lundi 22 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai mangé une salade avec du concombre, pardonnez moi mais je le rôte.Hier on a décidé que Santa Claus contribuais à la paranoïa des enfants. Lui et ses lutins qui surveillent pour savoir si tu a été un enfant sage!!! Mais non Santa il est généreux tout le monde a son cadeau même le plus tannant. Cette nuit je me suis réveillé j'étais debout et je cherchais un cable qui n'existe pas. J'aimerais écrire quelque chose qui vous illuminerais le coeur.J'ai pas écouté beaucoup de musique de noël. Je pense à ceux qui sont seul si on les compte tous ça fait une grosse gang. Beaucoup apprécié les voeux que m'ont envoyé quelques lecteur.Pour la solitude je suis fait fort.Je vais m'en sortir.Je pense à mes malheureux lecteurs de Deux-Montagnes qui sont en Floride dans une sorte de paradis. Je sais qu'au bord de la mer on s'ennuis pas. Hier la matriarche m'a demandé quelle sorte de vie je menais? Bein celle là qui est toute autour des mots, de l'expression de l'impression. Je sais pas ou je me dirige mais surement pas vers le néant parce qu'il y a le petit Jésus celui qui comble les besoins du grand enfant que je suis. Je ne suis pas seul il est toujours avec moi. La plus belle histoire la nativité.  Le plus grand des rois qui viens au monde dans une étable, ça fait réféléchir sur l'humilité, une valeur souvent oublié à Noêl on met ses jewels, son capot de poil pour la messe de minuit ou on se rend en voiture de l'année achetée à crédit. J'allais vous faire la morale c'est comme si vous étiez mes grands enfants comme ils disent dans la publicité "la modération a bien meilleur goût".Y'a longtemps déjà j'avais des Noël triste comme ceux du petit renne au nez rouge. "On allais jusqu'a dire qu'il aimais prendre un petit coup". Je prenais pas un petit coup mais un gros mais avec l'aide des amis et d'une puissance supérieure je me rétablis. Comme je vous l'ai dis souvent ces derniers jours je prie. Le petit Jésus est bon pour moi.Une chanson pour nos amis en Floride "Quand je pense à la mer et à l'orage ce jour là, tu riais aux éclats, et moi je chantais tout bas" -Daniel Lavoie. Je m'ennuie pas de l'odeur des tristes bouges ou je passait mon temps à écluser.Essayez pas ça, des heures devant des bouteilles avec derrière un miroir ou n'importe quel étranger peux voir mon visage se décomposer pendant que la nuit avance et qu'on cherche je ne sais qui pour nous accompagner dans la décadence.Ça fait mal cette descente aux enfers mais ça prenais ça. Ça peut être pas rapport mais à l'approche de Noël je suis plus joyeux que jamais heureux d'en être sortis vivant. Bon! Je termine! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 21 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je sais pas combien d'entre vous sont en vacance ce matin. Je pense aux enfants qui sont fébriles en attendant le passage du père Noël.On se demande ce que le père Noël va apporter. Moi j'ai souvenir de ces énormes réveillons que mon père faisait.Ça revenait à tout les ans c'étais permis d'inviter les amis,on buvait et on rigolait. Je me souviens de Luc et de Claude... Hier je suis allé souper sur le plateau avec mon ami Sylvain c'étais bien.Ce midi je dîne avec les amis du groupe d'entraide, ce soir je soupe avec les voisins. Je suis choyé, le partage dans le goulag occidental est important. Noël ça a toujours été familial depuis que papa Raphaël est partis c'est tranquille.Même d'ici j'entend les enfants compter les dodos. Une voiture ronronne c'est pas le chariot du Père Noël.J'ai souvenir aussi de mes premières années sur le marché du travail.Je payait pension mais il m'en restait assez pour les cadeaux de Noël à mes parents à mes frères et soeurs avec le temps ça s'est gâté, y'a plus eu de cadeaux.Aujourd'hui je crois que le plus beau cadeau c'est une prière.Hier j'ai eu un sentiment de maladie, l'ennuis de ces maisons appartement sans décoration et l'impression de revenir trente ans derrière.C'étais triste.Cette année j'ai pas envie d'être dépressif. Je demande au bon Dieu qu'il m'aide. Faites pas trop de conneries dans vos partys de bureau.Bein non! Y'en auras pas de Noël au camp c'est pas de ma génération nous c'étais les rues de la banlieue moins triste que le camp... Ça me fait pensés au goulag occidental de maintenant à cette centralisation des ressources pour les plus mal pris.Cette nuit le goulag occidental est tranquille, c'est toujours plus économique de nous garder dans ce clôs du bas de la ville. Je me souviens plus lequel de ces deux disques des Beatles est sortis à Noël, Abbey Road ou Let it be. Je crois que c'est Abbey Road j'entend encore Here comes the sun, ça me réjouït. C'étais quand même de belles années.Un petit salut à notre lecteur de Deux-Montagnes qui est présentement en Floride. Je vais essayer de le contacter le jour de Noël.À force de répéter le mot Noël je vais finir par y croire, ce qui m'étonne le plus c'est que ça passe si vite, les enfants trouvent ça long, je trouve que ça s'accélère. Y'a aussi cette année ou maman avait été hospitalisé y'avait pas eu de fêtes mes soeurs étaient pas là. On étais resté avec mon père entre frères et on s'étais rendus prendre une bière dans un bar du voisinage. Je termine et j'ai envie de vous dire que le père Noël c'est pas une ordure. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C'est dimanche, un dimanche de vieux garçon, seul. Il se demande quoi écrire sans trop parler de sa peur de retomber dans l'alcool et les stupéfiants. Aujourd'hui il consommeras pas, une journée de plus un jour à la fois.Dehors c'est blanc, il pense à Noël dans le goulag occidental. Il somnole en regardant les voitures passées. Il sait que consommer pour lui c'est la destruction la mort. Hier à la télé y'avait un joueur de hockey en rétablissement, sa femme qui expliquais que c'étais la faute de l'argent. Qu'ils venaient tout les deux de familles pauvres avec des trous dans les chaussures. J'espère qu'ils vont s'en sortir. Il cherche Dieu sans trop savoir ou le trouver. Il sait que vous trouver ça rigolo l'idée de Dieu mais il prie, il prie comme ça avant Noël, le petit Jésus, la Mère Marie. Il sait pas trop quoi dire sur la prière en parler ça l'apaise, une force spirituelle plutôt que des spiritueux. Il écris sur la force spirituelle plutôt que sur la religion parce qu'elle amène la guerre et parfois la destruction. Il sait que Noël c'est une fête chrétienne mais avant c'étais le solstice d'hiver quoi de plus spirituel que la lumière qui reviens.Il essais d'avoir une bonne pensée pour tout le monde et il sait que vous le trouver bonnasse et naïf. Il se fait vieux le monsieur. Il neige dans le goulag occidental. Il se rappelle ses jeux dans la neige, les forts, les tunnels, les bonhommes et les sauts dans la neige folle du haut d'une pile de forme pour les maisons. Le vent pousse la neige. Il se demande ce que ce serais si il avais eu du talent. Il a pas fait d'étude là non plus il a pas de talent. Parfois il se demande si tout est pas joué d'avance, si les autorités étaient pas au courant qu'il allait devenir un bum. Il a jamais demandé l'aide d'un professeur il étais pas sympathique. Ceci c'est la dernière chose en laquelle il crois, l'écriture il est peut être dans le champs, il crois que le Sélection du Reader's Digest n'existe plus. On y verras jamais son histoire. Il fait simple, il est juste un prolétaire pas un écrivain il est trop pauvre et connais pas les ficelles du métier. Il essais maintenant d'être sympathique de prêter l'oreille à ceux qui sont seul. La troisième personne du singulier il crois que c'est moins égoïste même si ça vous fait pensés à Réjean de la petite vie. Il vous en a assez raconter pour tout de suite et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

vendredi 19 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui je me suis perdus dans les murs de l'institut. Je viens de regarder l'émission les monuments préférés des français et l'institut me fait pensés à un château avec ses couloirs ses escaliers dérobés et ses longs corridors. Un château qui a logé les fous sans grades, ceux qui n'avaient pas de toît qu'on faisait dormir dans de grands dortoirs. Les aliénés vivaient comme des rois en représentation devant tout le personnel à la douche comme à la bouffe, les soeurs admiraient le spectacle et faisait parfois travailler ce monde. En France les rois étaient en représentation devant la noblesse au Louvres ou à Versailles, la noblesse assistait au coucher du roi dans une immense chambre toute pour le spectacle, le roi y dormait pas. Je sais pas, non! Non! Je sais à l'institut les plus "malades" dormaient seul dans ce qui ressemblait plus a une cellule qu'à une chambre et y'en avait surement qui se réclamait de la royauté. C'est évident fallait avoir une certaine noblesse pour vivre sans frais dans des lieux pareils, une ville, Saint-Jean-de-Dieu ou Gamelin. Gamelin qui avait l'immensité sans l'architecture des châteaux, différentes ailes bâties à des époques différentes. Je dirais que c'est néo-baroque et si on fouille si on regarde comme il faut on va y découvrir des oeuvres de différentes époques et peut être assisté au passage chez le barbier des derniers pensionnaires. Je me suis quand même retrouvé, dans le pavillon Cloutier j'ai croisé quelques colègues qui attendaient une rencontre avec un psy, une T.S. ou je ne sais quels professionnels. Ce soir je suis chez moi, j'y suis bien c'est pas un château de toute façon j'aurais pas les moyens de le chauffer et de l'éclairer. J'écrivais donc je suis chez moi dans le goulag occidental qui est mieux je crois que Gamelin. J'entend des gens qui gueulent en passant c'est de la vie, c'est vivant, le goulag occidental est vivant par sa résistance aux modes de vie banlieusard. Tiens! Tout à coup j'ai mal au genou... Samedi matin le roi, sa femme et son petit prince, sont venus chez moi pour me serrer la pince, mais comme j'étais pas là le petit prince a dis nous reviendrons... Bientôt les lieux ou on soigne la maladie mentale seront dans le coeur de la ville, la municipalité prendras en charge ceux qui sont différent, on y est presque déjà avec tout ces groupes communautaires au centre-ville, y'a que les fonds monétaires qui suivent pas. Je vous laisse sur ces quelques mots en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 18 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Il est trois heure quinze, je ne dors pas et je me dénigre, me semble que je vaux rien que je suis un grand voyou. J'aime pas beaucoup en attribuer la cause à la maladie. Le goulag occidental est tranquille cette nuit. J'ai moins peur de vivre, la peur la paranoïa qui a brisé ma vie, je la raisonne je prie. Je crois qu'il a neigé un tout petit peu. Les bars sont maintenant fermés reste qu'a trouver un after hours en écoutant les buveurs qui sortent du bar. Si il nous reste quelques sous on peux prendre un taxi et s'informer... La webmestre a mis la photo d'un singe cobaye sur son statut facebook. Je trouve ça dur le singe c'est moi, un trou dans le crâne bouché par un bouchon de liège et du sang partout. Marcher la nuit j'ai fait ça longtemps ça et prendre l'autobus sans payer du bas de la ville à Cartierville. Je suis con je l'étais encore plus quand j'étais saoul... Je suis arrêté un passage à vide. Je pense à cet éleveur de veau qui martyrisais ses bêtes ça donne envie de devenir végan de manger du tofu. Pas un chat dehors. Je regarde par la fenêtre pas de circulation. Avec la reprise des relations Cuba-U.S.A. y'a des familles qui vont être heureuses elles vont pouvoir se réunir, en tout cas on leurs souhaite pour Noël. Aujourd'hui je monte l'arbre de Noël dans la salle communautaire. Je pense au Noël triste de plusieurs pourtant c'est la fête de la lumière les jours, à partir du vingt et un décembre je crois, commencent a avoir de la lumière plus longtemps. Me suis fait un café en pensant je ne sais pourquoi au vélo de Foglia... Je pense aussi à mon lecteur praticien à la retraite qui va s'en donner à coeur joie sur ses skis de fond. C'est un sport que je pratiquais y'a longtemps bien que j'aime pas dire ça la maladie m'a arrêtée. Je sais pas comment ça s'appelle , le deuxième souffle?, quand on crois avoir tout donné et on tombe dans une espèce d'extase. J'ai jamais rien vécu d'aussi intense. Je pense à mon petit frère qui avait un Marinoni sur mesure, une belle bécane... Vous allez me dire tu pense trop ! Écris! C'est ce que j'essais de faire, la bicyclette d'Yves Montand, une bonne chanson. Je crois que c'est assez pour aujourd'hui. Je salut tout le monde en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 16 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai la barre de santé qui me démange comme dirais un ami. Pour la tête c'est guère mieux un espèce de bobo qui veux pas partir. Je me tord le corps. Canadien a gagné... C'est tranquille dans le goulag occidental. Je peux pas me sentir diminué je suis moins que rien et si je le dis c'est pas par humilité c'est parce que mon âme a mal comme souvent. J'essais de me tenir au plus près de moi, comment vous écrire cette saloperie de solitude, c'est toujours le même thème, moi qui se bat avec moi et l'estomac qui brûle. C'est la soirée il fait noir, demain... Je sais pas demain je suis pas rendu là. Je suis pas un moine zen, y'a plein d'interférence dans ma tête mes neurones sont comme des tranches de bacon qu'on fait griller. J'ai du gras dans le cerveau. Riez pas c'est pas drôle.Ça ressemble à un Noël solitaire dans le goulag qui s'annonce. J'ai l'air d'une dinde pas de farce. En voilà des faciles. Une joke de Roméo Pérusse que c'est que ça veux dire SOS? Salut On s'Saoule! Encore un autre vingt quatre heure de fait sans boire c'est bien. Je veux pas mourrir tout de suite. J'ai regardé encore une fois les buts des Canadiens. C'est beau a voir mais je suis pas journaliste sportif. Je vous parlerai pas des salauds de terroristes qui ont tués des écoliers c'est débile de s'attaquer à des sans défenses, faut pas laisser la terreur nous dominer... J'aime pas ça j'ai pas de solution. Hier je regardais une émission avec des images de Paris. Je suis tout heureux d'y être allé. J'y retournerai pas pour faire l'histoire mais pour faire mon histoire. Paris reine du monde Paris c'est une blonde. Je délire c'est rien de construit ça va un peu partout. Vous allez me dire que je suis pas le seul marteau qui écris sur internet. Mais oui!!! Mais a date y'a pas d'interdiction et l'artisanat c'est plus le macramé et la terre glaise.La télé est sur France vingt quatre, là bas il est cinq heure du matin.Quand j'écoute ça je ne sais comment décrire comment je me sent, seul a marché sur les pavés de Paris.J'y retournerai!!! J'y retournerai!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 15 décembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris du milieu de l'après-midi dans le goulag occidental. Ce matin je me suis rendus à mon groupe d'entraide. Je sais pour écrire faut être seul mais j'ai besoin des autres, de mes semblables. Présentement je lis un roman policier qui se passe à Paris, l'auteur connais bien les lieux. On y parle du café Dupont j'y étais ce printemps. J'ai mis la télé sur Paris Direct, je sais pas comment la prise d'otages s'est déroulée en Australie. Semble que les autorités ont controlées les média sociaux.Ils ont donné la charge le terroriste et deux otages ont été tué. Vous savez tout ça. Le goulag occidental est tranquille mon ciboulot est agité mais y'a qu'une voix celle de ma conscience. Ça fait longtemps qu'il y a eux de la neige comme ça à ce temps ci de l'année. La solitude parfois fait peur pourtant ça permet de réfléchir. Étrangement ma paranoïa est presque disparue.Lentement le jour s'en va, c'est sombre et triste. Je vois les gens courrir les magazins avec leurs cartes de crédit pour acheter des cadeaux à leurs bambins. Je sais pas comment ils font au salaire minimum, deux ou trois jobs? Moi je savais pas que je deviendrais ça, un homme désoeuvré sans enfants, sans familles... Un écrivain en devenir? Je suis un peu vieux mais j'ai que ça a faire écrire mes réflexions sur l'air du temps dans un blog. Je pense à ce français qui disait que le livre de poche c'était une mauvaise chose ça permet à la populace de lire... En étirant un peu on peux dire que le net, les blogs c'est aussi une mauvaise chose ça permet à la populace d'écrire, de s'exprimer plutôt que de laisser ça à la bourgeoisie à l'inteligentsia... Je vous entend me dire "get a life!" J'en ai une vie c'est celle que vous lisez ici, les fourmis dans le cerveau, les synapses comme un nid de bestioles , la neurone qui s'excite. Ça reviens à la permission au permis d'écrire, ce permis je l'ai pas j'ai pas de diplôme autre que celui de plusieures indigestions de lecture, ce que je vous écris c'est le résultat de ces indigestions. Comme toujours, comme souvent je pense à ce patron qui avait eu la bonté de me dire que les ateliers de production c'est pas ma place. Je lui dis merci, au moins je me sent moins torturé pour ma survie. À cinquante huit ans il est un peu tard pour grimper l'échelle sociale mais j'aime bien le statut d'écrivain prolétaire. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard