dimanche 15 juin 2014

Au présent

Bomjour! Bonsoir! Trois heure cinq, vendredi L.A. a gagné la coupe Stanley. Cette nuit le voisin délire par intermitence.Peut être qu'il essais de se sevrer de ses médicaments. Pour ce qui est du goulag occidental c'est le last-call les gens rentrent à la maison. J'ai de la difficulté à me renouveler. J'ai recommencé a lire Foglia dans la presse plus, j'ai qu'une chose a dire le gars a du métier. Ici ça gueule et ça klaxonne sur la rue. Je pense à Josée Yvon à Denis Vanier et à Léo Lévesque dont on a pas de nouvelles, j'espère qu'il a survécu c'était des maitres de la grosse poésie "sale". Moi je suis dans la prose c'est délicat de donner a lire mes poèmes. Les Italiens ont gagné leurs première partie au Mondial de football. C'étais la folie dans la petite Italie... Je pense aux agents de la GRC morts en service j'offre mes sympathies à toutes leurs familles... Le voisin gueule gang de chiens sales!!! Je sais pas pour qui et pour quoi. Cette nuit je suis pas très très inspiré. Y'a longtemps j'ai changé les miroirs et les bouteilles pour un écran d'ordinateur. J'ai cessé de pratiquer le narcissisme avec des doubles scotch dry et une bière. J'avais un ami qui disait que l'alcoolisme ça s'arrêtais là avec du scotch. Il est partis l'ami je m'en ennuis beaucoup. C'étais quelqu'un de bon conseil. J'en profite pour saluer cet autre ami retraité qui est maintenant déménagé à Repentigny.Parfois dans le goulag occidental je croise des gens qui me font peur. Cette semaine j'ai regardé un documentaire sur la dope et sa légalisation en Angleterre. Ce qu'ils vendent pour de la coke c'est un mélange de substance pharmaceutique, de la merde... Silence dans ma tête, le voisin tousse, une toux nerveuse. C'est difficile d'écrire quand on a rien a dire. J'entend juste les motos qui passent je pense toujours aux motards à Paris ce sont de vrai trompe la mort aux guidons de ces énormes scooter. Y'a des oiseaux qui chantent dehors je me souviens d'un temps ou je détestais ces oiseaux qui chantaient le matin, mal de bloc et hangover. C'est la fête des pères on souhaite bon anniversaire à tout les pères qui me lisent et j'ai une pensée pour le mien qui n'est plus là me semble que j'aurais encore des choses à lui dire.Je pense à la prière du Notre Père depuis que je me rétablis je la récite. Je veux pas faire de prosélytisme mais pour certain réciter le Notre Père ça semble plus dangeureux que les bêtises new age qu'on entend partout. Je suis d'accord pour dire qu'il y a autant de spiritualité qu'il y a de personnes. " Pardonnez nous nos offenses" et moi j'essaye de pardonner. C'étais mieux avec le père que j'avais que pas de père du tout. Je répète encore bonne fête des pères à tout les pères qui me lisent et aux autres aussi. Je termine là dessus, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 12 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Fesses, fesses, fesses pour attirer le client comme ça au départ. Le voisin gueule on verras, on verras et ma gang de rats go fuck yourself. Je sais pas à qui il s'adresse. Il est seul et il a pas le téléphone.C'est vraiment le goulag, des loyers pas payés, la dope et la maladie mentale.Je l'entend encore dire dékalisse sur la passerelle.Ça fait mal d'entendre cette souffrance et ça fait peur aussi. C'est pas très rigolo, je voudrais lui parler mais j'ai peur d'un geste malheureux.Il parle moins fort je crois qu'il est conscient que son discours le mène nulle part.Moi je veux pas qu'il se retrouve à la rue mais il semble tout faire pour arriver là cette semaine je l'ai entendus parler de pot gratis et de trancher la gorge à quelqu'un c'est heavy.J'ai démarré le climatiseur.Le goulag occidental c'est le royaume du lumpen prolétariat, on en sort que les pieds devant après avoir perdus toutes ses synapses et ses neurones. Je sais bien que les mots qui précèdent sont pas très littéraire mais j'écris pas pour les âmes sensibles.J'essaye de changer l'orientation de mon texte c'est presque aussi difficile que de changer d'orientation sexuelle, ça prenais ça aussi avec les mots du départs. J'espère que mes lecteurs vont me pardonner ce que je vous écris là c'est le vrai, la réalité du goulag... Je vous écris ça de ma nuit avec les machines qui ronronnent et en pensant à la coupe du monde au Brésil, les favelas ça se compare très mal avec le centre-sud, le goulag on est encore en sécurité. J'espère que mon lecteur de Deux-Montagnes seras pas trop offusqué mais la promiscuïté ça fait ça parfois on a l'impression que le voisin est dans le salon. Même les livreurs d'électro-ménagers ont peur d'entré dans l'édifice. Je sais ce soir c'est pas très fort mon texte, la musique est pas là. Je suis un enfant du rock'n'roll des années soixante dix on le savait pas mais on contribuais à une grosse machine culturelle qui nous a largué quand elle a eu les poches pleines. Richie Havens qui chante Freedom a Woodstock fallait tout de même le payer ce monument de la discographie et on s'est même rendus au No-Future pourtant on est toujours là y'a rien de changé au capital, l'expérience commune a échoué maintenant on parle du communautaire même si c'est toujours au plus fort les poches pleines. Les expériences de vie en commun échouent toujours peut être parce que les egos sont trop fort et qu'on veux pas partager la soupe des autres. Mais, Mais, mais le docteur Destouches l'a dis c'est les chinois qui vont prendre la place vous avez qu'a regarder vos babioles y'en a certainement une sinon plusieures qui viennent de la Chine. Bon! C'est pas tout ça, les chinois on les arrêteras pas et les anamites non plus. Je sais pas ou ils en sont rendus avec le culte de la personnalité mais je passe mon tour. Voilà! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mardi 10 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je sais pas trop quoi vous écrire ce soir. Je pense au parc devant chez moi, c'est pas le parc des Braves à Terrebonne ou y'avait toute sorte de petit traffic... Plutôt que de travailler on y passait nos soirées et parfois même nos journées a discuter et a écouter les copains qui jouaient de la guitare.C'est loin tout ça maintenant c'est le goulag occidental ou on place des pics devant des vitrines pour empêcher les itinérants de s'asseoir. Je suis un bon client de ce magasin si ils les enlèvent pas j'achète plus rien là.L'itinérance y'en a qui croient qu'on choisis ça, c'est faux personne veux vivre dans la rue ou se promener de sofas en sofas chez des copains ou des connaissances. Y'a les chambres vous me direz mais vivre en chambre c'est presqu'aussi difficile que dans la rue. À Paris y'en a qui se montent des tentes au bord des trottoirs et y'avait un futé qui a monté la sienne sur des palettes de bois ça coupe l'humidité. Chez moi ce soir y'a un parfum sucré, ça sent bon, je suis content depuis que je fume plus mon sens olfactif est à son mieux. Je me prépare un café pendant que les journées s'étirent. Je me rappelle du ménage de nos pupitres qu'on commençais ces jours ci à la petite école. "Adieu monsieur le professeur, on ne vous oublieras jamais et tout au fond de notre coeur..." maintenant je suis presque vieux, j'ai connus la galère en essayant de ramer à contre-courant, j'en suis devenus fou. Y'a quelque chose que j'ai pas compris dans la vie c'est peut être parce que j'ai pas assez aimé, trop cherché pour ne rien trouver... Je pense au maire de Saguenay qui traite les journalistes de cruches et d'incompétent, Hey monsieur! La foi ça ne s'impose pas, c'est une part intime de l'âme qui ne regarde que soi et y'a des athées qui ont une façon très humaniste de voir la vie. Là je pense à ceux qui sifflent dès qu'ils me voient ou se mettent a fredonner un air sans nom ça me fatigue ça me déstabilise. Je veux juste me cacher. Je vous parle encore de mon voisin qui veux couper la gorge à je ne sais qui. Ce soir il est tranquille. Je souhaite qu'il trouve la paix. Je suis pas là pour me plaindre et créer un autre itinérant. Ce soir la rue est tranquille dans le goulag, non le goulag c'est pas l'asile au vingt et unième siècle l'asile ça n'existe plus, une raison du nombre grandissant d'itinérants. Bon! C'est de la sociologie de bottine. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 7 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! De vrais enfants! Je cesse de publier et vous partez lire je ne sais ou chez le concurrent. Deux jour c'est pas assez frais pour vous sans parler de la scatologie que ça vous prend. Merde! Merde! Merde! Voilà pour aujourd'hui. Je suis toujours au goulag et je pense à Paris. Je remercis tout ceux qui ont pris le temps de lire mon texte de voyage. Y'a des lecteurs de l'outaouais qui s'en vont au médecin... Voilà ce que ça fait je suis tout exité pour eux, au mexique.Ici c'est encore la nuit je prend un café tranquillement, la nuit je suis la tête de turc de personne. Je lance un appel si y'a quelqu'un qui veux venir à New-York avec moi qu'il me fasse signe. J'ai démarré le climatiseur, au goulag c'est jamais de trop. Y'a le parfum de vanille du yogourt que j'ai mangé.Je vous écris ça tout lentement j'ai tellement aimé Paris j'y retournerais tout de suite et serais prêt a accepter une pluie d'injures. Je sais pas trop comment ils font pour passer la frontière américaine avec le passeport.Les douaniers montent surement a bord vérifié le passeport. Vous savez que bientôt dans un quartier près du goulag les bars seront ouvert jusqu'à six heure.Je pense à l'alcool oui! Mais les autres traffic. Je connais personne qui est capable de boire huit heures sans l'aide d'autre substances.Je suis tout engourdis c'est toujours la nuit. On a pas de piscine dans le goulag et on envie nos lecteurs de Terrebonne. La toune "J'ai mal à l'amour j'ai mal dans les yeux et si l'on se perd prend garde aux adieux" par la magnifique Isabelle Boulay qui nous sort un disque hommage à Reggiani " Il suffirait de presque rien, peut être dix années de moins, pour que je te dise je t'aime" emmenez en de la "vieille" madame Boulay je la prend entière et comme elle est. J'irais bien prendre un café à Saint-Germain avec elle. En attendant je m'en prépare un maison.On le sait écrivain au Québec ça veux rien dire encore moins si t'est pas publié même le prolifique VLB a des soucis financiers si y'en a un qui a écris avec par et pour le Québec c'est bien lui et on l'abandonne. Il va peut être vendre ses manuscrits à l'étranger voilà toute l'importance qu'on donne à une oeuvre majeure au Québec.Le goulag est pas vraiment fait pour la révolte mon voisin hystérique envois tout le monde au petit coin et lance des injures à Ferrari de la passerelle de l'édifice, il veux couper la gorge de je ne sais qui... Pour la littérature Hubert Aquin était un grand fan de formule un, ça l'a pas empêché de mettre fin à ses jours vous me direz. Il en avait peut être assez d'être écrivain dans un pays qui n'est pas à lui. Le voisin crie On verras c'est ça je vais voir avec le temps si ma passion pour l'écriture dure. Je termine ici en souhaitant bon voyage à mes lecteurs de l'Outaouais. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

 

jeudi 5 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le voisin a cesser de crier et se tape une soirée heavy métal, du rock qui cogne. Ce soir je trouve pas de quoi vous entretenir. Vous allez me trouver idiot mais j'en suis déjà au climatiseur.pourtant c'est une belle soirée au goulag occidental c'est la trève des travaux forcés. Je ne vous ai jamais parlé de mes difficultées avec le langage des gens en autorités comment quand la conversation se termine je les entend rajouter quelque chose vide de sens, ça m'épuise, ça défait toute ma confiance que je dois rebatir. C'est un signe, la confiance fragile c'est un manque de foi, j'en ai pas a donné...Le rock du voisin a cessé.Je me sent lourd c'est la soirée j'ai mangé trop de pablum dans ma jeunesse ça m'a fait rapetisser les couilles, couilles deux fois c'est un mot payant. On va laisser la nourriture pour bébé a Camille elle en auras besoin un peu plus tard. "Je cherche, je cherche, mais je ne trouve pas, la solution des équations, la raison d'exister..." de l'existensialisme chanté. J'aurais aimé être Bruce des Sultans ou Simon des Lutins les petites filles se les arrachaient. Ce que je trouve étrange c'est que les hormones masculines s'agitaient à la vue de Nicole Martin ou de Claude Valade pourtant la musique des petits gars étais toujours meilleures, à moins d'être un gai précoce on aurais pas avoué avoir un crush pour Dalida on étais tous GiGi. Ce soir chez moi il fait froid comme dans un frigidaire d'abattoir. Je veux me conserver!!! " Le petit poppy" qui aurais dis que Pagliaro commencerais une carrière de rocker avec une chanson si peux virile. Ça existe plus ça les grand mythes du rock'n'roll en tout cas moi j'ai arrêté avec Bono et U2 faudrait que je fasse une visite au Hard rock café pour mettre à jours mes idoles rock. Je pense à Francoeur " Nancy Nancy Beaudoin chérie veux- tu être ma Barbie en vie veux tu être ma Ruby Tuesday ma blonde steadée" Le rock'n'roll ça m'a permis de survivre assez longtemps tout les hôtels étaient le Morrisson hôtel. Les juke-box nous faisait rocker à coup de trois tounes pour trente sous. Nous autre on se mettait pas de brylcreem puant on se laissait allonger les cheveux jusqu'au moment ou les Sex Pistol sont arrivés et on s'est rasé le coco. Le rock a pas tenus ses promesses c'est devenus du commerce et avec ma bedaine j'ai pas la dégaine d'une rock star. Je pense au "Almost cut my hair" du CSN&Y faute de les couper on les a perdus nos cheveux. Je vous laisse allé écouter le "She came in through the bathroom window" des Beatles. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 3 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis triste, j'ai beau écrire je me sent persécuté. J'ai envoyé un texte intitulé Psychose Parisienne pour mes Humeurs Culturelles sur le site de L'I.U.S.M.M. comment vous dire... De retour de Paris j'ai moins d'intérêt pour les nouvelles de TV5. Lentement la vie passe et ce soir le goulag occidental est sous la pluie. Je reçois des appels d'une boîte vocale anglophone qui me dis que j'ai gagné je ne sais quel voyage, c'est une arnaque. Oui! Oui! Oui! Je suis triste et seul,les orages sont passées y'a une odeur d'oignon frit. Y'a pas de club social pour les fous.Je regarde les voitures passées c'est juin l'été arrive bientôt. J'essais d'écrire quelque chose de vraiment inspiré, le centre-sud est pas très poétique, à part les dépanneurs pour les alcooliques et les bistros aux machines à sous y'a rien, c'est pas que je m'ennuis de ça... Je pense à mes amis partis pour toujours... Je vous écris ça lentement et je pense à la nouvelle petite Camille, une enfant, de quoi se réjouir... Je me fait vieux, le poète a plus beaucoup de poésie. Il regrette d'avoir écris certaines choses, regretté la poésie ça se peux tu, les poètes c'est la fin du monde, le noir, l'apocalypse, le poète radical ne parlait que de ses déchets, il supposait le suppositoire en s'endormant sur une grosse bière muet d'avoir crié son histoire pas encore finale, il essayait de durer, de durer, le temps lui rabattait son caquet comme ceux qu'il croisait et qui le détestais. Il se crissais des nuits sans lune et des espoirs pour rien jamais gris souvent saoul pour essayer de mourrir en mots, de crever en syntaxe sans savoir, le dictionnaire, ce qu'est un paradigme des mots de maudites façons. On le disait schizophrène il a acheté en cherchant le silence dans ce brouhaha délirant, le prochain comme dans la bible se chargeais de lui faire ressentir la haine pourtant ces syllabes incompréhensibles, ces onomatopés déviargés... On appelle pas la police pour des mots, je ne connais qu'un langage voilà mon malheur, t'en rappelle tu Mimille dans ton adolescence tu nous enchantais avec ton destin pathétique. On veux me faire mourrir assassiné par le peux de chose que je connais, assassiné par l'ignorance tué par la machine ordiné ordinaire.So you want to be great! Be and believe sans sauf conduit en attendant la nuit et les néons de pharmacie oubliée et puisqu'il s'agit de finir, terminons sur un demain sans nom... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 1 juin 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Au cas où je suis de retour au goulag occidental. J'entend les voisines s'esclaffer comme des grosses poules pondeuses..Ce soir on a droit a un magnifique coucher du soleil.J'ai encore le voyage dans le corps... Ce soir j'aimerais bien briser quelques icônes. Il fait bon de retour de Paris dékalisser de l'employé et de savoir qu'on seras compris, bien sur que je sois décrisser trop vite. Avec de la compagnie je serais resté une semaine de plus. Mais toi vous allez me dire comment tu te sent? J'ai de la difficulté a me remettre du jet lag et a synchroniser mes médicaments..Ce soir dans le goulag il fait chaud c'est pas trop tôt. Un message de félicitation à notre lectrice de Sain-Lin pour l'arrivé de la belle Camille qui déjà est presque une pin-up. Comment je me sent? Comment je me sent? La chaleur comme pour tout les voisins me monte à la tête, les chauffard prennent la rue Sainte-Catherine comme si c'étais Daytona, y'a pas grand chose qui change au royaume... Je dis royaume ça nous prendrais un roi au goulag on peux pas se contenter d'un lieutenant gouverneur qui dépense sans compter ou à mon ami le gouverneur général qui est trop loin. Je salut ici madame la gouverneure qui m'avait si bien reçu à Rideau Hall, de quoi virer protestant mais je proteste déjà. Mon voyage ça a comme démystifier Paris et la France. J'écoute plus les actualités françaises. Je suis trop loin de ce quotidien.Certain on dis de Paris que c'est devenus une ville musée on sent pas ça quand on fait les marchés... Dehors ça gueule, ça jappe ça crie, les balançoires grincent ça ressemble à l'été. Bientôt je vais installer le climatiseur, je prend mon temps j'attend une canicule. Bon! Je souhaite de la santé à tout le monde pour cet été et je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard