Bonsoir! Bonjour! Je suis pas Jean Gabin mais je
sais que je ne sais rien. Je me cherchais quelque chose pour commencer mais ça
ça me coupe le sifflet. Sur la Catherine y'a des gens qui se croient sur le
circuit Gilles Villeneuve. Juste quelque mots, ne pas mentionner la défaite du
Canadiens... Finis de relire le London Fields de Martin Amis, une basse classe
d'habitant de Londres, la bière, les pubs, l'adultère et les fléchettes... J'ai
pas été assez longtemps là-bas j'en étais qu'au stade de la découverte. Y'a
beaucoup de parc donc beaucoup de bancs de parc mais sur les rues y'en a pas un
maudit à part peut-être le long de la Tamise. Bon! Assez pour Londres faut en
revenir... Le goulag occidental encore une fois c'est juste un quartier qui
tiens dans votre poche, on avait pas les ambitions soviétiques. "Shout! Shout!
These are the thing I can do without you! Come on I am talking to you!" Je sais
pas c'est de qui c'est un succès des années quatre vingt, l'époque ou j'étais
itinérant. Je pieutais chez des copains et on écoutais aussi la très angoissante
Laurie Anderson. Une autre vacherie que j'ai écris, je reprochais à mon père de
pas avoir de roues mags sur sa voiture, mais pour qui je me prenais! J'écoute
mes voix, me gratte le dos avec un couteau.C'est déjà mardi, mais non, mais non
ma liberté se limite pas au goulag. Je suis une sorte d'ambassadeur prolétaire.
Ambassadeur d'un pays qui s'appelle aussi la Schizophrénie, un pays avec une
chambre législative, une chambre des communes ou on entend plein de voix. Des
voix qui se réverbèrent avec celles de la nuit sur le trottoir, les voix du
Midnight Cowboy.Je pense au Mrs Robinson de Simon and Garfunkel.. Ce qui est
difficile c'est de vous écrire une prose nouvelle à chaque fois. Je pense aux
chroniqueurs dans les journeaux aussi. Vous ferez mes saluts au journaliste
ancien marguiller de la paroisse Saint-Louis-de-Terrebonne. Je le nomme pas je
crois pas qu'il lise mon blog. Hé oui! On a deux nouvelles petite filles dans la
famille, Camille et Blanche, les mamans et la grand-maman catine avec elles,
c'est de la joie ces bébés là.Là je suis arrêté, je pense à la sonnerie du Ipad
et aussi au psychobilly de Robert Gordon. J'étirerai pas trop ça.Je vous
remercis d'avoir lu jusqu'ici et je sais que pour certains lecteurs ça prend de
la scatologie et du morbide. Je laisse ça a d'autre. Merci donc! À la prochaine
j'espère!!!
Bernard