mardi 18 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y'a du hockey à la télé ce soir. Je commence ce blog sans savoir comment il va finir. Je crois que c'est la journée du temple de la renommée. Y'a de la neige dans le goulag occidental mais c'est pas comme à Buffalo aux États. J'ai laissé la télé en marche. C'est pas la soirée du temple de la renommée c'est la soirée du cancer de la prostate, un petit toucher?...  Y'a qu'aux sports professionnel qu'on entend l'hymne national mais si vous êtes debout à cinq heure du matin vous pouvez l'entendre sur Rédio-Kénada, la radio. Comment vous écrire que j'ai toujours cette croûte sur le cuir chevelu, je sais c'est dégueulasse. Étrangement ces jours ci c'est comme si j'avais pas d'émotions. J'écoute ce qui se passe dans mon âme c'est toujours le défi comment résister à l'ennui... Pittsburgh a compté, j'ai fermé la télé, je préfère écrire, allez au plus profond de mes sentiments de solitaire, de mes mémoires de pilier de brasseries. Je savais plus ce que ça vpulais dire être saoul je l'étais toujours et quand je travaillais y'avait toujours quelqu'un pour m'étriver, un salaud qui me mettais sa main au cul. J'étais jeune et niais sans travail valorisant autre que l'argent. Mon nouveau voisin écoute Elvis Presley en boucle, je crois vous l'avoir déjà écris. Y'a longtemps que j'ai pleuré. J'ai eu dix huit ans en mille neuf cent soixante quatorze je fréquentais déjà depuis un bon bout de temps la taverne du Central, une table de pool, une roulette et une énorme télé pour l'époque ou on pouvais regarder le hockey ou la boxe... Je me sent débile ce soir y'a des souvenirs que je veux pas vous raconter chronologiquement je suis tout mêlé et juste d'y penser ça me fait mal. Le voisin est venue téléphoner, il me fait pensés à Abel dans l'Héritage de V.L.B. Il trouve que c'est beau chez moi que ça sent bon, voilà un gros changement!!! J'ai toujours une prière, le voisin a dis qu'il en ferais une pour moi. Je sais pas si Éloi, Antoine et Théo vont aller voir Casse-Noisette moi quand j'étais petit j'avais beaucoup aimé. Là je pense à Gumby, ça existe en D.V.D.? J'ai souvenir encore d'un bonhomme qui appelait la télé la boîte à grimaces, il avait pas tort. J'ai toujours été incapable de rester assis tranquillement devant avec une bière, aussitôt qu'il étais question d'alcool j'étais partis sans savoir ou ça finirais. C'est le silence sans angoisse, J'ai passé la journée a lire et a écrire en regardant France vingt quatre et RDI. Les carnages semblent ne pas vouloir cesser. Je me vois encore avec une serpillière un balai brosse, un aspirateur une pelle et des chiffons le soir a faire des travaux humiliant et guère stimulant. Souvenir de ce contremaitre à la shop qui m'avais bien précisé qu'il avait pas le temps de me montrer le métier de machiniste. C'étais mange ta beurrée de merde. Pour l'instant j'ai un voisin temporaire sans téléphone et sans cadran qui ne peux ouvrir la porte d'entrée. Il a dis "c'est un vrai studio d'artiste chez vous!"  moi je sais pas j'accumule et j'accroche les choses comme je les sent. J'essais juste de me faire une petite place dans ce monde de fou, y'a vingt ans déjà que j'habite le goulag occidental. C'est pas mal même si parfois je me sent suivis... Je cesse drette là! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

dimanche 16 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous reviens déjà, de la lecture avant de partir pour le boulot demain lundi ou en arrivant au boulot. Je vous place la photo d"une voiture de rêve, une rutillante comme on dis, qu'il est impossible de se payer en faisant du neuf à cinq. Je sais même pas quelle marque de voiture c'est elle étais dans une vitrine à Londres. Je parlais des publicités de motoneige avec la matriarche comment elles sont débiles, ont se "tue" à nous dire d'être prudent et ces machines là roulent à tombeau ouvert c'est le cas de le dire.Un autre otage décapité la terreur fait son chemin, je suis content que les chaînes de télé populaire s'abstiennent de diffuser ces vidéos barbares.Je pense au droit au bonheur qui est dans la constitution américaine. Je crois pas que l'État islamique ais ça avec leurs façons rétrograde d'interprêté le Coran. La paix dans le monde est-ce que ça a déjà existé? J'ai cinquante huit ans et je me rappelle pas un moment sans conflit sur la planète. Faut être heureux malgré tout, malgré les immenses drames, la folie meurtrière... Il faut vivre et essayer de rendre nos proches heureux c'est pour ça que j'écris, bien que j'ais de la difficulté a exprimer le bonheur d'écrire. On est pas obligé d'être dans le psychodrame c'est pas interdit d'aimer le hockey et les bagnoles, là je pense à mon lecteur de deux montagnes, la photo de l'auto elle est pour lui. Moi j'essais de vivre en paix avec moi de me sacrer là paix bien que je travaille a m'améliorer. Je compte les lignes que je vous écris j'essais d'en écrire un minimum de quinze et de m'arracher le coeur a vous dire ma joie, mon espérance. Je sais c'est de la folie, je pourrais m'abstenir mais j'aime bien la prosodie, j'essais d'avoir des souvenirs comme la médaille d'honneur que j'ai eu à la petite école c'est le seul prix que j'ai jamais remporté. Je participais pas au concours de déguisement du cinéma Rio, je crois que je faisait des affiches ou je dessinait les super-héros sans parler des logos des clubs de hockey. J'aimais bien dessiner comme tout les enfants je crois, Éloi, Antoine et Théo doivent certainement faire de beaux dessins. J'aimerais bien retrouver cette touche naïve de l'enfance un peu comme de l'art brut. J'arrive pas non plus a écrire comme un enfant je prend ça trop au sérieux ça manque de dépouillement. Je suis conscient quand même d'être un grand enfant, j'ai que moi a prendre soin... Aujourd'hui il a neigé bientôt ils vont pouvoir faire du snowboard. Moi je vais essayer de marcher un peu plus pour voir ce que le Goulag occidental a de nouveau... Les responsables de je sais pas trop quoi ont refusé qu'on place des ampoules rue Saint-Laurent ça aurais été jolie surtout que l'hiver la lumière on en a pas trop. Je sais c'est n'importe quoi ce que je vous écris on en fabriqueras jamais un livre bien que j'aimerais. Tenir un bouquin dans ses mains c'est la quintessence de la lecture. Tourner les pages et partir dans un autre univers. Voilà mon univers pour maintenant, sans encre sans pâte à papier sans couverture cartonnée. J'espère que vous aimer! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

samedi 15 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cet après-midi Les Carabins ont gagnés la coupe Dunsmore au Football Québéquois. Moi j'ai une blessure à l'index de la main gauche ça élance. J'ai encore envie de partir, prendre l'avion attendre dans un aéroport. Ça me rend malade quand je vois des images d'avions à la télé, enfin je partirai peut être au printemps prochain. Ce soir il fait froid dans le goulag occidental. Je me sent pas trop mal, comme toujours je cherche à vous écrire l'émotion du moment... Je ne sais pourquoi la victoire des Carabins m'a ému pourtant si y'a un sport qui est pas sentimental c'est bien celui là... J'ai fermé la radio et la télé. J'entend les avions qui passent. C'est étrange comment c'est difficile d'écrire quand on se sent à peu près bien. Je pense au attentat à Paris y'a trente ans, ce prof de sociologie accusé moi je dis simplement y'a pas de fumée sans feu. Lundi au début de la semaine y'a une manifestation des groupes communautaires contre l'austérité. Ils veulent qu'on s'habille en noir je trouve que ça augure mal, les anarchistes vont en profiter pour faire de la casse. Ils vont se perdre et se cacher dans tout ce noir. Je,,, je... je suis pour les groupes communautaires et contre l'austérité surtout dans la santé et les services sociaux mais je suis juste un autre ti-jos connaissant. Me suis préparé un café, y'a un match de hockey ce soir. Les voix disent y'a pas de voix donc c'est le silence et je ne devrais pas écrire quand la maladie est absente. La tête vide mais je réfléchis. "le monde est fou on s'en va ou?". J'ai regardé les actualités Françaises, ils sont encore inondés et y'a des glissements de terrain, ici au Kénada y'a des déraillements de train. Je pense à mon passé pas trop brillant. Je vais dire comme on dis "si tu a rien a dire ferme donc ta gueule!" J'arrête donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 13 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit mon voisin chante sur du heavy métal, c'est le cas de le dire c'est lourd et ça cogne dans les murs. J'ai plus sommeil,ai raté le match je dormais.J'essais de m'écouter. Je file endormie c'est la nuit. Je me dénigrerai pas Je me rappelle quand j'étais comme le voisin j'aurais tant aimé qu'on me dise que j'écoutais de la bonne musique, un adolescent de trente ans. Je voulais me rendre à la Biennale de Montréal mais j'ai lu à quelque part que l'entrée était de cinquante dollars c'est cher. Je crois que je me trompe. Cette semaine on m'a parlé des galeries du vieux-montréal des galeries pour touristes. J'ai parlé des galeries du plateau, la galerie Graf sur Rachel et plusieures autre sur St-Laurent c'est mieux je crois. Je me suis surpris a parler des impressionnistes... J'ai fait la rencontre de notre amie sculpteure c'était intéressant.Cette nuit j'écoute ce qui se passe dans ma tête l'espèce de résonnance des mots. Je pense à mon souper au restaurant en compagnie d'une demie douzaine de psychiatres et d'autre professionnel, c'étais sympathique on m'a fait me sentir à l'aise." Bein tanné, Bein tanné de jouer des tounes de chromé, chromé mommy, chromé mommy"-Capitaine Nô.Je réfléchis trop c'est pas bon pour le blog, pour l'émotion que je tente de vous faire vivre. Je sais c'est pas toujours touchant mais comme souvent j'essais de mettre du sentiment dans cette machine informatique. Le voisin écoute la même toune en boucle, une peine d'amour? C'est possible. Ai mangé des céréales je comprend que ça vous intéresse pas. La foule dans ma tête dors. Je suis zombie c'est le vide. Je pense aux adverbes faut pas y penser faut pas les utiliser. Encore une autre idiotie de la nuit. Viens de lire les actualités, le courrier des lecteurs sur la réforme  Barette de la santé et des services sociaux. Je reste convaincus que cette réforme changeras rien. J'espère que cette nouvelle politique va garder les patients partenaires parce que selon moi avec la réforme les gestionnaires vont être encore plus loin du patient, les patients partenaires gardent toutes leurs pertinences dans le but d'améliorer les services à la population. La vérité c'est que je comprend pas comment cette réforme va améliorer les services, ça m'étonnerais qu'on attende plus des heures à l'urgence. Y'a un vieil adage qui dis qu'il faut rester loin de l'hôpital si on veux pas tomber malade. Voilà! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaune j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 12 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai pas beaucoup été a l'écoute de mon sentis, j'ai réussis a l'oublier pendant le colloque de l'association québécoise de réadaptation psychosociale. L'affaire Magnotta est partout dans les médias c'est pas une bonne idée de se présenter comme schizophrène. Ce soir chez moi c'est le silence je réfléchis.Je pense aux serveuses du bistro ou j'ai souper encore une fois à quelques pas du Goulag mais dans un décor riche et presque surréaliste, un magnifique escalier de marbre qui mène aux toilettes à l'étage. Ce soir je prie un peu...Je réfléchis et pense à mes amis. C'est la nuit j'avance dans les mots comme un tailleur de brousailles dans la savane. Tout à coup j'ai sommeil je vais essayer de vous terminer ce blog. Parait que les gens écrivent plus que jamais s'agit de s'en tirer avec moins de mal orthographique. Je crois qu'on parle de coquilles. Là je suis débranché de mon sentis je pense au billard en France, à notre manière ici de jouer Boston la huit en dernier, la noire c'est bien de ça qu'il s'agit la phrase noire, la phrase assassine celle qui va tuer mes sentiments, qui me laisseras avec une immense douleur amoureuse au corps. Me suis fait un café en pensant à ce que j'ai mangé, je suis très carnivore... Le bonheur c'est dans les petites choses vous l'avez déjà lu celle là. J'essais d'avoir du bonheur en vous rédigeant mon blog ce soir la peur est comme partis. J'ai un nouveau voisin qui aime bien Elvis Presley une nuit cette semaine je l'entendais chanter. Je compte les lignes de texte, regarde l'heure et je vous ai pas tout dis. On m'a parlé d'un patient qui est constamment ré-hospitalisé ça coute près d'un million de dollars il ne veux pas dire son nom il ne parle pas mais arrive toujours à temps pour être ré-admis. On m'a demandé si je pouvais faire quelque chose. J'ai répondu que je suis pas assez vendeur on m'a dis qu'il étais là le problème il les vois venir les vendeurs. Je crois pas pouvoir faire quelque chose à moins d'être hospitalisé moi aussi et devenir son ami, c'est de la folie. De la folie raisonné mais quand même de la folie. Bon! Il se fait tard. Je vous ai donné les grandes lignes en provenance du Goulag occidental. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 10 novembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est rare que j'écris ça mais ce soir je suis fatigué. Grosse journée au colloque une assemblée générale, une pleinière conférence et j'ai fait le livre dans la bibliothèque vivante. Y'avait beaucoup de monde, du monde intéressant même les français que j'ai croisé à la toute fin en sortant on se rencontre souvent dans différent colloque. J'étais au Queen Elizabeth à l'ouest du goulag occidental. Je sais pas ce que j'écris l'orient l'occident pourtant... Je reviens à mon sentis pense à l'esprit. Le colloque a pour thème "vivre de nouvelles solidarité". J'aimerais réussir a en vivre. Je crois que mon expérience peux aider.Je suis fatigué je le répète et j'ai la tête vide. J'ai parlé avec des gens du remaniement au ministère de la santé. semble que le ministre voulait pas recevoir les directeurs d'instituts en commission parlementaire il n'a accepté que le mémoire. Comment je me sent mais comment je me sent quelqu'un a sonné à ma porte ce matin. J'étais pas là vous vous en doutez, dehors y'a la sirène des pompiers. J'ai rencontré une jeune fille coquette qui se vieillissait et disait avoir une maitrise en biologie mais être plus intéressé par l'administration, les humains qui grouillent qui bougent...Semble qu'on s'est servis de ma grosse face jusqu'au Nouveau Brunswick. C'est difficile d'écrire comment je me sent... Ni trop heureux, ni trop malheureux entre les deux c'est ordinaire mais au moins ça fait pas mal. J'ai mangé un morceau de fromage...Le train, la gare de triage est tout près de chez moi, si j'avais a avoir peur c'est de ça que je devrais m'inquièter. La ville est remplie de chantiers mais j'ai jamais vu Montréal achevé c'est toujours en construction un work in progress, c'est comme ça que je veux avoir mon âme un work in progress quelque chose qui me feras grandir. Cette "nouvelle solidarité" c'est au contact de l'autre que je devrai la créer le reconnaitre me reconnaitre dans les points forts comme dans les points faibles et avancer en s'entraidant. "Je cherche, je cherche, mais je ne trouve pas, la solution des équations, la raison d'exister" Michel Pagliaro. Les Chanceliers. Ou un de ces groupes à la mode dans les années soixante dix. Hors donc je vous disait d'entrée de jeu que j'étais fatigué. J'arrête donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 9 novembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dehors il fait beau, y'a quelques nuages mais c'est ensoleillé. Je veux sortir mais je veux pas dépenser dans ma folie des livres. Il vente les feuilles tombent. C'est un dimanche tranquille hier y'avait du hockey c'étais la grand messe du samedi soir. Dans le goulag occidental on fouille dans les poubelles. Aujourd'hui comme souvent j'y arrive pas. Je suis quand même incapable de me crisser la paix. Je me fait des reproches "pourquoi t'est pas dehors?" "tu lave pas ta vaisselle?" "Finis ton livre avant d'en acheter un autre" "rase toi" tout ça et bien d'autre choses trottent dans ma tête. J'essais de faire de mon mieux. J'ai une plaie dans le cuir-chevelu c'est dégueulasse... Je veux pas rester assis devant la télé et le football américain c'est abrutissant. Je me rappelle ces dimanches de cinéma à la salle paroissiale on y allait tous ensemble frères et soeurs. Des films de capes et d'épées, des chevaliers, des pirates parfois des gladiateurs et d'autre fois des batailles navales. Ça nourissait l'imaginaire avant que la projection débute on étais tous agités. Tout à coups je suis ému c'étais quand même une belle enfance, de beaux dimanches des programmes doubles comme dans la chanson de Sylvain Lelièvre le regretté. Quand on est déménagé a Terrebonne tout ça s'est arrêté par contre on a eu nos premières bicyclettes des CCM Duomatic, une de fille une autre de garçon on faisait de longues balades j'usquà la laiterie Raymond à Lachenaie. Je me souviens pas trop de ce qu'on faisait, on bâtissais des cabanes dans le bois, on montais à pied sur le côteau... Le temps passe si vite on se retrouve adulte et ignorant sans avoir rien vu. Y'avait aussi le snack-bar Gagnon j'y suis pas allé souvent mais je crois que mes soeurs le fréquentais, les jukes-box la musique trois toune pour vingt cinq cennes. Je me répète probablement incapable d'imagination, l'enfance dans une petite ville de banlieue on gonflais nos pneus à la station-services Gendron et pour l'entretien de la maison on allait à la quinquaillerie Raymond sur la rue Saint-Louis c'étais moins loin que chez Jacques dans le bas de la côte. Je retrouverai jamais ça maintenant ma job c'est de m'inventer d'autre bons souvenirs, des souvenirs de voyages comme ce séjour dans la magnifique ville de Trieste en Italie sur le bord de la mer Adriatique. Je suis vieux mais je dois garder une joie de vivre malgré tout, un peu plus d'expérience ça aide a éviter certains pièges. Je reste quand même un grand enfant qui s'amuse a écrire. J'espère que ça vous fait plaisir et je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard