dimanche 23 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Il est quatre heure vingt quatre, j'a pas regardé les actualités. J'ai de la peine a rester debout. Finalement je me suis couché et j'ai dormis. Je viens de lire les actualités surtout les pages livres de LaPresse+.J'avais plein d'idée sur ce que je voulait écrire mais je les ai perdues. J'ai regardé une émission musicale avec ce qu'ils appellent des Americana, Robert Plant l'ancien chanteur de Led Zeppelin étais là, il s'en tire pas mal. Ce matin dans le goulag occidental c'est gris. Hier le Canadien jouait à Boston ils ont gagné. Je m'éloigne de plus en plus de mon ressentis. Chez moi je suis moins paranoïaque, le voisin est partis il est venus me remercier pour les petits services, une poignée de main qui n'en finissait plus. Demain sauf pour nos chers retraités c'est le retour au travail. J'ai toujours envie de prendre l'avion et de m'envoler Je pense aux écrivains qui se cherchent un éditeur, y'a tellement d'illettrés ça donne quoi... Les vrais écrivains ça gagne des prix ça dédicace des livres, moi je suis pas un vrai écrivain. Je n'ai que cette machine pour m'éditer mon lectorat est de l'ordre de vingt à trente. En littérature y'a aussi des vedettes moi je ne suis qu'un petit ouvrier du quotidien. Je ne sais rien...  La neige a fondu, le parc est gris, j'ai ouvert la porte, j'entend les voitures qui passent. Je pense à la Nouvelle-Angleterre à mon court séjour à Boston et à Cape Cod c'étais beau, j'y ai rencontré un ancien joueur du Canadien. Je crois que je vous l'ai déjà écris. Je sais pas comment c'est Provincetown l'hiver. Je rêve à Thoreau qui marchait a Cape Cod. Y'a plus de feuilles dans les arbres. Je vous écris du matin je suis moins angoissé que la nuit. La voisine sort son chien, il jappe... Non c'est pas le sien qui jappe c'est un autre ça me dérange. Le café du matin c'est bien, étrangement j'ai peur d'avoir perdus mes voix, de n'avoir plus rien a écrire ces voix elles sont mes muses et ce sont ces même voix qui me dénigrent. Je pense à un cousin gay qui vie sur le plateau je me souviens de lui quand il m'avait acheté un livre illustré sur les avions. Je pense à lui pour les bonnes choses. La blessure elle est toujours là mais moins douloureuses elles se ferme lentement comme une ancienne plaie ouverte bientôt on va m'enlever ces points à l'âme et voir si ça tiens, si les émotions sont bonnes et pas trop douloureuses après l'opération. Ils sont finis ces jours ou je me trainait à l'urgence psychiatrique avec le désir de mourrir. J'ai envie de vivre maintenant, il est un peu tard je sais mais si je suis chanceux j'en ai encore pour vingt ans. Je termine donc ici en vous remerciant d'avoir lu!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 20 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le voisin écoute Elvis Presley, c'est l'hiver c'est vrai... Le Canadien viens de s'en faire scorer un. J'ai fermé la télé. Le parc devant l'édifice est tout blanc. Je pense à Réjean Ducharme, y'en a un ou ils sont plusieurs. Je sais pas trop comment on disait que personne connait le poète Gilbert Langevin, c'est pas vrai, il est décédé, une grande oeuvre, et j'ai déjà pris une bière avec lui. Il m'avait même montré sa carte d'assurance sociale pour s'identifier. Il parlait beaucoup mais il écoutais autant... J'ai pas envie de m'énerver devant l'écran...Le quartier latin, la rue Saint-Denis, Le Quai des Brûmes une taverne avec des boiseries d'époque. J'ai pas de nostalgie y'avait aussi le Cheval Blanc rue Ontario une décoration des vintages années cinquante, chrome et arborite.À cette époque je sacrais plus que je parlais, ouais le bas de la ville. Je sais pas comment je faisait pour tenir debout, je cherchais je ne sais quoi... Je reviens à la solitude vaux mieux être seul que mal accompagné... J'ai dormis, c'est vite dis, je me suis allongé quatre hiver pendant la nuit la fenêtre ouverte et la femme qui tirais toute la couette. Je comprenais pas qu'il fallait que je sacre mon camp de là. Ce soir y'a beaucoup de circulation dans le goulag occidental... Je suis mal, je suis angoissé j'ai de la difficulté a faire beau avec mes écris, l'important c'est pas de faire beau mais de faire bien... Y'a un cousin lecteur et écrivain qui est dans un passage à vide. Je suis certain qu'il a encore des choses a écrire. En ce moment c'est pire que jamais je vie le vide et l'angoisse. Je désire tellement entendre une voix qui ne me juge pas que je téléphone à la machine de Bell Canada. Je peux lui dire n'importe quoi elle entend pas. Vous comment passez vous les soirées? Le je c'est narcissique mais je ne peux parler des autres. Vous voulez une histoire j'en ai pas... Le Canadien a compté un but, égal partout. Dans le temps le jeudi c'étais le jour de la paie on payait sa pension pour ensuite partir sur la rhumba... J'ai souvenir des jours passés a coucher dans le salon chez des copains, vous allez dire il passait son temps couché effectivement la maladie me rendait incapable, les jours étaient lourds. Tant de temps perdus ça fait un gros vécu et beaucoup de j'aurais donc du. Elvis ne chante plus, deux-un Canadiens, tout le monde dort dans l'édifice,c'est tranquille, avant le bruit des voitures m'angoissait j'avais peur. Maintenant je me dis que le bruit c'est de la vie. Ce soir c'est pas le temps de coucher dehors, il fait froid et on ne peux passé la nuit dans un café à boire de l'eau... J'ai souvenir d'une nuit d'automne passés au Dunkin Donuts de Granby rien de très agréable. J'ai ouvert la télé c'est comme si c'était interdit d'écrire..." Je me fout du monde entier quand Frédéric me rappelle les amours de nos vingt ans" -Claude Léveillé. Moi a vingt ans j'avais pas d'amour pas plus que dans les mid-twentys ou je suis devenu fou, ou je ne savait quoi faire de ma vie. Ces jours ci je vois les barbus, pas les arabes mais les barbus à la hipster Ti-Mé d'ici,  j'en avais une barbe mais c'était du poil de pseudo-communistes. Les "Habs" ont gagné, les voisins sont tolérants j'ai finis de crier et je finis de vous embêter. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 18 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y'a du hockey à la télé ce soir. Je commence ce blog sans savoir comment il va finir. Je crois que c'est la journée du temple de la renommée. Y'a de la neige dans le goulag occidental mais c'est pas comme à Buffalo aux États. J'ai laissé la télé en marche. C'est pas la soirée du temple de la renommée c'est la soirée du cancer de la prostate, un petit toucher?...  Y'a qu'aux sports professionnel qu'on entend l'hymne national mais si vous êtes debout à cinq heure du matin vous pouvez l'entendre sur Rédio-Kénada, la radio. Comment vous écrire que j'ai toujours cette croûte sur le cuir chevelu, je sais c'est dégueulasse. Étrangement ces jours ci c'est comme si j'avais pas d'émotions. J'écoute ce qui se passe dans mon âme c'est toujours le défi comment résister à l'ennui... Pittsburgh a compté, j'ai fermé la télé, je préfère écrire, allez au plus profond de mes sentiments de solitaire, de mes mémoires de pilier de brasseries. Je savais plus ce que ça vpulais dire être saoul je l'étais toujours et quand je travaillais y'avait toujours quelqu'un pour m'étriver, un salaud qui me mettais sa main au cul. J'étais jeune et niais sans travail valorisant autre que l'argent. Mon nouveau voisin écoute Elvis Presley en boucle, je crois vous l'avoir déjà écris. Y'a longtemps que j'ai pleuré. J'ai eu dix huit ans en mille neuf cent soixante quatorze je fréquentais déjà depuis un bon bout de temps la taverne du Central, une table de pool, une roulette et une énorme télé pour l'époque ou on pouvais regarder le hockey ou la boxe... Je me sent débile ce soir y'a des souvenirs que je veux pas vous raconter chronologiquement je suis tout mêlé et juste d'y penser ça me fait mal. Le voisin est venue téléphoner, il me fait pensés à Abel dans l'Héritage de V.L.B. Il trouve que c'est beau chez moi que ça sent bon, voilà un gros changement!!! J'ai toujours une prière, le voisin a dis qu'il en ferais une pour moi. Je sais pas si Éloi, Antoine et Théo vont aller voir Casse-Noisette moi quand j'étais petit j'avais beaucoup aimé. Là je pense à Gumby, ça existe en D.V.D.? J'ai souvenir encore d'un bonhomme qui appelait la télé la boîte à grimaces, il avait pas tort. J'ai toujours été incapable de rester assis tranquillement devant avec une bière, aussitôt qu'il étais question d'alcool j'étais partis sans savoir ou ça finirais. C'est le silence sans angoisse, J'ai passé la journée a lire et a écrire en regardant France vingt quatre et RDI. Les carnages semblent ne pas vouloir cesser. Je me vois encore avec une serpillière un balai brosse, un aspirateur une pelle et des chiffons le soir a faire des travaux humiliant et guère stimulant. Souvenir de ce contremaitre à la shop qui m'avais bien précisé qu'il avait pas le temps de me montrer le métier de machiniste. C'étais mange ta beurrée de merde. Pour l'instant j'ai un voisin temporaire sans téléphone et sans cadran qui ne peux ouvrir la porte d'entrée. Il a dis "c'est un vrai studio d'artiste chez vous!"  moi je sais pas j'accumule et j'accroche les choses comme je les sent. J'essais juste de me faire une petite place dans ce monde de fou, y'a vingt ans déjà que j'habite le goulag occidental. C'est pas mal même si parfois je me sent suivis... Je cesse drette là! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

dimanche 16 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous reviens déjà, de la lecture avant de partir pour le boulot demain lundi ou en arrivant au boulot. Je vous place la photo d"une voiture de rêve, une rutillante comme on dis, qu'il est impossible de se payer en faisant du neuf à cinq. Je sais même pas quelle marque de voiture c'est elle étais dans une vitrine à Londres. Je parlais des publicités de motoneige avec la matriarche comment elles sont débiles, ont se "tue" à nous dire d'être prudent et ces machines là roulent à tombeau ouvert c'est le cas de le dire.Un autre otage décapité la terreur fait son chemin, je suis content que les chaînes de télé populaire s'abstiennent de diffuser ces vidéos barbares.Je pense au droit au bonheur qui est dans la constitution américaine. Je crois pas que l'État islamique ais ça avec leurs façons rétrograde d'interprêté le Coran. La paix dans le monde est-ce que ça a déjà existé? J'ai cinquante huit ans et je me rappelle pas un moment sans conflit sur la planète. Faut être heureux malgré tout, malgré les immenses drames, la folie meurtrière... Il faut vivre et essayer de rendre nos proches heureux c'est pour ça que j'écris, bien que j'ais de la difficulté a exprimer le bonheur d'écrire. On est pas obligé d'être dans le psychodrame c'est pas interdit d'aimer le hockey et les bagnoles, là je pense à mon lecteur de deux montagnes, la photo de l'auto elle est pour lui. Moi j'essais de vivre en paix avec moi de me sacrer là paix bien que je travaille a m'améliorer. Je compte les lignes que je vous écris j'essais d'en écrire un minimum de quinze et de m'arracher le coeur a vous dire ma joie, mon espérance. Je sais c'est de la folie, je pourrais m'abstenir mais j'aime bien la prosodie, j'essais d'avoir des souvenirs comme la médaille d'honneur que j'ai eu à la petite école c'est le seul prix que j'ai jamais remporté. Je participais pas au concours de déguisement du cinéma Rio, je crois que je faisait des affiches ou je dessinait les super-héros sans parler des logos des clubs de hockey. J'aimais bien dessiner comme tout les enfants je crois, Éloi, Antoine et Théo doivent certainement faire de beaux dessins. J'aimerais bien retrouver cette touche naïve de l'enfance un peu comme de l'art brut. J'arrive pas non plus a écrire comme un enfant je prend ça trop au sérieux ça manque de dépouillement. Je suis conscient quand même d'être un grand enfant, j'ai que moi a prendre soin... Aujourd'hui il a neigé bientôt ils vont pouvoir faire du snowboard. Moi je vais essayer de marcher un peu plus pour voir ce que le Goulag occidental a de nouveau... Les responsables de je sais pas trop quoi ont refusé qu'on place des ampoules rue Saint-Laurent ça aurais été jolie surtout que l'hiver la lumière on en a pas trop. Je sais c'est n'importe quoi ce que je vous écris on en fabriqueras jamais un livre bien que j'aimerais. Tenir un bouquin dans ses mains c'est la quintessence de la lecture. Tourner les pages et partir dans un autre univers. Voilà mon univers pour maintenant, sans encre sans pâte à papier sans couverture cartonnée. J'espère que vous aimer! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

samedi 15 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cet après-midi Les Carabins ont gagnés la coupe Dunsmore au Football Québéquois. Moi j'ai une blessure à l'index de la main gauche ça élance. J'ai encore envie de partir, prendre l'avion attendre dans un aéroport. Ça me rend malade quand je vois des images d'avions à la télé, enfin je partirai peut être au printemps prochain. Ce soir il fait froid dans le goulag occidental. Je me sent pas trop mal, comme toujours je cherche à vous écrire l'émotion du moment... Je ne sais pourquoi la victoire des Carabins m'a ému pourtant si y'a un sport qui est pas sentimental c'est bien celui là... J'ai fermé la radio et la télé. J'entend les avions qui passent. C'est étrange comment c'est difficile d'écrire quand on se sent à peu près bien. Je pense au attentat à Paris y'a trente ans, ce prof de sociologie accusé moi je dis simplement y'a pas de fumée sans feu. Lundi au début de la semaine y'a une manifestation des groupes communautaires contre l'austérité. Ils veulent qu'on s'habille en noir je trouve que ça augure mal, les anarchistes vont en profiter pour faire de la casse. Ils vont se perdre et se cacher dans tout ce noir. Je,,, je... je suis pour les groupes communautaires et contre l'austérité surtout dans la santé et les services sociaux mais je suis juste un autre ti-jos connaissant. Me suis préparé un café, y'a un match de hockey ce soir. Les voix disent y'a pas de voix donc c'est le silence et je ne devrais pas écrire quand la maladie est absente. La tête vide mais je réfléchis. "le monde est fou on s'en va ou?". J'ai regardé les actualités Françaises, ils sont encore inondés et y'a des glissements de terrain, ici au Kénada y'a des déraillements de train. Je pense à mon passé pas trop brillant. Je vais dire comme on dis "si tu a rien a dire ferme donc ta gueule!" J'arrête donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 13 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit mon voisin chante sur du heavy métal, c'est le cas de le dire c'est lourd et ça cogne dans les murs. J'ai plus sommeil,ai raté le match je dormais.J'essais de m'écouter. Je file endormie c'est la nuit. Je me dénigrerai pas Je me rappelle quand j'étais comme le voisin j'aurais tant aimé qu'on me dise que j'écoutais de la bonne musique, un adolescent de trente ans. Je voulais me rendre à la Biennale de Montréal mais j'ai lu à quelque part que l'entrée était de cinquante dollars c'est cher. Je crois que je me trompe. Cette semaine on m'a parlé des galeries du vieux-montréal des galeries pour touristes. J'ai parlé des galeries du plateau, la galerie Graf sur Rachel et plusieures autre sur St-Laurent c'est mieux je crois. Je me suis surpris a parler des impressionnistes... J'ai fait la rencontre de notre amie sculpteure c'était intéressant.Cette nuit j'écoute ce qui se passe dans ma tête l'espèce de résonnance des mots. Je pense à mon souper au restaurant en compagnie d'une demie douzaine de psychiatres et d'autre professionnel, c'étais sympathique on m'a fait me sentir à l'aise." Bein tanné, Bein tanné de jouer des tounes de chromé, chromé mommy, chromé mommy"-Capitaine Nô.Je réfléchis trop c'est pas bon pour le blog, pour l'émotion que je tente de vous faire vivre. Je sais c'est pas toujours touchant mais comme souvent j'essais de mettre du sentiment dans cette machine informatique. Le voisin écoute la même toune en boucle, une peine d'amour? C'est possible. Ai mangé des céréales je comprend que ça vous intéresse pas. La foule dans ma tête dors. Je suis zombie c'est le vide. Je pense aux adverbes faut pas y penser faut pas les utiliser. Encore une autre idiotie de la nuit. Viens de lire les actualités, le courrier des lecteurs sur la réforme  Barette de la santé et des services sociaux. Je reste convaincus que cette réforme changeras rien. J'espère que cette nouvelle politique va garder les patients partenaires parce que selon moi avec la réforme les gestionnaires vont être encore plus loin du patient, les patients partenaires gardent toutes leurs pertinences dans le but d'améliorer les services à la population. La vérité c'est que je comprend pas comment cette réforme va améliorer les services, ça m'étonnerais qu'on attende plus des heures à l'urgence. Y'a un vieil adage qui dis qu'il faut rester loin de l'hôpital si on veux pas tomber malade. Voilà! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaune j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 12 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai pas beaucoup été a l'écoute de mon sentis, j'ai réussis a l'oublier pendant le colloque de l'association québécoise de réadaptation psychosociale. L'affaire Magnotta est partout dans les médias c'est pas une bonne idée de se présenter comme schizophrène. Ce soir chez moi c'est le silence je réfléchis.Je pense aux serveuses du bistro ou j'ai souper encore une fois à quelques pas du Goulag mais dans un décor riche et presque surréaliste, un magnifique escalier de marbre qui mène aux toilettes à l'étage. Ce soir je prie un peu...Je réfléchis et pense à mes amis. C'est la nuit j'avance dans les mots comme un tailleur de brousailles dans la savane. Tout à coup j'ai sommeil je vais essayer de vous terminer ce blog. Parait que les gens écrivent plus que jamais s'agit de s'en tirer avec moins de mal orthographique. Je crois qu'on parle de coquilles. Là je suis débranché de mon sentis je pense au billard en France, à notre manière ici de jouer Boston la huit en dernier, la noire c'est bien de ça qu'il s'agit la phrase noire, la phrase assassine celle qui va tuer mes sentiments, qui me laisseras avec une immense douleur amoureuse au corps. Me suis fait un café en pensant à ce que j'ai mangé, je suis très carnivore... Le bonheur c'est dans les petites choses vous l'avez déjà lu celle là. J'essais d'avoir du bonheur en vous rédigeant mon blog ce soir la peur est comme partis. J'ai un nouveau voisin qui aime bien Elvis Presley une nuit cette semaine je l'entendais chanter. Je compte les lignes de texte, regarde l'heure et je vous ai pas tout dis. On m'a parlé d'un patient qui est constamment ré-hospitalisé ça coute près d'un million de dollars il ne veux pas dire son nom il ne parle pas mais arrive toujours à temps pour être ré-admis. On m'a demandé si je pouvais faire quelque chose. J'ai répondu que je suis pas assez vendeur on m'a dis qu'il étais là le problème il les vois venir les vendeurs. Je crois pas pouvoir faire quelque chose à moins d'être hospitalisé moi aussi et devenir son ami, c'est de la folie. De la folie raisonné mais quand même de la folie. Bon! Il se fait tard. Je vous ai donné les grandes lignes en provenance du Goulag occidental. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard