dimanche 19 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai changé l'horaire pas de télé ce soir je vous écris après avoir pris un thé. Je me met au mode anglais d'angleterre et suis les conseils de ma directrice. C'est pas mauvais du thé et ça crée moins d'angoisse que le café. Ça fait un bout de temps que je retiens plus les noms des artistes plutôt que de les regarder travailler j'écris, pas pour la tivi mais j'écris. Tant qu'a écrire  je ferai pas de joke facile sur la religion pas tellement que je respecte l'institution mais je crois que mes mots valent plus que ça. C'est pas une très belle phrase comme souvent mais je sort pas de Brébeuf pas plus que de l'université Laval ou de l'université de Montréal. Je pense à ce junkie qui racontais qu'on lui payait des cours de bibliothéconomie, il mentais, à l'heure qu'il est si à cette époque il n'a pas changé de vie il est surement décédé. C'est donc mal écris. Nos animateurs de télévision gueulent sur les média sociaux ça diminue leurs part du gâteau mais moi ça m'en donne pas plus. Vous allez surement vous dire quand est-ce qu'il va se trouver une vrai job? Je suis trop vieux disont que je suis retraité. Il est tôt le chien de la voisine jappe ce chien là ça en est un de garde...Y'a des moments ou c'est le vide sidéral. Je sais pas pouquoi j'arrête pas d'écrire ou je demande pas a Janette Bertrand qu'elle me montre comment écrire des histoires d'amour et de familles, je devrais peut être m'inscrire à l'UQAM en littérature pour après publier un seul et unique recueil de poèmes que personne ne liras. Je sais pas si Sylvain Campeau publie encore, si François Simard édite toujours avec ses reliures recherchées. Je reviens comme souvent au taux d'analphabétisme et y'a pas que ça plusieurs sont incapables d'adapter leurs langages pour se faire comprendre. Moi j'ai un langage simple mais je suis certain qu'on me comprend.J'ai le prof de cégep qui m'a dis qu'écrire c'étais ma voie y'a de ça vingt cinq ans. J'écris sérieusement depuis ce temps là l'internet n'existais pas, le grand écritoire écrivais Garneau. J'ai écris dans les pissotières, les urinoirs d'une brasserie, y'avait un tableau avec de la craie je sais pas à quoi ça servais sans parler des graffitis le seul endroit ou on a inscrit que j'étais un génie, c'est pas le front page du Journal de Montréal. Je parlais avec Jean-Pierre le psy on se disait que pauvre c'est o.k. mais riche c'est mieux!!! Ça bloque à rock, vous devriez lire mon oeuvre sur le site Hache. Je me souviens plus de ce que j'ai écris, des histoires, de l'autofiction. Ce matin j'ai lu la chronique lecture de LaPresse+ y'a rien qui me donne envie de lire. Je vieillis prend de l'expérience et réalise que la littérature est humaine, elle n'est que ça humaine les vies se ressemblent ce ne sont que ce qui arrive entre la naissance et la mort, des chutes, du cuir, du coton, on se relève on continue c'est l'abime existentiel. Je sais pas si Desbiens le poète franco-Ontarien est toujours à Montréal si oui dans quel abreuvoir il passe son temps libre. La ville est grande les boui-bouis sont nombreux et tout le monde cherche la fortune. Ce soir c'est un peu plus long. Je me sent bien a vous écrire n'hésitez pas a me faire vos commentaire. Je termine merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

samedi 18 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Binsoir! Ai faillis me tuer en perdant l'équilibre sur  une chaise, C'est samedi jour de congé pour plusieur mais autour de moi y'a de plus en plus de retraités. J'écoute mon âme encore endormie.C'est tranquille dans le goulag cette nuit, je crois qu'ils veulent créer une psychose avec le virus Ebola au Kénada y'a pas de vols de ces pays là. La guerre en Syrie, le virus dans le Sierra Leone ça fait beaucoup d'aide pour l'Afrique, quand je vois les images à la télé je me demande pourquoi la misère s'acharne sur le pauvre monde. Rien a dire sur le trekking dans l'himalaya ce sont les risques de la chose, c'est beau mais c'est dangeureux. J'ai la rédaction très lente aujourd'hui. Pour mon lecteur designer retraité c'est de Gauguin que je lui parlais au téléphone. Me prépare un café, c'est comme si j'envoyais mon âme dans le cyberespace.Je m'écoute pas j'arrive pas a me calmer c'est la nuit... Je pense aux vieilles pochettes de disques trente trois tours des objets fétiches, voilà j'ai mon café.Les gens de la nuit ne se respectent pas beaucoup ils jurent en français et en anglais, manque d'estime d'eux même.J'espère que Boko Haram va libérer les jeunes filles... Ou va tu fils? Je sais pas ma guerre est dans ma tête vous devez être tanné d'en entendre parler, j'essais de construire à partir de cette foule de voix en me souvenant de cette peur quand j'ai réalisé que ce serait toujours là. L'angoisse extrême qui se transforme en paroles dénigrantes pour l'instant c'est tranquille le fou tiens ses voix muettes..Plein de choses qui se passe que je dirige que je disqualifie, la nuit ne me parle plus... Je pense à ces niaiseries de vapoteuses de la boucane ça reste de la boucane un corps étrangers. Cette nuit j'essais de faire de mon mieux me souviens de cette amie qui détestais quand je restais debout la nuit. "J'ai mal à l'amour j'ai mal dans les yeux, et si on se perd prend garde aux adieu" Isabelle Boulay. Ma méthode commence a être connue et oui je suis hypersensible et tout les défauts qui vont avec... Je pense à toutes les nuits passées dehors a me chercher une amie, les filles sérieuses passent pas le week-end à se saouler dans des bars de seconde zone parfois j'en rencontrais une mais c'étais seulement pour une nuit et les morpions qui allaient avec. Bon là c'est la dernière ligne c'est pas fort cette nuit, redondant, je répète les mêmes choses mais de l'écrire ça m'aide. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 15 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis debout dans cette étonnante chaleur du mois d'octobre. Ai démarré le climatiseur y'a un parfum de hashich fumé au couteau.J'ai le dos qui tressaille douloureusement. Hé oui je suis toujours dans le goulag occidental faut que j'admette que ça a plus de classe que la prison. On me permet de voyager faut que j'en profite pour me trouver une autre destination. Je crois que New-York serait pas mal. Ici pas loin du goulag y'a une exposition que je veux aller voir, une exclusivité nord-américaine, de l'expressionnisme à l'impressionnisme, Gauguin, Kandisky et plusieurs autre... Quand y'a des expositions de cette envergure je pense à mon lecteur designer retraité de l'Outaouais. Hier j'ai fait un rêve avec des images plus vrai que la réalité de la butte de Montmartre c'étais beau a pleurer. Je regarde la télévision et j'essais de me gaver d'images d'avions, de hall d'aéroport. Vous pouvez pas savoir comment j'aime ça attendre mon vol.J'aime ces lieux de passages ou les destins se croisent y'a autant de raisons d'être là qu'il y a de voyageurs. Hier j'avais quarante cinq pages vues, aujourd'ui j'en ai pas une. Mais non je vous parlerai pas d'Ebola je suis pas allé en afrique de l'ouest. Je pense à ce peintre qui étais partis essayer de vivre aux Indes. il est revenus assez vite la misère est insupportable. Là je vais essayer de vous écrire ce qui me viens en tête sans filtrer y'a le texte de mon voyage à Londres que vous avez apprécier je crois. J'ose pas écrire tout, ça aurais ni queue ni tête, je crois que vous aimez bien quand mon écriture est déjantée mais j'y arrive plus ça se construit et c'est pas trop taré. Brute! Brute! Brute! C'est quand même construit j'ai beaux être illettré j'arrive pas a me situer hors du langage. J'écris quand même pour être compris et j'ai pas la chance d'avoir un éditeur qui me dirige mais je crois que je le digèrerais pas, il faut que je fasse à ma tête. Je pense à l'institut à l'organisation mondiale de la santé. Je suis un citoyen engagé. Je trouve pas quoi vous écrire pour terminer je pense au bébé Blanche, au bébé Camille ce sont des prénoms qui promettent de beaux destins. Vous vous demandez peut être pourquoi j'écris? C'est pour bien signifier que je suis un écrivain c'est ce que ça fait un écrivain ça écris. Je pense aux alcooliques négatifs qui me lisent, qui disent que ça sert à rien que tout a été écris que maintenant l'écriture est au néant. C'est faux! Il est toujours temps de reconstruire de prendre la direction du bien du mieux. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 13 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis pas Jean Gabin mais je sais que je ne sais rien. Je me cherchais quelque chose pour commencer mais ça ça me coupe le sifflet. Sur la Catherine y'a des gens qui se croient sur le circuit Gilles Villeneuve. Juste quelque mots, ne pas mentionner la défaite du Canadiens...  Finis de relire le London Fields de Martin Amis, une basse classe d'habitant de Londres, la bière, les pubs, l'adultère et les fléchettes... J'ai pas été assez longtemps là-bas j'en étais qu'au stade de la découverte. Y'a beaucoup de parc donc beaucoup de bancs de parc mais sur les rues y'en a pas un maudit à part peut-être le long de la Tamise. Bon! Assez pour Londres faut en revenir... Le goulag occidental encore une fois c'est juste un quartier qui tiens dans votre poche, on avait pas les ambitions soviétiques. "Shout! Shout! These are the thing I can do without you! Come on I am talking to you!" Je sais pas c'est de qui c'est un succès des années quatre vingt, l'époque ou j'étais itinérant. Je pieutais chez des copains et on écoutais aussi la très angoissante Laurie Anderson. Une autre vacherie que j'ai écris, je reprochais à mon père de pas avoir de roues mags sur sa voiture, mais pour qui je me prenais!  J'écoute mes voix, me gratte le dos avec un couteau.C'est déjà mardi, mais non, mais non ma liberté se limite pas au goulag. Je suis une sorte d'ambassadeur prolétaire. Ambassadeur d'un pays qui s'appelle aussi la Schizophrénie, un pays avec une chambre législative, une chambre des communes ou on entend plein de voix. Des voix qui se réverbèrent avec celles de la nuit sur le trottoir, les voix du Midnight Cowboy.Je pense au Mrs Robinson de Simon and Garfunkel.. Ce qui est difficile c'est de vous écrire une prose nouvelle à chaque fois. Je pense aux chroniqueurs dans les journeaux aussi. Vous ferez mes saluts au journaliste ancien marguiller de la paroisse Saint-Louis-de-Terrebonne. Je le nomme pas je crois pas qu'il lise mon blog. Hé oui! On a deux nouvelles petite filles dans la famille, Camille et Blanche, les mamans et la grand-maman catine avec elles, c'est de la joie ces bébés là.Là je suis arrêté, je pense à la sonnerie du Ipad et aussi au psychobilly de Robert Gordon. J'étirerai pas trop ça.Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici et je sais que pour certains lecteurs ça prend de la scatologie et du morbide. Je laisse ça a d'autre. Merci donc! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 11 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vous écris plus tôt, écrire pour moi ça dirige les voix, le discours intérieur que j'ai toujours en double ou plus, y'a une foule dans ma tête, heureusement quand je suis seul mon surmoi se calme un peu... J'ai fermé la télé le hockey ne me dis pas grand chose, le sport spectacle aussi. Je disais à la matriarche que lorsque je passe des heures de téléspectateurs je me sent légume. Vous voyez en ce moment ça se calme j'essais de me concentrer sur ce que je veux écrire. C'est la fin de semaine de l'Action de Grâce, j'essais d'avoir un peu de gratitude. Comme disait l'autre je suis très heureux de vivre ici, c'est un privilège on est pas dans les pays nord-africain. Parfois j'arrive près du silence intérieur qui n'en est pas un, les mots se poussent et se grouillent. Je pense aux photos à plein de choses le mot charivari s'impose. Je me relis, j'essais de vous amener avec moi dans ce soliloque maladif. Je pense à Jacques Godbout qui dis que les gars comme moi c'est des neurasthéniques, ça m'irrite et me choque. Qu'est-ce qu'il en connait le bonhomme de la maladie mentale? Salut Galarneau... J'essais aussi d'éclaircir sans avoir peur de la polémique, le web, la machine, les réseaux sociaux se nourrissent de ça. Dehors y'a un boucan d'enfer ils passent le balais motorisé. Ce matin je suis allé rencontrer une lectrice sculpteure dans une exposition au palais des congrès. Ses scuptures me plaisent par leurs délicatesses, je sent dans son oeuvre une part de jeu que j'aime bien. Je sais pas pourquoi à un moment dans la rédaction j'arrête, les voitures klaxonnent et dans ma mégalomanie, mon narcissisme je crois que j'en suis la cause, méchant fou!!!  Là j'attend j'ai pas terminé. Je pense à une chanson de je sais pas qui qui dis "Terminus tout le monde descend". J'ai bien aimé les autobus à Londres qui annoncent la direction et les arrêts, on s'y retrouve facilement. Parfois dans la rédaction j'arrête pour changer de direction et là voilà le dénigrement, l'auto-dénigrement et le cruel mot d'insignifiant qui surgis. J'essais de trouver un souvenir du El Rancho à Terrebonne dans mon adolescence, on y passait des soirées a boire du coke ou du café. C'étais déjà trop froid pour passé la soirée dans Le parc des canards. Je sais pas pourquoi dans ma jeunesse j'avais de la difficulté a rester chez moi pour plus tard ne plus vouloir partir. "Terminus tout le monde descend" je viens de googler c'est dans pleins de chansons, Higelin, Bécaud, Les parfaits salauds... Mais non, mais non j'ai jamais été très sérieux, j'ai jamais su ou j'allais, un grand bum comme on n'en fait plus puisque je suis toujours dans les confidences maintenant ce que je trouve de plus important pour moi c'est de rester abstinent et de mettre un peu de spiritualité dans ma vie. Vous pouvez rire c'est permis mais moi ça me conviens comme vie. Je veux faire ça long ce soir mais j'abuserai pas de votre patience. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 10 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me voilà encore. Je viens de regarder les actualités, rien de vraiment frappant.Je cherche quoi vous écrire, essais de me rappeler de quoi octobre avait l'air à la brasserie. Je pense à la crise d'octobre, à la loi des mesures de guerre... J'aime écrire ça dirige les voix. Hier le Canadiens a encore gagné, deux victoires en deux matchs sur la route c'est bien. Je vais aller voir les expressionistes au MBAM la semaine prochaine. Ce soir y'a un vernissage exclusivement de sculpture au Palais des congrès, je vais aller voir ça une des artistes m'a invitée. J'aime l'art la façon dont les artistes exerçent leur créativité, je pense à mon lecteur de l'Outaouais heureux grand-père pour la troisième fois, qui est un artiste.Je suis un peu mêlé entre les expressionnistes et les impressionnistes. Je comprend que pour certains peintres c'est l'expression qui viens en premier et pour d'autre c'est l'impression que leurs oeuvres laisse qui compte. Monsieur le designer si vous avez le temps démêlez moi. À part la beauté je ne saurais vous dire ce qui donne de la valeur à ces toiles. Je suis pas historien de l'art, je m'intéresse à ça en amateur, en dilettante... Dehors quelqu'un parle fort, mais non je ne me couperai pas une oreille bien que mes textes, et là je vais peut être écrire une grosse bêtise, on peux les qualifier d'impressionnistes je donne une impression. C'est déjà vieux vous aller me dire mais j'ai pas la prétention de révolutionner l'écriture.Je sais pas ce qui se passe dehors cette nuit les sirènes des voitures de police hurlent ça ne s'arrête pas.Y'a une voiture de police devant l'édifice... Y'a un reflet dans la fenêtre je croyais qu'on éclairais un mur.Quand je vois les policiers je suis anxieux. Je veux pas avoir affaire à eux. Je me tiens pas tranquille puisque je suis anxieux mais je fait pas de mal.Je pense à cette oeuvre au Tate muséum de Londres deux énormes plaques d'acier une verticale et l'autre en équilibre horizontal, ça forme une sorte de T mais c'est un tour de force. En ce moment j'ai mal, comme si dans le goulag occidental je transgressais une loi qui m'interdit d'écrire.Ça veux peut être dire qu'il est temps pour moi d'arrêter cette nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 7 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'essayerai pas de trop chercher aujourd'hui ce seras de l'écriture brute sans recherche avec au dessus la noblesse de l'écrivain qui travaille sa prose pour en faire quelque chose d'élégant er de lisible.Oui brute! Parce que sans réfléchir j'enligne les mots en pensant à la nouvelle venue Blanche. Blanche ça fait pensés à une reine vierge, à une poudre de toxicomane. J'espère qu'elle va nous intoxiquer d'amour. Blanche c'est la pureté aussi, la neige. Je viens d'arrêter d'écrire je voulais pas, je veux vous écrire ça d'un jet. C'est la nuit dans le goulag occidental, on y meurt toujours d'avoir respiré trop de gaz d'échappement. Je mange une barre granola.Il est pas encore minuit,elle est ou la beauté dans ce que j'écris. Y'en a pas, parfois je me prend a espérer le poésie, c'est toujours grave d'écrire,la légèreté je laisse ça a d'autre. Je suis pesant comme la fonte, heavy métal dirait l'autre, heavy mental aussi. Non! Non! Non! Faut pas que je cherche je lance ça comme ça en pensant à l'Afrique en me demandant pourquoi ce continent souffre tant. Y'a pas de suïcide ils sont trop occupé a survivre, hier au Kénada on a trouvé un agent de la GRC mort. Il fumait du pot à des fins thérapeuthiques semble que ça le rendais violent avec ses confrères il avait du rendre son uniforme. La police versus la police. Mon dos a pris un courant d'air j'ai mal c'est musculaire. J'ai ralentis je bois mon café, je sais que resté devant un écran ça réveille, ça irradie peut être on verras ça dans quelques années les conséquences d'avoir passés trop de temps devant un écran d'ordi sans parler de la Tivi. Je corrigerai après je sais pas ce que je ferais si j'avais pas l'écriture, des Tours Eiffel en cure dents? Des châteaux de bâtons de popsicle, des ponts en bâtons de pogo? Si je vous amène dans mon intimité je me fouille dans le nez et essaye d'enlever la gale que j'ai sur la tête. Je compte les lignes de texte dans l'écran. Hier un avion a eu des problèmes à l'atterrissage à l'aéroport P-E-T heureusement y'a pas eu de mort ou de blessé semble que l'équipage avait les choses bien en main. C'est pas ça qui va m'empêcher de repartir. J'ai une chanson dans la tête ça dis reviens moi je sais pas c'est de qui c'est un duo je crois. On félicite encore notre lectrice puéricultrice de l'Outaouais pour le gentil poupon en voilà une avec une grosse famille trois enfants, c'est pas rien!!! Je vous quitte en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard