mardi 6 janvier 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je regarde pas la partie de hockey. Montréal va perdre.Je suis seul chez moi. L'intervenant au local communautaire me fatigue, il me niaise en anglais mais je crois que c'est le prix a payer pour un peu de tranquillité dans le goulag occidental. Ce soir il neige, j'arrive pas a écrire. Je pense aux bêtises que j'entend de la bouche de l'intervenant. J'ai la tête vide, en regardant les statistiques j'ai vu que mes pages étaient consulté en Allemagne. Le vingt huit janvier ce seras la journée on cause pour la cause, la journée santé mentale. J'ai longtemps été battus et abattus par la maladie mentale. Je suis assis devant mon clavier et mon écran, je cherche quoi vous écrire... J'ai un peu de peine demain j'ai pas a sortir, les longues journées de travail pour moi ça n'existe plus. Je vous écris c'est le travail que j'ai décidé de faire. Je pense aux camelots du magazine l'Itinéraire qui rechutent et tombent dans l'addiction. Il neige toujours, j'ai la tête pleine de niaiseries faut que ce soit comme ça je suis pas parfait. C'est comme si j'avais plus accès à mon sentis. J'aimerais beaucoup écrire de la poésie, écrire comment mon  monde tire vers la fin, comment ce goulag occidental fabrique une fausse liberté mais là je vous ment je suis pas condamné je voyage. Je relis ce que je vous écris, la folie voilà ce que c'est. Je me fait vieux. Dehors on entend les camions et les charrues. L'ami viens de me téléphoner on a discuté, parlé de la partie de hockey, l'ami c'est un anxieux comme moi, on essais de rigoler. "Je voudrais te dire que je t'attend"- Michel Jonasz. I am waiting for you Kate, just if you read this in Toronto. Voilà! Je commence mon blog en délirant sur l'intervenant anglophone, et j'essais de communiquer avec une amie de Toronto."May I have a little talk with you". Ça a pas beaucoup d'allure ce que j'écris ce soir, ça fait très canadian. Quand j'ai pas de douleur je suis muet. J'aurai tout essayer pour m'inspiré mais je me mutilerai pas, je ne me saignerai pas. J'ai qu'a respirer. Vous me lisez comme ça je suis face au vide dans une perte d'équilibre et je chute, je chute dans l'espace linguistique. J'essais que ce soit automatique avant d'arriver au sol enneigé du goulag occidental. Je me mord la langue, la langue que je veux française, française brûlée par le froid de l'hiver, brûlée par la glace tenue sur la plaie du bilinguisme. Je filtre dans la matière grise c'est encore une histoire de synapses et de neurones heureusement je m'éloigne de la psychose. J'avais raison Montréal a perdus, rien pour déménager dans les maisons à un million de dollars de Vancouver.Il neige toujours. J'arrête ce rien ici en me demandant de quoi je causais comme toujours c'est décousu et je vous aime d'avoir la patience de lire jusqu'ici. Je vous en remercis!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

dimanche 4 janvier 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y'en a une gang qui rentre à l'ouvrage ce matin, ça va glisser dans le goulag occidental. Ça l'air qui va faire frette... Je vous écris en fin de soirée avec le son des tracteurs et des camions, de toute la machinerie pour ramasser la neige. J'aimerais bien sortir du goulag encore le printemps prochain. Je vais attendre peut être qu'une occasion va se présenter. Ces jours ci je digère mal je crois que j'ai des ulcères d'estomac et en plus j'ai des gaz c'est ça que ça donne faire le plein... Ils ont ramassé la neige dans le goulag c'est bien! Une chance que c'est pas un blog vidéo vous me voyez pas me curer le nez, c'est dégueulasse! C'est étrange maintenant que je veux écrire j'ai la tête vide, la muse est pas là... Je pense à Harvey le canadien qui est arrivé deuxième dans une compétition de ski de fond. Mon lecteur praticien à la retraite est probablement content. Je le sais que je suis rien qu'une maudite tête vide, c'est ce qui arrive quand je laisse les voix dénigrantes prendre la place. Tout à coup je pense au boss des pairs aidants à Robert Giffard à Québec. Je l'ai entendu à la radio la semaine passée c'est un peu grâce à lui si je me rétablis quoi que je crois avoir commencé à me rétablir avant lui, pas de la même façon, pas le même chemin mais rétablissement quand même. J'ai un peu de difficulté quand il parle de sexualité, la vie trop épicée c'est pas mieux que sans épice. Là j'ai la chanson"I shot de sheriff" de Bob Marley interprêté par Éric Clapton dans la tête. C'est pas une chanson que je ferais jouer à New-York surtout pour et par quelqu'un qui essais de vivre une pleine citoyenneté et prendre ses responsabilitées. Le cancer des testicules et les cuys c'est original mais y'en a un qui va mal comprendre et va remplir ses bobettes de cochon d'indes. C'est dans la niaiserie ce soir, la télévision ça abrutis. Je viens de terminer un bon sept heure de visionnement, je suis à l'ancienne mode les gens passent beaucoup plus de temps maintenant sur les média sociaux et l'animateur radio qui veux se faire un auditoire et dénigre toute ces tribunes médiatiques en disant qu'il faut l'écouter lui, combien de temps elle dure son émission?!!!  Moi je vous demande juste de lire, ça prend pas de temps mes blogs sont pas très long. Je dors tellement mal que j'ai pas envie d'aller me coucher. Hier à la télé j'ai vu la Bagel Barn, la grange du bagel j'espère qu'ils sont pas trop vieux et qu'il y a pas trop de foin. Je vous ai pas parler de mes douleurs aux articulations des genoux, ils vont se faire un autre client pour une crème inutile. Voltaren que ça s'appelle je crois, je vais essayer les Tylenol avant. Bon! C'est pas tout ça, faut dormir pour être en forme à la réunion demain. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 3 janvier 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Y'a pas de retour en arrière possible on est bien en deux milles quinze.C'est toujours le goulag occidental. Dehors y'a quelques autobus, Il est trois heure on ferme!!! Pas vraiment envie d'aller me les geler dehors, je cherche un endroit ouvert vingt quatre heures, des beignes? Des burgers frites? C'est pas grave pourvu qu'il fasse chaud. J'ai juste assez d'argent pour un café. Les discothèques ouvertes la nuit sont pas intéressantes tout le monde est speedée et y'a un coût pour l'entrée, on entend que la basse dans la musique. Je suis dans le silence, je suce une menthe.Pas beaucoup de voitures dans le goulag occidental.Je sais que je ne sais rien c'est Gabin qui le dis.Je pense au Café de l'est un bar, je suis trop jeune pour l'avoir fréquenté. Je crois qu'il y avait de bons shows. Encore une phrase laide. Je pense à cet espèce de club social expérimental qu'étais Solidarité Psychiatrie. On y faisait des choses, j'étais pas toujours honnêtes mais y'avait de l'action.On croyais sortir de l'aliénation quand on s'aliénais doublement. C'est là que j'ai découvert que je suis alcoolique mais ça été long avant que je décide d'y faire quelques choses. Je souffrais et j'étais ignorant. Dehors y'a les pompiers qui passent il fait tellement froid que des itinérants ont trafiqué la porte d'entrée pour venir se réchauffer. C'est long marcher quand on a nulle part ou aller, on a très mal aux pieds.Là je vais vous décrire mon étât d'âme du moins essayer, je suis endormi une voix me traite de grosse salope,de sale b.s. pourtant j'ai essayé de travailler mais souvent on abusait de moi de toutes les façons. Je savais pas comment me libérer des abuseurs. On me disait qu'il fallait que je garde mon emploi mais j'en étais incapable de toutes façons ces jobs là n'existent plus. Cette nuit je vous raconte ça et je m'en veux de pas avoir réussis, a n'être capable que de vous délirer ceci. Parfois dans ma tête c'est silencieux ou y'a qu'un léger bruit de friture. J'entend la toune Kun-Fu fighting que mon lecteur de deux montagnes apprécie, plus rétro que ça tu meurt.  Non! Non! Non! J'irai pas aux danseuses les voirs s'écarteler, s'écartiller autour d'un poteau dans un mauvais éclairage rouge sans parler du tapis dont elles se servent pour faire des danses lascives sur Me and Mrs Jones.Y'a longtemps que j'ai mis les pieds là c'est pas très spirituel, les shows je les ai tous vus, les livres je les ai tous lu, mais non!!! Mais non!!! Je lis encore je vais au fond, j'essais de voir une façon de m'améliorer sans être gros tocson. C'est tout! Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 31 décembre 2014

Au présent Bonne Année

Bonne année!!! Bonjour! Bonsoir! Deux milles quatorze qui se termine. On vous réécriras pas la chasse galerie. Je pense à ceux qui vont se réveiller avec un hang-over, Ce soir je rédige à tout les temps puisque je sais pas trop quand vous allez me lire. Disont que j'ai de la concurence avec le bye-bye à la télé. Je vous souhaite la plus merveilleuse des nouvelles années, de la santé et de la prospérité pour rester dans la tradition. J'ai souvenir d'une veillée du jour de l'an passée avec le groupe rock Offenbach au grand salon du domaine mascouche, ça fait longtemps tout ce qu'il y avait de rockers au nord de Laval se ramassait là, ça fêtait fort, faut que jeunesse se passe comme on dis. Ma descente aux enfers était pas commencée.  Je veille en écoutant de la vieille pop américaine des années cinquante.C'est mon cinquante huitième hiver au Québec. Je suis toujours resté dans le froid. Je me suis réjouïs des fois pas. Je pense à tout les amis ceux qui sont partis ceux qui sont resté. Je prend pas de résolution autre que faire de mon mieux aujourd'hui et à tout les jours c'est aujourd'hui. Y'a ceux qui travaillent la veille du jour de l'an, j'ai une prière pour eux, c'est une soirée de paix et j'ai arrêté de chercher, une blonde, une brune, une noire, une rousse je les embrasse toutes. J'arrive pas à ce que je désire une écriture fine agréable c'est toujours rough mon affaire, ou est tu passée la douce. Je pense aux petits gars d'aujourd'hui comment se passe leur veilles du jour de l'an j'espère que c'est une nuit ou on les laisse joués. Je prend mon temps pour vous écrire si vous saviez toute mon affection à vous tout ceux qui lisent. Je me souhaite encore une année remplie de désir et à vous aussi. Quand on désire on aime et quand on aime on est bien. C'est un peu ça que je vous écris ici mon amour, dans la vie je suis pas très habile pour l'exprimer, mon amour et mon estime.Je me rappelle qu'on jouais à des jeux de société, quelques uns trichaient s'en était que plus drôle. J'en imagine quelques'un d'entre vous a se faire chauffer les pieds sur la bavette du poêle. Yves Montand à la radio, un grand, rien d'énervant juste Les roses de Picardie. J'aimais bien quand il jouait dans les films inspirés de Pagnol. La soirée avance tranquillement, la votre est peut-être finis de toute façon c'est la nuit. Je veux pas vous laisser sur une note triste, j'aimerais ça que le bonheur rende visite à tout ceux qui sont triste et malheureux à tout ceux incapable de pardonner moi je pardonne à tout les jours et ça marche je suis heureux. En ce début d'année je reste un incorrigible optimiste qui se dis on a déjà vu pire ça ne peux qu'aller mieux. Heureuse nouvelle année et tout le bonheur du monde!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 28 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Là on file vers deux milles quinze. Les français ont la neige ici c'est le doux temps, le monde à l'envers. J'ai plus beaucoup de souvenirs, dans mon enfance parfois je m'ennuyais entre Noël et le jour de l'an, faut savoir s'ennuyer c'est une chose qui s'apprend, on deviens débrouillard. Ce soir dans le goulag occidental des gens discutent dans le hall de l'immeuble. Hier au souper on parlais gin, une boisson que je déteste pour moi ça a un gout de parfum. Y'a longtemps déjà on s'achetais un billet pour fêter au bar,il était ouvert, tout les alcools gratuit, j'étais saoul dans le temps de le dire. Oui! Oui! À la veille du jour de l'an on accrochait nos bas et on avais d'autre cadeaux, des bandes dessinées, des friandises et des jeux de sociétés. On étais gâté en plus papa nous donnait de l'argent, cinq dollars, une fortune!!!  Ce soir le goulag est calme y'a pas tellement de voitures, quelques autobus, on pense à notre lecteur de Mascouche c'est son anniversaire on lui en souhaite un joyeux.Je remercis le lecteur de Lachenaie, mon frère pour le souper et le transport hier c'est apprécié. Je sais je sais c'est personnel comme écriture mais on m'a déjà dis que de l'intime on atteignais l'universel. Je vous raconte cette époque ou je démontais des appareils électroniques et je faisait sauter les plombs, des courts-circuit encore heureux que je me sois pas électrocuté ou ais mis le feu. Je sais pas si vous vous rappelez du pantin astronaute Billy Blastoff un beau jouet de l'ère spatiale. Plus tard dans le bas y'avait le gadget de Pif-gadget c'était amusant. Je pense aux enfants de mes nièces puéricultrices, si vous lisez dites leurs que je les aimes beaucoup et vous aussi. Quand au folklore quand André Lejeune en fait partis c'est qu'on a bien vieillis. La promesse contraiment à son auteur elle est pas jeune. Là période des fêtes c'est aussi l'espérance, l'espoir que les choses vont s'améliorer... Dehors y'a un gazé qui fait ronronner et crisser les pneus de sa voiture. Je pense aux talents des enfants, j'espère qu'il vont bien se développer. Moi mon talent je le place dans ce que vousw lisez il est pas bien grand, je suis pas Flaubert ni Stendhal et encore moins Ferron mais j'essais. Je serai pas mort de pas avoir essayer.J'ai un peu abandonné mon monde intérieur. Je suis moins ému est pas James Joyce qui veux. Je sais pas si on écris bien quand on est heureux moi je crois être moins intéressant, le malheur me sied bien quoi que je suis heureux quand je termine la rédaction de mon blog. Je vous remercis donc d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 27 décembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis toujours en direct du goulag occidental Le temps est doux, ai regardé la vidéo de Fred Pellerin un excellent conteur.Je crois que les campagnes se sont toujours vidées au profit des villes pour différentes raisons, les grosses familles et une seule terre a laissé en héritage,la croyance que la vie est plus facile en ville, les universités situées en milieu urbain par exemples.On a bien eu des périodes de retour à la terre que ce soit celle du Curé Labelle et des pays d'en haut ou la plus récente fin des années soixante dix avec les communes,  le ying le yang l'alimentation naturelle une forme de naturiste. La réalisation d'une utopie.Je sais on peux avoir notre panier de légumes à Montréal directement du cultivateur mais quand on vie seul c'est difficile de pas en perdre. La ville peux apparaitre moins plate je parle pas seulement de Montréal mais aussi des villes de grandeurs moyennes quoi que là aussi parfois on s'ennuis et peut être qu'on veux vivre l'anonymat de la grande ville. Moi j'ai vécu en banlieue et j'ai pas pu m'y faire une place, ma vie se passait essentiellement dans les quatres ou cinq débits de boissons de la région parfois on descendait à Montréal sur le pouce pour voir un show ou un film. C'était y'a quarante ans, ils ouvraient les rues, construisait une aréna le centre culturel viendrait après. Je pense à la chanson les enfants d'un siècle fou des Séguins. On est déjà dans l'autre siècle et tout passe vite. Y'a encore des gens qui deviennent végan ce que je trouve étrange de ces gens là c'est qu'après avoir vécu dans la démesure excessive de la consommation toxique ils deviennent plus blanc que blanc plus pur que pur, l'excès dans l'autre sens. Tout ça pour dire que même le restaurant Commensal est fermé ce fut une belle époque et on est pas obligé de se garrocher sur les hots dogs à tout les jours. Moi je vie pas à Saint-Elie-de-Caxton je suis à Montréal dans le goulag occidental, y'a que là que les loyers sont abordables enfin ça fait vingt ans que je suis dans cet univers. Je pense à tout ces chantiers en région, l'oléoduc, le gaz de schiste, un autre barrage... Le dévellopement écologique ça peux se faire mais parfois j'ai l'impression qu'ils veulent que nos campagnes deviennent des musées... On est pas obligé de revenir aux égouts direct dans le lac, au coléïformes dans la nature. Tout ça pour dire que je crois que nous avont un maudit beau pays mais on semble pas savoir quoi faire avec. Je connais rien. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 24 décembre 2014

Au présent spécial Noël

Joyeux Noël tout le monde!!! C'est pas évident d'écrire une histoire de Noël, la veille... Y'a eu des années pires ou j'étais obligé de faire recours aux banques alimentaire, merci à tout les bénévoles! Ces années ci c'est beaucoup mieux, j'ai a mangé, mon loyer est payé, je remercie la providence. Ce soir j'écoute des chants de Noël, des chansons américaine aussi, des chansons des années cinquante, Je sais que certains d'entre vous aimez pas être ému. Raphaël aimait pas beaucoup me voir pleurer aux fêtes surtout que j'étais plus un enfant pourtant pleurer quand on est ému ça a du sens. Faut pas que j'oublie de remercier le petit Jésus pour ce cinquante huitième Noël. C'est pas fort ce soir je répête le nom de la fête et y'a pas de neige. Je vais prendre mon temps j'ai toute la soirée Je me rappelle les chapeaux d'astrakan du parrain et quand il sortais son accordéon, papa se mettait a chanter accompagné a l'orgue par une tante. Pépère et mémère qui jouaient de l'harmonica à tour de rôle. Maman était toute à son affaire aux chaudrons et parfois servait un verre de p'tit blanc à qui savait apprécier. Chez papa aussi les manteaux étaient rangés sur le lit de la chambre. Y'avait aussi tout ces parfums, de l'eau de cologne de l'after shave Amway et des parfums cher de madame. Ce qui est étrange c'est que j'ai jamais vu le yable pogné entre tout ces oncles et tantes, ils savaient s'amuser c'étais la famille de maman.Je sais vous lisez beaucoup. Je prend de votre temps. Ce que j'écris c'est pas exceptionnel mais pour un jeune banlieusard ça avait quelque chose de magique. J'en ai pris conscience après quand j'ai vieillis, quand la vie m'a amené dans des chemins tortueux. Au milieu de la vingtaine j'avais l'habitude d'arriver tôt le matin de Noël à la maison familiale. Plus tard on a eu le neveu qui jouait de l'accordéon piano c'était déjà autre chose.Parfois on me demandais de giguer avec le parrain, c'étais beau à voir!!! Là je penses aux cousins qu'on voyais parfois dans le temps des fêtes. Ce soir il pleut je vais dire comme on dis, on a déjà vu ça des Noëls pluvieux. Avec internet en écrivant ça je me fait un Noël contemporain et inquiète toé pas Mon'onk je reste dans mon moment présent que j'apprécis beaucoup. Je sais pas quand vous lirez ça avant ou après votre party, ni même si vous allez le dire. Je vous souhaite quand mëme encore une fois un joyeux Noël!!! Merci pour tout!!! À la prochaine!!!
 
Bernard