense au Docteur Ferron, au Polygraphe de monsieur Cantin, des maîtres. Ce soir la ville est toute à ses fils et filles saouls et saoules, ça fait mal ils cherchent a meubler derrière une bière au bar, on dépense tout on trouveras bien ou coucher et encore un verre, encore une bière. C'est toujours étonnant d'entendre que Hendrix, Joplin, Cobain sont encore des idoles, ils étaient malades, le rock ça se soigne pas, l'esprit destroy si, quand on s'aime on se tue pas. Dédé Fortin c'étais pas un loser il avait juste trop mal. Maintenant un petit commentaire sur l'irresponsable Claude Dubois sacré moi ça en prison avant qu'il arrive un drame. C'est assez pour ce soir. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! N'hésitez pas a me faire vos commentaires. À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard