mercredi 16 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris toujours de mon goulag, chimique celui là, je le traine avec moi. Aux actualités françaises ils ont montré deux fois l'hôtel ou j'étais logé à Paris. Je voudrais voux expliquer ce sentis d'être en prison et surveillé quoi que je fasse. Les asiles modernes on les portes sur soi on en sort pas. C'est difficile a expliquer ce sentiment d'être au prise avec un envahisseur et aussi avec un ressentis de la mort. Je crois que les gens qui ne veulent pas se faire soigner en psychiatrie ont peur de ce ressentis. Je suis fou et autour de moi je vie avec les fous. Quand je vous écris comme ça c'est une cinquième dimensions, la quatrième est de l'ordre des "hallucinations". Je fait carrière de fou parfois j'ai peur.Ils me traquent ou que j'aille quoi que je fasse bien attaché par mes chaines virtuelles. Je trouve pas les mots pour vous expliquer, y'a quelqu'un de puissant qui veux ma peau. J'arrive jamais a expliquer cette synchronicité paranoïaque.On me laisse aller ou je veux sachant que comme le bon vieux toutou je reviendrai au bercail.C'est aussi ça le stigma la vision de celui qu'on ne vois pas. Je peux plus en sortir de la folie, mes implications à l'institut c'est a se demander si les bons vieux préposés ont pas raison sur ce retour à l'asile mais par une autre porte. Y'a longtemps que je n'enquête plus.L'asile d'aujourd'hui c'est un peu le rhizôme de Deleuze la déterritorialisation, l'asile là, le sommeil là, la bouffe là, le jeux là, la spiritualité là d'un territoire on passe à plusieur et ça donne le rhizôme. Ici y'a beaucoup d'orgueil je résumerai pas l'anti-oedipe en deux lignes. Mais folie elle est pas intellectuelle elle est sentis, une angoisse extrème. C'est quand même un monde que je connais de là ma difficultée a en sortir. On fait pas nos heures aux même endroit c'est tout. Je pense aux sbires de la reine, à la gouverneure générale qui m'a donné un hug. Je verrai jamais le bout de cette folie ont va m'enterré avec. J'y arrive pas! J'y arrive pas! À vous décrire de quoi je me fait complice. Je suis rangé et je le répète j'ai quand même peur. "Qu'est ce que j'ai fait au monde pour qu'on m'emferme ici pour le reste de ma vie"-Luc Plamondon. Je vous laisse en essayant de me calmer et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 14 juillet 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Il est minuit quatre et ça me tente pas de développer un textes sur toute les choses atroces qui se passent dans le monde. Juste d'y penser j'ai mal au coeur. Je me questionne sur la pertinence du nom goulag pour mon blog disont que je suis au camp de la camisole chimique. La fête des français est terminée semble que c'est la deuxième plus grande armée du monde occidental. Ai mangé un yogourt et des puddings à la vanille, ce soir je suis habité par la niaiserie. J'écoute le bla-bla de Rédio-Kénada. Je sais pas si vous avez remarqué mais maintenant je me censure.À la radio un chanteur raconte qu'en voyageant il s'est rendu compte qu'il est français. Je sais comme Brel l'a chanté on a pas "l'élégance d'être nègre"je suis juste un petit blanc. Ils parlent du gangsta rap à la radio. Je pense à un lecteur chef garde-manger à Sherbrooke. Je crois qu'il aime bien la culture musicale rap. Tiger Nain c'est son nom j'aimerais bien tagger un mur avec lui. Je regarde l'heure la nuit avance, Vallières écrivait que nous sommes les "nègres blanc d'amérique". Je crois que c'est encore plus vrais dans le goulag ou y'a une concentration de soupe populaire et de programme gouvernementaux qui font à peine vivre. C'est pour réintégrer le monde du travail qu'ils disent mais quand une semaine de travail paye pas un mois de loyer on est dans la merde, excusez moi!!! Ce week-end y'en a un qui a trouvé le moyen de casser les vitres de l'abri-bus... J'ai démarré le climatiseur, parfois je disait des choses vraisemblables mais la matriarche m'envoyait me coucher. Non! Non! Envoyez moi pas à la boucherie je risque d'attraper la crève dans le frigidaire a transporter des quarts de boeuf. Je suis pas Rocky. L'hymne national bolchévique à la radio. Je me suis mis au garde à vous en bobette. Mais oui on peux travailler dans le goulag mais faut quand même faire les banques alimentaires. La soupe coute cher. Brel chantait aussi "ces gens là" c'est moi sans grands moyens financiers et faisant peur à mon prochain même au camelot du magazine des itinérants. Je vais essayer de faire plus long cette nuit question de vous en donner pour votre argent. Un peu plus tôt ce soir je me demandait comment et pourquoi j'avais en tête le liste de différents poètes et romanciers. Je suis pas prof de littérature et je me demande ce que ça a donné de lire tout ça. Je me suis juste perdus dans les mots. Je crois que j'ai déjà abordé ce thème disont que la lecture c'est pour garder un niveau de langage acceptable pour parler à des cadres. Bein non!!! Bein non!!!  Je parle pas de peinture je parle de directeur adjoint. Bon!!! Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

dimanche 13 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Y' a de mes lecteurs qui sont certainement encore debout à Kantley dans l'outaouais. J'espère qu'ils auront pas un trop gros hangover. Je regrettais de pas être là.J'aurais bien aimé me mesurer aux champions lanceurs de poches. C'est tranquille au goulag cette nuit. Un itinérant fouille dans les bacs à recyclage, pendant la soirée on a eu un feu d'artifice, la manne pour les ramasseurs de bouteilles. Bon! Me voilà de retour ce matin je vous ai laissé en plan pendant la nuit. Pour ceux qui ont fêté j'espère que le lendemain est pas trop éprouvant. Je cherche a faire quelque chose de nouveau pour avoir des résultats différents si vous avez une idée faites là moi parvenir. Ce matin c'est gris il pleut. J'ai les sourcils qui allongent. Je suis pas trop inspiré. Je compte les mots. Je tourne à vide j'hésite sur ce que je devrais vous écrire. Je pense à Israël et à la Palestine, ils auront jamais finis... Me suis fait un café, ai mis mes culottes, pense au pion dans la b.d. du grand Duduche. J'ai réellement mais réellement rien a écrire ce matin. Je me force je crois être légèrement dépressif. Le voisin est hospitalisé je crois qu'il prenait du speed dans le goulag c'est courrant et même épeurant. Quand j'écris là dessus je le dénigre mais vous le connaissez pas. Je demande à Dieu un peu d'inspiration pas pour la récompense mais pour me sentir mieux, faut que je cherche l'humilité mais je vous avouerai que j'ai pas grand orgueil a me faire. J'ai pas lu les actualités. Je sais pas ce qui s'est passé cette nuit. Je pense encore à Paris aux marchés sur les boulevards. J'y retournerais bien. Dimanche, dimanche triste..."Natacha moi je reste attaché" Écrire c'est parfois difficile je trouve rien d'intérêt et je répète. Ouais avant de trop vous ennuyer je vous laisse là-dessus et je place une photo de vieux char pour faire plaisir à mes lecteurs amateurs. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 10 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Avez vous quelque chose de nouveau a faire a me proposer? Semble qu'a toujours faire la même chose on obtiens les mêmes résultats. Ça me fait pensés a mon travail sur une petite chaîne de montage c'étais long monotone et ennuyeux. Semble que dans la vie on y échappe pas à la routine, ça me donne envie de repartir.Le travail c'est ce boulet et cette chaîne qu'on traine pour se loger et manger. Cette nuit je pensais au temps ou je faisait de l'entretien ménager. J'ai été incapable de me résigner, de me contenter de ce boulot.C'est déjà vieux ça fait longtemps. Au travail j'ai pas toujours été honnête, ailleurs aussi, je fais amendes honorables. Comme souvent je manque d'inspiration, je pense aux filles de Regina Asumpta quand j'étais jeune. Elles sont surement arriver a quelque chose avec une bonne éducation. Ce soir j'ai envie de cruiser sur mon blog si y'a une femme célibataire qui me lis et qui voudrais aller prendre un café qu'elle me fasse signe, le quartier latin est pas loin... Il me semble que je vous ai tout raconté ma vie. J'ai de la difficulté a me réinventer... Je pense à ce lecteur écrivain qui veux être publié dans LItinéraire, le journal des itinérants je crois qu'il voulait me passés un message. Je suis un pauvre con... Pas beaucoup d'estime de moi même. Je suis pas assez compliqué pour faire simple et juste assez simple pour faire compliqué. Ça me rend quand même heureux d'écrire. Je me fait vieux ce sont les insomnies parfois je me sent comme l'équipe brésilienne battues lavées sept à un par l'allemagne. En finale ce seras l'Argentine contre l'Allemagne, "Ich bin Bernard" pas fort en langue germanique. Je pense à Lili Marlène et je ferai pas l'analyse d'Heidegger ici, la polémique c'est que c'était un philosophe nazi. Un grand penseur à qui ont eu affaire Hanna Arendt et Emmanuel Levinas mais c'est pas simple ces choses là, la philosophie de haut vol. Je sais pas lire le grec incapable de lire Platon dans le texte. N'empêche je mène une vie platonique et ça me vas bien. J'ai l'esprit tranquille. J'écris une chose et son contraire.Bon! Je cesse de radoter et termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mardi 8 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur est toujours debout dans la nuit. Il a  démarré le climatiseur.J'écoute pour savoir comment je me sent, je suis encore tout endormie bien que l'écran m'éveille lentement. J'ai une pensée pour ma lectrice réceptionniste à Terrebonne.J'essaie d'écrire un texte qui vous plairais. Je m'ennuis de mes radonnées de vélo jusqu'en outaouais c'étais le bon temps avec les copains. Y'avait aussi le train le wagon-restaurant ou on prenais joyeusement un coup. Je suis nostalgique cette nuit. Semble qu'un couple d'amis de Hull prend bientôt l'avion pour Vancouver. Chanceux! Je reviens en enfance au centre d'achat Forest qui semblait très loin mais qui étais à deux ou trois coins de rues près de l'école que ma lectrice de l'Outaouais fréquentais. Je crois qu'à cette époque c'était encore les filles avec les filles les petits gars avec les petits gars. Y'a juste un peu plus d'un an qui nous sépare pourtant on a jamais fréquenté la même école et c'est sans parler des copains qui fréquentaient le Mont-Saint-Louis.J'étais bien seul dans cette polyvalente au début on était un trio, Pierre, Marc et moi. Marc est vite partis, Pierre étais sérieux j'étais donc seul a faire le pitre. J'ai le parfum du matériel scolaire dans le nez, il est un peu tôt pour parler de la rentrée c'est le temps de s'amuser de trouver un job d'été ma lectrice étais caissière au magazin de matériaux de constructions. Vous souvenez vous du camping Kelly à Sainte-Julienne c'étais pas très loin en voiture. Parfois y'avait des danses dans la salle communautaire on était un peu jeune pour ces choses là. Je fabule, j'en invente je sais une chose c'est qu'il y avait beaucoup de lecture, La Patrie, Le Petit journal, Photo Journal, Montréal Matin, Dimanche Matin et c'est sans parler des revues de bandes dessinées et des photos romans. Je me rappelle à l'abri de la pluie qui faisait des tocs tocs sur la toile de la tente. J'étais dans un autre monde. Non! Non! Non! Je vous raconterai pas encore une fois ma faillite avec le Montréal Matin.... Le monde était étrange et j'avais déjà tout les vices. Me semble que j'étais à ma place dans une bande dessinée, Tintin, Astérix, La rubrique-à-brac, Achille Talon. Spirou, Batman, Superman et beaucoup d'autre ce sont ces mondes que je fréquentais en écoutant les disques de France Gall, Sylvie Vartan, Françoise Hardy que ma soeur achetait. Je sais pas si tout ça est bien réel on allait encore à la messe le dimanche avec notre foi d'enfant. Voilà bientôt y'auras l'odeur de cuir cartonné... Je pense à mes lectrices puéricultrices qui accueillent les enfants à l'année nous on avait pas ça. Maman nous gardais et parfois nous faisait des jeux comme de la pâte a modeler colorée faite avec de la farine. Bon c'est assez pour cette nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 6 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! On commence la semaine avec un beau gros bazou stationné dans le goulag occidental. Une pensée pour notre collectionneur de Deux-Montagnes.Cette semaine votre serviteur s'est fait couper les cheveux une coupe entre le militaire et la gay. J'arrive pas a me décider en tout cas j'ai les oreilles bien dégagées. Hier c'étais les feux d'artifices dans le goulag comme  à mon habitude je me suis couché avant qu'ils éclatent. "Si j'avais un char ça changerais ma vie j'irais me promener su'l bord de la gaspésie"-Le grand Stephen Faulkner. Le Québec est en émoi Eugénie Bouchard a presque gagné Winbledon, reste a savoir si sa progression va continué hier y'avait pas foule aux terrains de tennis du goulag. j'ai réglé la minuterie du climatiseur.Il est trois heure dix sept c'est la nuit.Comme toujours j'ai le propos éparpillé.Je sais pas! Je sais pas! Je sais pas! Tranquille dans le goulag, je pense aux barrages policiers pour intercepter ceux qui boivent et prennent le volant. Un char c'est la responsabilité qui vas avec le permis de conduire. Un couche-tard parle seul sur le trottoir. Le last-call est donné on rentre chez soi après avoir ramassé les restants comme disait l'autre. Je sais pas si certain de mes lecteurs de la région montréalaise se souviennent du Lux sur St-Laurent, un endroit ou on pouvait aller chiller après les heures. Un endroit ou on pouvais terminer la nuit en regardant des revues en mangeant une bouchée. C'étais sans alcool mais quelqu'un de débrouillard pouvait y apprendre ou on en servait après les heures.Je pense au côté affectif de la consommation à comment on trouve jamais ce qu'on cherche, une cendrillon ou un beer buddy.Passé la nuit dans un "hole in the wall" comme dis l'ami recherchiste. C'est pas tellement le sexe comme la présence a remplir cette immense solitude, ce vide dans l'âme.La nuit tout les chats sont gris, j'étais pas gris j'étais saoul avec aucun désir de rentrer chez moi. Je cherchais je sais pas quoi mais je cherchais et j'ai jamais trouvé que le malheur et la douleur. Dehors des voix, chez moi j'entend une douche.Quelqu'un essais de se refroidir, à l'intérieur c'est torride. Tout à coup un vieux parfum, une odeur de l'ancien temps après l'école au début des vacances on se préparait pour aller jouer dans le champ ou faire un peu de mécanique en réparant une crevaison sur la bicyclette. La matriarche voulait m'envoyer au garage chez Gendron mais moi j'y tenais pas. J'étais trop peureux et trop gêné. Là je pense au plancher de ciment  coulé en aidant monsieur Raymond, si tôt finis si tôt retourné chez moi. J'avais pas compris que je devais rester là pour travailler. Comme travail voilà ce que je vous donne cette nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 3 juillet 2014

Au présent

Bonjout! Bonsoir! Encore debout à pas d'heure! En prenant le lait pour le café dans le frigo j'ai humé le parfum, d'autre dirait l'odeur, du fromage d'Oka.Moi et le fromage j'en ai de toute les sortes, cheddar, bleu, fondu,fumé, camembert, suisse, et plus. J'adore ça.Cette semaine les denturologistes semblent suivre ma trace deux appels d'entretien pour mes prothèses... Les prothèses dentaires un sujet tabou sauf pour la femme qui fait la publicité du fixatif. Vous voyez c'est comme toujours dans le goulag occidental des sujets banals et j'ai encore beaucoup de croûte pour faire des phrases qui ont du sens. Je pense à mon lecteur critique d'art m'excuse si je l'ai blessé dans mon blog précédent c'étais pas mon intention. "Les uns et les autres"un film de Lelouch que j'avais bien aimé. J'en suis un des autres.Non! Non! Non! Je me prend pas pour un autre juste moi c'est déjà assez. J'entend l'autobus terminus tout le monde descend c'est une phrase que je trouve très musicale. Oui, avant j'écrivais avec une espèce de musique en moi maintenant je la cherche note pas note, je compose. Je sort chaque phrase du tumulte, vous me direz ça fait pas une symphonie mais je me réclame plus du free jazz. Comment allez vous? Avec le rythme on peux pas tricher il est là et ça y est. Il est absent et on se plante. Je suis pas Verlaine je suis pas Rimbaud ni Baudelaire. Je met beaucoup d'air sous tout ces mots c'est pour vous plaire. Je bois beaucoup d'eau fait comme le maire de Toronto.Allô! Allô! Allô! Trois fois la terre, trois fois le go et la misère j'en parle pas trop, c'est de mon père anti-héros sans caractère je broie des os.Je voie la mer comme un idiot je fait des vers sans mystère sans repos. Bon! Ça veux dire ce que ça veux dire. J'ai toujours les grands poètes du dix neuvième siècle en tête et souvent je pense aux notre Giguère, Miron, Francoeur, Langevin, Vanier, Godin j'ai jamais entendu parler d'une terre aussi fertile en poète que la notre. On y arrive jamais au pays c'est peut être pour ça qu'on prend soin de nommer les choses, une nomanclature qui s'arrêteras pour mieux repartir une fois le pays fait. Moi là dedans au goulag occidental les jeunes filles trouvent que je suis une pute. Je mange dans toutes les auges. Elles ont raison je suis un pauvre cave mais je vais pas plus loin et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard