dimanche 4 janvier 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y'en a une gang qui rentre à l'ouvrage ce matin, ça va glisser dans le goulag occidental. Ça l'air qui va faire frette... Je vous écris en fin de soirée avec le son des tracteurs et des camions, de toute la machinerie pour ramasser la neige. J'aimerais bien sortir du goulag encore le printemps prochain. Je vais attendre peut être qu'une occasion va se présenter. Ces jours ci je digère mal je crois que j'ai des ulcères d'estomac et en plus j'ai des gaz c'est ça que ça donne faire le plein... Ils ont ramassé la neige dans le goulag c'est bien! Une chance que c'est pas un blog vidéo vous me voyez pas me curer le nez, c'est dégueulasse! C'est étrange maintenant que je veux écrire j'ai la tête vide, la muse est pas là... Je pense à Harvey le canadien qui est arrivé deuxième dans une compétition de ski de fond. Mon lecteur praticien à la retraite est probablement content. Je le sais que je suis rien qu'une maudite tête vide, c'est ce qui arrive quand je laisse les voix dénigrantes prendre la place. Tout à coup je pense au boss des pairs aidants à Robert Giffard à Québec. Je l'ai entendu à la radio la semaine passée c'est un peu grâce à lui si je me rétablis quoi que je crois avoir commencé à me rétablir avant lui, pas de la même façon, pas le même chemin mais rétablissement quand même. J'ai un peu de difficulté quand il parle de sexualité, la vie trop épicée c'est pas mieux que sans épice. Là j'ai la chanson"I shot de sheriff" de Bob Marley interprêté par Éric Clapton dans la tête. C'est pas une chanson que je ferais jouer à New-York surtout pour et par quelqu'un qui essais de vivre une pleine citoyenneté et prendre ses responsabilitées. Le cancer des testicules et les cuys c'est original mais y'en a un qui va mal comprendre et va remplir ses bobettes de cochon d'indes. C'est dans la niaiserie ce soir, la télévision ça abrutis. Je viens de terminer un bon sept heure de visionnement, je suis à l'ancienne mode les gens passent beaucoup plus de temps maintenant sur les média sociaux et l'animateur radio qui veux se faire un auditoire et dénigre toute ces tribunes médiatiques en disant qu'il faut l'écouter lui, combien de temps elle dure son émission?!!!  Moi je vous demande juste de lire, ça prend pas de temps mes blogs sont pas très long. Je dors tellement mal que j'ai pas envie d'aller me coucher. Hier à la télé j'ai vu la Bagel Barn, la grange du bagel j'espère qu'ils sont pas trop vieux et qu'il y a pas trop de foin. Je vous ai pas parler de mes douleurs aux articulations des genoux, ils vont se faire un autre client pour une crème inutile. Voltaren que ça s'appelle je crois, je vais essayer les Tylenol avant. Bon! C'est pas tout ça, faut dormir pour être en forme à la réunion demain. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 3 janvier 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Y'a pas de retour en arrière possible on est bien en deux milles quinze.C'est toujours le goulag occidental. Dehors y'a quelques autobus, Il est trois heure on ferme!!! Pas vraiment envie d'aller me les geler dehors, je cherche un endroit ouvert vingt quatre heures, des beignes? Des burgers frites? C'est pas grave pourvu qu'il fasse chaud. J'ai juste assez d'argent pour un café. Les discothèques ouvertes la nuit sont pas intéressantes tout le monde est speedée et y'a un coût pour l'entrée, on entend que la basse dans la musique. Je suis dans le silence, je suce une menthe.Pas beaucoup de voitures dans le goulag occidental.Je sais que je ne sais rien c'est Gabin qui le dis.Je pense au Café de l'est un bar, je suis trop jeune pour l'avoir fréquenté. Je crois qu'il y avait de bons shows. Encore une phrase laide. Je pense à cet espèce de club social expérimental qu'étais Solidarité Psychiatrie. On y faisait des choses, j'étais pas toujours honnêtes mais y'avait de l'action.On croyais sortir de l'aliénation quand on s'aliénais doublement. C'est là que j'ai découvert que je suis alcoolique mais ça été long avant que je décide d'y faire quelques choses. Je souffrais et j'étais ignorant. Dehors y'a les pompiers qui passent il fait tellement froid que des itinérants ont trafiqué la porte d'entrée pour venir se réchauffer. C'est long marcher quand on a nulle part ou aller, on a très mal aux pieds.Là je vais vous décrire mon étât d'âme du moins essayer, je suis endormi une voix me traite de grosse salope,de sale b.s. pourtant j'ai essayé de travailler mais souvent on abusait de moi de toutes les façons. Je savais pas comment me libérer des abuseurs. On me disait qu'il fallait que je garde mon emploi mais j'en étais incapable de toutes façons ces jobs là n'existent plus. Cette nuit je vous raconte ça et je m'en veux de pas avoir réussis, a n'être capable que de vous délirer ceci. Parfois dans ma tête c'est silencieux ou y'a qu'un léger bruit de friture. J'entend la toune Kun-Fu fighting que mon lecteur de deux montagnes apprécie, plus rétro que ça tu meurt.  Non! Non! Non! J'irai pas aux danseuses les voirs s'écarteler, s'écartiller autour d'un poteau dans un mauvais éclairage rouge sans parler du tapis dont elles se servent pour faire des danses lascives sur Me and Mrs Jones.Y'a longtemps que j'ai mis les pieds là c'est pas très spirituel, les shows je les ai tous vus, les livres je les ai tous lu, mais non!!! Mais non!!! Je lis encore je vais au fond, j'essais de voir une façon de m'améliorer sans être gros tocson. C'est tout! Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 31 décembre 2014

Au présent Bonne Année

Bonne année!!! Bonjour! Bonsoir! Deux milles quatorze qui se termine. On vous réécriras pas la chasse galerie. Je pense à ceux qui vont se réveiller avec un hang-over, Ce soir je rédige à tout les temps puisque je sais pas trop quand vous allez me lire. Disont que j'ai de la concurence avec le bye-bye à la télé. Je vous souhaite la plus merveilleuse des nouvelles années, de la santé et de la prospérité pour rester dans la tradition. J'ai souvenir d'une veillée du jour de l'an passée avec le groupe rock Offenbach au grand salon du domaine mascouche, ça fait longtemps tout ce qu'il y avait de rockers au nord de Laval se ramassait là, ça fêtait fort, faut que jeunesse se passe comme on dis. Ma descente aux enfers était pas commencée.  Je veille en écoutant de la vieille pop américaine des années cinquante.C'est mon cinquante huitième hiver au Québec. Je suis toujours resté dans le froid. Je me suis réjouïs des fois pas. Je pense à tout les amis ceux qui sont partis ceux qui sont resté. Je prend pas de résolution autre que faire de mon mieux aujourd'hui et à tout les jours c'est aujourd'hui. Y'a ceux qui travaillent la veille du jour de l'an, j'ai une prière pour eux, c'est une soirée de paix et j'ai arrêté de chercher, une blonde, une brune, une noire, une rousse je les embrasse toutes. J'arrive pas à ce que je désire une écriture fine agréable c'est toujours rough mon affaire, ou est tu passée la douce. Je pense aux petits gars d'aujourd'hui comment se passe leur veilles du jour de l'an j'espère que c'est une nuit ou on les laisse joués. Je prend mon temps pour vous écrire si vous saviez toute mon affection à vous tout ceux qui lisent. Je me souhaite encore une année remplie de désir et à vous aussi. Quand on désire on aime et quand on aime on est bien. C'est un peu ça que je vous écris ici mon amour, dans la vie je suis pas très habile pour l'exprimer, mon amour et mon estime.Je me rappelle qu'on jouais à des jeux de société, quelques uns trichaient s'en était que plus drôle. J'en imagine quelques'un d'entre vous a se faire chauffer les pieds sur la bavette du poêle. Yves Montand à la radio, un grand, rien d'énervant juste Les roses de Picardie. J'aimais bien quand il jouait dans les films inspirés de Pagnol. La soirée avance tranquillement, la votre est peut-être finis de toute façon c'est la nuit. Je veux pas vous laisser sur une note triste, j'aimerais ça que le bonheur rende visite à tout ceux qui sont triste et malheureux à tout ceux incapable de pardonner moi je pardonne à tout les jours et ça marche je suis heureux. En ce début d'année je reste un incorrigible optimiste qui se dis on a déjà vu pire ça ne peux qu'aller mieux. Heureuse nouvelle année et tout le bonheur du monde!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 28 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Là on file vers deux milles quinze. Les français ont la neige ici c'est le doux temps, le monde à l'envers. J'ai plus beaucoup de souvenirs, dans mon enfance parfois je m'ennuyais entre Noël et le jour de l'an, faut savoir s'ennuyer c'est une chose qui s'apprend, on deviens débrouillard. Ce soir dans le goulag occidental des gens discutent dans le hall de l'immeuble. Hier au souper on parlais gin, une boisson que je déteste pour moi ça a un gout de parfum. Y'a longtemps déjà on s'achetais un billet pour fêter au bar,il était ouvert, tout les alcools gratuit, j'étais saoul dans le temps de le dire. Oui! Oui! À la veille du jour de l'an on accrochait nos bas et on avais d'autre cadeaux, des bandes dessinées, des friandises et des jeux de sociétés. On étais gâté en plus papa nous donnait de l'argent, cinq dollars, une fortune!!!  Ce soir le goulag est calme y'a pas tellement de voitures, quelques autobus, on pense à notre lecteur de Mascouche c'est son anniversaire on lui en souhaite un joyeux.Je remercis le lecteur de Lachenaie, mon frère pour le souper et le transport hier c'est apprécié. Je sais je sais c'est personnel comme écriture mais on m'a déjà dis que de l'intime on atteignais l'universel. Je vous raconte cette époque ou je démontais des appareils électroniques et je faisait sauter les plombs, des courts-circuit encore heureux que je me sois pas électrocuté ou ais mis le feu. Je sais pas si vous vous rappelez du pantin astronaute Billy Blastoff un beau jouet de l'ère spatiale. Plus tard dans le bas y'avait le gadget de Pif-gadget c'était amusant. Je pense aux enfants de mes nièces puéricultrices, si vous lisez dites leurs que je les aimes beaucoup et vous aussi. Quand au folklore quand André Lejeune en fait partis c'est qu'on a bien vieillis. La promesse contraiment à son auteur elle est pas jeune. Là période des fêtes c'est aussi l'espérance, l'espoir que les choses vont s'améliorer... Dehors y'a un gazé qui fait ronronner et crisser les pneus de sa voiture. Je pense aux talents des enfants, j'espère qu'il vont bien se développer. Moi mon talent je le place dans ce que vousw lisez il est pas bien grand, je suis pas Flaubert ni Stendhal et encore moins Ferron mais j'essais. Je serai pas mort de pas avoir essayer.J'ai un peu abandonné mon monde intérieur. Je suis moins ému est pas James Joyce qui veux. Je sais pas si on écris bien quand on est heureux moi je crois être moins intéressant, le malheur me sied bien quoi que je suis heureux quand je termine la rédaction de mon blog. Je vous remercis donc d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 27 décembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis toujours en direct du goulag occidental Le temps est doux, ai regardé la vidéo de Fred Pellerin un excellent conteur.Je crois que les campagnes se sont toujours vidées au profit des villes pour différentes raisons, les grosses familles et une seule terre a laissé en héritage,la croyance que la vie est plus facile en ville, les universités situées en milieu urbain par exemples.On a bien eu des périodes de retour à la terre que ce soit celle du Curé Labelle et des pays d'en haut ou la plus récente fin des années soixante dix avec les communes,  le ying le yang l'alimentation naturelle une forme de naturiste. La réalisation d'une utopie.Je sais on peux avoir notre panier de légumes à Montréal directement du cultivateur mais quand on vie seul c'est difficile de pas en perdre. La ville peux apparaitre moins plate je parle pas seulement de Montréal mais aussi des villes de grandeurs moyennes quoi que là aussi parfois on s'ennuis et peut être qu'on veux vivre l'anonymat de la grande ville. Moi j'ai vécu en banlieue et j'ai pas pu m'y faire une place, ma vie se passait essentiellement dans les quatres ou cinq débits de boissons de la région parfois on descendait à Montréal sur le pouce pour voir un show ou un film. C'était y'a quarante ans, ils ouvraient les rues, construisait une aréna le centre culturel viendrait après. Je pense à la chanson les enfants d'un siècle fou des Séguins. On est déjà dans l'autre siècle et tout passe vite. Y'a encore des gens qui deviennent végan ce que je trouve étrange de ces gens là c'est qu'après avoir vécu dans la démesure excessive de la consommation toxique ils deviennent plus blanc que blanc plus pur que pur, l'excès dans l'autre sens. Tout ça pour dire que même le restaurant Commensal est fermé ce fut une belle époque et on est pas obligé de se garrocher sur les hots dogs à tout les jours. Moi je vie pas à Saint-Elie-de-Caxton je suis à Montréal dans le goulag occidental, y'a que là que les loyers sont abordables enfin ça fait vingt ans que je suis dans cet univers. Je pense à tout ces chantiers en région, l'oléoduc, le gaz de schiste, un autre barrage... Le dévellopement écologique ça peux se faire mais parfois j'ai l'impression qu'ils veulent que nos campagnes deviennent des musées... On est pas obligé de revenir aux égouts direct dans le lac, au coléïformes dans la nature. Tout ça pour dire que je crois que nous avont un maudit beau pays mais on semble pas savoir quoi faire avec. Je connais rien. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 24 décembre 2014

Au présent spécial Noël

Joyeux Noël tout le monde!!! C'est pas évident d'écrire une histoire de Noël, la veille... Y'a eu des années pires ou j'étais obligé de faire recours aux banques alimentaire, merci à tout les bénévoles! Ces années ci c'est beaucoup mieux, j'ai a mangé, mon loyer est payé, je remercie la providence. Ce soir j'écoute des chants de Noël, des chansons américaine aussi, des chansons des années cinquante, Je sais que certains d'entre vous aimez pas être ému. Raphaël aimait pas beaucoup me voir pleurer aux fêtes surtout que j'étais plus un enfant pourtant pleurer quand on est ému ça a du sens. Faut pas que j'oublie de remercier le petit Jésus pour ce cinquante huitième Noël. C'est pas fort ce soir je répête le nom de la fête et y'a pas de neige. Je vais prendre mon temps j'ai toute la soirée Je me rappelle les chapeaux d'astrakan du parrain et quand il sortais son accordéon, papa se mettait a chanter accompagné a l'orgue par une tante. Pépère et mémère qui jouaient de l'harmonica à tour de rôle. Maman était toute à son affaire aux chaudrons et parfois servait un verre de p'tit blanc à qui savait apprécier. Chez papa aussi les manteaux étaient rangés sur le lit de la chambre. Y'avait aussi tout ces parfums, de l'eau de cologne de l'after shave Amway et des parfums cher de madame. Ce qui est étrange c'est que j'ai jamais vu le yable pogné entre tout ces oncles et tantes, ils savaient s'amuser c'étais la famille de maman.Je sais vous lisez beaucoup. Je prend de votre temps. Ce que j'écris c'est pas exceptionnel mais pour un jeune banlieusard ça avait quelque chose de magique. J'en ai pris conscience après quand j'ai vieillis, quand la vie m'a amené dans des chemins tortueux. Au milieu de la vingtaine j'avais l'habitude d'arriver tôt le matin de Noël à la maison familiale. Plus tard on a eu le neveu qui jouait de l'accordéon piano c'était déjà autre chose.Parfois on me demandais de giguer avec le parrain, c'étais beau à voir!!! Là je penses aux cousins qu'on voyais parfois dans le temps des fêtes. Ce soir il pleut je vais dire comme on dis, on a déjà vu ça des Noëls pluvieux. Avec internet en écrivant ça je me fait un Noël contemporain et inquiète toé pas Mon'onk je reste dans mon moment présent que j'apprécis beaucoup. Je sais pas quand vous lirez ça avant ou après votre party, ni même si vous allez le dire. Je vous souhaite quand mëme encore une fois un joyeux Noël!!! Merci pour tout!!! À la prochaine!!!
 
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui on attend tous le père Noël. Hier j'ai eu ce qu'on appelle en anglais un feeling, une émotion du même genre que j'avais dans mon adolescence. C'étais pas désagréable, je croyais pas que je revivrais ça un jour. Ai mangé au restaurant grec avec les copains de la radio c'était amusant. J'ai mangé une soupe aux lentilles et une assiette de calmar. Ça fait différent du pâté à la viande et de la dinde. Je vie un temps des fêtes faste, de quoi engraisser. Comme toujours la nuit le goulag occidental est tranquille. Je viens de lire les actualités c'est jamais trop réjouïssant. J'aimerais vous raconter une jolie histoire de Noël, celle d'un jeune garçon qui rêvait de faire de la radio et d'écrire, de voyager aussi, mais oui c'est moi, je réalise tout ça un jour à la fois. J'ai changé ma vie, la nuit maintenant je dors ou je vous écris. Mon ami animateur dis que je suis multi-média, c'est possible mais c'est pas volontaire. Comme y'a quinze vingt ans j'essais toujours de mettre du coeur dans la machine internet.J'ai cessé de dériver je garde le cap comme me l'a conseillé l'ami praticien ressource à la retraite que je salut ici. Je trouve pas quoi vous raconter. Je vous place tous dans mes prières. Je pense aussi aux puéricultrices et leurs poupons. Je crois qu'elles se sont données des années de bonheur.Je cherche un souvenir en voilà un bref et court, le retour sur la vingt cinq en voiture avec mon père on revenais de chez mon parrain. Je regardais les lumières j'étais très fatigué je m'étais beaucoup amusé, y'avait le chien Rex aussi une belle bête pas méchante je crois qu'il avait grimpé dans l'arbre de Noël. Chez nous c'étais les chats qui s'amusait avec les guirlandes. Je vous écris ça et j'ai l'émotion de ce temps là. Je suis content d'être délivré du monde de consommation de substance. Une journée à la fois ça se fait. Je salut ici l'ami Ti-Coq qui va se reconnaitre. Je lui souhaite beaucoup de bonheur. C'est bon des calmars mais c'est salé ça laisse la bouche dans un drôle d'état. Je me relis et je suis ému si ça vous fait ça à vous aussi, j'aurai encore une fois gagné mon pari de mettre de l'émotion dans la machine. Hier j'écoutais un animateur radio dire que les réseaux sociaux, je sais pas comment on dis addictive en français. Moi je trouve que ça rend pas plus dépendant que la radio, c'est étrange eux ils peuvent se le permettre mais le citoyen lambda peux pas. Bein voèyons!!! Je vous laisse là dessus!!! Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard