jeudi 4 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'arrive pas a dormir. J'espère qu'il vas y avoir un cessez le feu en Ukraine.Mon âme est silencieuse pourtant le malaise de l'anxiété est là. Les grands poètes savent comment transformer ça en poésie. Je pense au Jades et cristaux de Campeau le premier poète que j'ai rencontré à vie. Je vous l'avoue Goulag ça été choisis à la légère mais c'est quand même le royaume de l'exil, de la faim et de la pauvreté. On se perd dans la foule de passants.Quelqu'un dans l'édifice prend sa douche j'entend la plomberie siffler. J'ai vérifié si c'étais pas la bouilloire. J'ai hate de prendre l'avion.Lentement je lis le guide Lonely Planet de Londres c'est très bien fait. J'ai commencé la lecture, j'y vais très lentement, du London Fields de Martin Amis . J'ai éteins la sonorisation de l'ordi. Je crois qu'il y a un intru. Faut pas que je confonde mal à l'âme et mal d'estomac. Le poète m'avait dédicacé "question de prendre tout son temps" pourtant j'écris souvent dans l'urgence et je me sent mieux quand j'ai terminé. Je chasse l'anxiété pour un moment c'est mieux qu'un médicament. Je déteste quand les gens appellent ça des peanuts, langage de bagnard pour un peuple d'ignorant qui préfère se faire soigner par des charlatans avec des méthodes du moyen-âge. Je crois que plusieurs serait d'accord pour dire que la saignée est une bonne méthode que ça chasse les humeurs quoi que cela veuille dire. Une saignée et une tasse de thé, menthe, verveine les granos contre attaquent et arpentent le terrain vague à la recherche d'herbe magique, on a pas assez de la laitue et du choux faut se trouver une autre plante a bouffer fraîche même si c'est une fleur. Pendant ce temps là les laboratoires cherchent la molécule dans une plante qui viens de la forêt d'amazonie, ça et un exorcisme même combat. Une pilule une petite granule et un cataplasme de moutarde, voilà de quoi soigner les fièvres... Mais je conseille pas pour Ebola qui m'a toujours fait pensés à Énola Gay le premier bombardier a laché une bombe atomique, ça prend du temps soigner l'Afrique on y crois pas. On dirais qu'ils vivent de misère. Je pense à mes amis de la Saint-Camille qui soignent cette même afrique, Grégoire qui se dévoue corps et âmes, une bonne façon de chasser l'anxiété être sur le terrain.Je commence a avoir sommeil je vais vous laisser là dessus réfléchissez. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 3 septembre 2014

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les nouvelles, les actualités. On y parle beaucoup de différent artistes dont des muralistes. J'aime beaucoup cette forme d'art mais je suis incapable de nommer le créateur à partir de son oeuvre. Pour moi les oeuvres de la rue se confondent. Comme toujours je sais pas ce que je vais vous écrire. Je pense à la photo qui accompagneras le texte et je ne sais pourquoi aux Nazi. J'ai pris mon café, ai hate de partir pour Londres. C'est la nuit les lumières du parc éclairent toujours.J'ai la tête vide, vous y croyez? Je suis pas journalistes c'est pas pour rien. Je crois que le copain a raison j'écris très mal, j'ai pas la plume gay. La poésie des victimes des abusés. Je voudrais avoir finis avant de commencer. J'essais comme toujours de faire de mon mieux. Je pense à la lectrice enceinte de l'Outaouais, le bébé est pour bientôt on m'a dis qu'elle est grosse mais c'est beau une femme enceinte. Je compte les lignes que je vous écris, pense au cours d'économie du secondaire. Le climatiseur est arrêté cette nuit on est bien c'est frais. J'entend la sonnerie du Ipad, parfois je crois que je suis sourd. Hier à la bibliothèque on m'a signalé que je parlais trop fort. Je comprend que les gens préfèrent le calme et le silence. Bon puisqu'il faut, il faut, vous parler de la commission Charbonneau ou on entend Tony Accurso, nouveau retraité, à date il a rien dis de vraiment éclairant et c'est étonnant d'entendre cet homme en fin de carrière. Les choses ne lui appartiennent déjà plus je crois.Il voulait toujours avoir de l'ouvrage d'avance pour ses employés. C'est bien mais y'en a certainement qui ont pas résisté à la pression. Ils ont pas encore parlé du fameux bateau et de qui se trouvais là, ça devait être bien arrosé.Je sais pas pourquoi je vous écris là dessus ça me regarde pas, c'est pas de mes affaires, les égouts et l'asphalte, la machinerie, les tracteurs, les pelles mécanique j'y connais rien. Je suis très loin de mon monde intérieur, chez moi y'a un parfum d'étable, je me lève tôt comme si je devais faire le train, aller traire les vaches, leurs donner du foin. Parfois quand je sort je me sent persécuté, y'a des phrases méchantes que j'arrive pas a saisir mais qui me sont destinées. Tout ça ça commence mal une journée. Je vous ai pas parlé vraiment de mon monde intérieur mais tout ça en fait partie mélangé à l'anxiété et à l'angoisse. Je suis trop bavard, le silence est plus zen...                              Je vous laisse donc sur ce silence en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

lundi 1 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Puisque j'y suis pourquoi pas en écrire un autre.C'est pas simple ce matin plusieur d'entre vous sont en congé de la fête du travail. Étrange que ce jour là soit chômé.Je vous écris ça tout lentement dans le calme de la nuit. J'ai une pensée pour les ukrainiens et pour les Syriens.Je souhaite que notre pays connaissent jamais la guerre même après le secret de Fatima "Pauvre Canada!". C'est un secret j'en invente. Retour au menu détail, j'ai mal à l'estomac. Je mange pas bien, J'essais de m'écouter me semble que je vous ai déjà tout raconté, on salut un lecteur de la région de Lanaudières. J'ai passé beaucoup de temps hospitalisé par ma volonté à l'hôpital de Joliette, eux ils avaient décidé que j'étais pas malades et m'ont laissé partir avec de vieux sous vêtements. Je me rappelle d'un patient qui écoutais le baseball sur sa radio transistor.Je pense à la quête de Brel. à l'inaccessible étoile, un impossible rêve c'est émouvant et je bûche. Je bûche en essayant malgré tout d'être ça un écrivain... L'autobus de nuit passe elle est vide peut être qu'un écarté vas y monter pour se rendre dans un quartier périphérique. Je pense à l'escouade de la moralité du maire Drapeau aux descentes dans le quartier gay, la faune nocturne j'en ai longtemps fait partie. La nuit se prête bien à tout les ébats, j'entend la musique latino au centre ville pour entré dans ces clubs là fallait montré patte blanche et être bien habillé quoi que avec quelques dollars le portier laissait passé."C'est une frangine potoricaine qui vie dans le spanish Harlem" - Bernard Lavillier, l'ancien truckeur en amérique du sud. J'aimait bien danser la salsa avec une jolie sud-américaine ce sont les seules femmes qui ne m'ont jamais refusé un pas de danse. Je me fait tout un cinéma c'est pas un plan américain vous verrez pas mon gros nez dans ce blog. Y'a ce brandy nose du commentateur sportif qui a été arrêté pour conduite en état d'ivresse. Étrange les médias n'en parlent plus, on lui sauve la peau. J'aimerais bien m'installer avec un ivresseomètre à la sortie de quelques tournois de golf...Je suis pas très très gentil cette nuit. Tout ça se passe dans ma tête, en réalité ici c'est tranquille presque mort, y'a que mes neurones qui s'agitent. Y'a mon lecteur de Repentigny qui disait que la drogue restait quatre vingt dix neuf ans dans le corps c'est faux les drogues dures disparaissent très vite mais le pot reste longtemps dans le gras du corps et le sevrage de l'alcool est très long.C'est difficile d'écrire sans blesser personne sans alimenter une polémique ne serait-ce que la niaiserie du rédacteur. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

vendredi 29 août 2014

Au présent


 Bonjour! Bonsoir! Comme souvent j'ai envie d'abandonner l'écriture. Je suis un gros beigne faut croire. Je m'écoute dans le vide de l'après midi. C'est ensoleillé il fait très beau et les ouvriers de la voirie ont finis tôt ça leurs fait une longue fin de semaine. J'ai rien d'essentiel et d'urgent a écrire. Les pleurs et les larmes se sont éloignées. Y'a cette difficultée de désoeuvré, l'ennuis. Je pense au retour en classe pour plusieur, à l'odeur de livre neuf, de papeterie. J'entend les petits garçons qui pleurent parce qu'ils ne veulent pas laisser leur maman. Je pense aux plus vieux qui changent d'écoles et qui sont prêt a tout pour se faire de nouveaux amis. Plusieurs vont faire des bêtises j'espère qu'on va les aider, qu'on ne les expulseras pas immédiatements. Moi j'avais pas de plaisirs à l'école le seul endroit qui me plaisait c'étais la bibliothèque, le silence, les livres, la lecture j'explorais d'autre mondes. Je rentrais chez moi en pleurs après m'être fait jeter dehors du collège. J'avais même pas argumenté avec le directeur, il en valait pas la peine c'était un gros morron incapable d'aider prompt a se débarasser. Je parlais avec un psychologue qui me disait que l'école c'étais pas fait pour tout le monde, que l'apprentissage est différent pour certains. J'ai aucun diplôme, je suis à lâge de la retraite et j'ai mangé beaucoup de merde à la petite cuillère, non! Non! Non! À la pelle pourtant j'ai jamais mis les pieds dans une ferme. Vous trouvez que je m'apitoie surmon sort? Aussitôt qu'on avais une case d'asignée on l'échangeait pour être avec un copain. Le cadenas à numéro que la direction coupait parfois avec des cisailles. Je laisse l'école là, on a tous nos petites histoires. Dehors les voitures klaxonnent, les bus jaunes ramènent les enfants à la maison, avant le souper ils vont regarder la télévision. Cet après-midi ça sent bon je sais pas trop pourquoi... Je pense à mes deux puéricultrices préférées et leurs enfants y'en a une autre qui s'en viens, une petite fille. Ma lectrice de l'Outaouais va être heureuse grand-mère pour une troisième fois. Je me suis créé une classe pour moi seul, des stylos, des cahiers trois trous lignés que je remplis de mon écriture toute croche, de ma calligraphie déficiente. J'ai mal appris. Je suis un malapris. Je pense à la chanson le bon gars de Desjardins. J'essais d'être un bon gars même si lui aime pas ça. Je veux pas me retrouver a chanter Chambre à Louer de Plume. Les chambres à louer j'ai assez donné. Me suis préparé un café, si vous saviez le temps perdus, mais Proust n'avait pas fréquenté le cégep. Pour écrire faut y croire, parfois j'ai la foi parfois je l'ai pas. Terminus tout le monde descend de je sais pas qui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

mercredi 27 août 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'ai le désir d'abandonner l'écriture mais pour quoi faire? Je sais pas. Quand on fait toujours la même chose on obtiens toujours les mêmes résultats. Je sais pas si le voyage à Londres est assez nouveau pour donné des résultats différents. Ce soir je me triture l'âme mon mal de tête est disparu, la routine c'est un peu le salaire du citoyen. Je cherche quoi faire de vraiment nouveau sauf sauter en parachute, j'ai trop peur.Cette semaine je suis allé pour des prises de sang j'ai pas attendu trop longtemps, c'est bien... Ce soir j'entend la circulation automobile, vous voyez bien que je me répète c'est pas de l'écriture c'est de la manie, on pense au lecteur de l'outaouais au prise avec l'herbe à poux c'est pas drôle, ça pique et ça gratte... Je pense à mes jeunes années ou je jouais dans le champ, ça me surprend de pas avoir attrapé ça plus souvent. Je m'éloigne de mon sujet qui est mon sentis. Je sent que le vide et la douleur de la solitude. J'ai rédigé un texte pour le congrès de psychiatrie citoyenne à Londres. J'y parle de mes implications a différents niveaux. Je manque d'inspiration j'ai que le bruit d'une mobylette a vous exprimer, mon âme est vide et c'est pas de la sérénité.J'ai mangé un yogourt, les médicaments font leurs travail.J'arrête pas tout de suite je veux être satisfait quand j'aurai terminé. Quelques voix dehors,Jeanne d'Arc habitais pas au deuxième, c'est pas le temps de bouter les anglais, je vais les retrouver de l'autre côté de la grand mare. Je vous l'ai peut être déjâ écris mais j'adore prendre l'avion.Je pense au cousin qui est supposé écrire dans la revue l'Itinéraire j'attend de le lire, encore une autre histoire.La semaine passé dans une fête quelqu'un m'a signaler que j'écrivais pas bien, un gay on sait bien! Eux ils ont tout les talents et fuck le reste on fait ça entre nous. Bon! Comme souvent quand je m'aventure dans ces eaux là c'est soit de la niaiserie soit de l'homophobie parait que les plus homophobes ce sont les gay dans le placard, moi je couche pas dans le garde-robe et tout de suite, tout de suite vous sautez aux conclusions. Mais non j'embrasse pas de barbus. Ouais! Je crois que j'en ai assez dis pour ce soir, je fait un clin d'oeil à mon lecteur de la rue Dorion. J'espère qu'il le prend pas personnel et je suis probablement dans le champ. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 26 août 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Petit matin,je pense que la source est taris que je suis à sec de mots.Je suis trop bavard, on fait pas de poésie avec du babillage."terminus tout le monde descend" et "Crisse moé pas la Carole" de je sais pas qui.Il fait encore noir dans le goulag. Je pense à mon lecteur critique d'art y'a un article sur son ami le poète Rolland Giguère sur la page Facebook dédié à Jacques Ferron. Le climatiseur ronronne ce matin je suis anxieux, je vais rencontré la directrice de l'institut elle m'impressionne. On va préparé ce que je vais dire au colloque, j'ai déjà envoyé un court texte. J'ai hate d'entendre ce qu'elle vas en dire. Je sais pas si elle l'a reçu.Les lumières du parc sont éteintes. Au risque de vous écoeurer je rote. Je pense aux itinérants à ces dernières nuits chaudes ou le besoin de trouver un abri est moins pressant on meurs pas de froid à vingt huit degrés. Par contre on peux mourrir d'overdose, d'épuisement.... Le mois se termine les gens attendent avec impatience le dépôt de la sécurité du revenu. Je crois que certains reçoivent leurs chèques à l'accueil Bonneau dans un ultime effort pour se prendre en main. Hier j'ai regardé un documentaire sur Paris avec un autre oeil parce que j'y suis allé, en attendant je vais essayer de m'interessés à Londres puisque j'y vais fin septembre. Je crois que je vais marcher dans Hyde park et pour m'y rendre je vais faire attention de pas me faire frapper par les voitures circulation inverse oblige. Je vais essayer de photographier un bobby ces policiers typiquement Londoniens. Une autre chanson en tête "Je voudrais te dire que je t'attend" Michel Jonaz. Je sais pas qui j'attend... C'est toujours la nuit, je vais me faire un autre café, me souviens d'une copine qui n'aimait pas que je reste debout la nuit... Parfois c'est pour ça que je préfère vivre seul. Étrangement je pense aux nouvelles étiquettes "Attendris mécaniquement" qu'on va mettre sur les emballages de viande. Je deviendrai pas véggan pour ça.Le café est très chaud et noir. Aujourd'hui je vous laisse là dessus faut que je me rase et me mette beau pour madame la directrice. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 23 août 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C'est la nuit, dehors une motocyclette grosse cylindrée passe. Je vais me faire un café.J'ai appris par la toile que c'étais le quarantième anniversaire de mariage d'un cousin. Félicitation!!! Ce soir j'ai pas eu de place pour mon grand vide je me suis couché avant. Cette semaine je rencontre quelqu'un qui m'impressionne beaucoup, la directrice de l'institut. On se prépare pour le séjour à Londres.Je m'écoute j'essais d'entendre ce que dis ce grand vide nocturne.Au C.L.S.C.y'avait ces affiches qui disait de diminuer sa consommation de drogue dure, de ce temps ci y'a beaucoup de morts par overdose. Je me demande si le meurtre mène à la philosophie peut être pas mais surementà la schizophrénie. Quoique j'ai jamais tué personne et je traine ma folie depuis des années. Y'a un copain qui est intransigeant avec les mots ils dis qu'a l'institut Pinel ce sont des cellules quand les autorités désignent ça comme des chambres. Je crois qu'il a raison plusieurs y sont renfermés. Je suis loin de mes sentiments, de mon soliloque... Je pense à l'écrivain Gilles Archambault. Dans ce babillage ça me dis de me censurer de pas tout dire mais les mots se précipitent dans le gouffre expérientiel. Cette semaine j'ai eu une critique gay de mon écriture on apprécie pas, sauf que on peux ne pas apprécier mais pourquoi pas essayer de faire mieux. Me v'là rendu à Boca Raton je crois que c'est en Louisiane. C'est juste un rêve de bayou. Ce qui ressemble le plus à ça ici ce sont les îles de Sorel. Les repas de poissons y sont très bon, la gibelotte quel délice!!! Lentement je me calme essais d'envoyer ça comme une prière. Je pense à la physionomie dure du pusher, il a l'air méchant et il l'est. Il me fait peur. J'ai pas affaire à lui je ne consomme plus. Écouter la chanson du groupe de Steppenwolf. Une pensée encore pour tout mes lecteurs de l'Outaouais, ils savent à quel propos. Cette nuit je me rappelait comment j'étais malade au vingt cinquième anniversaire de mariage de mes parents, la schizophrénie me prenait lentement mes jeunes années. J'ai eu beau me débattre la mort psychique prenait place.Expérience marquante avec l'irrespect des valeurs morales. Les bonnes valeurs sont éternelles mais je peux pas vraiment dire que la maladie passait par là. Je me rappelle cette immense solitude, cette lourdeur a me levé le matin. Ce copain qui disait que les vrais schizophrènes se tranchaient le pénis. C'est toujours la nuit le climatiseur ronronne, je crois pas qu'écrire ça met de l'ordre dans mes pensées. Je reviens toujours à ces nuits passées dans la discothèque rock'n'roll... Je sais pas si mon lecteur responsable des soins spirituel me lis toujours. Je sais Outremont c'est loin... Hé oui! J'avais rejeté toutes formes de spiritualité et j'y suis revenus ça va mieux. Que Ta volonté soit faite...Une force supérieure à la mienne ça adonne bien c'est dimanche. Pour ceux qui aiment pas lisez autre chose. Pour ceux qui aiment merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

P.S. Un lecteur m'informe que Boca Raton c'est en Floride