samedi 13 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai cherché toute la journée ce que je peux vous écrire. Ai regardé les actualités, je crois que vous êtes aussi capable de le faire. Pendant qu'on tire sur les noirs aux States ici on a des chicanes de médecins. RDI fête ses vingt ans, ils ont attendus que j'arrête de boire pour lancer une chaîne d'information. J'aurais peut être fait la nouvelle dans les chiens écrasés. Vous allez peut être trouver ça drôle mais je me sent bien chez moi. Noël qui s'en viens j'ai envie de vous faire un Noël dans le goulag occidental et pas loin dans Hochelaga-Maisonneuve. On y attend le panier de la guignolée et biens des enfants seront tristes parce que leurs papas ou leurs maman seras pas là. Faut que j'ais de la gratitude j'en ai eu un papa une maman des frères et des soeurs, on a grandis ensemble. Je me souviens d'avoir joué avec les bébelles que recevaient les plus jeunes. Je me souviens aussi du cheval et de la magnifique poupée Johnny West un cow-boy à l'effigie de John Wayne, y'avait aussi cet étui à revolver en vrai cuir il étais magnifique. Sans parler du jeux de Mécano on s'y ai fait les doigts, la gang de gars. Ce soir c'est le silence,la télé est sur TV5. Je pense beaucoup à la France. Je crois que Noël ils appellent ça la Saint-Sylvestre , non! C'est le jour de l'an.J'ai souvenir aussi des amis européens de mon parrain Émerick, monsieur Louis et Monsieur François, Kokovsky ou Kokovsek... On avait fait un tour de carriole tiré par un poney, je pleurais j'avais peur de ne jamais revenir. Y'a les arbres de Noël de matante Gisèle des vrais jamais deux pareil. Je me rappelle aussi on montais sur le côteau et on essayait de s'en couper un. Parfois j'aidais papa a illuminé les arbres et le devant de la maison. On se gelait les doigts parlant de se geler les doigts y'a cet hiver au port de Montréal les doigts sur les tuyaux de métal des bateaux. Je me souviens aussi des Jackson Five de la cousine Francine.  J'avais des cousins des cousines, je réalisait pas que c'était extraordinaire. Je pense aux familles que mes neveux et nièces ont fondé c'est magnifique. J'écoute l'émission Pour l'amour du country, c'est le genre de musique populaire dans le goulag occidental Y'avait aussi la bouteille de gin verte DeKuyper j'ai jamais été capable d'en boire. Je me souviens aussi de ces soirées passées la tête dans les haut-parleurs de la discothèques. Heureusement j'ai pas d'acouphène.Ouais! C'est d'autre souvenirs qui se ramènent avec le temps des fêtes. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 11 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me sent pas beaucoup dans le temps des fêtes. J'imagine que ceux qui ont des enfants et des petits enfants sont plus dans cet esprit. Remarquez c'est pas en regardant les guerres à la télé qu'on crois au Père Noël. Je viens de regarder les actualités, on coupe encore à Rédio-Kénada, les antennes régionales, moi je crois que c'est un plan des conservateurs pour à long termes faire disparaitre les francophones, même à la radio on hésite plus a passé des chansons anglophones!!!
Chez nos cousins français des maisons à la campagne pour moins de cinquante milles Euros, ça me donne envie de déménager et y'a Détroit aux states on démolis les ruines de la mère des cités industrielles. Je pense à tout ceux qui me lisent et qui vont avoir des partys de bureau, soyez prudent et cruisez pas trop la petite secrétaire. J'essais de vous écrire comment je me sent. J'ai la tête lourde et je me dénigre, tiens je suis une grosse salope c'est ce que les voix me disent pourtant j'ai rien fait de mal, ce sont, c'est la voix... Lentement je me calme, y'a personne chez moi qui va fredonner une chanson inconnue, un air idiot qui m'humilie. Ce soir j'ai beaucoup de difficulté a mettre mon blog à jour. Je lis beaucoup je réussis a me perdre dans les phrases d'une biographie d'un musicien New-Yorkais. Le jeudi je crois que c'est le jour de la paye pour plusieurs les centres d'achats sont surement plein. Les cadeaux! Les cadeaux! C'est comme je vous disait au début c'est essentiel quand on a des enfants et des petits enfants. Mon cadeau je l'ai c'est d'être sortis depuis un bon bout de temps déjà, de ce monde de crackpot toxicomane et alcoolique. Ce soir je vais vous placer une photo de la première neige à Besançon y'a quelques années déjà. C'est une jolie ville j'ai que de bons souvenirs de l'Hôtel du Nord. Dans le goulag occidental ils ont déjà commencé a ramasser la neige. Cette semaine j'ai lu qu'ils vont peut être installer sur la rue Sainte-Catherine ouest, de la tuyauterie pour faire fondre la neige sous les trottoirs. Tout pour l'ouest!!! Rien pour le goulag occidental! J'ai plus de souvenirs de Noël. Je me souviens juste que l'alcool me déprimait et que je me suis longtemps battus avec ça. Depuis que je me suis rendus, que j'ai avoué ma défaite ça va mieux. C'est pas un grand texte ce soir. J'ai juste envie de dire que je vous aime tout ceux qui me lisez. C'est pas une belle phrase. Je vous remercis donc d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 9 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y'a une jeune française qui doit être heureuse, son père otage français a été libéré, un beau cadeau de Noël. On lui souhaite bon retour dans le monde libre même au goulag occidental. Ce soir il neige. J'ai lu que vous aviez aimer mon texte précédent remplis de nostalgie. Je pense à ma lectrice secrétaire retraitée de Gatineau, elle a pas fait de commentaire ça lui plait peut être pas? Moi je suis heureux quand j'écris, ça fait mon bonheur... Demain j'enregistre à la radio, ce matin en attendant l'autobus le passager d'une voiture m'a dévisagé et est partis a rire, qu'est ce qu'elle a ma gueule? Je nous vois encore tout les enfants dans la voiture pour se rendre dans le quatre et demie de pépère Côté et recevoir la bénédiction paternelle c'était au jour de l'an. Je crois que je suis de la dernière génération a avoir vécu cette tradition.Je pense au sens sacré de Noël qui est disparu. Faut pas oublier le partage comme valeur du temps des fêtes juste essayer d'être présent pour ceux qui sont seul. Ce que je vous écris là ça fait curé mais ma cure est cybernétique si ce que j'écris ici marque une présence ce seras déjà ça. J'ai encore la France dans la tête place de La Défense ce printemps un jour avant de partir. À Montréal on a pas d'architecture aussi grandiose pas d'espace pour les grandes places quoi que le quartier des spectacles soit réussis. Sur un plan plus domestique j'ai pas enlevé mes souliers et j'ai entré du calcium chez moi, les vapeurs m'assèchent la bouche et m'empêchent de dormir j'ai mis d'autres souliers j'espère que la nuit prochaine seras meilleure. Je pense que j'aurai pas les moyens de partir outre-mer ce printemps, une lectrice m'a conseillé Sherbrooke dans les Cantons-de-l'est. J' y suis déjà allé, je vais prendre ça un jour à la fois. Ce soir c'est l'hiver, mon loyer est payé je suis à l'abri. Je pense à ceux qui sont dehors la nuit. La rue ça use, ça gaspille les nerfs, il faut survivre au froid, essayer de dormir dans les entrées d'édifices, se tenir loin du trottoir mais la menace est quand même là, la folie névralgique, nerveuse et schizophrénique. On se perd dans le délire et on ne crois plus personne on est vraiment persécuté ce sont tous des menteurs. Ça fait mal d'écrire ça dans la rue y'a pas de confiance. C'est aussi une autre forme de prise d'otage dans le goulag occidental. Bon! Un petit mot pour ma lectrice puéricultrice de Cantley, j'espère de tout coeur qu'elle va avoir ce nouveau travail ou elle a postulé. Ça aussi ça ferait un beau cadeau de Noël. On va prier pour elle. Y'a du hockey à la télévision et une patinoire dans la tour Eiffel. Je préfère la deuxième. C'est de plus en plus vide ce que j'écris. J'arrive pas a vous traduire mon sentis. Ne jamais oublié que j'habite la folie, le délire est ma maison, l'écriture est une fondation. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 7 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! On entre dans la période de l'année là plus émotive. La lumière dure pas longtemps et on pense à tout ce monde croisé, connus depuis l'enfance, des proches sont disparus d'autre ont les vois plus. Je me rappelle de la crèche et du sapin de notre enfance et sous le sapin lentement ça se remplissait de cadeaux,Pépère et oncle Émérick qui sortaient leurs pipes, l'odeur sucré du tabac qui fûme. Je pense que chez papa c'était le seul bungalow ou on callait des sets carrés au sous-sol dans les années soixante dix. Oncle Émerick mon regretté parrain jouait de l'accordéon pendant que tante Gisèle partie trop tôt jasait avec mémère. Ça chantait aussi je me rappelle que ma soeur Denise et ma cousine Danielle avaient chanté ensemble. Y'avait aussi un tournoi de carte, ils appellaient le jeu le youcoeur. Je l'ai jamais compris. Moi j'ai commencé a boire là, je prenais une gorgée dans toutes les bières que je servait à mes oncles. Au jour de l'an on avait des bandes dessinées comme cadeaux j'adorais ça. Je les lisait intégralement d'une page à l'autre pendant les vacances des fêtes. On jouait aussi au ballon-balai sur la patinoire de la polyvalente. Je me rappelle, mais un peu plus tard, de notre lecteur fonctionnaire d'Ottawa qui jouait de l'accordéon comme Marcel Azzola, une touche européenne. Je me souviens d'avoir assisté à la messe de minuit dans Villeray, oncle Émerick nous avait invité il habitait rue Boyer. Le train électrique du cousin Jean-Luc était impressionnant. Un peu plus tard un week-end d'hiver on était allé à la pêche sur la glace au lac des Deux-Montagnes, ça fait de l'histoire pour un lecteur qui habite là, on pêchait avec des brinballes et on se réchauffait dans la cabane, pépère Therrien m'offrait du salami que j'aimais beaucoup. Je sais pas si je vous ai déjà raconté que j'allait à la messe de minuit à l'église dans l'espoir de rencontrer une jeune fille de lui donner un petit bec et lui souhaiter joyeux noël! C'est jamais arrivé. Tout ça c'est un peu mêlé,je m'ennuis un peu, une petite larme à l'oeil. J'ai pas su me construire une vie semblable. Je suis seul, je crois que c'étais mon destin. J'espère voir quelques'un d'entre vous aux fêtes. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 5 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je rêve encore à Paris mais pas d'une chambre de bonne comme ils appellent les petites chambres malsaines, sans toilettes sans douches et je me vois pas me rendre au bains-douches pour me laver deux fois par semaine sale pas sale... J'ai beau dire le goulag occidental est mieux que ça on a tout les services. Je sais pas trop quoi vous raconter. Je regarde la chaîne de télé France Vingt quatre, les actualités en direct de Paris vraiment en direct dix huit heure ici minuit là bas. J'ai envie de vous demander si vous connaissez pas quelqu'un qui irait à Paris le printemps prochain? La solitude parfois me pèse mais jamais comme dans la vingtaine dans le plus intense de la maladie. Ça parle dans ma tête mais pas vraiment des choses intéressantes, c'est ce que j'écris et je fait le tri. C'est la nuit sur le goulag occidental les policiers travaillent a mettre à l'abri les sans toîts. Fait trop froid pour coucher dehors. Je pense qu'on peux crever d'hypothermie On a beau dire la Tour Eiffel c'est pas un pylône d'Hydro-Québec, c'est la joke d'un de nos humoriste que j'écoute jamais... Le goulag occidental c'est pas une capitale artistique, quand même mon loyer est abordable et il y a une vie culturelle pas loin. J'arrive pas a écrire je suis vide mais vide, je mange des menthes et je pense aux copains de beuveries aux beer buddies. J'ai plus besoin de ça, l'alcool ça me tue pourtant je me rappelle de cette vie là comme si c'était hier, le jazz, la musique latino on sortait pis ça sheerait... C'était dangereux aussi, un certain temps j'étais ce qu'on appelle un loner, toujours seul dans mes bringues personne d'autre à qui parler qu'a ma bouteille. Je pense que j'ai déjà tout écris sur ma vie. Je devrai en changer encore une fois pour faire je ne sais quoi? Aider les gens a se sortir de l'enfer, de la psychose, de la solitude du pauvre. Je compte les lignes que je vous écris. Je me questionne beaucoup sur mon "talent" d'écrivain mais c'est toujours mieux sur le blog qu'un graffiti dans les toilettes crottées d'un bar. Je sais pas si c'est inspirant d'uriner de se regarder le membre pour écrire une niaiserie par dessus d'autre niaiseries que personne ne lis. Bon! Appelez pas l'escouade de la moralité, je crois que ça n'existe plus, tout est permis dans ce monde LGBT. J'irai pas sniffer du popper en me faisant des romances devant une mauvaise bière. Je sais vous aller me juger mais c'est pas grave, ce soir je reste dans mon studio du goulag occidental, tout va bien... Et je vous parlerai pas du toît du stade qui est a refaire y'a à peux près juste le bal en blanc qui avait lieu là. C'est pas des belles phrases... Je me vois encore assis dans l'avion, je regarde la télévision, six heure et je suis à destination, c'est bon, c'est bon les voyages pour un vieux garçon, bein voèyons j'ai pas rencontré Ninon... Lis ça tout fort et monte le son. Ce soir j'ai envie de faire ça long de vous en donner pour votre argent. Je pense à mes lectrices belles-soeurs dans différentes banlieue de Montréal. On les vois pas souvent au goulag occidental qui est surtout masculin, je dis ça mais je vois des femmes poquées la mâchoire déformée plus une dent dans la bouche, c'est de toute beautée. Je réalise que c'est les vingt cinq ans du massacre de polytechnique. Elles ont toutes mes pensées et en tant qu'homme je dois réfléchir... Je peux pas écrire là dessus j'ai pas l'expérience des victimes. Je dirai une prière.Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 3 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Mes sympathies à la famille Béliveau. Je vous laisse à vos médias préférés qui vont en parler mieux que moi. Ça me rappelle quand on jouais dans la rue avec les copains y'a aussi "le but compté par Jean Béliveau sans aide!" du Demain l'hiver de Robert Charlebois. Demain c'est aussi la guignolé des médias pour la quatorzième années consécutive. Ce que je trouve scandaleux c'est qu'un pays riche comme le notre ais encore besoin de ça. Je pense à notre gouvernement qui démantèle les programmes sociaux... On en a besoin des chômeurs, des assistés sociaux pour faire peur aux travailleurs du bas de l'échelle.  Au nom de la concurence entre un journalier au salaire minimun et un autre à vingt dollars de l'heure lequel on choisis? C'est peut être pas réellement comme ça que ça se passe mais c'est un excellent scénario. Je me rappelle l'année ou papa a décidé de donner de l'argent comme cadeau de Noël. J'avais acheté "Jazz blues fusion" de John Mayall et le double des Allman Brothers live at Fillmore east un classique. Quand je travaillais j'étais toujours un peu down dans le temps des fêtes souvent je me cherchais une job et j'avais plus d'assurance chômage. Je faisait le tour des centres de main d'oeuvre en autobus. C'étais assez étonnant on en avais rien a faire de mes soucis. Ça m'étonne j'ai toujours les mêmes souvenirs, papa qui ramenais les restes du party de l'usine en général des grignotines et des fromages qu'on dévorais. À l'école j'avais aussi appris Nos belles maisons de la regrettée Muriel Millard. Je vais vous mettre comme photo la cathédrale de Milan et je pense à la messe des morts qu'avait joué à L'oratoire Saint-Joseph le groupe rock Offenbach. Votre humble serviteur est à bout, il réalise bien qu'il délire les mêmes histoires. Je suis toujours triste avant Noël, comme si à cinquante huit ans je réalisais que le père Noël existe pas, hier il a neigé... La solitude... La solitude intérieure dans le petit goulag occidental. J'ai toujours cette plaie sur la tête. Je me souviens aussi du décès de grand-maman Marie-Blanche le jour de Noël. J'avais assisté aux funérailles au Lac Saint-Jean j'étais monté avec des cousins. Pendant ce temps là la vie prend sa place les enfants grandissent c'est un cycle. Manquez de bouffe dans le temps des fêtes c'est une chose mais la misère morale une autre. Je pleure encore, je pleure toujours même quand j'entend le petit renne au nez rouge. Je m'ennuis pas de l'alcool ça exacerbais la solitude. J'écoute pas mon cher prof qui me disait de prendre mon temps tout mon temps. Hier j'expliquais qu'à cinquante huit ans on est un bonhomme un mon'onk. Ça se termine là dessus ce soir. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 1 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Votre humble serviteur a rédigé la préface d'un document. Je sais pas si ça va convenir. Ce soir j'écoute de la musique cubaine. Je me sent mal je doute de ma préface . Je reviens chez moi dans le goulag occidental on y abat personne, on les laisse juste crever dans le froid. Je vous dis franchement quand il s'agit de m'engager je suis pas fort. Y'a des mois que j'ai pas acheté le magazine L'Itinéraire. À la radio de la musique grecque. Les voix se sont tues, en arrivant cet après midi elles étaient dénigrantes. Je suis un gros sale, peu importe ou je vie ces voix là me suivent mes colègues de la rue le savent y'a un complot on veux ma peau. Vous allez rire me suis acheté une vidéo d'une visite de Paris. Je veux y retourner dans la ville lumière même si je suis pas brillant. Quand ça va mal on immigre au goulag occidental, les ressources sont en majorité ici... "Je pense à toi mon amour mon ami ne m'abandonne pas mon amour ma chérie"-Amadou et Marianne. Les Africains ont diras ce qu'on voudras ils font de la maudite bonne musique. J'ai souvenir de mes nuits passées au Balatou rue Saint-Laurent, il faisait noir là y'avait pas beaucoup de blanc mais j'ai jamais eu de problèmes. Pour les africains qui fuient Ebola le goulag est une terre d'accueil. Je me souviens aussi de ce sénégalais qui trouvait que je travaillait pas très fort... J'essais de mettre de la couleur même si chez le voisin américain c'est encore raciste. Je suis blanc comment je me sentirais en afrique noire? Comme un colon, un restant de l'ère coloniale. La misère du goulag occidental est moins grande que l'africaine.Jamais oublié que ma misère un autre la prendrais comme le plus beau des cadeaux. Je vous parle d'Afrique une terre inconnue et je regarde le hockey, antinomique? Il est tard, j'ai quand même bu un café, la nuit du goulag est silencieuse. Je m'accroche à mes souvenirs, y'a quand même des moments ou je me sent bien ça fait pas de la grande littérature. Que d'ambition! J'ai besoin d'humilité mais narcisse a son orgueil.J'écrirai rien de raciste souvent les plus paumés le sont ça leur prend une cible... Je reviens Canadien a gagné. Je me sent fébrile c'est quand même pas comme si j'étais avec du Largactil. Ça sert à rien j'observe et y'en a que la misère colle après eux, faut garder l'esprit ouvert parfois les vêtements ça veux pas dire grand chose. Pis moé de quoi j'ai l'air? D'un coucou? Je viens de manger une banane c'est bon pour le grand singe que je suis étrangement je pense aux oeuvres du Louvres. Je crois que je vais me servir de la Dentellière de Vermeer parce que c'est de ça qu'il s'agit de la dentelle, du moins une tentative d'ornement d'une machine appelé internet. Ma méthode est déjà vieille maintenant c'est la vidéo plus personne ne lis c'est pour ça que j'arrête là. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard