dimanche 26 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit j'arrive pas à dormir. Une névralgie faciale, une sorte de mal de tête ça veux pas disparaitre. Ce matin c'est comme toujours le lundi la rentrée a l'ouvrage. On pense à notre lecteur chauffeur d'autobus à ne pas confondre avec notre retraité de la STM. Je sais pas quoi vous raconter le goulag reste le même on a changé les abris d'autobus. Je pense au thème musical du ciné-club dans le temps à Rédio-Kénada. Je crois que c'étais la musique du film Midnight Express, un grand film. J'ai fait du café tant qu'a être debout autant être réveillé. Je pense à James Joyce qui a pris quinze ans a écrire son Ulysse. Il voulait réformer la langue. Moi c'est la musique que je cherche, la musique, les syllabes les voyelles les consonnes. Je suis pas Roland Barthes avec son degré zéro de l'écriture. Ou est-ce que je vais avec ça, je pense au bracelet en or trouvé dans mon enfance y'avait une breloque gravée U.S.S. Homeric c'étais pas de la pacotille. Lentement le mal de tête s'en va. Comme tout les enfants j'ai joué à la marelle y'a une chose que j'ai pas fait depuis longtemps c'est de marcher en essayant de pas mettre les pieds sur les lignes du trottoir. Mes marches sont devenues trop sérieuses. Je marche la tête haute pour voir ce que je vais photographier. Je vous ai pas écris que je vais avoir de nouvelles lunettes ça va  être plus facile de lire les noms de rues. Je vous écris juste une partie du discours sans fin qui trotte dans ma tête. Je sais pas trop comment commencer la semaine avec vous autre. L'art c'est pas payant encore moins pour un gribouilleux de mon espèce. C'est l'histoire de ce qui se passe dans ma tête. Je pense au cousin qui correspondait avec sa grand-mère, ma tante. Je suis en pleine nuit tout est calme. Y'a quelques années un chauffard saoul est rentré dans un arbre, qu'il a déraciné, devant l'édifice. Je sais que vous préférez l'écriture longiligne, les phrases qui se suivent pour un même dénouement. Moi je fait de la prosodie. Quand je vous écris dans mon mail nouveauté c'est pas en référence à l'art nouveau ou au récent produit qu'on trouve chez l'épicier c'est qu'a toute les fois que je vous écris la teinte change. J'essais d'avoir  une approche différente. Je cherche aussi quelques secondes de silence dans mon brouhaha cervical et j'y arrive. Là c'est une vieille chanson de Simon and Garfunkel qui s'impose dans ma tête, Mister Jones je crois, non! C'est have you seen my wife Mister Jones par les Bee Gees, Simon and Garfunkel c'est Mrs Robinson. Je me passe la main dans les cheveux. Je suis un hobo de l'internet j'écris sans but sans refuge. Je vous livre mon âme en espérant être plus serein. Je sais vous allez pensés au serin, au compagnon homosexuel mais c'est pas de ça qu'il s'agit. J'écris pour la sérénité. Bon! Ça se termine là dessus. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 25 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C'est le week-end, vous le savez j'ai pas besoin de l'écrire. Je me demande encore pourquoi cet oncle pleurais au dernier tournoi de bowling. Les larmes lui sont montées quand il m'a vu peut être que je lui rappelais mon père décédé. Je suis toujours dans le goulag occidental. J'ai fermé la télé, il fait sombre et il pleut. J'essais de vous écrire mes émotions, calme, anxieux et toujours ces voix qui me dictent ce que je vous écris. J'ai le syndrome de la page blanche de la difficulté a me renouveler. Je mange des menthes comme une vieille folle. J'ai pas de souvenirs a partager juste ce casse-croûte coin Monselet St-Vital ou les bums se tenaient. J'étais qu'un enfant je regardais par la fenêtre du salon... L'automne c'étais difficile de bummer dans le parc, le pool-room étais fermé. J'ai tenté ma chance à la taverne du Central on m'y a accepté pour du petit change. On m'a vendu de la bière, de la draught...Je prend mon temps, vous comprendrez que ce sont deux époques différentes le fils du waiter me parlait souvent du grand Ronaldi qui étais toujours dans le trouble. Le samedi soir c'étais tranquille au bar on se remettais de la virée du vendredi parfois on allait voir un show dans le vieux-montréal ou au grand salon du domaine Mascouche. Je vous ai raconté tout ça déjà. Je m'ennuis tellement que je vous écris les mêmes choses. Dix-sept ans et toute la liberté sans même une idée de ce que j'allais devenir, de jobs en période de chômage, je ne pensait qu'a m'amuser. Il y a longtemps que je t'attend pourtant je sais pas qui tu est, la nuit arrive... J'essais d'être tranquille pourtant la solitude et l'angoisse sont deux bonnes maitresses. J'essais de faire l'écrivain... C'est quoi un vrai écrivain? Quelqu'un qui possède son doigtée sur le clavier? Quelqu'un qui sait s'exprimer dans la forme recommandée? Quequ'un qui vie de son écriture? Vous gênez pas si vous croyez que je suis taré c'est possible... Un téléphone, l'enregistrement de Amy "who would like to give me a free cruise to the Bahamas" tout les week-end c'est pareil. There is a sucker born every day mais c'est pas moi. Et y'a la rue, la rue du goulag qu'arpentent les toxicos et toute la faune nocturne. La rue Ontario est fermée donc y'a plus de circulation rue Sainte-Catherine y'en a toujours des pressés qui klaxonnent. J'ai plus d'inspiration et je me demande si j'en ai jamais eu. Je ferme les rideaux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 22 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir on pense aux soldats tuéé J'ai pas envie d'élaborer d'histoire à propos de leurs morts. Ils sont morts et morts pour rien.Je pense au déserteur de Vian aux années de guerre du Viet-nam ou les américains venaient se cacher au Canada pour éviter d'être enrolé. On a plus ces problèmes là nous avons des armées de volontaires.La guerre s'est transporté chez nous, il ne faut pas abdiquer et restreindre nos libertés.Ces gestes ne s'expliquent pas par la maladie, les malades sont chez eux et regardent la télévision en pensant qu'elles parle d'eux, ils ont peur. Ce ne sont pas des fous qui ont posés ces gestes justes des fanatiques. Pourtant ont veux suspendre le registre des armes à feux voilà au moins une raison de ne pas le faire. Toutes mes pensées sont avec les familles de ses soldats, on veux s'attaquer a des symboles, l'armée, le parlement voilà la démocratie et là j'entend des voix je comprend pas ce qu'elles disent, je sais que c'est dans ma tête. Les tueurs font la manchette pour les mauvaises raisons ont devrais tenir la presse muette pour quelques jours. J'ai pas vraiment de raisons de défendre les soldats y'a quelques année j'ai eu affaire avec un soldat qui a jeun était le meilleur des hommes mais saouls il étais la pire des crapules assassine. Je pense à Mario l'ancien légionnaire parachutiste qui souffrait d' un syndrome de bi-polarité on l'a réformé il essayait de se refaire une vie mais il avait beaucoup de difficultées. Un soldat ça tue et ça meurt entre les deux il y a la guerre, les combats, les plus chanceux s'en tireront pas trop estropié d'autre souffriront de stress post-traumatique et on espère que l'armée prendras soin de ses vétérans. J'en dis pas plus ce soir je connais pas la vie des militaires je pense à un possible mécanicien ex-soldat lecteur de l'Outaouais. Je fait une prière en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je suis sur le shift de jour, toujours anxieux d'avoir de vos nouvelles. Je me suis fait un café, il me reste plus de lait, et je pense aux copains disparus. Écrire toujours écrire, je ne sais pourquoi, vous faire réagir? Mon lecteur designer à la retraite a une petite idée . Je lui ai envoyé un texte que j'ai écris sur l'expressionnisme. C'est de ça qu'il s'agit l'expression parfois surréaliste mais ça reste de l'expression... Je voulais aller à la biennale de Montréal mais cinquante dollars pour une visite c'est un peu cher. J'ai compris que les différentes oeuvres traitaient de l'environnement et qu'il y a beaucoup de vidéo mais revenons à nos moutons en occurence moi et ce que je ressent. J'essais de nommer mon sentis ce qui me fait vivre. Je suis pas dans le ressentiment mais je peux pas dire que je ressent rien, ce matin ça fait pas mal j'ai bien dormis. Il est déjà midi vingt, dehors ils sortent déjà les tracteurs qui nettoient les trottoirs de la neige. J'ai enlevé mon climatiseur. Je prend mon temps pour vous dire que je vous aime vous qui prenez le temps de lire... Nuage, l'automne, une pièce de Django Reinhart le guitariste manouche. J'ai beaucoup rêvé cette nuit, j'étais en voyage et j'ai croisé le praticien ressource à la retraite une connaissance. Vous voyez je rêve aux voyages aux avions. J'ai hate de repartir je ne sais ou... Mon grand copain est maintenant grand-père je le félicite et la mère aussi... Demain j'ai un examen de la vue... Les feuilles tombent, les arbres se dénudent, je pense à Yves Montand et aux feuilles mortes. C'est le temps de la chasse pour ceux qui ont pas vus la Bête Lumineuse de Pierre Perrault regardez le, c'est un classique de bière, de poète et de chasseurs. Moi je suis pas chasseur mais j'aime bien me promener dans la nature. Je pense aux bons moments passés avec une copine. Perdrix. lièvres quand j'étais jeune on en mangeait parfois à la maison, du gibier c'est toujours bon. Moi j'essais de pas être un gibier de potence, c'est un cliché mais je voulais pas le rater. Y'a encore des motos mais je crois que ça tire sur la fin il va faire froid. Y'a beaucoup d'animaux aujourd'hui, les bêtes sont comme moi sauvages, je pense à la chute-à-l'ours au Lac Saint-Jean. Je sais pas si mon lecteur technicien en aéronautique vas à la chasse cet automne mais on là lui  souhaite bonne. Ça l'air qu'ils ont ouvert là chasse au chevreuil sur une île près de Montréal semble que c'est pour équilibrer l'éco-système et y'a cette madame à Boucherville qui trouve que sont île a l'air d'un chantier, elle met en question l'aménagement d'un camping... Je vous l'ai pas écris mais la Bête Lumineuse c'est une chasse à l'orignal. Moi je chasse pas j'ai peur des armes-à-feux... Je sais pas si ma lectrice retraitée d'Aylmer a encore des dindes sauvages sur son terrain peut être qu'il y aurais moyen d'en attraper une au collet? Je vous l'ai dis je suis pas chasseur. C'est tu le temps de la chasse pour les oies sauvages? Quand on chasse on reste dehors longtemps au froid et ça fait toujours du bien de rentrer à la maison avec sa chasse du jour. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard
 

P.S. J'ai toujours de la difficulté a finir restez indulgent. Merci!

dimanche 19 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai changé l'horaire pas de télé ce soir je vous écris après avoir pris un thé. Je me met au mode anglais d'angleterre et suis les conseils de ma directrice. C'est pas mauvais du thé et ça crée moins d'angoisse que le café. Ça fait un bout de temps que je retiens plus les noms des artistes plutôt que de les regarder travailler j'écris, pas pour la tivi mais j'écris. Tant qu'a écrire  je ferai pas de joke facile sur la religion pas tellement que je respecte l'institution mais je crois que mes mots valent plus que ça. C'est pas une très belle phrase comme souvent mais je sort pas de Brébeuf pas plus que de l'université Laval ou de l'université de Montréal. Je pense à ce junkie qui racontais qu'on lui payait des cours de bibliothéconomie, il mentais, à l'heure qu'il est si à cette époque il n'a pas changé de vie il est surement décédé. C'est donc mal écris. Nos animateurs de télévision gueulent sur les média sociaux ça diminue leurs part du gâteau mais moi ça m'en donne pas plus. Vous allez surement vous dire quand est-ce qu'il va se trouver une vrai job? Je suis trop vieux disont que je suis retraité. Il est tôt le chien de la voisine jappe ce chien là ça en est un de garde...Y'a des moments ou c'est le vide sidéral. Je sais pas pouquoi j'arrête pas d'écrire ou je demande pas a Janette Bertrand qu'elle me montre comment écrire des histoires d'amour et de familles, je devrais peut être m'inscrire à l'UQAM en littérature pour après publier un seul et unique recueil de poèmes que personne ne liras. Je sais pas si Sylvain Campeau publie encore, si François Simard édite toujours avec ses reliures recherchées. Je reviens comme souvent au taux d'analphabétisme et y'a pas que ça plusieurs sont incapables d'adapter leurs langages pour se faire comprendre. Moi j'ai un langage simple mais je suis certain qu'on me comprend.J'ai le prof de cégep qui m'a dis qu'écrire c'étais ma voie y'a de ça vingt cinq ans. J'écris sérieusement depuis ce temps là l'internet n'existais pas, le grand écritoire écrivais Garneau. J'ai écris dans les pissotières, les urinoirs d'une brasserie, y'avait un tableau avec de la craie je sais pas à quoi ça servais sans parler des graffitis le seul endroit ou on a inscrit que j'étais un génie, c'est pas le front page du Journal de Montréal. Je parlais avec Jean-Pierre le psy on se disait que pauvre c'est o.k. mais riche c'est mieux!!! Ça bloque à rock, vous devriez lire mon oeuvre sur le site Hache. Je me souviens plus de ce que j'ai écris, des histoires, de l'autofiction. Ce matin j'ai lu la chronique lecture de LaPresse+ y'a rien qui me donne envie de lire. Je vieillis prend de l'expérience et réalise que la littérature est humaine, elle n'est que ça humaine les vies se ressemblent ce ne sont que ce qui arrive entre la naissance et la mort, des chutes, du cuir, du coton, on se relève on continue c'est l'abime existentiel. Je sais pas si Desbiens le poète franco-Ontarien est toujours à Montréal si oui dans quel abreuvoir il passe son temps libre. La ville est grande les boui-bouis sont nombreux et tout le monde cherche la fortune. Ce soir c'est un peu plus long. Je me sent bien a vous écrire n'hésitez pas a me faire vos commentaire. Je termine merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

samedi 18 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Binsoir! Ai faillis me tuer en perdant l'équilibre sur  une chaise, C'est samedi jour de congé pour plusieur mais autour de moi y'a de plus en plus de retraités. J'écoute mon âme encore endormie.C'est tranquille dans le goulag cette nuit, je crois qu'ils veulent créer une psychose avec le virus Ebola au Kénada y'a pas de vols de ces pays là. La guerre en Syrie, le virus dans le Sierra Leone ça fait beaucoup d'aide pour l'Afrique, quand je vois les images à la télé je me demande pourquoi la misère s'acharne sur le pauvre monde. Rien a dire sur le trekking dans l'himalaya ce sont les risques de la chose, c'est beau mais c'est dangeureux. J'ai la rédaction très lente aujourd'hui. Pour mon lecteur designer retraité c'est de Gauguin que je lui parlais au téléphone. Me prépare un café, c'est comme si j'envoyais mon âme dans le cyberespace.Je m'écoute pas j'arrive pas a me calmer c'est la nuit... Je pense aux vieilles pochettes de disques trente trois tours des objets fétiches, voilà j'ai mon café.Les gens de la nuit ne se respectent pas beaucoup ils jurent en français et en anglais, manque d'estime d'eux même.J'espère que Boko Haram va libérer les jeunes filles... Ou va tu fils? Je sais pas ma guerre est dans ma tête vous devez être tanné d'en entendre parler, j'essais de construire à partir de cette foule de voix en me souvenant de cette peur quand j'ai réalisé que ce serait toujours là. L'angoisse extrême qui se transforme en paroles dénigrantes pour l'instant c'est tranquille le fou tiens ses voix muettes..Plein de choses qui se passe que je dirige que je disqualifie, la nuit ne me parle plus... Je pense à ces niaiseries de vapoteuses de la boucane ça reste de la boucane un corps étrangers. Cette nuit j'essais de faire de mon mieux me souviens de cette amie qui détestais quand je restais debout la nuit. "J'ai mal à l'amour j'ai mal dans les yeux, et si on se perd prend garde aux adieu" Isabelle Boulay. Ma méthode commence a être connue et oui je suis hypersensible et tout les défauts qui vont avec... Je pense à toutes les nuits passées dehors a me chercher une amie, les filles sérieuses passent pas le week-end à se saouler dans des bars de seconde zone parfois j'en rencontrais une mais c'étais seulement pour une nuit et les morpions qui allaient avec. Bon là c'est la dernière ligne c'est pas fort cette nuit, redondant, je répète les mêmes choses mais de l'écrire ça m'aide. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 15 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis debout dans cette étonnante chaleur du mois d'octobre. Ai démarré le climatiseur y'a un parfum de hashich fumé au couteau.J'ai le dos qui tressaille douloureusement. Hé oui je suis toujours dans le goulag occidental faut que j'admette que ça a plus de classe que la prison. On me permet de voyager faut que j'en profite pour me trouver une autre destination. Je crois que New-York serait pas mal. Ici pas loin du goulag y'a une exposition que je veux aller voir, une exclusivité nord-américaine, de l'expressionnisme à l'impressionnisme, Gauguin, Kandisky et plusieurs autre... Quand y'a des expositions de cette envergure je pense à mon lecteur designer retraité de l'Outaouais. Hier j'ai fait un rêve avec des images plus vrai que la réalité de la butte de Montmartre c'étais beau a pleurer. Je regarde la télévision et j'essais de me gaver d'images d'avions, de hall d'aéroport. Vous pouvez pas savoir comment j'aime ça attendre mon vol.J'aime ces lieux de passages ou les destins se croisent y'a autant de raisons d'être là qu'il y a de voyageurs. Hier j'avais quarante cinq pages vues, aujourd'ui j'en ai pas une. Mais non je vous parlerai pas d'Ebola je suis pas allé en afrique de l'ouest. Je pense à ce peintre qui étais partis essayer de vivre aux Indes. il est revenus assez vite la misère est insupportable. Là je vais essayer de vous écrire ce qui me viens en tête sans filtrer y'a le texte de mon voyage à Londres que vous avez apprécier je crois. J'ose pas écrire tout, ça aurais ni queue ni tête, je crois que vous aimez bien quand mon écriture est déjantée mais j'y arrive plus ça se construit et c'est pas trop taré. Brute! Brute! Brute! C'est quand même construit j'ai beaux être illettré j'arrive pas a me situer hors du langage. J'écris quand même pour être compris et j'ai pas la chance d'avoir un éditeur qui me dirige mais je crois que je le digèrerais pas, il faut que je fasse à ma tête. Je pense à l'institut à l'organisation mondiale de la santé. Je suis un citoyen engagé. Je trouve pas quoi vous écrire pour terminer je pense au bébé Blanche, au bébé Camille ce sont des prénoms qui promettent de beaux destins. Vous vous demandez peut être pourquoi j'écris? C'est pour bien signifier que je suis un écrivain c'est ce que ça fait un écrivain ça écris. Je pense aux alcooliques négatifs qui me lisent, qui disent que ça sert à rien que tout a été écris que maintenant l'écriture est au néant. C'est faux! Il est toujours temps de reconstruire de prendre la direction du bien du mieux. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard