lundi 8 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je m'y prend plus tôt ce soir pour voir si ça va faire une différence. Trompez vous pas je suis toujours dans le goulag occidental. À la télé y'a des publicités moi je travaille en français d'impératif français. Moi je travaille pas mais je fait affaire avec un intervenant qui parle en anglais. Je baragouine quelques mots d'anglais mais ça m'épuise déjà que j'ai de la difficultée a mettre des mots sur ce que je sens ou ressent. Je vais voir ce que je vais comprendre à Londres au Royaume Uni. Parfois je réfléchis sur les hommes de mon âge qui savent ni lire ni écrire, ça m'irrite y'en a à un endroit qui ont pas fait leurs jobs, parents? Professeurs? J'ai jamais compris comment ont pouvait vivre sans pouvoir se réfugier dans la lecture ou l'écriture, dans la création... C'est pas comme au dix neuvième siècle, y'a la télé, le cinéma, la radio et l'internet pas nécessairement dans cet ordre. Je crois que malgré tout y'avait plus d'analphabètes au dix neuvième siècles. Moi ma carence c'est les mathématiques ça a commencé tôt avec le système des réglettes, je ferai pas de calcul compliqué d'opérations. J'en suis resté aux ensembles aux sous-ensembles à la symétrie c'est tout ce que je me rappelle. Je pense à une lectrice professeur de mathématique que je salut ici. Dernièrement je suis allé à la librairie et y'avait un pourcentage de solde si on achetais deux livres. J'ai répondus au libraire que je savait pas compter. Je sais même pas comment calculer un pourboire, quinze cents pour une piastres? Quand je buvais je donnais cinquante cents à chaque bière le waiter s'en mettait plein les poches. Aujourd'hui j'aurais plus les moyens de boire et je m'ennuis pas de cette sordide maladie. Je pense à la barmaid Hélène que j'ai croisé y'a quelques années, une jolie femme à l'époque mais je crois qu'aujourd'hui elle est toute défaite. L'alcool ça tue de toutes les façons quand on est alcoolique. Ça fait une couple de blog que je vous parle de ça. Aujourd'hui je suis abstinent c'est un jour à la fois. Je serais pas supposé vous écrire tout ça, c'est personnel mais j'espère que vous allez quand même m'accueillir. Je me bat pas avec la maladie j'ai lâché prise et j'essais de croire en une puissance supérieure à la mienne qui peux m'aider. Je pense à la résignation de l'alcoolique qui veux boire à en mourrir... Tiens! Je pense à l'hôtel à Paris c'étais bien mais je crois qu'on me surveillais, encore de la paranoïa!!! Je remercie tout ces gens qui m'ont félécité d'être partis seul. J'étais quand même pas au confin de l'Amazonie. Bientôt Londres! Je vais essayer de faire quelques photos et de tenir le blog à jour. Je savais pas que j'aimerais autant l'avion et voyager. Je me rétablis lentement...Là c'est l'exposition Gottlib qui me reviens en mémoire avec son pépère pervers avec une chandelle dans le derrière, méchant malade! Mais très rigolo, un cynisme réjouissant. Pour être franc avec vous vous savez ce que j'aime boire aujourd'hui? De la bonne eau plate de l'aqueduc de Montrèal, refroidis au frigidaire y'a rien de meilleur. Bon vous avez surement autre chose a faire. Je vous remercis d'avoir lu jusqui'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 6 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous raconterais bien une histoire de char des années soixante dix mais les M.A.D.D. virerais folle. C'est pas tellement que je roulais vite, mais j'urinais et je vomissais un peu partout. J'ai pas eu de char assez longtemps pour me mettre dans le trouble. Pepa m'avait vendu son gros Oldsmobile, que j'ai jamais payé et que j'ai laissé à Baie-Comeau trop paranoïaque pour allés au garage. Bein oui! J'étais à Baie-Comeau et comme un niaiseux j'essayais de coucher au poste de police provincial. J'avais donné le numéro de téléphone de mes lecteurs de l'Outaouais et la police m'avait envoyé coucher dans une maison de thérapie, une religieuse m'avait reçu et offert une chambre avec un lit et de beau draps propres. Je me suis rendus compte des années plus tard que c'étais une maison de thérapie. J'aurais du rester là j'aurais fait moins de folies. Ce soir j'écoute de la musique country et pense à l'ami bec-de-lièvre avec qui j'avais fait le tour de la gaspésie. Encore une fois à Baie-Comeau bein saoul à la brasserie j'insultais tout le monde et je voulais manger. J'étais tellement baveux je m'en excuse aujourd'hui, ils ont essayé de m'empoisonner avec raison. Je le méritais. J'ai scrapé le tapis de la Toyota de l'ami. Jeune et fou sans savoir vivre. Des histoires de gars chauds c'est intéressant quand on désaoule et qu'on s'en sort. Je sais pas trop quoi vous écrire cette nuit, je vous parlerai pas de la honda civic que j'avais payé cent piastres et qui m'a duré tout l'été de la crise d'Oka. Je faisait Montréal Saint Charles-de-Mandeville avec ça. C'était un char à pédales on voyait l'asphalte sous le siège, méchante minoune qui m'a lâché coin Maisonneuve etOntario elle valait juste assez pour payer le towing et la sortir du chemin. Là je pense à mes voyages sur le pouce à travers la province. J'avais dis à la thérapeute, une autre, que c'étais pour me tester. J'étais chanceux il m'est pas arrivé de malheur. Samedi je pense aux gars à l'hôtel qui essaient de noyer leurs solitudes, y'a juste un bar de danseuses dans le boutte pis y'a pas assez de femmes pour toutes les gars, c'est plate, je suis pas supposé parler du passé on en parle que si c'est pour réparer. Les gars sérieux travaillaient et passaient pas leurs nuit aux toutes-nues... Je sais pas si on appelle ça avoir du vécu mais ça m'a pris du temps a réaliser que la bière j'aimais pas ça... Bon! Là je paranoïe sur la machine, je pense qu'il y a des choses qu'on ne peux pas écrire ça joue des tours. C'est pas fort ce soir. Je m'ennuis pas de ces longues nuits a délirer en écoutant de la musique à vingt ans ça va, mais quand on approche de la quarantaine faut se ranger, mais oui je suis alcoolique mais abstinent ça me change le caractère... J'ai un certain rétablissement j'hésite à vous en parler. Je suis plus tranquille bien que j'ais une anxiété. Si vous buvez encore et que vous m'avez croisé dans ma folie alcoolique je vous fait toutes mes excuses. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard
 

P.S. Quand je finis de vous écrire parfois je me sent bien. Là aussi bien que ça puisse porter à controverse. J'éxagère je suis pas si connus que ça.

jeudi 4 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'arrive pas a dormir. J'espère qu'il vas y avoir un cessez le feu en Ukraine.Mon âme est silencieuse pourtant le malaise de l'anxiété est là. Les grands poètes savent comment transformer ça en poésie. Je pense au Jades et cristaux de Campeau le premier poète que j'ai rencontré à vie. Je vous l'avoue Goulag ça été choisis à la légère mais c'est quand même le royaume de l'exil, de la faim et de la pauvreté. On se perd dans la foule de passants.Quelqu'un dans l'édifice prend sa douche j'entend la plomberie siffler. J'ai vérifié si c'étais pas la bouilloire. J'ai hate de prendre l'avion.Lentement je lis le guide Lonely Planet de Londres c'est très bien fait. J'ai commencé la lecture, j'y vais très lentement, du London Fields de Martin Amis . J'ai éteins la sonorisation de l'ordi. Je crois qu'il y a un intru. Faut pas que je confonde mal à l'âme et mal d'estomac. Le poète m'avait dédicacé "question de prendre tout son temps" pourtant j'écris souvent dans l'urgence et je me sent mieux quand j'ai terminé. Je chasse l'anxiété pour un moment c'est mieux qu'un médicament. Je déteste quand les gens appellent ça des peanuts, langage de bagnard pour un peuple d'ignorant qui préfère se faire soigner par des charlatans avec des méthodes du moyen-âge. Je crois que plusieurs serait d'accord pour dire que la saignée est une bonne méthode que ça chasse les humeurs quoi que cela veuille dire. Une saignée et une tasse de thé, menthe, verveine les granos contre attaquent et arpentent le terrain vague à la recherche d'herbe magique, on a pas assez de la laitue et du choux faut se trouver une autre plante a bouffer fraîche même si c'est une fleur. Pendant ce temps là les laboratoires cherchent la molécule dans une plante qui viens de la forêt d'amazonie, ça et un exorcisme même combat. Une pilule une petite granule et un cataplasme de moutarde, voilà de quoi soigner les fièvres... Mais je conseille pas pour Ebola qui m'a toujours fait pensés à Énola Gay le premier bombardier a laché une bombe atomique, ça prend du temps soigner l'Afrique on y crois pas. On dirais qu'ils vivent de misère. Je pense à mes amis de la Saint-Camille qui soignent cette même afrique, Grégoire qui se dévoue corps et âmes, une bonne façon de chasser l'anxiété être sur le terrain.Je commence a avoir sommeil je vais vous laisser là dessus réfléchissez. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 3 septembre 2014

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les nouvelles, les actualités. On y parle beaucoup de différent artistes dont des muralistes. J'aime beaucoup cette forme d'art mais je suis incapable de nommer le créateur à partir de son oeuvre. Pour moi les oeuvres de la rue se confondent. Comme toujours je sais pas ce que je vais vous écrire. Je pense à la photo qui accompagneras le texte et je ne sais pourquoi aux Nazi. J'ai pris mon café, ai hate de partir pour Londres. C'est la nuit les lumières du parc éclairent toujours.J'ai la tête vide, vous y croyez? Je suis pas journalistes c'est pas pour rien. Je crois que le copain a raison j'écris très mal, j'ai pas la plume gay. La poésie des victimes des abusés. Je voudrais avoir finis avant de commencer. J'essais comme toujours de faire de mon mieux. Je pense à la lectrice enceinte de l'Outaouais, le bébé est pour bientôt on m'a dis qu'elle est grosse mais c'est beau une femme enceinte. Je compte les lignes que je vous écris, pense au cours d'économie du secondaire. Le climatiseur est arrêté cette nuit on est bien c'est frais. J'entend la sonnerie du Ipad, parfois je crois que je suis sourd. Hier à la bibliothèque on m'a signalé que je parlais trop fort. Je comprend que les gens préfèrent le calme et le silence. Bon puisqu'il faut, il faut, vous parler de la commission Charbonneau ou on entend Tony Accurso, nouveau retraité, à date il a rien dis de vraiment éclairant et c'est étonnant d'entendre cet homme en fin de carrière. Les choses ne lui appartiennent déjà plus je crois.Il voulait toujours avoir de l'ouvrage d'avance pour ses employés. C'est bien mais y'en a certainement qui ont pas résisté à la pression. Ils ont pas encore parlé du fameux bateau et de qui se trouvais là, ça devait être bien arrosé.Je sais pas pourquoi je vous écris là dessus ça me regarde pas, c'est pas de mes affaires, les égouts et l'asphalte, la machinerie, les tracteurs, les pelles mécanique j'y connais rien. Je suis très loin de mon monde intérieur, chez moi y'a un parfum d'étable, je me lève tôt comme si je devais faire le train, aller traire les vaches, leurs donner du foin. Parfois quand je sort je me sent persécuté, y'a des phrases méchantes que j'arrive pas a saisir mais qui me sont destinées. Tout ça ça commence mal une journée. Je vous ai pas parlé vraiment de mon monde intérieur mais tout ça en fait partie mélangé à l'anxiété et à l'angoisse. Je suis trop bavard, le silence est plus zen...                              Je vous laisse donc sur ce silence en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

lundi 1 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Puisque j'y suis pourquoi pas en écrire un autre.C'est pas simple ce matin plusieur d'entre vous sont en congé de la fête du travail. Étrange que ce jour là soit chômé.Je vous écris ça tout lentement dans le calme de la nuit. J'ai une pensée pour les ukrainiens et pour les Syriens.Je souhaite que notre pays connaissent jamais la guerre même après le secret de Fatima "Pauvre Canada!". C'est un secret j'en invente. Retour au menu détail, j'ai mal à l'estomac. Je mange pas bien, J'essais de m'écouter me semble que je vous ai déjà tout raconté, on salut un lecteur de la région de Lanaudières. J'ai passé beaucoup de temps hospitalisé par ma volonté à l'hôpital de Joliette, eux ils avaient décidé que j'étais pas malades et m'ont laissé partir avec de vieux sous vêtements. Je me rappelle d'un patient qui écoutais le baseball sur sa radio transistor.Je pense à la quête de Brel. à l'inaccessible étoile, un impossible rêve c'est émouvant et je bûche. Je bûche en essayant malgré tout d'être ça un écrivain... L'autobus de nuit passe elle est vide peut être qu'un écarté vas y monter pour se rendre dans un quartier périphérique. Je pense à l'escouade de la moralité du maire Drapeau aux descentes dans le quartier gay, la faune nocturne j'en ai longtemps fait partie. La nuit se prête bien à tout les ébats, j'entend la musique latino au centre ville pour entré dans ces clubs là fallait montré patte blanche et être bien habillé quoi que avec quelques dollars le portier laissait passé."C'est une frangine potoricaine qui vie dans le spanish Harlem" - Bernard Lavillier, l'ancien truckeur en amérique du sud. J'aimait bien danser la salsa avec une jolie sud-américaine ce sont les seules femmes qui ne m'ont jamais refusé un pas de danse. Je me fait tout un cinéma c'est pas un plan américain vous verrez pas mon gros nez dans ce blog. Y'a ce brandy nose du commentateur sportif qui a été arrêté pour conduite en état d'ivresse. Étrange les médias n'en parlent plus, on lui sauve la peau. J'aimerais bien m'installer avec un ivresseomètre à la sortie de quelques tournois de golf...Je suis pas très très gentil cette nuit. Tout ça se passe dans ma tête, en réalité ici c'est tranquille presque mort, y'a que mes neurones qui s'agitent. Y'a mon lecteur de Repentigny qui disait que la drogue restait quatre vingt dix neuf ans dans le corps c'est faux les drogues dures disparaissent très vite mais le pot reste longtemps dans le gras du corps et le sevrage de l'alcool est très long.C'est difficile d'écrire sans blesser personne sans alimenter une polémique ne serait-ce que la niaiserie du rédacteur. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

vendredi 29 août 2014

Au présent


 Bonjour! Bonsoir! Comme souvent j'ai envie d'abandonner l'écriture. Je suis un gros beigne faut croire. Je m'écoute dans le vide de l'après midi. C'est ensoleillé il fait très beau et les ouvriers de la voirie ont finis tôt ça leurs fait une longue fin de semaine. J'ai rien d'essentiel et d'urgent a écrire. Les pleurs et les larmes se sont éloignées. Y'a cette difficultée de désoeuvré, l'ennuis. Je pense au retour en classe pour plusieur, à l'odeur de livre neuf, de papeterie. J'entend les petits garçons qui pleurent parce qu'ils ne veulent pas laisser leur maman. Je pense aux plus vieux qui changent d'écoles et qui sont prêt a tout pour se faire de nouveaux amis. Plusieurs vont faire des bêtises j'espère qu'on va les aider, qu'on ne les expulseras pas immédiatements. Moi j'avais pas de plaisirs à l'école le seul endroit qui me plaisait c'étais la bibliothèque, le silence, les livres, la lecture j'explorais d'autre mondes. Je rentrais chez moi en pleurs après m'être fait jeter dehors du collège. J'avais même pas argumenté avec le directeur, il en valait pas la peine c'était un gros morron incapable d'aider prompt a se débarasser. Je parlais avec un psychologue qui me disait que l'école c'étais pas fait pour tout le monde, que l'apprentissage est différent pour certains. J'ai aucun diplôme, je suis à lâge de la retraite et j'ai mangé beaucoup de merde à la petite cuillère, non! Non! Non! À la pelle pourtant j'ai jamais mis les pieds dans une ferme. Vous trouvez que je m'apitoie surmon sort? Aussitôt qu'on avais une case d'asignée on l'échangeait pour être avec un copain. Le cadenas à numéro que la direction coupait parfois avec des cisailles. Je laisse l'école là, on a tous nos petites histoires. Dehors les voitures klaxonnent, les bus jaunes ramènent les enfants à la maison, avant le souper ils vont regarder la télévision. Cet après-midi ça sent bon je sais pas trop pourquoi... Je pense à mes deux puéricultrices préférées et leurs enfants y'en a une autre qui s'en viens, une petite fille. Ma lectrice de l'Outaouais va être heureuse grand-mère pour une troisième fois. Je me suis créé une classe pour moi seul, des stylos, des cahiers trois trous lignés que je remplis de mon écriture toute croche, de ma calligraphie déficiente. J'ai mal appris. Je suis un malapris. Je pense à la chanson le bon gars de Desjardins. J'essais d'être un bon gars même si lui aime pas ça. Je veux pas me retrouver a chanter Chambre à Louer de Plume. Les chambres à louer j'ai assez donné. Me suis préparé un café, si vous saviez le temps perdus, mais Proust n'avait pas fréquenté le cégep. Pour écrire faut y croire, parfois j'ai la foi parfois je l'ai pas. Terminus tout le monde descend de je sais pas qui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

mercredi 27 août 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'ai le désir d'abandonner l'écriture mais pour quoi faire? Je sais pas. Quand on fait toujours la même chose on obtiens toujours les mêmes résultats. Je sais pas si le voyage à Londres est assez nouveau pour donné des résultats différents. Ce soir je me triture l'âme mon mal de tête est disparu, la routine c'est un peu le salaire du citoyen. Je cherche quoi faire de vraiment nouveau sauf sauter en parachute, j'ai trop peur.Cette semaine je suis allé pour des prises de sang j'ai pas attendu trop longtemps, c'est bien... Ce soir j'entend la circulation automobile, vous voyez bien que je me répète c'est pas de l'écriture c'est de la manie, on pense au lecteur de l'outaouais au prise avec l'herbe à poux c'est pas drôle, ça pique et ça gratte... Je pense à mes jeunes années ou je jouais dans le champ, ça me surprend de pas avoir attrapé ça plus souvent. Je m'éloigne de mon sujet qui est mon sentis. Je sent que le vide et la douleur de la solitude. J'ai rédigé un texte pour le congrès de psychiatrie citoyenne à Londres. J'y parle de mes implications a différents niveaux. Je manque d'inspiration j'ai que le bruit d'une mobylette a vous exprimer, mon âme est vide et c'est pas de la sérénité.J'ai mangé un yogourt, les médicaments font leurs travail.J'arrête pas tout de suite je veux être satisfait quand j'aurai terminé. Quelques voix dehors,Jeanne d'Arc habitais pas au deuxième, c'est pas le temps de bouter les anglais, je vais les retrouver de l'autre côté de la grand mare. Je vous l'ai peut être déjâ écris mais j'adore prendre l'avion.Je pense au cousin qui est supposé écrire dans la revue l'Itinéraire j'attend de le lire, encore une autre histoire.La semaine passé dans une fête quelqu'un m'a signaler que j'écrivais pas bien, un gay on sait bien! Eux ils ont tout les talents et fuck le reste on fait ça entre nous. Bon! Comme souvent quand je m'aventure dans ces eaux là c'est soit de la niaiserie soit de l'homophobie parait que les plus homophobes ce sont les gay dans le placard, moi je couche pas dans le garde-robe et tout de suite, tout de suite vous sautez aux conclusions. Mais non j'embrasse pas de barbus. Ouais! Je crois que j'en ai assez dis pour ce soir, je fait un clin d'oeil à mon lecteur de la rue Dorion. J'espère qu'il le prend pas personnel et je suis probablement dans le champ. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard