mardi 8 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur est toujours debout dans la nuit. Il a  démarré le climatiseur.J'écoute pour savoir comment je me sent, je suis encore tout endormie bien que l'écran m'éveille lentement. J'ai une pensée pour ma lectrice réceptionniste à Terrebonne.J'essaie d'écrire un texte qui vous plairais. Je m'ennuis de mes radonnées de vélo jusqu'en outaouais c'étais le bon temps avec les copains. Y'avait aussi le train le wagon-restaurant ou on prenais joyeusement un coup. Je suis nostalgique cette nuit. Semble qu'un couple d'amis de Hull prend bientôt l'avion pour Vancouver. Chanceux! Je reviens en enfance au centre d'achat Forest qui semblait très loin mais qui étais à deux ou trois coins de rues près de l'école que ma lectrice de l'Outaouais fréquentais. Je crois qu'à cette époque c'était encore les filles avec les filles les petits gars avec les petits gars. Y'a juste un peu plus d'un an qui nous sépare pourtant on a jamais fréquenté la même école et c'est sans parler des copains qui fréquentaient le Mont-Saint-Louis.J'étais bien seul dans cette polyvalente au début on était un trio, Pierre, Marc et moi. Marc est vite partis, Pierre étais sérieux j'étais donc seul a faire le pitre. J'ai le parfum du matériel scolaire dans le nez, il est un peu tôt pour parler de la rentrée c'est le temps de s'amuser de trouver un job d'été ma lectrice étais caissière au magazin de matériaux de constructions. Vous souvenez vous du camping Kelly à Sainte-Julienne c'étais pas très loin en voiture. Parfois y'avait des danses dans la salle communautaire on était un peu jeune pour ces choses là. Je fabule, j'en invente je sais une chose c'est qu'il y avait beaucoup de lecture, La Patrie, Le Petit journal, Photo Journal, Montréal Matin, Dimanche Matin et c'est sans parler des revues de bandes dessinées et des photos romans. Je me rappelle à l'abri de la pluie qui faisait des tocs tocs sur la toile de la tente. J'étais dans un autre monde. Non! Non! Non! Je vous raconterai pas encore une fois ma faillite avec le Montréal Matin.... Le monde était étrange et j'avais déjà tout les vices. Me semble que j'étais à ma place dans une bande dessinée, Tintin, Astérix, La rubrique-à-brac, Achille Talon. Spirou, Batman, Superman et beaucoup d'autre ce sont ces mondes que je fréquentais en écoutant les disques de France Gall, Sylvie Vartan, Françoise Hardy que ma soeur achetait. Je sais pas si tout ça est bien réel on allait encore à la messe le dimanche avec notre foi d'enfant. Voilà bientôt y'auras l'odeur de cuir cartonné... Je pense à mes lectrices puéricultrices qui accueillent les enfants à l'année nous on avait pas ça. Maman nous gardais et parfois nous faisait des jeux comme de la pâte a modeler colorée faite avec de la farine. Bon c'est assez pour cette nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 6 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! On commence la semaine avec un beau gros bazou stationné dans le goulag occidental. Une pensée pour notre collectionneur de Deux-Montagnes.Cette semaine votre serviteur s'est fait couper les cheveux une coupe entre le militaire et la gay. J'arrive pas a me décider en tout cas j'ai les oreilles bien dégagées. Hier c'étais les feux d'artifices dans le goulag comme  à mon habitude je me suis couché avant qu'ils éclatent. "Si j'avais un char ça changerais ma vie j'irais me promener su'l bord de la gaspésie"-Le grand Stephen Faulkner. Le Québec est en émoi Eugénie Bouchard a presque gagné Winbledon, reste a savoir si sa progression va continué hier y'avait pas foule aux terrains de tennis du goulag. j'ai réglé la minuterie du climatiseur.Il est trois heure dix sept c'est la nuit.Comme toujours j'ai le propos éparpillé.Je sais pas! Je sais pas! Je sais pas! Tranquille dans le goulag, je pense aux barrages policiers pour intercepter ceux qui boivent et prennent le volant. Un char c'est la responsabilité qui vas avec le permis de conduire. Un couche-tard parle seul sur le trottoir. Le last-call est donné on rentre chez soi après avoir ramassé les restants comme disait l'autre. Je sais pas si certain de mes lecteurs de la région montréalaise se souviennent du Lux sur St-Laurent, un endroit ou on pouvait aller chiller après les heures. Un endroit ou on pouvais terminer la nuit en regardant des revues en mangeant une bouchée. C'étais sans alcool mais quelqu'un de débrouillard pouvait y apprendre ou on en servait après les heures.Je pense au côté affectif de la consommation à comment on trouve jamais ce qu'on cherche, une cendrillon ou un beer buddy.Passé la nuit dans un "hole in the wall" comme dis l'ami recherchiste. C'est pas tellement le sexe comme la présence a remplir cette immense solitude, ce vide dans l'âme.La nuit tout les chats sont gris, j'étais pas gris j'étais saoul avec aucun désir de rentrer chez moi. Je cherchais je sais pas quoi mais je cherchais et j'ai jamais trouvé que le malheur et la douleur. Dehors des voix, chez moi j'entend une douche.Quelqu'un essais de se refroidir, à l'intérieur c'est torride. Tout à coup un vieux parfum, une odeur de l'ancien temps après l'école au début des vacances on se préparait pour aller jouer dans le champ ou faire un peu de mécanique en réparant une crevaison sur la bicyclette. La matriarche voulait m'envoyer au garage chez Gendron mais moi j'y tenais pas. J'étais trop peureux et trop gêné. Là je pense au plancher de ciment  coulé en aidant monsieur Raymond, si tôt finis si tôt retourné chez moi. J'avais pas compris que je devais rester là pour travailler. Comme travail voilà ce que je vous donne cette nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 3 juillet 2014

Au présent

Bonjout! Bonsoir! Encore debout à pas d'heure! En prenant le lait pour le café dans le frigo j'ai humé le parfum, d'autre dirait l'odeur, du fromage d'Oka.Moi et le fromage j'en ai de toute les sortes, cheddar, bleu, fondu,fumé, camembert, suisse, et plus. J'adore ça.Cette semaine les denturologistes semblent suivre ma trace deux appels d'entretien pour mes prothèses... Les prothèses dentaires un sujet tabou sauf pour la femme qui fait la publicité du fixatif. Vous voyez c'est comme toujours dans le goulag occidental des sujets banals et j'ai encore beaucoup de croûte pour faire des phrases qui ont du sens. Je pense à mon lecteur critique d'art m'excuse si je l'ai blessé dans mon blog précédent c'étais pas mon intention. "Les uns et les autres"un film de Lelouch que j'avais bien aimé. J'en suis un des autres.Non! Non! Non! Je me prend pas pour un autre juste moi c'est déjà assez. J'entend l'autobus terminus tout le monde descend c'est une phrase que je trouve très musicale. Oui, avant j'écrivais avec une espèce de musique en moi maintenant je la cherche note pas note, je compose. Je sort chaque phrase du tumulte, vous me direz ça fait pas une symphonie mais je me réclame plus du free jazz. Comment allez vous? Avec le rythme on peux pas tricher il est là et ça y est. Il est absent et on se plante. Je suis pas Verlaine je suis pas Rimbaud ni Baudelaire. Je met beaucoup d'air sous tout ces mots c'est pour vous plaire. Je bois beaucoup d'eau fait comme le maire de Toronto.Allô! Allô! Allô! Trois fois la terre, trois fois le go et la misère j'en parle pas trop, c'est de mon père anti-héros sans caractère je broie des os.Je voie la mer comme un idiot je fait des vers sans mystère sans repos. Bon! Ça veux dire ce que ça veux dire. J'ai toujours les grands poètes du dix neuvième siècle en tête et souvent je pense aux notre Giguère, Miron, Francoeur, Langevin, Vanier, Godin j'ai jamais entendu parler d'une terre aussi fertile en poète que la notre. On y arrive jamais au pays c'est peut être pour ça qu'on prend soin de nommer les choses, une nomanclature qui s'arrêteras pour mieux repartir une fois le pays fait. Moi là dedans au goulag occidental les jeunes filles trouvent que je suis une pute. Je mange dans toutes les auges. Elles ont raison je suis un pauvre cave mais je vais pas plus loin et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 30 juin 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce soir y'a un parfum d'écurie, pourtant je fait pas de pénicilline!!! Une pensée toute spéciale pour mon lecteur de l'Outaouais dont c'est l'anniversaire aujourd'hui et on en a une aussi pour l'ami critique d'art, mais oui je suis un oiseau de nuit mais je vole bas. Je peux pas dire que c'est chouette. Comme toujours c'est de démarrer qui est difficile. Fête du Canada voyez vous ça au goulag occidental on célèbre pas ça on accepte quand même le congé. Je sais qu'il y a des endroits ou on célèbre soit la fête nationale soit la fête des anglais mais pas les deux. C'est un beau temps pour aller à la plage Doré en chantant Blue jeans sur la plage. Ce soir j'y arrive vraiment pas je vous remercie de vos encouragement. Je met pas le drapeau en berne tout de suite. Je sais pas si y'en a de vous qui suivent la coupe du monde de la FIFA, bein non je le ferai pas le jeux de mot homophobe, on a presque eu un match France-Algérie mais la machine allemande est passée par là. Quand aux fans on en parleras pas, fans dans le vrai sens de fanatique. Ils avaient qu'a voir une journaliste et une caméra et ils entraient dans l'excès jubilatoire mais pour moi c'est quand même "Allez les bleu" et bravo aux Super Dupont vous faites honneur au terroir français. Il est trop tôt pour que j'achète ma baguette mais vous devriez me voir devant mon ordi le béret sur la tête, un pull comme ils disent, kangourou et les bobette fraîche du matin manque juste le paquet de Gauloise ou de Gitanes si ça existe encore et le litre de gros rouge qui tache. Ce soir c'est pas mal dans les parfums les odeurs, je pense aux fromage français au bleu ce si bien nommé.Pour les français y'a encore loin de la coupe aux lèvres mais on aimerait ça avoir une belle parade sur les champs Élysée. Ça ferait un motif différent des grèves pour se réunir. Je sais pas si mon lecteur praticien ressource retraité et coach dans ses temps libres prédit quelques choses. Faudrait demandé à son fils joueur à la retraite et maintenant commentateur à la télé.Avant les gens célébraient à la messe maintenant la grand messe c'est la coupe du monde.. Bein oui ce soir la fenêtre télévisuelle m'a amenées ailleurs que dans le goulag. Je pense au coq un point commun entre mon designer retraité et les Bleu. Bon! Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
 

Bernard

vendredi 27 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce matin je suis somnanbule. Je croyais avoir pris un rouleau de papier d'emballage mais il est toujours à sa place. Le goulag occidental est redevenu calme le voisin est partis se faire soigner. Minuit dix début de la nuit hier je réfléchissais au fait d'être seul à cette espèce de vide dans l'âme que ça cause. Presque sexagénaire et toujours pris avec ça. Je vais me faire un café. Je met pas de musique par respect pour les voisins.Le climatiseur fonctionne toujours.Dehors j'entend passés une moto. J'arrive pas a développer une position critique sur le goulag semble que rendus là on critique pas on accepte. Y'a les oeufs Fabergé exposé chez nos voisins de l'ouest ça a beau être précieux je trouve ça insignifiant mais ça ne me déplairais pas d'aller faire un tour à L'Ermitage de Saint- Pétersbourgh, un autre musée dont on a jamais finis de faire le tour mais je crois qu'avant je vais retourner au Louvres. En attendant je vais essayer de trouver les nouveaux dessins sur les murs du goulag. Je reviens à ma vie intérieure à cette pesante solitude. Je suis un malcommode j'arrive pas a partager avec une femme mais je suis bien conscient d'avoir vécu de bons moments. Là je pense à un lecteur qui sort de thérapie, je lui souhaite le meilleur et de prendre ça une journée à la fois. Je crois que les feux d'artifices c'est pour bientôt le goulag occidental va se remplir d'étranger qui vont respirer le peu d'air qui nous reste, les voitures stationnées partout on en finis jamais avec les gaz d'échappements. Quand je finirai d'écrire ceci faut que j'arrive à me sentir bien à avoir la satisfaction du "devoir" accomplis."Qu'êtes vous devenus mes femmes" J.P. Ferland, si y'a quelque chose que je regrette dans ma vie c'est de ne pas avoir rencontré la bonne personne. Je dirais pas non à la jolie pharmacienne que j'ai vu hier mais je crois pas qu'elle lis ça. Ça fait une phrase pas mal laide voilà ou j'en suis, a composer pour la pharmacie sous le pont. Je vie mieux ma solitude la nuit et encore plus dans la nuit de vendredi à samedi, je suis en mode week-end comme beaucoup de monde et on donne un petit bec à notre nouvelle venue la belle Camille qui feras flancher bien des coeurs. La je pense au Yul de l'aéroport de Montréal quelqu'un sait pourquoi Montréal est désigné comme YUL dans les avions? Comme je le disait à mon lecteur de Deux-Montagnes y'a parfois des merci de trop mais là je le salue en lui disant que l'appareil photo fonctionne. Je trouve plus quoi vous raconter, la visite des policiers chez le voisin hier armes au poing sur la passerelle en attendant qu'il sorte. Moi j'ai du quitté rapidement les policiers m'ont demandé de sortir et de barrée la porte. Je suis donc partis. J'ai pas envie d'écrire une complainte "Mon âme est morte où vis je où vais je" Émile Nelligan. Je sais pas pourquoi je m'entête a écrire les grands ont vécu et ont laissé leurs héritage. J'arriverai jamais au chef-d'oeuvre. Je ne suis qu'un artisan comme disait le psychologue mais j'arrive pas a malaxer les mots comme il faut pour vous faire une émotion un sentis. Ce que j'écris c'est l'air du temps dans le goulag occidental. Je vous salue tous en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

mercredi 25 juin 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je crois qur le voisin est irrité parce qu'il entend les petits bruits du quotidiens. Hier je lisais sur Facebook un article de François Massicotte qui reprochais aux gens de s'exprimer.Quoi dire ? Y'a personne pour l'empêcher de faire ses niaiseries télévisuelles et y'a personne qui lui a dis que sur un ordi comme sur tout appareil électronique y'a un bouton on/off ça me fait pensés à l'interview du gars qui disait que le livre de poche c'était une mauvaise chose que le "peuple" avait pas besoin de ça. Je crois qu'il voulait dire que l'élite perdait son pouvoir.Je sais bien c'est pas toujours écris de la meilleure façon mais qu'est ce qu'il y a de mal dans l'expression. Je reviens au goulag occidental, au voisin qui me reproche mes petits bruits pendant que lui s'est permis de claquer les portes et que ça fait des semaines qu'il gueule des "on verras". Je sais je devrais pas vous raconter ça, le fond du goulag c'est pas joli joli. Parfois je suis à bout, vous dormez et je veille. Je l'entend dire je meurrerai pas, quel cabochon. Match nul pour la France hier au Brésil c'est loin du goulag.Dites moi les russes sont ils aussi poche que le Canada au soccer? Ouais! Il sait pas vivre plutôt que de gueuler il peux me le dire de vive voix je ferai attention. Je pense aux français qui regardent le football au Barouf rue St-Denis à Montréal dans ces occasions là on est tous je crois un peu français. J'aimerais bien que la France remporte le Mondial. Il est minuit six, les bars sont dans leurs belles heures. Je me souviens du Café Campus à l'époque sur Decelles sur la montagne, de la bière j'en ai bu là monsieur, la waitress avait pas le temps de passer deux fois j'étais déjà au bar pour m'en commander une autre, ça s'appelle l'alcoolisme, saoul la musique au fond et l'immense solitude dans la foule. J'essayais toujours de faire un contact en dansant mais je réussissais jamais. Je me ballottais sur la piste de danse. Je sais pas ce que j'exprimais avec mon corps ça devais être pathétique. Je l'ai jamais bien habité mon corps et sur la piste de danse laisser les autres entré dans mon espace vital ça me tuais. Cette nuit je ne dors pas je me suis fait un autre café. J'aime bien être sobre, savoir que je suis chez moi tranquille depuis vingt ans. C'est étrange ça m'apparait comme hier j'ai plus le même rapport au temps. Je pense à Côte-des-Neiges à Montréal-Nord deux quartiers opposés y'a jamais eu d'université à Montréal-Nord mais on a eu V.L.B. et les felquistes d'octobre soixante dix. Montréal-Nord c'est le peuple versus l'élite, la shop versus l'école. Je crois que c'est tout pour cette nuit. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 24 juin 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! À Rédio-Kénada la Saint-Jean-Baptiste c'est la fête des francophones coast to coast. Pour moi c'est la fête du Québec, des québéquois, la fête nationale... Il pleut je fêterai pas beaucoup. Je suis toujours dans le goulag occidental mais oui c'est au Québec. Je viens de voir passé mon ami marcheur qui a beaucoup ralentis avec les années ils semble moins paranoïaque. Dimanche j'ai eu un très bel accueil chez mes lecteurs de Deux-Montagnes. J'ai beaucoup apprécié mes échanges avec la matriarche. Pour moi la Saint-Jean ça rime aussi avec la solitude quand j'étais plus jeune j'espérais toujours me faire une blonde à cette époque de l'année. Je restais toujours célibataire. Le temps passant la nation on l'a beaucoup oublié. J'ai pas réussis a comprendre pourquoi on devrais être indépendant maintenant. L'indépendance c'est le pouvoir et le pouvoir va il faire qu'on auras moins de pauvres et d'itinérants moins de criminels? Je crois pas on va rester humain avec tout nos défauts. La fête nationale pour certains c'est une grande saoulerie remplie de nostalgie à l'époque on étais passé si près de cette saudite indépendance. Les rêveurs sont maintenant devenus fous ils habitent le goulag et se font un pays de leurs chambres. L'indépendance c'est la recherche du bonheur je crois dans le goulag on désire un pays qui se réveilleras à la façon de la révolution française on feras rouler des têtes. Le problèmes c'est que ce serait la mienne la première. Non! Non! Non! On veux la paix la sainte crisse de paix pour se faire griller la bedaine au bord du lac en écoutant les huards. À tout les ans cette fête est là pour nous rappeler ce qu'on a manqué, le grand soir qui n'est pas arrivé. J'en patis de n'avoir jamais eu un vrai pays peut être que ça m'aurais guéris de ma schizophrénie. "J'ai mal à l'amour, j'ai mal dans les yeux" Isabelle Boulay. La belle Isabelle que je ne me lasse jamais d'entendre ses versions de Reggiani sont très bonnes. Je me rappelle on se réunissais dans le parc et on chantais accompagné à la guitare des chansons de folklore et parfois même on improvisait quelques blues. Non! Pas avec Isabelle mais avec les copines de l'époque. J'ai de la difficulté a marié Rolling Stone et indépendance.... Je vous laisse. Ceux qui fêtent prenez en une à ma santé! Pour les autres profitez bien de la journée de congé. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard